DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR
DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

mardi 31 juillet 2012

6003


Photo. http://www.lacaleauclaire.com/FichiersUpload/SoftSystem/img_emplois.jpg

http://www.lacaleauclaire.com/fr/auberge-mauricie/emplois/


6002. CET HOMME EST SYMPATHIQUE ET AIME LE PEUPLE. VOULEZ-VOUS QU'IL CONSERVE SON EMPLOI LES 5 PROCHAINES ANNÉES ? LUTTONS CONTRE LE CHÔMAGE.



LES ÉLECTIONS SONT OFFICIELLEMENT DÉCLENCHÉES
1 août 2012

http://www.radio-canada.ca/sujet/elections-quebec-2012/2012/08/01/005-elections-campagne-declenchement.shtml

*

DES ÉLECTIONS LE 4 SEPTEMBRE

31 juillet 2012

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2012/07/31/006-elections-confirmation-declenchement.shtml

La rumeur se confirme : le premier ministre Jean Charest déclenchera mercredi des élections générales au Québec.

Radio-Canada a appris de source gouvernementale que M. Charest a contacté le lieutenant-gouverneur du Québec, Pierre Duchesne, pour s'assurer qu'il sera à son bureau mercredi matin pour dissoudre le Parlement.

Le scrutin aura donc lieu le mardi 4 septembre, au lendemain de la fête du Travail

Commenter 253
*
COMMENTAIRE DU PEUPLE

1

Le 4 septembre prochain sera une date historique pour le Québec. Il s'agira de la première fois qu'un premier ministre réussit le tour de force d'obtenir 4 mandats de suite. Enfin une date qui sera véritablement significative pour l'ensemble des québécois et qui pourrait remplacer à l'avenir la fête du 24 juin qui, il faut bien l'admettre, n'est qu'un gros party pour les souverainistes et faiseurs de troubles de toute acabit.

Les préparatifs vont bon train pour cette grande fête des québécois. Le Stade Olympique sera mis à contribution. Les gradins seront remplis et nous ferons défiler, chaines aux pieds et dans la honte, Marois ainsi que les leaders syndicaux et étudiants.

Soyez de la fête et réservez dès maintenant votre place pour le 4 septembre prochain. Les 10 000 premières personnes recevront un t-shirt identifié « J'ai survécu au désordre et à l'anarchie au Québec ».

Robert Vaughn de Châteauguay. 31 juillet 2012 à 16 h 42 HAE

6001. CONVERTER - SMOKE

Une petite chanson

CONVERTER - SMOKE
http://www.youtube.com/watch?v=GLSVIT9sPQo&feature=related


6000

Image. http://www2.lactualite.com/jean-francois-lisee/files/Racist.jpg

*

Le blogue de Jean-François Lisée

LES VALEURS QUÉBÉCOISES SONT-ELLES CASCHER ?

31 juillet 2012

http://www2.lactualite.com/jean-francois-lisee/les-valeurs-quebecoises-sont-elles-casher-2/14117/?cp=2

(Comme monsieur Lisée pourrait se présenter aux élections, l'Actualité à débranché son blog.)

http://www.vigile.net/Les-valeurs-quebecoises-sont-elles

Vous critiquez un accommodement ? Attendez-vous à une accusation de racisme

Les Québécois ont-ils le droit de savoir, à l’avance, que leur viande est soumise à un rite religieux minoritaire? Si vous répondez oui, vous êtes intolérants !

(…)

LE DROIT DE CRITIQUER.

La propension de plusieurs interlocuteurs de crier au racisme ou à Le Pen chaque fois qu’une objection est soulevée contre une pratique religieuse qui déborde du temple vers la vie civile est proprement ahurissante.

Tout se passe comme si des volontés religieuses minoritaires (souvent inoffensives, parfois agressivement misogynes, parfois asociales, parfois tenant de la superstition pure) détenaient un caractère sacré qui les mettaient à l’abri de la critique ou de la discussion publique.

Y compris, et c’est le cas d’espèce, lorsqu’une pratique religieuse devient une règle s’appliquant, à son insu, à la majorité, qui, lorsqu’elle l’apprend, devrait accepter sans mot dire. En fait, on somme la majorité de rester silencieuse, de subir au nom de la tolérance — mieux, de s’informer de l’innocuité des pratiques d’abattage nouvellement utilisées pour s’y adapter. Mieux encore, on la somme de se taire parce qu’elle ne s’est pas outrée d’autres aspects des mauvais traitements faits aux animaux.

Dans le grand sillon de la commission Bouchard-Taylor, la victime est coupable. Le moins qu’elle puisse faire est de s’excuser.

*

COMMENTAIRE DU PEUPLE

1

Essai de manger no Kosher, tu vas être bon pour une diète extrême. voici tout les symbole kosher sur le marcher

https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg3odrkZVPgjDNgvySVSsPb61X6UB7aM0AUlHXFCklCW8KdlYB1-J-v6i3K47Mw6LIshxE5f8VSyDQrpSzuTeYbON8gDiKC5sOBGIY6REolMWWgny4eBbYcIIFDoJQdtm6HHR4fiZzqf60/s1600/kosher.jpg

15 Alain Chicoine. juillet 28, 2012 à 23:49

2

J’aimerais lancer le débat sur le coût de l’accréditation cachere.

Sur le peu de recherches que j’ai fais ce coût reviendrait 500$ par an par personne aux Etats-Unis. Avec toute la quantité de produits certifiés au Canada je ne crois qu’il y aurait une grande différence.

Si je comprends bien il y a un coût associé a l’inspection de la fabrication du produit et un pourcentage annuel sur la quantité!! (J’ai même du papier ciré certifié!!!) You Tube a quelques vidéos sur le sujet.

2 lamoureux.r. juillet 27, 2012 à 16:44

3

S’il était possible de choisir entre être traité en quantité négligeable par des marchands de rites d’abattage, et la manière dont le matérialisme et le capitalisme sauvage sans foi ni loi se moquent de populations entières, je préférerais encore de loin la première option.

5 novis. juillet 28, 2012 à 0:02

4

Je me rappelle d’un citoyen qui avait pris la parole lors de l’une des séances de la pitoyable Commission Bouchard-Taylor pour dénoncer le fait qu’un grand nombre de produits alimentaires sont casher et que les consommateurs sont donc obligés de payer pour cette étiquette dont ils ne veulent pas. L’ineffable Gérard Bouchard s’est empressé de fermer la gueule de ce citoyen en le traitant de raciste. Quelle blague que cette commission! À tout événement, c’est quand même étrange que l’État veuille faire disparaître tous les signes religieux de la place publique mais qu’il ne se prononce pas sur l’identification religieuse des aliments qu’on achète. Ah, ce qu’on ne ferait pas pour obtenir un vote…

17 Robert Ducharme. juillet 29, 2012 à 6:19

lundi 30 juillet 2012

5999


Fish bowl by Alessandra Baldereschi

http://www.designerhk.com/sites/designerhk.com/files/blog/27/6022/01.jpg


5998

«La folie n'est pas une maladie à déclaration obligatoire. Sinon la moitié de la planète serait déclarée débile.»

Janvier Lauzon de Montreal. 30 juillet 2012 à 10 h 38 HAE

*

Tuerie d'Aurora : 142 chefs d'accusation contre James Holmes

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2012/07/30/003-comparution-holmes-aurora.shtml

dimanche 29 juillet 2012

5997. THE STROKES - REPTILIA

Une petite chanson

THE STROKES - REPTILIA [INSTRUMENTAL]
(sans la voix du chanteur – chante mal!)
http://www.youtube.com/watch?v=C0f2Qs_6cqQ&feature=related


5996


Image. http://a4.sphotos.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-ash4/305364_10150348350248707_67978458706_8173544_1638398778_n.jpg

http://threegirlsmovewest.wordpress.com/2011/10/17/reality-check/

*

Douteur je doute. On ne doute jamais assez. Tout ce qu'on vous dit est faux. Tout ce que vous savez est faux. Parce que tout ce qu'on vous dit est faux. Mais il se peut qu'une partie de ce que savez soit vraie mais laquelle? Le professeur Bulle a parlé. Ou pensé quelque chose. Ou eut une émotion quelconque. Le professeur Bulle pense quelques fois par année donc il lui arrive d'être. Mais pas souvent!

5995. INTÉRESSANT.

Une expression yiddish: on dit de quelqu'un qui n'est pas très intelligent qu'il est «a shtik fleish mit tzvei eygen ».

Traduction littérale: «C'est un morceau de viande avec deux yeux»

Source : Tamara Kramer

http://www.lapresse.ca/actualites/dossiers/montreal-pluriel/201111/25/01-4471825-que-reste-t-il-du-montreal-yiddish.php


mercredi 25 juillet 2012

5994. L'HOMME DU FUTEUR COMME SI VOUS ÉTIEZ. UN HUMANISTE COMME ON LES AIME




5993. COMBICHRIST- GET OUT OF MY HEAD


COMBICHRIST- GET OUT OF MY HEAD

http://www.youtube.com/watch?v=DhemwG4b9dA&feature=fvwrel


5992. AU SUJET DES AMIS DE LA SYRIE ET DE LEURS AMIS ET DES AMIS DE LEURS AMIS.


SYRIAN BLOOD ETCHES A NEW LINE IN THE SAND


Pepe Escobar

Jul 25, 2012

THE ROVING EYE

Asia Times Online

http://www.atimes.com/atimes/Middle_East/NG25Ak02.html

Once upon a time, early in the previous century, a line in the sand was drawn, from Acre to Kirkuk.

