DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR
DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

jeudi 30 septembre 2010

4598. UNE MENACE NOUS GUETTE

PUNAISES DE LIT BEAUCOUP TROP PRÉSENTES

29 septembre 2010
http://www.radio-canada.ca/regions/Ontario/2010/09/29/004-punaises-lit.shtml

Près de 120 personnes sont réunies mercredi à Queen's Park pour discuter du problème des punaises de lit.

Elles tenteront de déterminer un plan pour mieux contrôler les infestations dans les logements et résidences de la grande région de Toronto, de plus en plus touchée par le problème.

Les autorités de la santé publique, des propriétaires d'appartements, des experts en contrôle des insectes et animaux nuisibles ainsi que des personnes qui ont vu leur résidence infestée participeront à la conférence.

Selon le porte-parole de l'entreprise Abel Pest Control, Mike Heimbach, les punaises de lit se propagent facilement si elles ne sont pas traitées.

Il affirme que l'éducation est la clé de l'éradication de ces insectes.

M. Heimbach mentionne que la plupart des gens qui travaillent dans des endroits publics où se retrouvent des lits, comme les infirmières ou les personnes responsables du ménage dans les hôtels, ne savent pas à quoi ressemble une punaise de lit.

Quant au député Mike Colle, qui organise la rencontre, il indique que les Canadiens doivent faire attention lorsqu'ils voyagent, pour ne pas ramener de punaises avec eux ou pour ne pas propager l'infestation ailleurs.

M. Colle aimerait que la conférence mène à un plan pancanadien pour se débarrasser de ces insectes, qui infestent de plus en plus de villes au pays.

Selon les statistiques de la Santé publique de Toronto, le nombre de punaises de lit dans la métropole a augmenté de façon alarmante en 5 ans, passant de 190 cas répertoriés à près de 10 fois ce nombre actuellement.

Les punaises de lit se nourrissent du sang des humains durant leur sommeil.

Bien gavées, elles peuvent rester cachées durant des mois, pondre des oeufs et se propager d'un appartement à l'autre.

*

http://www.punaise.info/

Vous êtes victime de Cimex lectularius, la punaise de lit!

*

Institut National de Santé Publique. Québec.

Direction de santé publique de Montréal

http://www.inspq.qc.ca/bise/file.axd?file=2010/1/Les+punaises+de+lit_janvier+2010.pdf

LES PUNAISES DE LIT, RETOUR VERS LE FUTUR

*

Photo. http://archives.vigile.net/06-10/21.html

4597. DES INDIVIDUS LOUCHES S'APPRÊTENT À TORTURER DES OISEAUX.


Photo. http://www.premier-ministre.gouv.qc.ca/premier-ministre/album-photo/annees/album.asp?evenement=souvenir-1108&mois=novembre&annee=2008

Accompagné par le maire de Québec, Régis Labeaume, et de la ministre des Affaires intergouvernementales, Josée Verner

Cérémonie du Jour du souvenir 11 novembre 2008

4596. SORCIERS FAISANT DES INCANTATIONS ÉTRANGES ENTOURÉS DE PERSONNAGES BIZARRES


Photo. cpl B. Turcotte

http://www.r22er.com/pages/articles/2006/10/Changement_des_drapeaux_du_3e_r22er/Ceremonie-changement-drapeaux.html

Source : http://emerillon.niala.net/2007/11/

Le Petit Émerillon

Réflexions et méditations personnelles sur l’état de cette nation francophone d’Amérique à laquelle j’appartiens. …Et sur la grosse nation d’à coté

*

ROYAL 22e RÉGIMENT

Le cardinal Marc Ouellet et le major Jean-Pierre Guay, aumônier par intérim du SQFT/FOI (Est), procèdent à la bénédiction des drapeaux.

Après la revue des troupes rassemblées en face du Musée national des beaux-arts du Québec sur les Plaines d’Abraham, des honneurs ont été faits, comme il se doit avec dignité et révérence, aux anciens drapeaux consacrés qui ont défilé durant la cérémonie pour ensuite être mis en dépôt au Mémorial de la Citadelle de Québec.

Puis, après la bénédiction des nouveaux drapeaux, ceux-ci ont été présentés à la troupe, sous escorte armée afin de ne rien enlever à leur valeur.

4595. MONSIEUR CHAREST AVEC UN SORCIER

Photo. http://www.kiryastash.ca/galleries/community_relations/images/Premier_0007.jpg

http://www.kiryastash.ca/galleries/community_relations/pages/Premier_0007.html

Mr. Israel Lowen, Tash community representative, meets with Quebec Premiere Jean Charest.

dimanche 26 septembre 2010

4594. RENCONTRE DE SORCIERS

Photo. http://lcn.canoe.ca/archives/lcn/infos/regional/media/2010/08/20100815-211700-a.jpg

http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2010/08/20100815-211700.html

La dernière messe de Marc Ouellet

4593. LOCO LOCASS - M'ACCROCHER

4592. COMMENTAIRES DU PEUPLE. ENTRE MESSIEURS CHAREST ET BELLEMARE, LEQUEL EST LE PLUS BEAU, BON, MEILLEUR, EXCELLENT?


1

C'EST DE BONNE GUERRE...

Il faut avouer que Bellemare en a mit un peu. mais je crois que comme premier ministre, M Charest a été condescendant à souhait, surtout en rappelant pendant à peu près 6 fois, un drame familiale dans la vie de Marc Bellemare.

J'imerais lui répondre à M Charest , de la même façon qu'il a répondu à une jeune député péquiste.

Jusqu'à date, la joute semble égale. attendons le contre-interrogatoire.

2

MONSIEUR CHAREST DIT VRAI

Je crois le témoignage de Monsieur Charest. Il dit la vérité.

J'ai suivi la Commission Bastarache depuis le début et j'attendais seulement le témoignage de Monsieur Charest pour me faire une idée. Conclusion: Je le crois.

Son témoignage est beaucoup plus crédible que celui de Marc Bellemare qui a fait des allégations sans nous présenter aucunes preuves.

Tant qu'à Monsieur Lalande. Il a écouté Marc Bellemare témoigner à la télévision et il a copié le témoignage de ce dernier, quasiment, mot pour mot sur une feuille de note qu'il a lu ensuite devant le commissaire.

Messieurs Rondeau et Fava sont deux solliciteurs pour le parti libéral qui subissent les contre coups pour la vengeance évidente que Me Bellemare veut infliger au Premier Ministre.

Tant qu'à moi, il ne s'est pas battu. Il a lâché plutôt que de défendre sa Loi. Il aurait pu amender son document, essayer de voir si le Conseil du patronat et la CSST aurait accepté ce changement avec quelques modifications. Il n'a que lui-même à blâmer.
Je ne voudrais jamais avoir cet homme-là comme ami. Avec un tel ami, qui a besoin d'ennemi.

3

AFFICHEZ VOTRE ÉCŒUREMENT!

Ça a assez duré. Même si écrire, commenter, fait du bien, il est temps de passer à l'action.

Affichez votre écœurement! Soyez parmi les premiers à prendre part à la révolution

http://www.facebook.com/group.php?gid=148591528511

4

M. CHAREST A GAGNÉ...

...du temps...emprunté.

Si M. Bellemare n'est qu'un vulgaire menteur, la Commission Bastarache n'est-elle qu'un faire-valoir (de quelques millions) pour mousser la poursuite en diffamation de $700,000$ du citoyen Charest ?

La mémoire de M. Charest a fait des progrès prodigieux depuis son interrogatoire en milieu d'été par les procureurs de M. Bellemare.

( à cause du Glucosamine du Sénateur Jacques Demers sans doute)

Cet été, à huis-clos, il ne se souvenait plus si une rencontre avait eu lieu à Montréal ou à Québec. Hier, il dépeignait le buffet à sandwiches avec force détails.

Bernard Landry reconnaîtra que M. Charest est un excellent ''performer'' télévisuel. Son clip ''La santé, la santé, la santé'' lui a valu sa première élection. Son plus récent succès ''Les deux mains sur le volant'' le crédite d'une troisième réélection consécutive. Même Duplessis serait fier de lui: du gaz naturel au gaz de schiste...même combat

Mais la façon dont il décrit aujourd'hui son candidat-vedette de 2003 devrait faire réfléchir quelques membres de son actuel cabinet.

Et pendant qu'on parle de 3 ''djobbes'' de juges, on ne parle pas de... de quoi donc déjà ?

Anyway, Boston 4 et Canadien 2...Vivement un nouveau Colisée à Québec . Et un beau merci pour avoir ''donné'' une subvention. Pour les travaux d'excavation, M. Fava connaît quelqu'un de compétent

5

IL EN SERAIT CAPABLE ?

Selon les ténors libéraux celui qui ment effrontément au peuple du Québec depuis 2003, aurait enfin découvert les vertus de dire la vérité, toute la vérité et rien que la vérité !!!!

Le juge nommé par John James Charest permettra-t-il à la partie adverse un contre-interrogatoire serré du « cheuf » de la commission comme il aura tenté de limiter celle conduite contre Franco Fava ?

6

VOUS ATTENDIEZ-VOUS À CE QUE MONSIEUR CHAREST VIENNE DIRE OUI À TOUT CE QUE DIT MONSIEUR BELLEMARE?

Monsieur Charest est un politicien dans l'âme. [Peu rassurant!]

Monsieur Bellemare est une personne qui ne semble pas avoir les qualités d'un politicien de carrière.

Mais ce dernier a tout de même été un peu initié à la chose politique.

Qui des deux devons-nous croire, je ne le sais pas. Mais, s'il y a une chose que je pense savoir.

C'est que monsieur Charest est un politicien d'expérience. Soit dit en passant, pour appuyer ses propos hier à la commission, j'ai entendu monsieur Charest parlé des crises occasionnelles de monsieur Bellemare.

Ce n'est jamais arrivé au Premier ministre Charest de faire lui aussi des crises, et cela même publiquement en chambre?