Two colonial powers - Britain and France - nonchalantly divided the Middle East between themselves; everything north of the line in the sand was France's; south, it was Britain's.

Many blowbacks - and concentric tragedies - later, a new line in the sand is being drawn by Saudi Arabia and Qatar.

Between Syria and Iraq, they want it all.

Talk about the return of the repressed; now, as part of the North Atlantic Treaty Organization-Gulf Cooperation Council compound, they're in bed with their former colonial masters.

BLOW BY BLOW

No matter what militarized Western corporate media spins, there's no endgame in Syria - yet.

On the contrary; the sectarian game is just beginning.

It's 1980s Afghanistan all over again.

The over 100 heavily armed gangs engaged in civil war in Syria are overflowing with Gulf Cooperation Council funds financing their Russian RPGs bought on the black market.

Salafi-jihadis cross into Syria in droves - not only from Iraq but also Kuwait, Algeria, Tunisia and Pakistan, following enraged calls by their imams.

Kidnapping, raping and slaughtering pro-Assad regime civilians is becoming the law of the land.

They go after Christians with a vengeance. [1]

They force Iraqi exiles in Damascus to leave, especially those settled in Sayyida Zainab, the predominantly Shi'ite neighborhood named after Prophet Muhammad's grand-daughter, buried in the beautiful local mosque.

The BBC, to its credit, at least followed the story. [2]

They perform summary executions; Iraq's deputy interior minister Adnan al-Assadi told AFP how Iraqi border guards saw the Free Syrian Army (FSA) take control of a border outpost and then "executed 22 Syrian soldiers in front of the eyes of Iraqi soldiers".

The Bab al-Hawa crossing between Syria and Turkey was overrun by no less than 150 multinational self-described mujahideen [3] - coming from Algeria, Egypt, Saudi Arabia, Tunisia, the United Arab Emirates, Chechnya and even France, many proclaiming their allegiance to Al-Qaeda in the Islamic Maghreb (AQIM).

They burned a lot of Turkish trucks.

They shot their own promo video.

http://www.youtube.com/watch?v=U_m0NqL7Ulc

They paraded their al-Qaeda flag. And they declared the whole border area an Islamic state.

HAND OVER YOUR TERRORIST ID

There's no way to understand the Syrian dynamics without learning that most FSA commanders are not Syrians, but Iraqi Sunnis.

The FSA could only capture the Abu Kamal border crossing between Syria and Iraq because the whole area is controlled by Sunni tribes viscerally antagonistic towards the al-Maliki government in Baghdad.

The free flow of mujahideen, hardcore jihadis and weapons between Iraq and Syria is now more than established.

The idea of the Arab League - behaving as NATO-GCC's fully robed spokesman - offering exile to Bashar al-Assad may be as ridiculous as the notion of the CIA supervising which mujahideen and jihadi outfits may have access to the weapons financed by Qatar and the Saudis.

At first, it might have been just a bad joke.

After all, the exile offer came from those exact same paragons of democracy, the House of Saud and Qatar,

who control the Arab League

and are financing the mujahideen and the anti-Syria jihad.

Baghdad, though, publicly condemned the exile offer.

And the aftermath - in fact on the same day - was worthy of The Joker (yes, Batman's foe); a wave of anti-Shi'ite bombings in Iraq, with over 100 people dead, duly claimed by the Islamic State of Iraq, al-Qaeda's local franchise.

Spokesman Abu Bakr al-Baghdadi energetically urged the Sunni tribes in Anbar and Nineveh to join the jihad and topple the "infidel" government in Baghdad.

The mujahideen/jihadi back and forth between Syria and Iraq has been more than confirmed by Izzat al-Shahbandar, a senior member of Iraq's Parliament and close aide to Prime Minister al-Maliki.

Baghdad even has updated lists.

The crossover could only spawn more frenetic Orwellian newspeak, nailed by the website Moon of Alabama. [4]

Mujahideen and jihadis active in Iraq are now "Iraqi insurgents".

And mujahideen and jihadis active in Syria remain the usual "Syrian rebels".

They have been all decommissioned as "terrorists".

Under this logic, the Colorado Batman shooter may also be described as an "insurgent".

FOLLOW THE MONEY

As it stands, the romanticized Syrian "rebels" plus the insurgents formerly known as terrorists cannot win against the Syria military –

not even with the Saudis and Qataris showering them with loads of cash and weapons.

Nor is there any evidence the regime is contemplating a retreat to the Alawite mountains in northern Syria, as evoked by this collective foreign policy blog discussion.

After all the "rebels" do not control any territory.

What's certain is who would profit from Syria being progressively balkanized.

The House of Saud and Qatar would love nothing better than to have the civil war exported to Iraq and Lebanon;

in their very narrow calculations, that would eventually yield fellow Sunni regimes.

So expect Saudi and Qatari funds buying every well-connected Syrian regime apparatchik in sight –

even while the urban Sunni bourgeosie still has not abandoned the ship.

And as the civil war spreads out, a tsunami of weapons will keep inundating Jordan, Lebanon, Iraq and of course Turkey,

boosting assorted guerrilla outfits,

Kurdish included –

yet one more facet of now ostracized neo-Ottoman Turkey impotently watching nation states carved out of that 1920s colonial line in the sand being smashed.

Strategically, this will always be a war by proxy;

essentially Saudi Arabia vs Iran –

with the House of Saud behind hardcore Islamists of all colors compared to Qatar supporting "its" Muslim Brotherhood.

BUT MOST OF ALL THIS IS THE US-NATO-GCC VS IRAN.

ISRAËL

Israel's motives go way beyond the Saudi/Qatari sectarian lust.

Israel's Prime Minister Bibi Netanyahu has just excavated a Bushism - calling Iran-Syria-Hezbollah an "axis of evil".

What Tel Aviv wants in the long run is clear;

for Washington, Obama administration or not,

to bring down the axis.

Meanwhile, this long-term goal does not prevent Defense Minister Ehud Barak from getting crazy –

speculating on an invasion of Syria

based on a hypothetical transfer of Syrian anti-aircraft missiles or even chemical weapons to Hezbollah.

Washington for its part would love at least a pliable/puppet Sunni regime in Damascus to turbo-charge the encircling of Iran –

without increasing Israel's substantial fears.

Meanwhile, what passes for "smart power" is no more than glorified wishful thinking.

Here in detail is how pro-Israel functionaries in the US are designing post-Assad Syria. [5]

MEET THE NEW BANE

For all its production values, NATO's jihad –

in conjunction with al-Qaeda affiliates and copycats –

still has not delivered regime change.

UN Security Council sanctions won't be forthcoming, as Beijing and Moscow have already stressed three times.

So Plan Bs keep surfacing all the time.

The latest is straight from the Iraq playbook; Damascus will attack civilians with chemical weapons.

This lasted only for a few news cycles.

Russian President Vladimir Putin has already made it clear;

regime change is anathema,

especially for a reason that eludes most in the West –

jihadis at the gates of Damascus means they are a stone's throw from the Caucasus,

the possible new pearl in a lethal collar bound to destabilize Muslim Russia.

BLOWBACK MEANWHILE IS READY TO STRIKE LIKE THE MEDUSA.

BRIGADES DE LA MORT

What is for all practical purposes NATO-GCC mujahideen/jihadi death squads

will be more than happy to bleed Syria across sectarian lines –

in the sand and especially in urban areas.

It's hunting season now, not only for Alawites but also Christians (10% of the population).

A FOREIGN POLICY THAT PRIVILEGES SUNNI JIHADIS FORMERLY KNOWN AS TERRORISTS

TO CREATE A "DEMOCRATIC" STATE IN THE MIDDLE EAST

seems to have been conjured by Bane – the Hannibal Lecter meets Darth Vader bad guy in The Dark Knight Rises, the final chapter of the Batman trilogy.

And yes, we are his creators.

While the best lack all conviction, and the worst are full of passionate intensity,

a masked Sunni jihadi superman is slouching towards Damascus to be born.

NOTES:

Syria’s ultimatum to Christians: “Leave Qusayr". The message sent out by the military chief of the armed opposition has spread panic and lead to a Christian exodus. 06.09.2012

1. http://vaticaninsider.lastampa.it/en/homepage /world-news/detail/articolo/siria-syria-15868/

Syria crisis: Iraqis flee 'sectarian violence' in Damascus. Rami Ruhayem. 20 July 2012

2. http://www.bbc.co.uk/news/world-middle-east-18930876

Syrian rebel forces occupy second border post with Turkey. 22 July 2012

3. http://english.alarabiya.net/articles/2012/07/22/227739.html

Policy Change: "Terrorists" Are Now "Insurgents". This is the biggest Orwellian rewrite I have ever experienced. For years the label "AlQaeda" and "terrorists" were practically used as synonyms. But, following the Obama administrations lead, the New York Times has now rewritten its stylebook and relabeled "AlQaeda" from "terrorists group" to a somewhat neutral "insurgency". July 23, 2012

4. www.moonofalabama.org/2012/07/nyt-terrorists-are-now-insurgents.html

Syria: After Deadly Strike Gloves Will Come Off. The foreign supported insurgency in Syria made hit-and-run attacks in some suburbs of the capitol Damascus. But those fights were isolated by government forces and seem now to die down as the insurgency has problems to sustain them. That may well be for a lack of personal. July 18, 2012

Syria went through a quite similar situation in the late 1970s when the Muslim Brotherhood led another insurrection against the Syrian state. There were many assassinations and assassination attempts, including on the then president Hafez al-Assad, as well as large attacks on government forces. The response was ferocious and the insurrection was put down.

http://www.moonofalabama.org/2012/07/syria-after-deadly-strike-gloves-will-come-off.html

5.

Inside the quiet effort to plan for a post-Assad Syria. Josh Rogin Friday, July 20, 2012. For the last six months, 40 senior representatives of various Syrian opposition groups have been meeting quietly in Germany under the tutelage of the U.S. Institute of Peace (USIP) to plan for how to set up a post-Assad Syrian government. The project, which has not directly involved U.S. government officials but was partially funded by the State Department (…)

http://thecable.foreignpolicy.com/posts/2012/07/20/inside_the_secret_effort_to_plan_for_a_post_assad_syria

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Collective foreign policy blog discussion.

The Call for July 22, 2012: "Russian Ambitions in the Middle East'. David P. Goldman. Jul 23, 2012

http://www.gatestoneinstitute.org/3189/the-call-for-july-22-2012-russian-ambitions-in


*

Mujahideen promo video.

http://www.youtube.com/watch?v=U_m0NqL7Ulc


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Pepe Escobar is the author of Globalistan: How the Globalized World is Dissolving into Liquid War (Nimble Books, 2007) and Red Zone Blues: a snapshot of Baghdad during the surge. His most recent book is Obama does Globalistan (Nimble Books, 2009). He may be reached at pepeasia@yahoo.com

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lundi 23 juillet 2012

5991. DERNIÈRES NOUVELLES DE LA SYRIE. ET AUSSI DE NOTRE MONDE « LIBRE » QUI EST RETOMBÉ DANS SES VIEUX INSTINCTS DE VIOLEURS. QUE VOULEZ-VOUS, IL NE PEUT PAS S'EN EMPÊCHER. C'EST PLUS FORT QUE LUI. .


QUI SE BAT EN SYRIE ?

Thierry Meyssan

23 juillet 2012

http://www.voltairenet.org/Qui-se-bat-en-Syrie,175109

Alors que la presse occidentale présente l’Armée syrienne libre comme une organisation révolutionnaire armée, Thierry Meyssan affirme depuis plus d’un an qu’il s’agit au contraire d’une formation contre-révolutionnaire. Selon lui, elle serait progressivement passée des mains des monarchies réactionnaires du Golfe à celle de la Turquie, agissant pour l’OTAN. Une telle affirmation à contre-courant requiert une démonstration argumentée…
Depuis 18 mois, la Syrie est en proie à des troubles qui n’ont cessé d’augmenter jusqu’à devenir un vaste conflit armé ayant déjà causé la mort d’environ 20 000 personnes.

S’il y a consensus sur ce constat, les narrations et les interprétations divergent au-delà.

Pour les États occidentaux et leur presse, les Syriens aspireraient à vivre à l’occidentale dans des démocraties de marché.

Suivant les modèles tunisien, égyptien et libyen du « printemps arabe », ils se seraient soulevés pour renverser leur dictateur Bachar el-Assad.

Celui-ci aurait réprimé les manifestations dans le sang.

Alors que les Occidentaux auraient souhaité intervenir pour faire cesser le massacre, les Russes et les Chinois, par intérêt ou par mépris de la vie humaine, s’y seraient opposés.

Au contraire, pour tous les États qui ne sont pas vassalisés par les USA et pour leur presse, les États-Unis auraient lancé une opération contre la Syrie qu’ils planifiaient de longue date.

D’abord par le truchement de leurs alliés régionaux, puis directement, ils auraient infiltré des bandes armées qui ont déstabilisé le pays, sur le modèle des Contras du Nicaragua.

Cependant ceux-ci n’auraient trouvé qu’un très faible soutien intérieur et auraient été mis en déroute pendant que la Russie et la Chine aurait empêché l’OTAN d’anéantir l’armée syrienne et de renverser ainsi l’équation régionale.

QUI DIT VRAI ? QUI SE TROMPE ?

Les groupes armés en Syrie ne défendent pas la démocratie, ils la combattent

En premier lieu, l’interprétation des événements syriens comme un épisode du « printemps arabe » est une illusion car ce « printemps » n’a pas de réalité.

C’est un slogan publicitaire pour présenter positivement des faits hétéroclites.

S’il y a bien eu une révolte populaire en Tunisie, au Yémen et au Bahrein, il n’y en a pas eue, ni en Égypte, ni en Libye.

En Égypte, les manifestations de rue se sont limitées à la capitale et à une certaine bourgeoisie, jamais, absolument jamais, le peuple égyptien ne s’est senti concerné par le spectacle télégénique de la place Tahrir [1].

En Libye, il n’y a pas eu de révolte politique, mais un mouvement séparatiste de la Cyrénaïque contre le pouvoir de Tripoli, puis l’intervention militaire de l’OTAN qui a coûté la vie à environ 160 000 personnes.

La station libanaise NourTV a connu un vif succès en diffusant une série d’émissions d’Hassan Hamade et Georges Rahme intitulée « Le printemps arabe, de Lawrence d’Arabie à Bernard-Henri Lévy ». Les auteurs y développent l’idée que le « printemps arabe » est un remake de la «révolte arabe » de 1916-1918 orchestrée par les Britannique contre les Ottomans.

Cette fois, les occidentaux ont manipulé les situations pour renverser une génération de leaders et imposer les Frères musulmans. De fait, le « printemps arabe » relève de la publicité mensongère.

Désormais, le Maroc, la Tunisie, la Libye, l’Égypte, et Gaza sont gouvernés par une confrérie qui d’un côté impose un ordre moral, et de l’autre soutient le sionisme et le capitalisme pseudo-libéral, c’est-à-dire les intérêts d’Israël et des Anglo-Saxons. L’illusion s’est dissipée.

Certains auteurs, comme le Syrien Said Hilal Alcharifi raillent désormais le « printemps otanien».

Deuxièmement, les dirigeants du Conseil national syrien (CNS) comme les commandants de l’Armée syrienne libre (ASL) ne sont aucunement des démocrates, au sens qu’ils seraient favorables à « un gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple », suivant la formule d’Abraham Lincoln reprise dans la Constitution française.

Ainsi, le premier président du CNS fut l’universitaire parisien Burhan Ghalioun. Il n’était aucunement « un opposant syrien persécuté par le régime » puisqu’il venait et circulait librement dans son pays. Il n’était pas non plus un « intellectuel laïque » comme il le prétend, puisqu’il était le conseiller politique de l’Algérien Abbassi Madani, président du Front islamique du salut (FIS), aujourd’hui réfugié au Qatar.

Son successeur, Abdel Basset Syda [2], n’est entré en politique qu’au cours des derniers mois, et s’est immédiatement affirmé comme un simple exécutant des volontés états-uniennes.

Dès son élection à la tête du CNS, il s’est engagé non pas à défendre la volonté de son peuple, mais à appliquer la « feuille de route » que Washington a rédigé pour la Syrie : The Day after.

Les combattants de l’Armée syrienne libre ne sont pas plus des militants de la démocratie.

Ils reconnaissent l’autorité spirituelle du cheikh Adnan al-Arour, un prêcheur takfiriste, qui appelle à renverser et à tuer Bachar el-Assad non pour des motifs politiques, mais uniquement parce qu’il est de confession alaouite, c’est-à-dire hérétique à ses yeux.

Tous les officiers identifiés de l’ASL sont sunnites et toutes les brigades de l’ASL portent des noms de figures historiques sunnites.

Les « tribunaux révolutionnaires » de l’ASL condamnent à mort leurs opposants politiques (et pas seulement les partisans de Bachar el-Assad) et les mécréants qu’ils égorgent en public.

Le programme de l’ASL est de mettre fin au régime laïque installé par le Baas, le PSNS et les communistes au profit d’un régime confessionnel sunnite pur.

LE CONFLIT SYRIEN A ÉTÉ PRÉMÉDITÉ PAR LES OCCIDENTAUX

La volonté occidentale d’en finir avec la Syrie est connue et elle suffit largement à expliquer les événements actuels.

Rappelons ici quelques faits qui ne laissent aucun doute sur la préméditation des événements [3].

La décision de faire la guerre à la Syrie a été prise par le président George W. Bush lors d’une réunion à Camp David, le 15 septembre 2001, juste après les attentats spectaculaires de New York et Washington.

Il était prévu d’intervenir simultanément en Libye pour montrer la capacité d’action sur un double théâtre d’opération. Cette décision a été attestée par le témoignage du général Wesley Clark, ex-commandeur suprême de l’OTAN, qui y était opposé.