La question à se poser est la suivante: Un politicien, d'expérience ou pas, serait-il capable de mentir?

Si oui, jusqu'à quel point serait-il capable de le faire sans rougir, sans que ça paraisse?

Lequel des deux, l'un ou l'autre a les meilleures aptitudes, et la plus grande latitude, afin d'organiser ses pions de manière à soutenir ou consolider ses desseins?

N'oublions pas qu'un politicien d'expérience n'est pas un monsieur ou une madame tout le monde.

Croyez-vous réellement qu'un politicien d'expérience ou même un peu initié au monde de la politique soit capable mentir sans rougir, et cela même devant une foule qui s'oppose?

Un politicien de carrière ne doit-il pas savoir parfois mentir à dessein?

[Un politicien d’expérience ou de nature peut promettre à ses électeurs de ne pas faire la guerre et, sitôt, élu la faire. Avec conscription forcés des électeurs masculins comme chair à canon. Ceci s’est vu. Un politicien d’expérience ou de nature est comme une mouffette, elle peut puer. ]

7

RÉJOUISSONS NOUS, Ô BREBIS, CAR...

... le Premier ministre n'a pas inscrit à son agenda la rencontre que Marc Bellemare prétend avoir eue à son bureau de Québec le 2 septembre 2003.

Par conséquent, il n'y a pas eu de réunion.

Sauf que Monsieur Bellemare a dit avoir appelé Monsieur Charest, de chez lui à chez lui, pendant la fin de semaine; que le Premier ministre a dit être rentré à Québec en fin d'après-midi le 2 septembre, pour préparer la réunion du Conseil des ministres du lendemain; et qu'il aurait bien pu ne pas demander d'inscrire la réunion à l'engenda, par oubli, distraction ou ...

Après tout, il y a des choses qui se font informellement, même au gouvernement.

Comme je le demandais hier, le temps est venu pour Monsieur Bellemare de produire les preuves de ses appels et/ou dîners avec ses interlocuteurs.

Il n'y a pas de doute dans mon esprit que si Monsieur Bellemare produisait la preuve qu'il a appelé le Premier ministre chez lui la dite fin de semaine qu'il soulèverait un doute sur le témoignage de Monsieur Charest.

Mais à défaut de semer ce doute, oui, réjouissons nous car l'institution du Premier ministre est saufe.

[L’institution, certes, on a vu y passer quelques cas intéressants. Mais la personne du citoyen ci-devant premier ministre actuel ?]

8

VÉRITÉ OU POUVOIR DE PERSUASION DEVANT UN AUDITOIRE ACQUIS?

Personne ne peut nier qu’un grand pouvoir de persuasion est essentiel pour un chef de parti qui pourrait éventuellement devenir premier ministre.

Or, nous savons tous que M. Charest excelle dans ce domaine, surtout si ses auditeurs lui sont acquis.

En parallèle, il est aussi évident que M. Bellemare, avocat de métier, n’est pas dépourvu du pouvoir de persuasion essentiel à son métier.

Or tout porte à croire qu’il maîtrise moins ce pouvoir que M. Charest, selon les témoignages entendus.

Par contre, il ne faut pas oublier que ceux qui le confrontent ont tous été choisis par son adversaire et que cela peut fausser les perceptions, ces derniers disposant de moyens hors de sa portée.

Lorsque M. Charest décrit M. Bellemare je reconnais ses propres traits de personnalité affichés souvent à l’Assemblée nationale : passionné, boudeur, soupe au lait, face à un auditoire dont le moins que l’on puisse dire est qu’il ne lui est pas acquis.

Alors, comment la population pourra-t-elle démêler le vrai du faux quand ceux qui auront à trancher ont été choisis par le premier ministre lui-même?

Que les contre-interrogatoires se concentrent surtout à démolir la version de Marc Bellemare et que le «nombre» d’avocats interchangeables qui s’y consacrent est majoritaire?

Que le commissaire n’a aucune expérience en «litige», pourtant essentielle pour occuper ce rôle?

Dans un tel contexte, il ne faut pas se surprendre que M. Charest soit très détendu, que son témoignage ait une «apparence de vérité» et qu’il soit à l’aise devant les avocats et le commissaire choisis par lui, son parti et son gouvernement.

En effet, ses représentants étant majoritaires dans ce forum il il est «en voiture» et a vraiment les «deux mains sur le volant». Encore une fois, c’est là que le bât blesse.

9

DÉSABUSEMENT

Qui dit vrai ? Charest ou Bellemare ? Peu importe.

Cependant, une chose est certaine : ce qu'on a vu et entendu jusqu'ici, lors des travaux de la Commission Bastarache, ne fera qu'accentuer le désabusement, la méfiance - déjà immense - de la population à l'égard des politiciens qui ont le pouvoir et même à l'égard de tout l'appareil d'État !

[Très bien. À un certain âge, il faut cesser de croire au Père Noël.]

10

CHARMEUR!

Le pouvoir de la Commission Bastarache est de sauver la face du troupeau libéral pour nié en bloc les évènements des nominations des juges!

Pour le témoignage de Mr. Charest, il a le grand talent de nous endormir et c’est pour ça qu’il est le Premier Ministre!

Quelle Charmeur! Quelle Chanteur! Quelle Endormeur!

[Quel serpent!]

11

CHAREST ET L'ÉTHIQUE

Quel est la conception de M. Charest sur l'éthique quand on pense à David Whissel et la décision du PM sur les agissements de ce ministre?

Il ajuste l'éthique selon ses volontés qui font son affaire.

Est-ce possible que Monsieur Bellemarre est menti sur toute la ligne et Que seul M. Charest dise la vérité?

On ne peut croire un menteur et M. Charest nous a menti à maintes fois.

Mais il est un habile parleur et excellent comédien.

12

CHAREST LE MENTEUR

J'ai revu hier le même Charest qui ne savait rien des pertes à la Caisse de Dépôt.

Charest est une menteur naturel.

Il nous a menti sur tout depuis 2003.

13

800 NOMINATIONS PAR ANNÉE!

Plus de 6000 depuis l'arrivée au pouvoir de Charest.

Hydro, Lotto, CSST, SGF, l'appareil est infesté de Libéraux.

Des Libéraux partout, partout, partout.

Au lieu de perdre votre temps à la Commission Bastarache pour savoir si 3 Libéraux ont été nommés juges, allez donc faire le tour pour nous pointer combien d'incompétents libéraux empestent l'appareil gouvernemental, partout, partout, partout.

14

VOUS CROYEZ M, JJCHAREST... VOUS EN AVEZ LE DROIT..

croyez vous également en la partialité du juge , quand son comportement bastarachien lui fait couper la parole de l'avocat de Bellememarre, chaque fois qu'il parle d'argent liquide , en fait presque chaque fois qu il pose une question trop pertinente?

croyez vous en ce juge qui permet aux autres avocats de s'objecter presque à chaque question?

si vous me dite OUI, Ben alors continuez à croire aussi charest, cela vous va à merveille.,..

15

Comme environ moins d'un cinquième des Québécois, vous donner crédit à un expert en manipulation.

Ce sont surement ses grands yeux bleus béats qui vous ont convaincus...n'est-ce pas.

Ne soyez pas offencée, même Jean John Charest se croit lui même ... alors vous voyez que vous n'êtes pas la seule à subir son hypnose ...

Vous pourriez aussi indiquer que Marc Bellemare est un type sado-maso névrosé pour oser s'attaquer ainsi à toute la meute du PLQ, sachant même avant les débuts de la commission, qu'il s'engageait dans un combat de 100 contre 1.

En conclusion, c'est bien que votre admiration soit aveugle, sinon Jean John Charest sera bien seul aux prochaines élections.

Vive Johny ... Le Numéro 1 ... des PM les plus pourris de l'histoire du Québec

16

LE PAON.

Jean Charest est un paon, pas de problème avec la forme, c'est sur le fond cependant que ça se gâte.

Si on avait pas connu les scandales à répétition de l'année dernière où il a soutenu avec la même fougue les Tomassi et Whissel , si on acceptait les raisons qui font qu'il refuse une enquête sur la construction et le financement des partis politiques que désire 80% de la population on pourrait presque le croire!

J'ai bien aimé le court extrait diffusé hier à l'émission Infoman de Radio-Canada où on voyait un Jean Charest plus jeune nous dire comment Marc Bellemare était un excellent ministre qui faisait un travail remarquable.

Une question eaitt-ce alors qu'il fallait le croire où aujourd'hui alors qu'il nous dit que c'est le pire ministre qu'il a eu l'occasion de diriger?

17

LA BANALISATION DE L'ESSENTIEL.

À force de s'attarder sur la personnalité et la "crédibilité" des témoins ( spectacle oblige ) on en est arrivé à négliger l'essentiel, entre autre, les témoignages de deux personnages clés de cette affaire, soit messieurs Rondeau et Fava.

Allons plus au fond des choses. Une fois qu'un aspirant juge fait appel à un collecteur de fonds d'un parti politique pour obtenir son emploi, il ne s'agit guère de débattre du suivi qui en a été fait auprès des décideurs qui, après tout, ont toute la latitude après coup d'affirmer n'importe quoi, suivant la bonne vieille expression "ta parole contre la mienne".

La vraie question réside dans l'objectivité des décisions de ce futur magistrat, chaque fois que viendra pour lui le temps d'annoncer un verdict dans une affaire où les intérêts de ses protecteurs pourraient être mis en cause.

Quant à moi, une fois qu'un candidat à la magistrature aura demandé l'intercession d'un argentier de parti politique qui achemine la demande auprès du ministre en titre ou du premier ministre, le processus de nomination est dores et déjà pollué, pour ne pas dire carrément corrompu.


[Et, disons aussi, le nouveau juge, probablement ex-avocat des Hells ou de la Mafia ou de parasites financiers.]


18

DÉTECTEUR DE MENSONGES

Afin d'en venir à un terme avec toutes ces versions contradictoires je suggère à Maître Bellemare de se soumettre volontairement au détecteur de mensonges sur les réponses qu'il a données lors de son interrogatoire.

Comme je suis convaincu qu'il a dit la vérité, s'il passait ce test positivement imaginez vous dans quelle position se retrouverait Jean Charest, et messieurs Rondeau et Fava.

Accepteraient-ils de passer, aussi, le test du détecteur de mensonges?

19

UN EXERCICE DE COMMUNICATION

Une simple conférence de presse préparée depuis des mois. On savait déjà tous ce que Jean Charest allait dire.

Ce qu'on ignorait, c'était les mots que les spécialistes des communications allaient lui mettre dans la bouche.

Ce qu'on apprend par contre, c'est que la frontère entre le politique et la justice n'existe pas.

La partialité de la commission en est la preuve.

Pire son incompétence est évidente.

Un procureur en chef qui omet de fournir certains documents essentiels à l'enquête. Un manque de recherce évidente sur les nominations aux tribunaux administratifs.

Un simulacre de justice.

20

UN PERSONNAGE "ÉTRANGE"

Le moins qu'on puisse dire, Marc Bellemare est un étrange personnage.

Sa seule preuve manuscrite preuve de ce qu'il avance est un bout de carton farci d'abbréviations. Pour un ancien ministre de la Justice!

Mon intuition personnelle est que l'homme est un "cas", du genre fabulateur.

Il me fait penser à un certain nombre de personnes que j'ai rencontrées dans ma vie, qui fabulaient, me "mentaient", mais sans apparemment savoir qu'elles me "mentaient".

Je ne suis ni psychologue ni psychiatre [?], et je ne connais point la définition ou les causes de pareil comportement.

En écoutant hier Jean Charest décrire son ancien collègue du cabinet, je me suis dit: oui, Marc Bellemare est probalement un "cas".

Tout ceci dit sans aucune méchanceté pour ce dernier, mais par essai de comprendre une personnalité sans aucun doute fort complexe.

[Et la personnalité de monsieur Charest est aussi fort complexe. Un cas. D’une autre envergure que celle de monsieur Bellemare.]

21

MON P.I.B.

Mon polygraphe individuel biologique (P.I.B.- en instance de brevet) s'est affolé hier après-midi; notre premier ministre ment calmement sans sourcilier.

Mais ce à quoi nous assistons en direct, c'est la fin du lien de confiance entre les politiques et la population: la démocratie pousse son dernier râle. Et le citoyen «plusse» qu'ordinaire est triste.

[Mais non. Puisqu'il croire son «chef» qui vit actuellement une épreuve et a besoin d'être soutenu.]

22

REGARDER, NE SERAIT-CE QU'UN PEU, LA COMMISSION BASARACHE AUJOURD'HUI.

Aujourd'hui, c'est le contre interrogatoire de monsieur Charest. Essayez de regarder, ne serait-ce qu'un peu, et vous constaterez peut-être que le Président de la commission Bastarache fait souvent pencher ses affinités d'un certain côté. Ce me semble d'ailleurs son côté préféré depuis le début. Mais j'anticipe.

[Comment est-ce possible? Un juge! Un juge de la Cour Suprême. Non. Non.]

23

NOTRE DEVOIR !

Bon… c’est au tour de M. Charest de dire qu’il aurait « protégé » M. Bellemarre, s'il avait su. Ah ! Ces "bonnes zâmes"...

M. Charest a menti aux Québécois en 2003, tellement que l’unanimité était presque que totale :

« Je n’ai jamais voté pour ça », clamaient l’ensemble de la population.

À la dernière élection, il s’est montré repentant et avec la faiblesse du P.Q., il a réussit une autre fois à tromper tout le monde (PPP, Caisse de dépôt, construction 25% plus chère, etc).

Puis, aujourd’hui, il recommence devant une commission qu’il a lui-même mis sur pied et dont il nommé lui-même son commissaire.

Le plus beau est que certains vont encore le croire. On appelle ça de « l’habilité politique ». Moi j’appelle ça de la fourberie.

Vite une pétition ! Pour réclamer des élections avant qu’il ne mette tout le Québec entre les mains des ses amis tordeurs de bras. C'est notre Devoir !

[Vous l'avez élu. Vous allez vivre avec.]

24

TÉMOIGNAGE DOUTEUX

Ça fait des semaines que Charest se prépare pour ce témoignage.

Avec une poursuite en jeu de 700 000$ à 900 000$, personne va me faire croire que Charest n'est pas intéressé à la Commission Bastarache, comme Charest l'a souvent dit.

Je suis convaincue qu'il ment à ce sujet et qu'il a passé ses soirées avec ses avocats à pratiquer son témoignage de fond en comble.

Il est donc normal qu'il soit calme après des semaines d'apprentissage au point de l'écoeurement.
Aussi, sachant que Fava témoignerait avant lui, je crois aussi que Fava a été conseillé d'être agressif lors de son témoignage pour bien faire paraître Charest par après.

Style, aurore - l'enfant martyr.

Son témoignage est trop 'smooth' à mon goût et il est évident qu'il est bien préparé, contrairement à ce qu'il a prétendu aux journalistes à de multiples occasions.

Ses réponses sont toutes prêtes et aucune hésitation n'est perçue pour des faits qui datent de plusieurs années.

Il est malheureux qu'on ne puisse pas se servir de la datation en ce qui a trait à son agenda aussi car même là, il aurait facilement pu en rédiger un neuf à son goût depuis des semaines.

Mon vote va toujours vers Bellemarre et Lalande.

25

TÉMOIGNAGE DE CHAREST

Son témoignage n'a plus d'importance.

Tout ce qu'on a entendu cette semaine prouve que ce gouvernement n'a plus le droit de gouverner.

La démocratie repose sur le respect de la liberté et de l'égalité des individus.

Imaginez les nominations partisanes???

Je suis triste pour les personnes compétentes qui auraient pu occuper ces postes et ceux qui les occupent présentement ( sans concours )

[Les concours sont pour la piétailles. ]

26

QUELLE COMPLAISANCE!

Avez-vous remarqué le genre de contre interrogatoire?

Tout simplement et complétement incroyable.

Ce n'était qu'un prélude à chaque fois permettant à Me Charest de développer davantage sur le sujet amené par la procureur de la Conférence des Juges.

Bref, lui faire dire qu'au Québec: les Juges sont tous beaux, et gentils et que nous avons au Québec un excellent système de la Magistrature, pour ne pas dire le meilleur!!!...

Pendant ce temps, on voit la doucereuse complaisance assistée du commissaire Michel Bastarache qui salivait presque chaque fois sur chacun des sujets développé par Me Charest à la demande bien sentie à chaque foccasion par Me Châtewlain.

Quelle complaisance!!!!...et quel faux interrogatoire!!!

27

FRANCHEMENT LÀ

Est ce qu'on bésoin de payer de nos impots pour voir 2 enfants de plus de 50 ans se chamailler sur la place publique en disant: "On s'est rencontré telle date", "Tu mens, on ne s'est jamais rencontré".

Au moins aux garderies, les enfants sont cutes; ceux de la commissions Bastarache font dures.

Les télé réalites c'est bons quand c'est avec des fonds privés.

[La »tv-réalité» n'est pas plus vraie quand elle espionne des assistés sociaux qui veulent devenir des vedettes que lorsqu'elle présente des vedettes qui veulent devenir des chefs ou le rester. Il y a toujours quelqu'un qui fait la mise-en-scène.]

28

COMMISSION ONE-WAY

Ne soyez pas scandalisés le gouvernement a demandé une commission d'enquête sur ce qui fonctionnait le mieux dans son gouvernement.

Je me demande si Me Bartarache a participé au financement du parti libéral!

29

QUI DIT VRAI?

La question n'est pas de savoir qui dit vrai.

On a déjà établi par certains des témoignages qu'il y a de l'ingérence dans la nomination des juges.

Mon père m'a pistonné? Mon député m'a recommandé?

On sait tous que des avocats ne peuvent mentir.

Seulement oublier et/ou être mal habile.

Mais mentir; Jamais!

Quant au PM, un homme qui est inscrit au Barreau du Québec en tant que John James et qui se fait élire sous le pseudo de Jean ( ce qui n'est pas illégal ) mais discutable quant on désire décrocher le poste de PM. Marc Bellemare n'a rien à gagner dans toute cette histoire.

Seul le PM a à gagner et/ou à perdre.

Quant à la Commission, cela fait pitié de voir ses dirigeants atteints de mollesse, et de complaisance face aux supporters du PM. C'est en fait la Commission Jean Arrache!

30

SELON JOHN JAMES CHAREST

Les Rondeau et Fava, collecteurs de fonds de plus de $1,000,000, ont accès au Bureau exécutif et rencontre le personnel, soit Mme Landry, le jour du conseil du cabinet des ministres.

Selon John James Charest ils n'ont aucune influence auprès de lui.

Sans son consentement tacite ces visites seraient terminées depuis longtemps.

Dès lors il favorise ces rencontres et leur opinion lors de décisions sur les nominations et affectations des fonds du Conseil privé.

31

DIVERSION

La partie est belle pour J. Charest.... il s’amuse avec maître Bertrand comme... un pitbull avec en petit poussin.

Il est dans son eau douce M. Charest ... il sait que la commission Bastarache ... sa créature ...ça fonctionne... à son avantage..

Car .... « LE » problème ce n’est pas la nomination des juges ...

l’enjeu (et il faut être bon observateur pour le voir à travers les témoignages des Fava et Rondeau), c’est la valses des millions de l’industrie de la construction ...

des milliards de la Caisse de dépôts ...

et l’enrichissement des tit’zamis ...

la collusion entre le patronat (gouvernement) et les grandes centrales syndicales qui ont toutes des « Fonds de solidarité » qu’il faut consolider ... tricotés par les intérêts « communs ».

La dernière « négociation » avec la fonction publique, qui se traduisent par la baisse des salaires en sont une des preuves.

Les vrais enjeux, c’est « ÇA ».