Dans la foulée de la chute de Bagdad, en 2003, le Congrès a adopté deux lois donnant instruction au président des États-Unis de préparer une guerre contre la Libye et une autre contre la Syrie (le Syria Accountability Act).

En 2004, Washington a accusé la Syrie de cacher sur son sol les armes de destruction massive que l’on ne parvenait pas à trouver en Irak.

Cette accusation a fait long feu lorsqu’il a été admis que ces armes n’avaient jamais existé et n’étaient qu’un prétexte pour envahir l’Irak.

En 2005, après l’assassinat de Rafik Hariri, Washington a tenté d’entrer en guerre contre la Syrie, mais n’y est par parvenu car elle a retiré son armée du Liban.

Les États-Unis ont alors suscité des faux témoignages pour accuser le président el-Assad d’avoir commandité l’attentat et ils ont créé un tribunal international d’exception pour le juger.

Mais ils ont en définitive été contraints de retirer leurs fausses accusations après que leurs manipulations aient été mises à jour.

En 2006, les États-Unis ont commencé à préparer la « révolution syrienne » en créant le Syria Democracy Program.

Il s’agissait de créer et de financer des groupes d’opposition pro-occidentale (comme le Mouvement pour la Justice et le Développement). Au financement officiel du département d’État s’est ajouté un financement secret de la CIA via une association californienne, le Democracy Council.

Toujours en 2006, les États-Unis ont sous-traité à Israël une guerre contre le Liban, dans l’espoir d’y impliquer la Syrie et de pouvoir intervenir. Mais la rapide victoire du Hezbollah a fait échouer ce plan.

En 2007, Israël a attaqué la Syrie, bombardant une installation militaire (Opération Orchard).

Mais là encore, Damas a gardé son sang-froid et ne s’est pas laissé entraîné dans la guerre.

Des vérifications ultérieures de l’Agence internationale de l’énergie atomique ont montré qu’il ne s’agissait pas d’un site nucléaire, contrairement à ce qui avait été affirmé par les Israéliens.

En 2008, lors de la réunion que l’OTAN organise annuellement sous le titre Groupe de Bilderberg, la directrice de l’Arab Reform Initiative, Bassma Kodmani, et le directeur de la Stiftung Wissenschaft und Politik, Volker Perthes, exposèrent brièvement au Gotha américano-européen les avantages économiques, politiques et militaires d’une possible intervention de l’Alliance en Syrie.

En 2009, la CIA a mis en place des outils de propagande à destination de la Syrie comme la chaîne BaradaTV, basée à Londres, et OrientTV basée à Dubai.

À ces éléments historiques, ajoutons qu’une réunion s’est tenue au Caire, la seconde semaine de février 2011, autour de John McCain, Joe Lieberman et Bernard-Henry Lévy, des personnalités libyennes comme Mahmoud Jibril (alors numéro 2 du gouvernement de la Jamahiriya) et des personnalités syriennes comme Malik al-Abdeh et Ammar Qurabi.

C’est cette réunion qui donna le signal des opérations secrètes qui débutèrent à la fois en Libye et en Syrie (le 15 février à Benghazi et le 17 à Damas).

En janvier 2012, les départements US d’État et de la Défense constituèrent le groupe de travail The Day After. Supporting a democratic transition in Syria qui rédigea à la fois une nouvelle constitution pour la Syrie et un programme de gouvernement [4].

En mai 2012, l’OTAN et le CCG mirent en place le Working Group on Economic Recovery and Development of the Friends of the Syrian People, sous co-présidence allemande et émiratie.

L’économiste syro-britannique Ossam el-Kadi y élabora un partage des richesses syriennes entre les États membres de la coalition, à appliquer le « jour d’après » (c’est-à-dire après le renversement du régime par l’OTAN et le CCG) [5].

RÉVOLUTIONNAIRES OU CONTRE-RÉVOLUTIONNAIRES ?

Les groupes armés ne sont pas issus des manifestations pacifiques de février 2011.

Ces manifestations dénonçaient en effet la corruption et réclamaient plus de libertés, tandis que les groupes armés —nous l’avons vu plus haut— ressortent de l’islamisme.

Au cours des dernières années, une terrible crise économique a frappé les campagnes. Elle était due aux mauvaises récoltes, qui ont été à tort appréhendées comme des malheurs passagers alors qu’elles étaient la conséquence de changements climatiques durables.

À cela se sont ajoutées des erreurs dans la mise en œuvre de réformes économiques qui ont désorganisé le secteur primaire.

Il s’en est suivi un fort exode rural auquel le gouvernement a su faire face, et une dérive sectaire de certains paysans que le pouvoir a négligé.

Dans de nombreuses régions, l’habitat rural n’était pas concentré en villages, mais dispersé sous forme de fermes isolées, personne n’a mesuré l’ampleur du phénomène jusqu’à ce que ses adeptes se regroupent.

En définitive, alors que la société syrienne incarne le paradigme de la tolérance religieuse, un courant takfiriste s’est développé en son sein.

Il a fourni la base des groupes armés. Ceux-ci ont été richement financés par les monarchies wahhabites (Arabie saoudite, Qatar, Sharjjah).

Cette manne a suscité le ralliement de nouveaux combattants parmi lesquels on trouve des parents de victimes de la répression massive du sanglant coup d’État manqué des Frères musulmans, en 1982. Leur mobile est souvent moins idéologique que personnel. Il ressort de la vendetta.

De nombreux voyous et repris de justice appâtés par l’argent facile se sont ajoutés :

un « révolutionnaire » est payé 7 fois le salaire moyen.

Enfin, des professionnels ayant combattu en Afghanistan, Bosnie, Tchétchénie ou Irak ont commencé à affluer.

Au premier rangs desquels les hommes d’Al Qaida en Libye, conduits par Abdelhakim Belhaj en personne [6].

Les médias les présentent comme des jihadistes, ce qui est inapproprié, l’islam ne concevant pas de guerre sainte contre des coreligionnaires.

Ce sont avant tout des mercenaires.

La presse occidentale et du Golfe insiste sur la présence de déserteurs dans l’ASL.

C’est certain, mais il est par contre faux qu’ils aient fait défection après avoir refusé de réprimer des manifestations politiques. Les déserteurs en question rentrent presque toujours dans les cas que nous avons précédemment cités.

Au demeurant, une armée de 300 000 hommes a forcément parmi elle ses fanatiques religieux et ses voyous.

Les groupes armés utilisent un drapeau syrien à bande verte (au lieu de la bande rouge) et à trois étoiles (au lieu de deux).

La presse occidentale le qualifie de « drapeau de l’indépendance », car il était en vigueur au moment de l’indépendance du pays, en 1946.

En réalité, il s’agit du drapeau du mandat français qui resta en vigueur lors de l’indépendance formelle du pays (1932 à 1958). Les trois étoiles représentent les trois districts confessionnels du colonialisme (alaouite, druze et chrétien). Utiliser ce drapeau, ce n’est certainement pas brandir un symbole révolutionnaire. Au contraire, c’est affirmer vouloir prolonger le projet colonial, celui de l’Accord Sykes-Picot de 1916 et du remodelage du « Moyen-Orient élargi ».

Au cours des 18 mois d’action armée, ces groupes armés se sont structurés et plus ou moins coordonnés.

En l’état actuel, la grande majorité sont passés sous commandement turc, sous le label Armée syrienne libre.

De fait, ils sont devenus des supplétifs de l’OTAN, le quartier général de l’ASL étant même installé sur la base aérienne de l’OTAN à Incirlik.

Les islamistes les plus durs ont formé leurs propres organisations ou ont rejoint al-Qaida.

Ils sont sous le contrôle du Qatar ou de la branche sudeiri de la famille royale saoudienne [7].

De facto, ils sont rattachés à la CIA.

Cette constitution progressive, qui part de paysans pauvres pour se terminer avec un afflux de mercenaires, est identique à ce que l’on a connu au Nicaragua lorsque la CIA organisa les Contras pour renverser les sandinistes, ou que l’on avait connu à Cuba lorsque la CIA organisa le débarquement de la Baie des cochons pour renverser les castristes.

Précisément, c’est de ce modèle que les groupes armés syriens se revendiquent aujourd’hui : en mai 2012, les Contras cubains ont organisé à Miami des séminaires de formation à la guérilla contre-révolutionnaire pour leurs homologues syriens [8].

Les méthodes de la CIA sont partout les mêmes.

Ainsi les Contras syriens ont concentré leur action militaire d’une part sur la création de bases fixes (mais aucune n’a tenu, même pas l’Émirat islamique de Baba Amr), puis sur le sabotage de l’économie (destruction des infrastructures et incendie des grandes usines), enfin sur le terrorisme (déraillement de trains de passagers, attentats à la voiture piégée dans des sites fréquentés, assassinat de leaders religieux, politiques et militaires).

Par conséquent, la partie de la population syrienne qui pouvait avoir de la sympathie pour les groupes armés au début des événements, pensant qu’ils représentaient une alternative au régime actuel, s’en sont progressivement désolidarisés.

Sans surprise, la bataille de Damas a consisté à faire converger vers la capitale les 7 000 combattants dispersés dans le pays et des armées de mercenaires en attente dans les pays limitrophes.

Des dizaines de milliers de Contras ont tenté de pénétré le pays.

Ils se sont déplacés simultanément en nombreuses colonnes de pick-up, préférant traverser les déserts que prendre les autoroutes.

Une partie d’entre eux a été stoppée par des bombardements aériens et a du rebrousser chemin.

D’autres après s’être emparés de postes-frontière sont parvenus à la capitale.

Il n’y ont pas trouvé le soutien populaire escompté. Au contraire, ce sont les habitants qui ont guidé les soldats de l’Armée nationale pour les identifier et les déloger.

Au final, ils ont été contraints de battre en retraite et ont annoncé qu’à défaut de prendre Damas, ils prendraient Alep.

Au demeurant, cela montre qu’ils ne sont ni des Damascènes en révolte, ni des Alepains, mais des combattants itinérants.

INFILTRATION DE CONTRAS VIA LE DÉSERT PRÈS DE DERA

L’impopularité des groupes armés doit être comparée avec la popularité de l’Armée régulière et des milices d’auto-défense.

L’Armée nationale syrienne est une armée de conscription, c’est donc une armée populaire, et il est impensable qu’elle puisse servir à une répression politique.

Depuis peu, le gouvernement a autorisé la constitution de milices de quartiers.

Il a distribué des armes aux citoyens qui se sont engagés à consacrer chaque jour 2h de leur temps pour défendre leur quartier, sous encadrement militaire.

DES VESSIES POUR DES LANTERNES

En son temps, le président Reagan rencontra quelques difficultés pour présenter ses Contras comme des « révolutionnaires ».

Il créa pour cela une structure de propagande, le Bureau de la diplomatie publique, dont il confia la direction à Otto Reich [9].

Celui-ci corrompit des journalistes dans la plupart des grands médias US et ouest-européens pour intoxiquer le public.

Il lança entre autres une rumeur selon laquelle les sandinistes disposaient d’armes chimiques et risquaient de les utiliser contre leur propre peuple.

Aujourd’hui la propagande est dirigée depuis la Maison-Blanche par le conseiller de sécurité nationale adjoint chargé des communications stratégiques, Ben Rhodes.

Il applique les bonnes vieilles méthodes et a ressorti contre le président el-Assad la rumeur des armes chimiques.

En collaboration avec le MI6 britannique, Rhodes a réussi à imposer comme principale source d’information des agences de presse occidentales une structure fantôme : l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH).

Les médias n’ont jamais questionné la crédibilité de cette signature, alors même que ses affirmations ont été démenties par les observateurs de la Ligue arabe et par ceux des Nations Unies.

Mieux, cette structure fantôme, qui n’a ni locaux, ni personnel, ni expertise, est également devenue la source d’information des chancelleries européennes depuis que la Maison-Blanche les a convaincues de retirer leur personnel diplomatique de Syrie.

Ben Rhodes a également organisé des spectacles pour journalistes en mal d’émotions.

Deux tours operators ont été mis sur pied, l’un au cabinet du Premier ministre turc Erdogan et le second au cabinet de l’ex-Premier ministre libanais Fouad Siniora. Les journalistes qui le souhaitaient étaient invités à entrer illégalement avec des passeurs en Syrie. On offrait durant des mois un voyage depuis la frontière turque dans un village témoin situé en montagne. On pouvait y réaliser des séances photos avec des « révolutionnaires » et « partager le quotidien des combattants ». Puis, pour les plus sportifs, on pouvait depuis la frontière libanaise aller visiter l’Émirat islamique de Baba Amr.

Fort étrangement, nombre de journalistes ont observé eux-mêmes d’énormes falsifications, mais ils n’en ont tiré aucune conclusion.

Ainsi, un célèbre reporter-photographe a filmé les « révolutionnaires » de Baba Amr brûler des pneus pour dégager de la fumée noire et faire accroire à un bombardement du quartier.

Il a diffusé ces images sur Channel4 [10], mais a continué à affirmer qu’il avait été témoin du bombardement de Baba Amr relaté par l’Observatoire syrien des Droits de l’homme.

Ou encore, le New York Times a relevé que des photos et vidéos transmises par le service de presse de l’Armée syrienne libre et montrant de valeureux combattants étaient des mises en scène [11]. Les armes de guerre étaient en réalité des répliques, des jouets pour enfants.

Le quotidien a néanmoins continué à croire en l’existence d’une armée de déserteurs de près de 100 000 hommes.

Selon un schéma classique, les journalistes préfèrent mentir que reconnaître qu’ils se sont fait manipuler.

Une fois bernés, ils participent donc consciemment au développement du mensonge qu’ils ont découvert.

Reste à savoir si vous, lecteurs de cet article, préférerez aussi fermer les yeux ou si vous déciderez de soutenir le peuple syrien contre l’agression des Contras.

Thierry Meyssan

*

[1] La place Tahrir n’est pas la plus vaste du Caire. Elle a été choisie pour des raisons de marketing, le mot Tahrir se traduisant dans les langues européennes par Liberté. Ce symbole n’a évidemment pas été choisi par les Égyptiens, car il existe plusieurs mots en arabe pour désigner la Liberté. Or, Tahrir indique la Liberté que l’on reçoit, pas celle que l’on acquiert.

[2] La presse occidentale a pris l’habitude d’orthographier le nom de M. Syda en ajoutant un « a », en « Sayda », de manière à éviter la confusion avec la maladie du même nom. Ndlr

[3] Le terme « préméditation » s’emploie normalement en droit criminel. En matière politique, le terme adéquat est « complot », mais l’auteur s’est abstenu de l’utiliser car il suscite une réaction hystérique de la part de ceux qui s’appliquent à faire croire que la politique occidentale est transparente et démocratique. Ndlr

[4] « Washington a rédigé une nouvelle constitution pour la Syrie », Réseau Voltaire, 21 juillet 2012.

[5] « Les « Amis de la Syrie » se partagent l’économie syrienne avant de l’avoir conquise », par German Foreign Policy, traduction Horizons et débats, Réseau Voltaire, 14 juin 2012.

[6] « L’Armée syrienne libre est commandée par le gouverneur militaire de Tripoli », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 18 décembre 2011.

[7] Pour plus de détails, lire « La Contre-révolution au Proche-Orient », par Thierry Meyssan, Komsomolskaïa Pravda/Réseau Voltaire, 11 mai 2011.

[8] « L’opposition syrienne prend ses quartiers d’été à Miami », par Agence Cubaine de Nouvelles, Jean Guy Allard, Réseau Voltaire, 25 mai 2012.

[9] « Otto Reich et la contre-révolution », par Arthur Lepic, Paul Labarique, Réseau Voltaire, 14 mai 2004.

[10] « Syria’s video journalists battle to telle the ’truth’ », Channel4, 27 mars 2011.

[11] “Syrian Liberators, Bearing Toy Guns”, par C. J. Chivers, The New York Times, 14 juin 2012.

http://www.nytimes.com/2012/06/15/world/middleeast/video-shows-syrian-opposition-fighters-with-toy-guns.html?_r=1

(cité par le journaliste du NYT)

https://www.youtube.com/watch?v=yQBAzjU7W9U
http://www.jihadica.com/

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Image. Un des robots de Star Wars

Site de Tonio Lagoule. Tests de Jeux Consoles et PC, Critiques de Films, Analyses et autres billevesées

https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhK6yZd1tRta2eqpBBIE_3-9Bvx3Jt_WSNq_W3UCzdMMt9OgdrfaGMzqL3av4dMS_j3NHj2XQp4clAKGH8JjfuNXAoP47exqznvEYNuEtWtni8Az_RxcCVc8axgVr4p6X2LIsOC0OSBW78-/s1600/sw_c3po.JPG

http://toniolagoule.blogspot.ca/2010_06_01_archive.html

5990



Image. http://www.wiseshe.com/2012/07/loccitane-ultra-riche-visage-facial-soap-review.html

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Douteur je doute. On ne doute jamais assez. Tout ce qu'on vous dit est faux. Tout ce que vous savez est faux. Parce que tout ce qu'on vous dit est faux. Mais il se peut qu'une partie de ce que savez soit vraie mais laquelle? Le professeur Bulle a parlé. Ou pensé quelque chose. Ou eut une émotion quelconque. Le professeur Bulle pense quelques fois par année donc il lui arrive d'être. Mais pas souvent!

5989. A-TRAK FEAT. CYHI DA PRYNCE - RAY-BAN VISION

A-TRAK. FEAT. CYHI DA PRYNCE - RAY-BAN VISION


http://www.youtube.com/watch?v=F7RzYCHYIts

Current HipHop.com



5988. NOS AMIS LES RICHES ONT DES SOUCIS. NOUS TIRERONS DONC AU SORT PARMI EUX UN ABONNEMENT GRATUIT AU CLUB DU KLEENEX DU MOIS QUI LEUR PERMETTRA DE RECEVOIR TOUS LES MOIS UN APPROVISIONNEMENT GRATUIT. QUAND ON N'A PLUS QUE SES YEUX POUR PLEURER, IL EST BON QUE CE SE SOIT DANS UN TISSUS CONFORTABLE ET DOUX. MAIS ÉCOLOGIQUE, ÉQUITABLE ET RECYCLÉ. ON N'EST PAS DES BÊTES QUAND MÊME !