La nomination des juges ? de la petite bière ... l’élément qu’on peut « CONTRÔLER » dans une situation de crise !

Charest et les chefs syndicaux [?] rient dans leurs barbes ... même s’ils n’en ont pas ....

Et Madame Bombardier pourra revenir samedi prochain dans Le Devoir avec les pékisss, Torquemada du tribunal de la Sainte Inquisition ... prenant le relais de Lysiane Gagnon, qui prouvent que la Vérité, celle du Pouvoir, ou du show bisness est toujours la meilleure.

Il est fort le Charest !! .. Mais qu’ils son faibles les Québécois !!!

[Encore une fois, la paille et la poutre biblique. Quoique de belle dimension. On critique le gouvernement et les syndicats en oubliant (?) l’ombre gigantesque mais toujours invisible du patronat. Et il faut faire de grands efforts pour ne jamais voir l’ombre pourtant toujours présente et une grande puissance intellectuelle pour n’en rien penser.]

32

EH MISÈRE...

Il trouve normal qu'un solliciteur de fonds du parti libéral soit consulté pour de futures nominations.

Ça me dérange qu'un membre du parti libéral s'immisce dans le processus de nominations qu'il soit ou non intègre.

Quand Franco Fava dit qu'il ne demande pas si un individu est membre du parti ou non lorsqu'on lui demande de soumettre un nom.

Pas nécessaire M. Fava, vous savez déjà au départ qu'il est libéral.

33

En effet la collusion avec les syndicats CSN et CSQ qui ont voté une entente de principe à la baisse, malgré ce qu'ils en disent, pour les employes du réseau de la santé, une autre arnaque faite au peuple.

Pour ce qui est de la FTQ, syndicat de la construction, par contre le règlement est intervenu très rapidement et malgré que je ne connaisse pas les clauses de l'entente, il est certain que le sujet chaud de la construction était à éviter, donc le syndicat avait tout le pouvoir pour que ses revendications soient acceptées.

34


UNE AUTRE COMMISSION?

Le Québec est le pays des commissions d'enquête. Faites l'énumération depuis 1960.

Et ça change quoi, par la suite? Il faudrait des gens vertueux au pouvoir. Est-ce possible?

Ceux qui crient au loup, dans l'Opposition, en sont-ils capables?

Je suis assez vieux pour vous dire que j'ai perdu mes illusions. Et que j'en suis rendu à dire que tout le monde ment.

Certains sont plus habiles pour montrer qu'ils ne font que dire la vérité.

A nous de décoder.

35

*

CHAREST NIE TOUT

LE CONTRE-INTERROGATOIRE D'AUJOURD'HUI S'ANNONCE HOULEUX

Antoine Robitaille

24 septembre 2010
Québec
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/296945/presence-de-collecteurs-de-fonds-au-cabinet-du-pm-charest-se-dit-a-l-aise

*

UN PREMIER MINISTRE QUI FAIT L'HISTOIRE

http://www.ledevoir.com/politique/quebec/296945/presence-de-collecteurs-de-fonds-au-cabinet-du-pm-charest-se-dit-a-l-aise

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PRÉSENCE DE COLLECTEURS DE FONDS AU CABINET DU PM - CHAREST SE DIT «À L'AISE»

25 sept. 2010
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/296945/presence-de-collecteurs-de-fonds-au-cabinet-du-pm-charest-se-dit-a-l-aise


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Photo. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2010/09/25/002-enquete-commission-constructio.shtml

4591. NON JEANNOT N'A PAS PRIS LES BISCUITS AUX BRISURES DE CHOCOLAT. JEANNOT EST UN PETIT GARÇON HONNÊTE


CHAREST NIE TOUT

LE CONTRE-INTERROGATOIRE D'AUJOURD'HUI S'ANNONCE HOULEUX

Antoine Robitaille

24 septembre 2010
Québec
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/296945/presence-de-collecteurs-de-fonds-au-cabinet-du-pm-charest-se-dit-a-l-aise

Jean Charest a vigoureusement nié l'ensemble des allégations de son ancien ministre Marc Bellemare, hier, lors de son passage à la barre des témoins de la commission Bastarache.

La fameuse réunion du 2 septembre, où il aurait lancé à Marc Bellemare:

«Si Franco te dit de les nommer, nomme-les»

n'a jamais eu lieu, a-t-il certifié.

M. Bellemare a soutenu que le bureau du premier ministre était «désert» ce soir-là.

Or, réplique M. Charest, les gardes du corps ne le quittent jamais. Et lorsqu'il se trouve au bureau, son adjointe est toujours dans la pièce d'à côté.

Si la rencontre de septembre 2003 ne figure ni à l'agenda, ni dans la mémoire du premier ministre, celle du 8 janvier 2004, cependant, à Montréal, a eu lieu.

Mais Marc Bellemare n'aurait aucunement abordé la question des prétendues «pressions indues» de Franco Fava, a-t-il insisté.

Questionné par le procureur en chef de la commission, Giuseppe Battista, sur chacune des allégations de M. Bellemare, Jean Charest les a niées les unes après les autres, les présentant comme des faussetés, voire des fabulations d'un ancien ministre

aigri et en proie à des humeurs changeantes.

Le premier ministre a rappelé l'épisode du 2 octobre 2003, lorsque le gouvernement remplace le sous-ministre à la Justice sans consulter M. Bellemare.

Ce dernier le joint à New York et fait une «crise» au téléphone.

M. Charest parle d'un appel «désolant» et soutient que le ministère de la Justice était «dans un état terrible» depuis l'arrivée de M. Bellemare à sa tête: le coordonnateur à la sélection des juges, Pierre Legendre, avait été «congédié», et le sous-ministre Michel Bouchard avait perdu du poids et claqué la porte.

«Sept ans plus tard [Marc Bellemare] ne comprend toujours pas que c'est le premier ministre qui nomme les sous-ministres! Ce n'est pas un caprice du gouvernement. C'est dans la loi.

La cohésion du gouvernement en dépend», a souligné le premier ministre.

M. Charest a souligné par exemple qu'en mars 2004, M. Bellemare traversait une «période sombre, noire», quand il l'a encore appelé de l'étranger pour se plaindre que ses réformes n'avançaient pas assez vite.

Cette mélancolie allait conduire, selon Jean Charest, à une «rencontre pénible», le 29 mars 2004, à son bureau, pour discuter du projet de loi 35 avec le président du Conseil du patronat, Gilles Taillon, et le président de la FTQ, Henri Massé.

Le but était alors de trouver un compromis dans la réforme des tribunaux administratifs.

Mais le ministre ne voulut rien entendre:

«M. Bellemare boudait. Ce n'était pas très édifiant. Il refusait d'engager la discussion avec M. Taillon et M. Massé»,

se souvient Jean Charest.

«ON L'AURAIT PROTÉGÉ»

Et si un ministre lui avait «vraiment» fait une telle confidence sur des pressions indues de collecteurs de fonds?

«Ça m'aurait offusqué»,

a insisté M. Charest, en ajoutant que son entourage «aurait pris les moyens pour le protéger, comme on l'a fait dans le passé».

Ce «passé», c'est entre autres le 2 mai 2003, quelques jours après l'assermentation de M. Bellemare.

Ce dernier se rend à son bureau et lui offre sa démission, que le premier ministre refuse.

Rencontre marquante qui a duré une heure et «non une demi-heure», insiste le premier ministre.

Le sujet est important mais délicat: M. Charest évoquera «une affaire personnelle», mais il s'agit de l'histoire de Lysanne Bellemare, fille du ministre, qui avait coupé les ponts avec celui-ci et qui fréquentait des milieux douteux, peut-être liés aux bandes de motards criminalisés.

[Elle aurait été danseuse dans un club (peut être lié à un club social de moto commençant par un H) et il semble qu'on ait voulu le faire chanter et comme ça ne marchait pas, on a sorti cette révélation dans les journaux. On ne sait pas qui est «on».]

Ici aussi, il faudra «protéger le ministre», rappelle Jean Charest.

Du reste, sur le processus de nomination des juges, le premier ministre en a surpris plus d'un lorsqu'il a affirmé qu'il ne savait pas comment ses prédécesseurs fonctionnaient.

Depuis 2003, la liste courte que produit le comité de sélection est parfois envoyée directement au cabinet du premier ministre, où la responsable des nominations, Chantal Landry, la présente au premier ministre.

Ce dernier s'est dit très sensible à l'âge des candidats, qu'il trouve souvent trop jeunes s'ils ont moins de 50 ans.

La liste est par la suite renvoyée au ministre de la Justice. Parfois, a raconté M. Charest,

«j'indique ma préférence si je crois qu'une personne se distingue. Et le ministre en dispose à sa guise, selon son bon jugement».

Les anciens ministres péquistes ont soutenu ces derniers mois qu'ils ne partageaient jamais la courte liste avec leur premier ministre et encore moins leurs collègues.

Sur ses relations avec Franco Fava, M. Charest a précisé que ce n'était pas un ami proche, mais une «connaissance».

Il soutient rencontrer le collecteur de fonds à deux reprises dans l'année et n'a jamais eu de réunion en privé avec lui.

Il a aussi nié avoir recommandé à Marc Bellemare de faire appel aux services de M. Fava et Rondeau dans Vanier.

Au sujet de la partisanerie, M. Charest a nié que c'était là un facteur important lorsqu'il s'agit de faire des nominations. [!]

Il a soutenu insister sur la compétence et avoir, depuis son arrivée au pouvoir, mis l'accent sur la présence de femmes et de membres des communautés culturelles. [Il manque des handicapés.]

M. Charest a affirmé avoir nommé des gens de toutes les allégeances politiques.

«C'est dans l'intérêt du gouvernement aussi de nommer des gens qui sont compétents. On veut que les choses fonctionnent bien.»

UN CHOC À PRÉVOIR

Le contre-interrogatoire de M. Charest aura lieu aujourd'hui et s'annonce houleux. Depuis deux jours, la tension a monté entre le commissaire Bastarache et l'avocat de Marc Bellemare, Jean-François Bertrand. Or, c'est ce dernier qui questionnera M. Charest aujourd'hui.

Michel Bastarache a perdu patience à quelques reprises à l'égard de Me Bertrand, hier, lors du témoignage du premier ministre; mais surtout en matinée, lors du contre-interrogatoire de Franco Fava. Alors que M. Bertrand cherchait à circonscrire l'influence que M. Fava avait au PLQ, M. Bastarache s'est fâché: «Vous nous faites perdre notre temps!»

[On sait que c'est un «procès» «arrangé». Y a-t-il quelqu'un de censé qui pourrait croire qu'un juge nommé à une commission politique irait jusqu'à condamner ou simplement mettre en doute la parole du ministre? C'est un homme de l'appareil, du système, un apparatchik, il ne le détruira pas il s'en prendra plutôt aux imprudents qui le menacent. Donc, dès le départ, la commission est biaisée.]

[Et quel choix reste-t-il à monsieur Charest? Mentir, se parjurer ou dire la vérité?]

[Mais monsieur Charest a peut-être raison et monsieur Bellemare a des raisons médicales et psychologiques d'avoir tort? Peut-être. Mais monsieur Charest est l'homme du zoo de Québec, du mont Orford, de la Caisse de Dépôt et d'un tas d'autres affaires louches. C'est récédiviste non réhabilitable. Le professeur Bulle prendra une tisane pour se calmer de toutes ces mauvaises pensées.]

[Stratégie: Monsieur Charest joue son personnage de premier ministre paternel décrivant un ministre peu doué qu'il a fallu protéger de lui-même, un individu anonyme qu'il a élevé au plus haut rang et qui n'a démontré aucune reconnaissance et qui maintenant encore continue mord la main qui l'a nourri.]

Le commissaire s'est montré aussi indisposé par l'avocat du Barreau, Pierre Bourque, qui a réclamé les registres d'appels téléphoniques de Franco Fava pour l'année 2003-2004 et le carnet d'adresses privé du collecteur de fonds.

En début d'après-midi, la commission a précisé avoir obtenu ce document et a souligné que les noms et les coordonnées de Marc Bellemare, Jean Charest et Chantal Landry n'y apparaissaient pas. La commission n'a pas encore tranché sur l'opportunité de demander les registres d'appels.

Par ailleurs, hier matin, le commissaire a accédé en partie à une demande de Me Bertrand, formulée en début de semaine. Ce dernier réclamait tous les registres d'entrée à l'édifice Honoré-Mercier — là où le premier ministre a son bureau — pendant la période étudiée par la commission, soit de 2000 à 2010.

Finalement, Me Bastarache a, pour que M. Bertrand puisse faire une comparaison, dit qu'il pourrait recevoir les registres du mandat de Yvon Marcoux à la Justice, soit du 18 février 2005 au 18 avril 2007.

[Le lendemain, le contre-interrogatoire de monsieur Charest fera patate.]

*

COMMISSION BASTARACHE

COMMISSION D'ENQUÊTE SUR LE PROCESSUS DE NOMINATION DES JUGES

CHAREST NIE EN BLOC

Journaliste:François Messier

24 sept. 2010
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2010/09/23/004-bastarache_charest.shtml

Tel qu'attendu, le premier ministre Jean Charest a formellement démenti devant la commission Bastarache les allégations de trafic d'influence formulées par son ex-ministre de la Justice Marc Bellemare.

Il dément que ce dernier l'ait informé des pressions indues qu'auraient exercées les collecteurs de fonds du Parti libéral du Québec (PLQ) Franco Fava et Charles Rondeau pour qu'il promeuve ou nomme les juges Michel Simard, Marc Bisson et Line Gosselin-Després à la Cour du Québec.

JEAN CHAREST TÉMOIGNE SOUS L'OEIL ATTENTIF [!] DU COMMISSAIRE BASTARACHE.

LE PREMIER MINISTRE NIE ÉGALEMENT:

avoir eu une rencontre avec Marc Bellemare le 2 septembre 2003, date à laquelle l'ex-ministre de la Justice jure qu'il l'a prévenu de ces pressions indues lors d'une rencontre d'une heure et demie;

avoir entendu le ministre Bellemare lui parler à nouveau de ces pressions lors d'une rencontre tenue le 8 janvier 2004, rencontre qui a cependant bel et bien eu lieu;

avoir dit à Marc Bellemare de faire comme lui demandaient les collecteurs de fonds, que ce soit en septembre ou lors de la rencontre du 8 janvier;

avoir dit à Marc Bellemare en mai 2004 qu'il devait respecter son serment de confidentialité et taire toute allusion à Franco Fava, Charles Rondeau;

s'être opposé à un moment ou un autre à une recommandation à la magistrature faite par un ministre de la Justice.

« S'il me l'avait dit [que des collecteurs exerçaient des pressions], je peux vous dire qu'on aurait pris les moyens pour le protéger, comme on l'a fait dans le passé »,

a affirmé le premier ministre Charest.

«Les paroles qu'il [Marc Bellemare] me met dans la bouche n'ont jamais été prononcées par moi.»

— Le PM Jean Charest

Le premier ministre a aussi témoigné de manière à contredire les affirmations de Me Bellemare selon lesquelles les questions de justice l'intéressaient peu.

Il dit se rappeler très bien de discussions entourant la nomination du juge Guy Gagnon comme juge en chef de la Cour du Québec.

LA SUITE VENDREDI À 9 H

L'interrogatoire de M. Charest par le procureur en chef de la commission, Me Giuseppe Battista, est terminé. Les travaux de la commission Bastarache reprendront à 9 h, vendredi, avec le contre-interrogatoire des avocats des autres parties représentées.

PORTRAIT SOMBRE DU MINISTRE BELLEMARE

Le premier ministre Charest a par ailleurs parlé de son ex-ministre en termes peu élogieux.

Il a notamment évoqué que M. Bellemare a fait une « crise » le 2 octobre 2003 lorsqu'il l'a appelé à New York pour se plaindre de la nomination de Louis Dionne comme sous-ministre à la Justice.

M. Charest a qualifié cet appel téléphonique de « désolant ».

Il a expliqué que les nominations de sous-ministres relevaient exclusivement de ses prérogatives et que cela avait été de même pour tous ses prédécesseurs.

« C'est une règle d'or », a-t-il dit.
«Sept ans après, il ne comprend toujours pas que ce n'est pas le ministre qui nomme le sous-ministre; c'est le premier ministre.»

— Le PM Jean Charest

Le premier ministre du Québec a précisé qu'il avait nommé M. Dionne parce qu'il voulait quelqu'un de « costaud ».

Le ministère de la Justice était « dans un état terrible »,

a-t-il raconté, et il fallait y ramener « un peu d'ordre ».

M. Charest a évoqué le départ précipité du coordonnateur à la sélection des juges Pierre Legendre, qui a été « congédié », selon ses dires, par Marc Bellemare.

Il a aussi fait référence au départ du sous-ministre Michel Bouchard, qui ne « méritait pas » ce qui lui est arrivé, a-t-il dit.

Le premier ministre a aussi relaté une « rencontre pénible » qu'il a eue le 29 mars 2004 avec le ministre Bellemare, le président du Conseil du patronat, Gilles Taillon, et le président de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec. Henri Massé.

M. Charest a expliqué que la rencontre visait à tenter de trouver un compromis dans les discussions entourant le projet de réforme des tribunaux administratifs, mais que Marc Bellemare y avait « boudé » et qu'il avait « refusé d'engager la conversation avec M. Taillon et M. Massé ».

« Je n'oublierai jamais ça », a dit le premier ministre du Québec.

« C'était embarrassant ».

Jean Charest a aussi tenu à préciser que Marc Bellemare avait insisté pour démissionner le 27 avril 2004, soit deux jours avant le premier anniversaire de son assermentation à titre de ministre de la Justice.

Il a suggéré que cet empressement visait à le soustraire aux dispositions de la loi sur le lobbying, qui lui aurait imposé une période d'attente s'il avait été au gouvernement pendant un an.

[Loi qui ne semble pas contraignante pour tous les ex-politiciens libéraux qui se trouvent actuellement un perchoir. Mais qui ont bien le droit de trouver un emploie pour faire vivre leur famille comme vient de dire une ministre libérale (pour le moment). Sauf qu’un job, ils en avaient un qu’ils quittent pour un meilleur (?), heureusement dans un domaine qu’ils connaissaient bien puisque leur job était de les surveiller, ce qu’ils ont fait avec tant d’ardeur que cela leur a valu la reconnaissance de leurs anciens adversaires (?) pour qui ils deviendront conseillers et entremetteurs.]

APRÈS LA DÉMISSION

Le premier ministre s'en est aussi pris vertement aux allégations de Marc Bellemare selon lesquelles le premier ministre lui aurait suggéré d'imputer son départ de la vie politique à des raisons familiales. Il affirme que c'est Marc Bellemare qui a évoqué ce facteur.

[Curieuse pudeur! On fait ça souvent dans le grand monde. Alors qu'on fout à la porte les petites gens, les grands «démissionnent » pour se consacrer à d'autres défis. Réorientent leur carrière. Sont appelés à un poste prestigieux: université, ambassade. Ou, charitablement, quittent pour des «raisons familiales» sous-entendant que les nerfs malades de leur épouse dépressives n'en peuvent plus de toutes ces tensions de la vie publique. Il faut alors les calmer. Et on ne peut plus les envoyer à l'asile d'aliénés comme dans le temps sur simple signature du mari. Les femmes sont comme ça. Humides et sensibles. Et comme le héron, l'époux se sacrifie pour elle en s'ouvrant la poitrine et leur donnant son foie.]

Il a également dit avoir eu « de la peine » lorsqu'il a entendu Marc Bellemare évoquer le repas de départ « très sincère » qu'il a offert en son honneur, à sa résidence, en juin 2004.