INSTEAD OF SPELLING DISASTER, THE FINANCIAL COLLAPSE OFFERS A UNIQUE OPPORTUNITY TO FIX ALL OF AMERICA’S ILLS.

HANG 'EM HIGH!

By Israel Shamir

http://www.israelshamir.net/English/Hang.htm

Seven years after 9/11, we witness another, greater and even more enjoyable collapse, that of the American financial pyramid. It took some twenty years in building; its collapse took only a few weeks. Let us cut the hypocritical crap: this was a wonderful show, no ifs, ands or buts. The US stock markets boomed when they bombed Baghdad and Belgrade, they prospered when they robbed Moscow and squeezed sweat from Beijing. When they had it good, they had plenty of money for invading Iraq, threatening Iran and strangling Palestine. In short, when it was good for them, it was bad for us. Let them have a taste of their own medicine!

“They” are not the Americans, and “we” are not the rest of the planet. “They” are a small sliver of the American population, the get-rich-quick crowd from the East Side of Manhattan and similar places. The last twenty years witnessed a great shift of money upwards, to a smaller and smaller pack of greedy beasts. While the majority of Americans lost the ability to send their children to universities, these fat cats bought themselves villas in Florida and houses in Tel Aviv. Worse, they spent their billions buying up the media in order to subvert American democracy and send American soldiers to fight wars in far-away places. A big part of the stolen money was siphoned off to Israel, where apartment prices went through the roof and are still rising.

They had it good; they were proud that the financial charts of the US and of the world were drawn up in a small room by Henry Paulson of the Treasury, Ben Bernanke and Alan Greenspan of the Federal Reserve, by Maurice Greenberg of A.I.G. They built their world surrounded by Lehman Brothers, Merrill Lynch, Goldman Sachs, Marc Rich, Michael Milken, Andrew Fastow, George Soros, et al. Their exciting new world of Lexus and Nexus was glorified by Tom Friedman of the New York Times. They gave the Nobel Prize in Economics to Myron Scholes and Robert C. Merton, proud board directors of the now infamous Long Term Capital Management hedge fund that was bailed out by the Federal Reserve Bank of New York to the tune of $3.6 billion. President Bush rewarded them for their unaccountability by releasing them from the burden of taxation. Let them pay now for all the fun they had.

They took your real dollars and turned it into funny money -- “unredeemable, non-interest-bearing promissory notes of the Fed, that are not backed by anything other than the confidence of the credulous”, in the words of one Internet wit. The ruination of the American working class and even its middle class is unavoidable The fears about the Large Hadron Collider creating a big black hole in place of Earth were based on this sinking feeling that the incredible riches of the US are disappearing into their own black hole.

This is not the first confidence trick in US history: Jay Gould and Joseph Seligman caused the 'Black Friday' stock market crash in the late 19th century, while Jacob Schiff caused the notorious ‘Black Thursday’ panic that led to a nationwide economic depression[1]. Seligman was also the mover behind the Panama affair, a stock market swindle that became proverbial in France. The swindle was set up by two Jews of German origin, Jacques Reinach and Cornelius Herz who bribed parliamentarians. While Reinach was working on the right wing, the ‘Republicans’ of his day, Herz was working on the ‘Democrats’. Wikipedia quotes Hannah Arendt, who wrote that the middlemen between the business sector and the state were almost exclusively Jews. This warm embrace between the state and the business sector was a recipe for disaster.

Obviously things have changed since then, and now the Mammonites are of various persuasions, even of Christian Science, like Hank Paulson, whose net worth is estimated at $700 million and whose career at Goldman Sachs (Chairman 1998-2006) made him the obvious choice for the position of secretary of the treasury. Only their devotion to the god of Greed remained constant. In the world of ideal capitalism (“market economy”) they so glorified, they would have paid a price. In Glen David Gold’s vastly entertaining novel Carter Beats the Devil, their spiritual ancestor was tarred and feathered by strong-willed Connecticut folk circa 1670, for he had bought a whole boatload of imported products with the criminal intent of getting rich quick by cornering the market and ripping off his fellow men. Nowadays such a criminal would get a medal from the neo-liberal Milton Friedman Fund, a citation from JINSA and be taught as a positive example by the Harvard Business School.

Now they intend to use their control over the government in order to shift their losses onto ordinary Americans. Whether this act is called ‘nationalisation’ or ‘privatisation’ or ‘bailout’, the bottom line is that many Americans will find themselves poor, and all Americans will have a huge tax burden to bear. But the perpetrators of the pyramid will get off scot-free; they will retire to their castles and to their sure and protected investments as they have always done before.

The Americans were played for suckers; they were cleaned out as easily as were the unsophisticated Albanians a few years ago. Even worse: the Albanians took out their guns and pursued the robbers; the Americans take it all lying down. But the device was the same.

The Americans are entitled to know who robbed them and their children: these are the men who became so ostentatiously rich during last two decades. They should pay the price of their crime. And if the government, the President, the Congress and Senate, the Democrats and the Republicans are reluctant to enforce it, the ordinary Americans may do as their Connecticut Yankee ancestors did: apply tar and feathers liberally. If this does not help, hang the bastards on the lamp posts.

This is exactly the time to remember why America’s Founding Fathers enshrined the people’s right to own and bear arms in the Second Amendment to the Constitution. Thank God the ADL did not cancel it yet. These arms are not for robbers: they are given to enforce justice when all other means fail. Aux armes, to arms, as the French said when giving this treatment to their tricksters. America has a great tradition of instant direct justice enforcement, this Hang’em High call of the Westerns. Heed it now!

Let US soldiers come back from unneeded wars and remote bases all over the world: their real enemy is in their own country. In the ringing, still relevant words of Lenin, let us turn the imperial war into a civil one, against the greedy bastards. Instead of charging taxpayers, turn the US into a billionaire-free zone! The billionaires, these greediest rats, gained most from the Great Pyramid; pauperise them. Nullify their bank accounts. The disappearance of trillions of dollars from their electronic bank accounts will drive the value of the greenback up; your salary will become real money again!

If we assume that more than half of all billionaires are proud members of the Israel Lobby, it will also solve the Middle Eastern problem. To be on the safe side, confiscate all the assets of the Pyramid-builders: of Paulson and Bernanke, of Merrill Lynch and Goldman Sachs executives, and of President Bush who allowed it all to happen. Peace will come to Palestine, Afghanistan and Iraq; Americans will again become proud of their country. Such mass confiscation will restore democracy in the US: the next candidates for the Presidency will not go hat in hand to AIPAC to declare their fealty. The defeat of Greed will turn people back to God; the eliminated ballast will allow for national medical care, social security and free education for all. Instead of being a disaster, the financial collapse offers a unique opportunity to fix all America’s ills. Do not miss it!

Speaking for the wide world outside America, I’ll tell you this: do not throw good money after bad. Reject the seductive purring from Washington. Consider your funds in the US already lost. If you can still get something, good; but do not waste money and efforts to regain what is gone. There is a most valuable asset you may get for the lost ones; that is your freedom and independence. An undermined dollar means your economy will be safe. The Pyramid collapse will set you free!

[1] Benjamin Ginsberg, The Fatal Embrace: Jews and the State, University of Chicago Pres, Chicago 1993, p 73

*
GIBIER DE POTENCE
L’EFFONDREMENT DE LA GRANDE PYRAMIDE

25 septembre 2008

Israël Shamir

Traduit de l’anglais par Marcel Charbonnier

http://www.israelshamir.net/French/Gibier.htm

Au lieu d’annoncer un désastre, l’effondrement financier offre une occasion unique de soigner tous les maux de l’Amérique. Une occasion à ne pas rater !

Sept ans après les attentats du 11 septembre, nous assistons derechef à un effondrement, plus grandiose et encore plus jouissif - celui de la pyramide financière américaine.

Il avait fallu deux décennies pour la construire ; son effondrement n’a nécessité que quelques semaines.

Coupons court aux pleurnicheries hypocrites : c’est là un show magnifique. Pas de regrets, pas de «mais»

Les bourses des valeurs américaines avaient flambé tandis que les Etats-Unis bombardaient Bagdad et Belgrade, elles avaient prospéré tandis qu’ils dévalisaient Moscou et qu’ils pressaient Pékin comme un citron pour en extraire les dernières gouttes de sueur.

Tant qu’ils se payaient du bon temps, ils n’en avaient que davantage de fric pour envahir l’Irak, menacer l’Iran et étrangler la Palestine.

En résumé : quand c’était «bon pour eux», c’était mauvais pour nous.

Rendons-leur, pour une fois, la monnaie de leur pièce, et faisons-leur avaler leur propre potion amère…

Quand je dis « rendons-leur », je veux dire « à eux précisément », ici, et non pas les Américains, et quant au « nous », ce ne sont pas tous les autres habitants de notre chère planète.

Non : « eux », c’est une minuscule pellicule de la population américaine, c’est la bande d’opulents enrichis du jour au lendemain de la côte Est, à Manhattan et autres hauts-lieux de la finance.

Ces vingt dernières années, nous avons assisté à un grand transfert d’argent vers le haut, vers un quarteron extraordinairement exclusif et restreint d’animaux voraces.