Il dit que sa femme Michèle et lui avaient « beaucoup d'empathie » pour Marc Bellemare, qui venait de vivre une année difficile en politique. Le premier ministre voulait lui dire à cette occasion qu'il avait « apprécié son travail »

Jean Charest dit qu'il a regretté d'entendre Me Bellemare assimiler ce repas à un « piège ».

SUR SA RELATION AVEC FRANCO FAVA

Le premier ministre a par ailleurs répété qu'il connaissait le collecteur de fonds Franco Fava, mais qu'il était une connaissance plutôt qu'un ami.

M. Fava a été invité à manger une fois à son domicile.

« Je n'ai pas souvenir d'une rencontre où j'étais seul avec M. Fava. À chaque fois que je l'ai rencontré, c'était dans des évènements publics », a-t-il dit.

Il s'agit habituellement du tournoi de golf annuel et du cocktail du chef.

M. Charest s'est moqué du témoignage de Marc Bellemare selon lequel le premier ministre du Québec et M. Fava étaient très proches.

« Au rythme où ça allait, on allait devenir jumeaux », a-t-il laissé tomber.

Le premier ministre a aussi démenti avoir recommandé M. Fava à Marc Bellemare.

Ce dernier a témoigné que le premier ministre lui avait suggéré de faire appel à ce « spécialiste du financement » en lui disant :

« dis-lui que c'est moi qui t'envoie ».

À ce sujet, M. Charest a répondu :

« Pourquoi je lui aurais dit ça? [...] Je ne fais pas ça. »

Jean Charest affirme ne pas avoir consulté Franco Fava pour la constitution de son Conseil des ministres en avril 2003, ni l'avoir informé de ses choix avant qu'ils ne soient rendus publics.

[Gouvernement parallèle?]

Me Bellemare a laissé entendre lors de son témoignage que M. Fava était au courant de sa nomination avant qu'il ne soit mis au courant lui-même.

M. Charest a aussi contredit certaines descriptions faites par son ex-ministre. Il affirme par exemple qu'à l'époque du mandat de M. Bellemare, le bureau de son chef de cabinet n'était pas à côté du sien, comme l'a affirmé son ancien ministre, mais à l'autre bout du corridor.

CHAREST SE DÉFEND DE TOUTE PARTISANERIE

M. Charest indique qu'il est important pour son gouvernement de nommer des gens compétents, à la magistrature comme ailleurs, et que la confidentialité des processus était bien comprise de tous ses membres.

Le premier ministre du Québec affirme que le gouvernement nomme des gens de toutes les allégeances politiques. Cette information lui est parfois transmise, a-t-il dit, et elle est d'ailleurs souvent de notoriété publique. Ce qui importe, affirme-t-il, est leur compétence.

«Si on nommait des gens en fonction de leur allégeance politique, ce serait une erreur.»

— Le PM Jean Charest

M. Charest confirme que Chantal Landry est la personne chargée de superviser les processus de nomination au sein de son cabinet, tant pour les juges que pour d'autres emplois relevant du secrétariat général aux emplois supérieurs.

Il reçoit donc à ce titre des listes de noms sur lesquels il donne son avis, y compris pour les aspirants juges.

À ce sujet, il dit être particulièrement intéressé par l'âge de ces candidats. M. Charest dit préférer des juges âgés d'au moins 50 ans, question d'expérience.

Les noms que Mme Landry lui soumet pour ces nominations, a-t-il dit, peuvent parfois être accompagnés de recommandations.

Il dit recevoir lui-même des recommandations, y compris de la part de membres de partis d'opposition.

Le premier ministre dit que cela est normal.

Il affirme qu'il a lui-même déjà croisé des gens qui ont tenté de promouvoir leur candidature pour des postes de juges. [Beau tétage et bel esprit d’indépendance.]

Il dit avoir déjà aussi reçu des appels de bâtonniers.

M. Charest déclare que la réponse à donner dans ces cas est toujours la même :

« Vous connaissez le processus ».

Il ne faut jamais, dit-il, confirmer ou infirmer si quelqu'un se trouve sur la liste, parce que ce n'est pas une information connue.

M. Charest soutient qu'à compétence égale, son gouvernement tente de faire des nominations de manière à rétablir l'équilibre homme femme ou à accroître la représentativité des communautés culturelles, y compris les anglophones.

Il est vrai cependant que le gouvernement cherche des gens qui cooptent ses objectifs. [Mais pas des «partisants». Hum!]

Le premier ministre affirme en outre qu'il n'était pas au courant que le collecteur de fonds du PLQ Charles Rondeau est allé à son bureau à une vingtaine de reprises dans les mois qui ont suivi son entrée en fonction.

Il a expliqué que son bureau comprend deux ailes, qui s'étendent sur la longueur d'un terrain de football.

Son bureau se trouve d'un côté et celui de Mme Landry de l'autre, de sorte qu'il est normal qu'il ne soit pas au courant des allées et venues de tout le monde.

LE SAVIEZ-VOUS?

C'est la première fois depuis 1891 qu'un chef de gouvernement québécois en fonction est appelé à se livrer à un tel exercice.

La teneur du témoignage de Jean Charest n'était pas totalement inconnue, puisque l'avocat de Me Bellemare a dévoilé des extraits de l'interrogatoire avant défense qu'il a subi dans le cadre du procès que lui intente Marc Bellemare.

*

En profondeur La commission Bastarache

Nouvelles, chronologie, audiences de la commission en direct

Bellemare-Charest : Chronologie d'un affrontement

Les propos de l'ancien ministre de la Justice ont mené à une poursuite de 700 000 $ et à la création d'une commission d'enquête.

Audio-Vidéo

Le résumé de Louiselle Lévesque

Josée Thibeault fait le compte rendu de la version de Jean Charest.

Sébastien Bovet explique que Jean Charest nie formellement les allégations de Marc Bellemare.

Michel C. Auger et Me Bernard Roy analysent le témoignage de Jean Charest.

Pierre Moreau, whip en chef du gouvernement, Bertrand St-Arnaud, leader parlementaire adjoint de l'opposition officielle, et Sylvie Roy, leader parlementaire du deuxième groupe d'opposition, débattent sur le témoignage de Jean Charest.

Michel Pepin et Vincent Marissal commentent le témoignage du premier ministre.

Hyperlien externe

Commission d'enquête sur le processus de nomination des juges

816 COMMENTAIRES


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Photo. Francis Vachon

http://www.dose.ca/news/3276761.bin?size=dose462

http://www.dose.ca/news/story.html?id=3276729

4590. PRIÈRE. CHÈRES MÉNAGÈRES, JE VOUS EN PRIE, CROYEZ-MOI!


Photo. http://www.ledevoir.com/politique/quebec/296945/presence-de-collecteurs-de-fonds-au-cabinet-du-pm-charest-se-dit-a-l-aise

Présence de collecteurs de fonds au cabinet du PM - Charest se dit «à l'aise»

4589. DIEU NOUS PRÉSERVE. AFFIRMATION. RÉVÉRATION POUR CETTE BONTÉ. PAUVRE DE NOUS! AU CHOIX.


Image. Bob Krieger. Simon Fraser University

http://edocs.lib.sfu.ca/projects/Cartoons/fullsize/3-1998-03-09.gif

4588. QUELQU'UN VIENT DE MENTIR. MENTIR SOUS SERMENT. SE PARJURER. QUELQU'UN DEVRA ALLER EN PRISON.


Le premier ministre Jean Charest a nié en bloc, très catégoriquement, toutes les informations que son ministre de la Justice d’alors, Marc Bellemare, lui aurait données en 2003-2004 sur des pressions indues qu’il aurait subies de la part de collecteurs de fonds en faveur de candidats à des postes de juges.

Jean Charest était extrêmement bien préparé. En plus des habituelles rencontres préparatoires avec ses procureurs, il avait visionné l’intégrale de l’interrogatoire et des contre-interrogatoires de Marc Bellemare devant la commission.

Il a témoigné sobrement, mais avec beaucoup de fermeté pour démontrer que M. Bellemare aurait fabriqué de toutes pièces tout ce qu’il lui attribue à ce sujet.

Il en a profité pour glisser des commentaires peu flatteurs sur sa personnalité et sur les dégâts qu’il a causés à la direction du ministère de la Justice au cours de la seule année qu’il y a passée.

On retient du portrait fait par M. Charest que Marc Bellemare était en quelque sorte un homme égaré en politique, incapable de travailler en équipe et instable.

M. Charest a parlé de ses « crises », de « jours sombres » et autres références suggestives sur l’équilibre psychologique de son ministre.

Les versions sont si radicalement opposées que l’un ou l’autre a menti honteusement, sous serment, et à la face de tout le Québec.

Le procureur de Me Bellemare, Me Jean-François Bertrand, aura une tâche titanesque aujourd’hui pour rétablir les allégations de son client.

Quand l’un affirme qu’il a informé son premier ministre au cours d’une rencontre qu’il subissait des pressions et que l’autre jure que cette rencontre n’a même jamais eu lieu, c’est irréconciliable.

UN PM DÉTENDU

M. Charest a fait son entrée à la commission comme s’il s’agissait d’une rencontre sociale.

Il a serré les mains des procureurs de toutes les parties, taquiné Me Jean-François Bertrand sur son plaisir de le retrouver (Me Bertrand l’a interrogé dans le cadre de la poursuite civile contre Me Bellemare) et il est demeuré très détendu tout au long de son témoignage.

Il a commencé celui-ci en racontant avoir voulu devenir avocat en suivant la télésérie Perry Mason lorsqu’il était enfant.

Le premier ministre a par ailleurs été si catégorique dans ses négations en série qu’il est devenu convaincant.

[?]

POIDS PLUMES

M. Charest a aussi banalisé ses relations personnelles avec Franco Fava et Charles Rondeau.

Il ne leur a concédé aucune influence politique réelle découlant de leur travail de collecteur de fonds.

Charles Rondeau aurait simplement donné un coup de main à Chantal Landry dans sa tâche énorme dans les mois suivant la victoire électorale de 2003.

Un gouvernement procède à quelque 800 nominations au cours d’une année régulière, mais le nombre a grimpé à 1 300 après cette élection, entre autres en raison de la formation des cabinets ministériels.

Le premier a expliqué ne les rencontrer qu’une couple de fois par année et il a nié en bloc tous les propos de M. Bellemare sur des échanges Charest-Fava au sujet des nominations de juges.

À la fin de l’interrogatoire mené par Me Giuseppe Battista, il ne restait plus rien de toutes les prétentions de Me Marc Bellemare sur les pressions qu’il aurait subies.

Me Jean-François Bertrand a le défi de reconstruire l’édifice en entier, devant un commissaire maintenant très peu tolérant à son endroit et contre une brochette de procureurs qui chercheront à le menotter.

*

Photo. http://www.nationalpost.com/news/2995201.bin?size=620x465

4587. MÉFIEZ-VOUS DES IMITATIONS. DES SOURCES GÉNÉRALEMENT BIEN INFORMÉES SOUS-ENTENDENT QUE L'INDIVIDU CONCERNÉ AURAIT PLUSIEURS PERSONNALITÉS.

Image. http://desencyclopedie.wikia.com/wiki/Jean_Charest

Article sur Jean Charest. De source peu fiable comme la majorité des articles des médias sur le même sujet. Correspond néanmoins à ce qu'on peut attendre du sujet. On fait avec ce qu'on a.

Extrait:

Attention : humour québécois

Le texte que vous êtes sur le point de lire a été rédigé avec un accent québécois. Il est donc totalement incompréhensible aux Français, Suisses, Monégasques et même aux Belges. Passez votre chemin ou continuez à vos risques et périls.

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Et enfin parce qu'il faut quand même bien rendre hommage à nos auteurs les plus talentueux voici pour finir...quelques articles du Best-Of de la Désencyclopédie

samedi 25 septembre 2010

4586. TEST DE GOÛT. L'AMI DU PEUPLE. OPINION DU CONSOMMATEUR.

SUR DEMANDE, NOUS METTONS À LA DISPOSITION DE LA MÉNAGÈRE UN ÉCHANTILLON GRATUIT DE NOTRE NOUVEAU PRODUIT. MONSIEUR SINCÈRE, LA FRANCHISE MÊME. L'AMI DU PEUPLE ET DU CONTRIBUABLE. VOUS AUREZ 8 ANS POUR LE TESTER. AVEC POSSIBILITÉ DE L'ESSAYER ENCORE 4 ANS DE PLUS. VOUS NE POURREZ PLUS VOUS EN PASSER. MAIS - LA MÉNAGÈRE ÉTANT SCEPTIQUE -SE DEMANDERA SANS DOUTE COMMENT EST-DE POSSIBLE DE METTRE À NOTRE DISPOSITION UN SI PRODUIT SI EFFICACE, GRATUITEMENT? NOTRE RÉPONSE À CETTE INQUIÉTUDE FÉMININE LÉGITIME (LES FEMMES SONT NATURELLEMENT INSÉCURE ): PARCE QU’IL EST ENVOYÉ PAR LE DESTIN. DE PLUS, NOTRE PRODUIT NE DEMANDE QU'UN PEU D'AFFECTION ET LE SENTIMENT DE SE SAVOIR UTILE. UN MINIMUM D'ENTRETIEN. LE SENTIMENT QU'IL FAIT LA VOLONTÉ DE DIEU LUI SUFFIRA. IL SE PAIE DE LUI-MÊME. VOUS NE POURREZ PLUS COMPTER LES ÉCONOMIES QUE VOUS FEREZ EN L'UTILISANT. EN FAIT, PLUS VOUS L'UTILISEREZ PLUS VOUS ÉPARGNEREZ. NOTRE PRODUIT EST UNIQUE, VOUS NE POURREZ PLUS VOUS EN PASSER. NOS CONSEILLERS SONT À VOTRE DISPOSITION POUR RÉPONDRE À VOS QUESTIONS. À L'USAGE VOUS DÉCOUVRIREZ SANS CESSE DE NOUVELLES FONCTIONS. NOTRE PRODUIT EST UNIQUE. MÉFIEZ-VOUS DE LA COMPÉTITION ET DES IMITATIONS. NOUS SOMMES SI SÛR DE SA PERFECTION, QU'EN CAS (TRÈS IMPROBABLE) D'INSATISFACTION, VOUS POUVEZ RAPPORTER SANS FRAIS CE PRODUIT À NOTRE CENTRE DE DISTRIBUTION. NOUS VOUS LE REMPLACERONS PAR LE DERNIER MODÈLE DISPONIBLE. REGARDER, ÉCOUTEZ, LISEZ LES TÉMOIGNAGES DE CONSOMMATRICES SATISFAITES. FAÎTES-NOUS PARVENIR LES NÔTRES. EN PRIME: UN PETIT LIVRE ROUGE. MODE D'EMPLOIE POUR LE FUTUR.

mercredi 22 septembre 2010

4583


Image. Sûreté du Québec

Montreal (Québec)

http://archive.gg.ca/heraldry/pub-reg/project-pic.asp?lang=f&ProjectID=470&ProjectElementID=1567

4582. LOCO LOCASS - LA CENSURE POUR L'ECHAFAUD

4581. LES CARICATURES DE MAHOMET VERSION CANADIENNE AVEC CES RACISTES ANTISÉMITES DE QUÉBÉCOIS. HONTE ! DÉJÀ BOB ET LOLA, LES ESCARGOTS ANTISÉMITES

OTTAWA

LE DROIT

Le groupe de défense des intérêts juifs au pays, le B'nai Brith, est outré par une caricature du quotidien Le Droit, en raison d'une étoile de David dessinée sur l'horloge de la Tour de la Paix.

L'organisme réclame des excuses.

Mais selon le caricaturiste Guy Badeaux, il s'agit d'un simple malentendu.

Le dessin de Bado décrit la rentrée parlementaire à Ottawa avec un panneau de signalisation routière indiquant un chemin sinueux, avec en arrière-plan, la Tour de la Paix où l'on peut voir une étoile de David à la place de l'horloge, ce qui sous-entendrait, aux yeux de B'Nai Brith, un contrôle des Juifs sur le gouvernement canadien.

Le caricaturiste Guy Badeaux allègue qu'il caricature la Tour de la Paix de cette façon depuis des années, en simplifiant tout simplement le dessin derrière les aiguilles de l'horloge.

Le Droit n'a pas l'intention de retirer le dessin du site de Cyberpresse, disant qu'il s'agit là « d'une tempête dans un verre d'eau. »

*

Image. Bado. Le Droit.

La caricature de Bado qui a irrité les membres de B'Nai Brith

http://photos.cyberpresse.ca/51-8382/?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_caricatures_543_section_POS1#enVedette/0/recherche/Rechercher%20un%20album/0/onglets/51/0/album/8382/202341/

4580. LE LOBBY ANGLO QUI N'A PAS DE NOM EST PAS CONTENT ET FAIT DE LA CRITIQUE D'ART

B’NAI BRITH CANADA – QUÉBEC ÉCŒURÉ PAR UNE CARICATURE DE LA PRESSE

Posted On 09/21/10
http://www.bnaibrith.ca/prdisplay.php?id=1714
MONTRÉAL, 20 septembre 2010 -

B’nai Brith Canada – Région du Québec est choqué par la caricature parue dans le numéro du 20 septembre 2010 de La Presse. La caricature offensante, qui représente le Parlement dominé par une Étoile de David, fait allusion à l’allégation non fondée et offensante que les juifs contrôlent le gouvernement du Canada.

« La caricature fait le jeu de vieux stéréotypes méchants et sans fondement voulant que les juifs complotent pour contrôler le monde,” dit Me Moïse Moghrabi, président de la Ligue des droits de la personne pour le Québec.

« Cette caricature ne commente aucune question importante, elle sert uniquement à attiser le ressentiment du public envers la communauté juive. Nous trouvons regrettable et honteux qu’un quotidien respectable répande des canards aussi nuisibles. Cette caricature est une attaque contre la communauté juive au Canada.

« Ce n’est pas la première fois que La Presse publie une caricature pleine de connotations antisémites. En juin 2007, Serge Chapleau représentait le chef de l’ Action Démocratique du Québec sous un jour défavorable, lui donnant le visage stéréotypé d’un juif hassidique, avec des cheveux bouclés devant les oreilles et un énorme chapeau en fourrure.

« Nous sommes écœuré par la publication répétée dans La Presse de caricatures aussi indignes. Nous demandons à La Presse de retirer immédiatement la caricature de son site Web, de présenter des excuses pour avoir publié une propagande aussi ouvertement antisémite et d’entreprendre un examen des politiques éditoriales qui ont permis la diffusion d’un contenu aussi ignoble. »

*

B’NAI BRITH CANADA – QUÉBEC DÉÇU QUE LA CARICATURE N’A PAS ÉTÉ RETIRÉE DU SITE WEB DE LA PRESSE

Posted On 09/22/10
http://www.bnaibrith.ca/prdisplay.php?id=1718
MONTRÉAL, 21 septembre 2010 - B’nai Brith Canada –

Québec n’arrive pas à s'expliquer les raisons pour lesquelles le journal La Presse n’a pas pris des mesures, pourtant évidentes et simples, pour retirer la caricature parue dans son édition en ligne du 20 septembre 2010, choisissant de garder le silence et de s’en remettre aux excuses de l’artiste. La caricature est également parue dans le numéro du 20 septembre 2010 du journal Le Droit d’Ottawa Gatineau.

« En dépit du tollé soulevé dans la communauté, cette caricature épouvantable est toujours accessible en ligne sur le site de cyberpresse.ca, » dit Me Moise Moghrabi, président de la Ligue des droits de la personne au Québec. "Cette caricature sera diffusée sur Internet dans des milliers de sites haineux et retentira auprès des antisémites du monde entier. Il faudrait la retirer sur-le-champ."