Alors que la majorité des Américains perdaient la possibilité d’envoyer leurs enfants dans les universités, ces gros matous se payaient de luxueuses villas en Floride et des immeubles de rapport à Tel Aviv.

Pire : ils ont dépensé des milliards pour acheter les médias, afin de subvertir la démocratie américaine et d’envoyer des soldats américains faire la guerre aux antipodes.

Une grande partie de l’argent ainsi volé a été soustraite à l’économie américaine et siphonnée vers Israël, où les prix de l’immobilier ont crevé le plafond, et où ils n’ont d’ailleurs pas fini de monter.

Bien fait pour leurs tronches : ils étaient extrêmement fiers de savoir les chartes financières des Etats-Unis et du monde entier écrites dans un petit bureau réservé à Henry Paulson (du Trésor), à Ben Bernanke et à Alan Greenspan (de la Réserve fédérale), à Maurice Greenberg de l’A.I.G...

Ils s’étaient construit leur monde à part, entourés des Lehman Brothers, de Merrill Lynch, de Goldman Sachs, Marc Rich, Michael Milen, Andrew Fastow, George Soros et consorts. Leur nouveau monde de Lexus et Nexus était glorifié par Tom Friedman, du New York Times.

N’ont-ils pas décerné le Prix Nobel d’économie à Myron Scholes et à Robert C. Merton, les fiers PDG d’un fonds de placement à la réputation désormais infamante, le Long Term Capital Management Hedge Fund, qui a été racheté par la Réserve Fédérale de New York pour non moins de 3,6 milliards de dollars ?

Le président Bush les a récompensés de leur irresponsabilité en les exonérant d’impôts.

Alors, aujourd’hui : qu’ils crachent au bassinet ! Qu’ils paient pour tout le bon temps qu’ils se sont payés!

Ils ont raflé vos dollars sonnants et trébuchants, et ils en ont fait de la monnaie de singe, en les transformant en assignats non convertibles, ne dégageant aucun intérêt, de la Banque Fédérale, gagés uniquement sur la confiance des « gogos », pour reprendre les termes d’un internaute avisé.

La ruine des ouvriers américains (et même de la classe moyenne américaine) est inéluctable.

La grande peur autour du grand accélérateur de particules hadrons de Genève, supposé capable de créer un trou noir avalant la planète Terre toute entière était [sans doute inconsciemment] fondée sur une sensation d’être aspirés par le fond, celle-là même que génère le spectacle des ultra-riches américains en train de disparaître, avalés par leur trou noir financier.

Ce n’est certes pas la première entourloupe à base de confiance trahie de l’Histoire : ainsi, Jay Gould et Joseph Seligman avaient provoqué le crack boursier du « Vendredi Noir », à la fin du XIXème siècle.

Jacob Schiff, lui, provoqua la célèbre panique financière du « Jeudi Noir », qui entraîna une dépression économique d’ampleur nationale [1].

Seligman avait déjà été le deus ex-machina du scandale de Panama, une escroquerie boursière devenue proverbiale, en France. L’escroquerie avait été montée par deux juifs d’origine allemande, Jacques Reinach et Cornelius Herz, qui avaient acheté les députés français. Tandis que Reinach s’occupait des députés de droite, l’équivalent français des « Républicains » américains, Herz se chargeait d’acheter les « Démocrates ».

L’encyclopédie en ligne sur Internet Wikipédia cite la philosophe Hanna Arendt, qui a écrit à ce sujet que les hommes assurant l’interface entre le secteur privé et l’Etat étaient quasi-exclusivement des juifs.

C’est cette étreinte torride entre l’Etat et le monde du business qui fut la recette assurée du désastre.

Manifestement, les choses ont changé, depuis lors. Aujourd’hui, les Mammonites sont membres de diverses confessions religieuses, y compris des adeptes de la Christian Science comme Hank Paulson, dont le revenu annuel net est estimé à 700 millions de dollars et dont la carrière chez Goldman Sach (dont il a été le président de 1998 à 2006) a fait de lui le candidat qui allait de soi pour le poste de Secrétaire au Trésor américain.

Seule, leur dévotion au dieu de la Rapacité n’a pas changé. Dans un monde capitaliste idéal, dans le monde de l’ « économie de marché » qu’ils n’ont cessé de célébrer, ils devraient normalement payer les pots cassés.

Dans le roman extrêmement divertissant de Glen David Gold, « Carter bat le Diable » [Carter Beats the Devil], leur ancêtre spirituel se voit condamné au goudron et aux plumes par le peuple vigoureux du Connecticut, autour de l’an de grâce 1670, pour avoir acheté toute une cargaison de produits importés dans l’intention malhonnête de devenir riche du jour au lendemain en s’emparant des marchés et en saignant à blanc ses concitoyens.

Aujourd’hui, un tel malfaiteur recevrait la médaille du Fonds néolibéral Milton Friedman, il serait cité au tableau d’honneur du Jinsa, cette boîte à idées à l’intitulé évocateur d’ « Institut juif pour les Questions de Sécurité nationale » (Jewish Institute for National Security Affairs) et la prestigieuse Harvard Business School le citerait en exemple…

Aujourd’hui, ils ont l’intention d’utiliser leur contrôle sur le gouvernement américain pour faire payer les pots cassés au peuple américain.

Que l’on qualifie cette manœuvre de « nationalisation », de « privatisation » ou de « rachat », le résultat des courses sera qu’un nombre énorme d’Américains vont se retrouver sur la paille, et que tous les Américains crouleront sous le poids des impôts.

Quant aux organisateurs de la pyramide financière, ils joueront des flûtes : ils se retireront dans leurs manoirs douillets pour gérer en toute quiétude leurs investissements hyper-protégés, en béton, comme ils l’ont toujours fait.

On s’est foutu de la gueule des Américains ; on les a dévalisés tout aussi facilement que des Albanais peu au fait des questions financières, voici de cela quelques années.

C’est même pire : les Albanais avaient décroché leurs tromblons à gros sel et ils avaient pourchassé les voleurs ; les Américains, eux, s’aplatissent, et ils tendent l’autre joue.

Les Américains ont le droit de savoir qui les a dévalisés, eux et leurs enfants : ce sont ces hommes qui se sont enrichis d’une manière tellement ostentatoire durant ces vingt dernières années. Il faut que ces gens-là paient leur forfaiture.

Et si le gouvernement, le président, le Congrès et le Sénat, les Démocrates et les Républicains traînent les pieds pour faire passer la justice, les citoyens américains ordinaires ont tout-à-fait la possibilité de faire ce que leurs ancêtres yankees du Connecticut avaient fait : ils peuvent les tartiner généreusement de goudron et les rouler dans le duvet de quelques polochons. Si ça ne suffit pas : accrochez ces salauds aux lampadaires !

Est-ce que ce n’est pas là, en l’occurrence, l’occasion ou jamais de se souvenir pour quelle raison précise les Pères Fondateurs de l’Amérique ont gravé dans le marbre du Deuxième Amendement de leur constitution le droit des gens à posséder et à porter des armes. Grâce à Dieu, il n’a pas encore été supprimé.

Ces armes, ce n’est pas aux voleurs de s’en servir mais au peuple, quand les autres moyens ne marchent pas. Aux armes ! Comme disaient les Français en se ruant sur les escrocs.

L’Amérique a une grande tradition d’application directe et immédiate de la justice, leur mot d’ordre du grand Ouest : « pendez-les haut et court ! » C’est le moment ou jamais.

Faisons rentrer les soldats américains d’une guerre totalement inutile, et supprimons les bases militaires américaines dans le monde entier : le véritable ennemi des Américains est chez eux, aux Etats-Unis.

Pour reprendre les paroles de Lénine, qui résonnent toujours, et restent d’actualité, transformons la guerre impérialiste en une guerre civile, contre ces bâtards cupides !

Au lieu de pressurer les contribuables, faisons des Etats-Unis une zone ‘milliardaire-free’. Les milliardaires, ces rats de la pire rapacité, se sont fait des couilles en or avec leur Grande Pyramide : mettons-les sur la paille !

Vidons leurs comptes bancaires numérotés !

La disparition de trillions de dollars de leurs comptes bancaires numérisés fera remonter la valeur du billet vert ; et vous, vous toucherez vos salaires en argent réel, et non plus en monnaie de singe.

Et, cerise sur le gâteau, étant donné que plus de la moitié de tous les milliardaires du globe sont des membres revendiqués du lobby israélien, cela résoudra par la même occasion les problèmes du Moyen-Orient.

Pour plus de sûreté, confisquez tous les avoirs des bâtisseurs de Pyramide financière : ceux de Paulson et de Bernanke, ceux des PDG de Merrill Lynch et de Goldman Sachs, sans oublier ceux du président George Deubeuliou Bush, qui a fermé les yeux sur tout ça.

La paix reviendra, ou plus exactement adviendra, en Palestine, en Afghanistan et en Irak ; les Américains pourront, à nouveau, être fiers de leur pays.

Une telle auto-restitution massive réinstaurera la démocratie aux Etats-Unis : les prochains candidats à la présidence n’iront plus, chapeau à la main, déclarer leur féauté devant le congrès de l’Aipac.