« L’affirmation de l’artiste selon laquelle il "essayait seulement de faire le dessin de la Tour de la Paix" n’est pas acceptable. il est de sa responsabilité et de celle du groupe Cyberpresse de retirer la caricature et de publier des excuses. La caricature est offensante et n’a pas sa place dans un journal respectable tel que La Presse. »

*

B’NAI BRITH CANADA – QUEBEC DISAPPOINTED THAT CARTOON NOT YET REMOVED FROM LA PRESSE WEBSITE

Posted On 09/22/10
http://www.bnaibrith.ca/prdisplay.php?id=1717
MONTREAL, September 21, 2010 -

B’nai Brith Canada – Quebec Region is in a quandary as to why La Presse has not taken the obvious and simple step of removing the cartoon which appeared in the September 20, 2010 online edition of the paper, and instead has remained silent, relying upon the excuses of the artist. The cartoon was also published in the September 20, 2010 edition of the Ottawa Gatineau paper Le Droit.

“Despite the outcry from the community, this appalling cartoon is still available online at cyberpresse.ca,” said Me Moise Moghrabi, Quebec Chair of The League for Human Rights. “This cartoon will be disseminated on the internet on thousands of hate sites and will resonate with antisemites globally. It should be removed immediately.

“The artist’s claim that he was merely ‘attempting to draw the design of the Peace Tower’ is not acceptable. It is his responsibility and the responsibility of the Cyberpresse group to pull the cartoon and issue an apology. The cartoon is offensive has no place in a respectable newspaper such as La Presse.”

*

LE SYNDROME DE LA CARICATURE DANOISE DE MAHOMET ENVAHIT LES MÉDIAS CANADIENS

Posted On 01/15/10
http://www.bnaibrith.ca/prdisplay.php?id=1611

TORONTO, 15 janvier 2010 –

À la lumière du peu de réaction des médias à la publication dans un journal communautaire islamique canadien d’un article accusant les juifs de tuer des enfants afin de prélever leurs organes, B’nai Brith Canada s’interroge sur le ‘blocage’ dans les médias que l’organisme constate quand il s’agit de l’antisémitisme et du sentiment anti-occident qui émane de la communauté islamique.

« Une diffamation horrible accusant le peuple juif d’assassinats a été publiée ici même au Canada et la plupart des journaux et médias électroniques nationaux l’ont passée sous silence »,

dit Frank Dimant, vice-président exécutif de B’nai Brith Canada.

« Nous sommes inquiets de voir qu’une telle haine a fait l’objet d’un l’objet d’un silence quasi total dans les médias. Nous ne pouvons que supposer que les journalistes craignent d’être étiquetés ‘islamophobes.’

« Les grands médias ont pris la peine de nous interviewer quand l’affaire de la publication de cet article ignoble du Al-Ameen est sortie mais nous avons appris par la suite que ces articles avaient été supprimés.

Il ne fait aucun doute pour nous que la propagation d’une telle haine par d’autres religions ou d’autres groupes ethniques aurait soulevé un tollé au Canada.

« Nous avons tous assisté à un ‘silence’ des milieux juridiques dans le passé devant des tentatives frivoles dans notre système de protection des droits de la personne pour museler et de sanctionner le magazine Maclean’s, le Western Standard et Ezra Levant, et même B’nai Brith pour avoir prétendument ‘franchi une ligne.’

Même si ces tentatives se sont révélées infructueuses, leurs conséquences durables – la nécessité de consacrer du temps et des ressources à se défendre contre des plaintes frivoles – ont suscité dans notre société une appréhension quand il s’agit de protester contre l’islam radical et ses manifestations.

Nous sommes inquiets de voir que ce ‘blocage’ se répand dans nos médias, un des piliers de la société dont la liberté de faire état de tels problèmes doit être protégée. »

*

http://www.bnaibrith.ca/

*

http://www.jewishtribune.ca/TribuneV2/

4579. B’NAI BRITH CANADA. LOGO. ARMOIRIE. MAIS ON SAIT PAS COMMENT PRONONCER LE NOM.


Image. B'nai B'rith Canada

North York (Ontario)

http://archive.gg.ca/heraldry/pub-reg/project.asp?lang=f&ProjectID=349

4578. ASSEMBLÉE NATIONALE. MARDI 21 SEPT. 2010. RENTRÉE PARLEMENTAIRE ET SORTIE DE MONSIEUR CHAREST ?


Image. Hervé Philippe. La Tribune

http://photos.cyberpresse.ca/51-8382/?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_caricatures_543_section_POS1#enVedette/0/recherche/Rechercher%20un%20album/0/onglets/51/0/album/8382/202421/

4577. KARKWA ET LIZ POWELL - LES CHEMINS DE VERRE

mardi 21 septembre 2010

4576. ONU. IRAN. DISCOURS DE MONSIEUR AHMADINEJAD. SEPT. 2010

CONSEIL À LA MÉNAGÈRE: IL FAUT AVOIR PEUR. ON VOUS LE DIT. IL NE FAUT PAS LIRE OU VOUS RENSEIGNER VOUS-MÊME. MAIS ÉCOUTER CE QUE LES GENS QUI PENSENT BIEN VOUS DISENT. ILS SAVENT CE QUI EST BON POUR VOUS. ET L'ÉMOTION QUE VOUS DEVRIEZ AVOIR. VOUS N'AVEZ PAS PEUR? INCONSCIENTE. VOUS ALLEZ SOUFFRIR. VOUS VERREZ! ET CE SERA DE VOTRE FAUTE!

*

[ÇA COMMENCE EN BAS.]

WE CAN END POVERTY 2015

MILLENNIUM DEVELOPMENT GOALS

UN SOMMIT. 20-22 sept. 2010. NEW-YORK

http://www.un.org/millenniumgoals/

http://www.un.org/en/mdg/summit2010/debate/21092010.shtml

http://www.un.org/en/mdg/summit2010/debate/IR_en.pdf

Statement by:

H.E. Dr. Mahmoud Ahmadinejad

President of the Islamic Republic of Iran

at the High-level Plenary Meeting of the General assembly on Millennium Development Goals (New York -21 September 2010)

In the name of God the compassionate, the merciful

"All praise be to jlllah, the Lord of the universe, and peace and blessing be upon our Master and Prophet Mohammad and his pure household, and his noble companions"

"0h, God, hasten the arrival of Imam al-Mahdi and grant him good health and victory, and make us his followers and part of those who attest to his rightfullness

Honorable Chairman,
Distinguished colleagues,
Ladies and gentlemen,

I praise the Almighty God for granting me the opportunity to attend this august gathering.

The aspiration of all times of humanity has been the attainment of a prosperous life full of beauty, serenity, amity and moral and spiritual perfection.

We have in front of us, thousands of years of somewhat bitter and sweet experiences along with abundant opportunities in order to build a better future in conformity with the true dignity of mankind and as the most gracious creation of God deserves.

The most serious problems of the past millennia were derived from the inhumane and infected creeds accompanied by unfair and cruel managements. In fact, the undemocratic and unjust governance structures of the decision making bodies in international economic and political fields are the reasons behind most of the plights today humanity is confronting with.

The demanding liberal capitalism and transnational corporations have caused the suffering of countless women, men and children in so many countries.

The first decade of the current millennium, although marked by the UN General Assembly as the International Decade for the Culture of Peace-was unfortunately marred with war, occupation, carnage, wandering and intimidation.

Fundamental reform of this undemocratic and unjust system to a fair and open one is essential.

The world is in need of an encompassing and of course, just and humane order in the light of which the rights of all are preserved and peace and security are safeguarded.

This new order entails two elements; namely a theoretical basis along with required structures and managerial methods which are decisive factors in the formation and functioning of the new order.

It is my firm belief that in the new millennium, we need to revert to the divine mindset, to our true nature for which man was created and indeed, to the just and fair governance. Divine mindset based on the perfectionist and justice-seeking nature of mankind and on the monotheistic world-view is in fact, the very heavenly mindset which makes the man's blisshl talents blossom. Such mindset is the mankind's guiding principle for a prosperous social life,adjusting his economic, cultural and political beings, free from egoisms, hegemonic tendencies and envies.

Meanwhile, just and fair governance based on divine mindset is a prerequisite and the
guarantor for realization of justice, love and security in the society.

Peoples and Nations seek their eminence, dreams and aspirations in having amicable relations and fair cooperation and look for their identity through coexistence with others.

- Those that have not felt justice within their souls and are unable to control their rage and selfish desires;

-Those who do not feel passionate towards others;

- Those that are not touched when the people's rights are breached and widespread carriages happen;

- And those who are merely mindful of their own interests and their selfish, sectarian and materialistic pleasures can not uphold justice and bring about prosperity.


The Third Millennium ought to be the millennium in pursuit of the new order based on pure and righteous governance all over the world and in the centers of power.

Now that the discriminatory order of capitalism and the hegemonic approaches are facing defeat and are getting close to their end, all-out participation in upholding justice and prosperous interrelations is essential.

All should participate in a coordinated effort for putting in place the competent governance in the centers of the world power and for securing serenity, welfare, friendship, and sustainable peace and security.

Since this great ideal is only attainable through the participation of all nations and states, I wish to propose that the second decade of this century be named by the UN as "The decade for.

the joint global governance" and request all heads of states, thinkers and global reformers through consultation and empathy to spare no effort in practical planning for the realization of this noble goal.

Undoubtedly, this is an introduction to the bright destiny of mankind as promised by God, all prophets, the righteous and the saints which will occur by resurrection of the promised one along with the Jesus (peace be upon them). Let us join hands and make the Third Millennium the one in which all the good deeds and beauties prevail and justice is uphold. Let us make God content by founding compassionate coexistence throughout the world.

Peace be upon the promised one who will bring justice; peace be upon all the good-hearted People and all the justice-seekers, peace be upon who has love for the mankind in heart and dream of his progress and eminence in mind. Peace be upon the Millennium of freedom,righteousness and beauty.

Thank you very much.

[VOILÀ, C'EST FINI! ]