La défaite de la rapacité permettra au peuple de se tourner vers Dieu ; le ballast balancé par-dessus bord permettra d’apporter à tous les citoyens la sécurité sociale, les soins médicaux et l’éducation gratuite.

Ainsi, bien loin d’être une catastrophe, l’effondrement financier offre une opportunité unique de guérir tous les maux de l’Amérique ! Une occasion à ne manquer sous aucun prétexte !

Quant à vous, citoyens du monde entier en-dehors de l’Amérique, permettez-moi de vous donner un conseil : ne jetez pas par les fenêtres un argent honnêtement gagné pour, soi-disant, sauver la monnaie de singe.

Rejetez les ronronnements séducteurs venant de Washington. Considérez que vos dépôts aux Etats-Unis sont d’ores et déjà foutus.

Si vous en obtenez quand-même un petit quelque-chose : tant mieux ! Mais ne gaspillez ni votre argent, ni vos efforts, dans l’espoir vain de récupérer ce qui est, de toute manière, déjà parti en fumée.

Il y a un avoir d’une valeur inestimable, que vous pouvez obtenir en échange de vos placements bidonnés : votre liberté, et votre indépendance.

Le dollar effondré, cela veut dire que votre économie sera sauvée.

L’effondrement de la Pyramide financière américaine vous rendra libres !

[1] Benjamin Ginsberg, The Fatal Embrace: Jews and the State, University of Chicago Pres, Chicago 1993, p 73.

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Image. Geluck. Le Chat. Casterman


http://media.paperblog.fr/i/182/1829340/largent-etats-L-9.jpeg

http://www.paperblog.fr/1829340/l-argent-dans-tous-ses-etats/

http://www.lactualaloupe.com/?p=1330



dimanche 22 juillet 2012

5987. MOYENS DE CONTRACEPTIONS TRADITIONNELS (MODERNISÉS)

Photo. Lucas Jackson. Reuters


An Afghan National Security Force soldier carries a machine gun during a mission to improve the biological database of men in Afghanistan's Paktiya Province July 12, 2012.

http://www.cbc.ca/news/world/story/2012/07/22/afghan-nato-troops.html

5986. UNE DES CAUSES DE LA GUERRE EST LA SURPOPULATION CE QUI OBLIGE LA NATURE A RENDRE FOU LES HUMAINS EN SURNOMBRE PUISQUE ÇA PREND TROP DE TEMPS DE LES LAISSER MOURIR DE FAIM ET DE SOIF COMME LES LAPINS AUTRALIENS UNE FOIS QU'ILS AURONT DÉTRUIT TOUTES LEURS RESSOURCES ET LEUR ENVIRONNEMENT

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AFRICAN VIEWPOINT: SHOULD BIRTH CONTROL BE MANDATORY?
THE UN ESTIMATES NIGERIA'S POPULATION COULD GROW FROM 160M TO 400M BY 2050

11 July 2012


http://www.bbc.co.uk/news/world-africa-18781723

In our series of viewpoints from African journalists, Sola Odunfa in Lagos gives Nigeria's President Goodluck, the leader of Africa's most populous nation, some advice about birth control.

I have always wondered how many children a man or woman should have, and my conclusion each time has rested on the Lagos slang:
"It's a matter of cash".

If you are rich you may have as many as the late Sir Olateru Olagbegi, the highly revered traditional ruler of Owo in western Nigeria, had.

His children swear that he sired 70 - unassisted. And they all are successful in their various callings.
On the other hand if you are a "common" man or woman, that is you do not own a house and car and you must seek an appointment before you may see your bank manager, you must limit your family size to what the political elite dictate.

Otherwise you all starve and your children end up living under the bridge.

The stark reality needs no argument.

 We see it and feel it on the streets of Nigerian cities on a daily basis.

THE RICH AND THE POOR HARDLY MIX

Children of the one are taken to school in air-conditioned, tinted-glass cars and buses.
“The more the number of children - the more the poverty” Yoruba proverb

HEAD START

"Common" children of the "common" man are either hawking in the morning traffic for survival or dodging that scourge of Nigerian city roads - the commercial motorcycle - on their way to school, many barefooted.

Not all children in Nigeria are able to go to school, many work as street traders

One already has a head-start in the race of life, although nothing will stop the exceptionally bright and lucky from catching up the others at or before the tape.

The late business mogul and later politician Moshood Abiola - of 12 June presidential election fame - makes a good example.

«The president admitted that children were gifts from God, but then so is the hair on our head which we control by barbering”

He was raised in poverty but in later life few of his privileged contemporaries in school matched his academic and business successes.

He remains one of the rare exceptions to the Yoruba saying of "omo bere - osi bere", that is, the more the number of children - the more the poverty.

The point is that in this age any child who must be a success in life needs formal education; and education does not come free - it is a matter of cash.

Some Nigerians say that President Goodluck Jonathan does not have "the charisma of a leader" but I say that he knows how to describe situations graphically.

'DOWN-TO-EARTH LOGIC'

«Why not bring education to everyone's reach?”

This is a sample from his address at the inauguration of the National Population Commission in Abuja about a fortnight ago:

"Sometimes you get to somebody's house living in a well-furnished duplex. "The husband and wife there may have two, three, four children. The mai guard [security guard] guarding them have nine children."

The president admitted that children were gifts from God, but then so is the hair on our head which we control by barbering.

Then why not control the number of children? It is down-to-earth logic, one would say.

In response to Nigeria's galloping population, the president is contemplating legally enforced birth control.

At the end of the day though, since the problem is down to education and education is a matter of cash, why not bring education to everyone's reach?

The cost to government may be less than the billions of naira stolen annually by officials and you get birth control without pain.

AFRICAN VIEWPOINT


Elizabeth Ohene: Taking sides Cash crisis?
Zuma the monk?
Grassroot convictions
 'I want to stop giving birth'

Comments (48)


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NIGERIAN PRESIDENT GOODLUCK JONATHAN URGES BIRTH CONTROL

27 June 2012


http://www.bbc.co.uk/news/world-africa-18610751

Nigerians should limit the number of children they are having, according to the country's leader.

President Goodluck Jonathan said people were having too many children, and went on to back birth control measures.

He said that in particular, uneducated people were having too many children, and urged people to only have as many children as they could afford.

The United Nations has estimated that the population of Nigeria could grow from 160m to 400m by 2050.

Nigeria is the most populous country in Africa, and previous attempts to encourage adults to have fewer children have failed

BBC Nigeria correspondent Will Ross says population growth is increasing pressure on the land which is a major trigger of violence in the country.

Mr Jonathan said legislation and policies aimed at controlling the number of births might be considered in future.

He said he had asked the National Population Commission to inform people about birth control before taking the issue further.

The president acknowledged that the issue was a sensitive one, saying: "We are extremely religious people... It is a very sensitive thing.
"
Mr Jonathan was quoted as saying: "Both Christians and Muslims, and even traditionalist and all the other religions, believe that children are God's gifts to man.

"So it is difficult for you to tell any Nigerian to number their children because... it is not expected to reject God's gifts."


90 comments

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5985. COMMENTAIRES DU PEUPLE

1

The anecdote of the 'me guar'd with 9 children reminds me of one of those beggers I used to see at a location in Lagos. The first time I saw her there, she was alone. Whithin a year she was with a baby. She added a baby about every year. Besides culture, the biggest obstacle to birth control is iliteracy. Funding education has low priority on the scheme of politicians.
2

YES, YES YES YES AND YES.... I SHOULDNT BE A DISCUSSION.. JUST A PLANE YES
3

What! please let nature take its course. Imagine that you were prevented from being born, through birth control? The problem is sipmle-distribution of worlth
4

Here is a thought....stop having children until you can feed the ones you have (never mind yourself). In other words, get your priorities lined up properly. Start with education, learn and stop listening to the 'old' village voo doo.
3 out of every ten children do not celebrate their tenth birthday - thats horrible - stop having them until you know how to think...as if that will happen.
5

Education, infrastructure, basic state institutions, jobs, basic healthcare, law and order. Every other issue is a misguided distraction - and would look after itself, anyway, once the basics are in place.
6

It's geting political now charite (...), we are discussing population and solutions, it's even worse in so called Igboland where until a son is born they have not had children, it's not uncommon to see a woman with twelve children. Enter any Nigerian city it's Okada galore. They don't stay on at school to be educated, it's always the woman's fault.
7

you don't just need to educate the women, you need to change the culture, many men believe that multiple children even if they cant afford them and watch them starve to death is a sign of their manhood and virility , they need to learn that with kids come responsibility
8

Don't political connections and wealth already weight survival in favor of the elite with wealth and political connections, must the poor now be denied even the chance to procreate? Such a policy would likely require heavy handed enforcement and be hugely unpopular, doesn't Nigeria have enough social unrest already?
9

Avoir des enfants pour les ragarder mourir de faim n'est pas un droit. C'est une forme de folie. Et les fous n'ont pas de droits. Quoique ici, on les laisse voter !
10

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AFRICAN VIEWPOINT: SHOULD BIRTH CONTROL BE MANDATORY?
THE UN ESTIMATES NIGERIA'S POPULATION COULD GROW FROM 160M TO 400M BY 2050
11 July 2012
http://www.bbc.co.uk/news/world-africa-18781723