NEW YORK (AFP) — Le prix Nobel de la paix Elie Wiesel a qualifié l'investisseur américain Bernard Madoff, accusé d'une gigantesque fraude, de "psychopathe" (...) selon des propos rapportés par le New York Post.
"Psychopathe est un mot trop gentil pour le qualifier", a déclaré M. Wiesel, dont la Fondation avait donné en gestion la quasi-totalité de ses avoirs à la société de Bernard Madoff, soit plus de 15 millions de dollars, selon le quotidien.
"Il devrait être placé à l'isolement pendant au moins cinq ans avec un écran sur lequel seraient diffusées des photos de ses victimes" *(...)
"Il faudrait inventer n'importe quoi pour le faire souffrir (...) Il devrait être présenté à des juges qui trouveraient un châtiment" (...)
Bernard Madoff, 70 ans, a été arrêté le 11 décembre dernier après avoir révélé à ses proches qu'il avait pendant des décennies monté un énorme fonds d'investissement frauduleux, où des rémunérations élevées fictives étaient offertes aux clients qui lui confiaient leur argent.
(Selon le vieux système des ventes pyramidales qui sert aussi bien à la vente de produits ménagers, médicamentes miracles, Boursiers ou de Loterie, les nouveaux "déposants", "investisseurs", "participants", "joueurs pathologiques" renflouent constamment la petite caisse, rémunéraient le patron et les anciens clients. Ce qui fait que les occupations de l'entreprise consiste davantage à recruter de nouvelles poires qu'à surveiller les placements imaginaires. Les taux étaient de 10-15% pendant des décennies, ce qui ne s'était jamais vu ailleurs. C'était donc un de ces secrets bien gardés dont ne bénéficient que les gens bien en place. La perte serait de 50 milliards. Devenu vieux, sans doute fatigué du petit jeu, ayant peut-être des "remords", il est allé un jour se confesser. Après avoir mis 150 millions de côté pour les besoins de sa famille et l'héritage de ses héritiers. Il a pu vivre pendant toute sa vie aux dépends des autres qui faisaeint la plupart la même chose. On l'applaudit bien fort!)
(La mojorité de ses clients étaient, comme lui, des juifs riches et influents, "ami" d'Israël, dont monsieur W.)
Seul accusé jusqu'à présent, et pas encore formellement inculpé, l'investisseur est assigné à résidence 24 heures sur 24 dans son luxueux appartement de Manhattan. (Qui est au nom de sa femme.)
La Fondation Elie Wiesel, vouée à l'entretien de la mémoire de l'Holocauste (et à la création de musée de ce genre dans toutes les capitale du monde), mène des programmes de sensibilisation à l'antisémitisme auprès des jeunes, en organisant concours et conférences internationales. Elle a été créée en 1986 par le prix Nobel de la Paix et sa femme Marion.
(Monsieur W est, selon des personnes généralement bien informée, un agent d'influence d'Israël. Un parmi des nombreux.)
(Tout prix Nobel de la paix qu'il soit, monsieur W, à chaque fois qu'Israël donne une volée à un pays voisin l'encourage.)
(Il y a probablement une morale à cette histoire.)
(Les notes entre parenthèse sont du professeur Bulle qui est un parfait irresponsable et ne sait vraiment pas ce qu'il dit.)
"Psychopathe est un mot trop gentil pour le qualifier", a déclaré M. Wiesel, dont la Fondation avait donné en gestion la quasi-totalité de ses avoirs à la société de Bernard Madoff, soit plus de 15 millions de dollars, selon le quotidien.
"Il devrait être placé à l'isolement pendant au moins cinq ans avec un écran sur lequel seraient diffusées des photos de ses victimes" *(...)
"Il faudrait inventer n'importe quoi pour le faire souffrir (...) Il devrait être présenté à des juges qui trouveraient un châtiment" (...)
Bernard Madoff, 70 ans, a été arrêté le 11 décembre dernier après avoir révélé à ses proches qu'il avait pendant des décennies monté un énorme fonds d'investissement frauduleux, où des rémunérations élevées fictives étaient offertes aux clients qui lui confiaient leur argent.
(Selon le vieux système des ventes pyramidales qui sert aussi bien à la vente de produits ménagers, médicamentes miracles, Boursiers ou de Loterie, les nouveaux "déposants", "investisseurs", "participants", "joueurs pathologiques" renflouent constamment la petite caisse, rémunéraient le patron et les anciens clients. Ce qui fait que les occupations de l'entreprise consiste davantage à recruter de nouvelles poires qu'à surveiller les placements imaginaires. Les taux étaient de 10-15% pendant des décennies, ce qui ne s'était jamais vu ailleurs. C'était donc un de ces secrets bien gardés dont ne bénéficient que les gens bien en place. La perte serait de 50 milliards. Devenu vieux, sans doute fatigué du petit jeu, ayant peut-être des "remords", il est allé un jour se confesser. Après avoir mis 150 millions de côté pour les besoins de sa famille et l'héritage de ses héritiers. Il a pu vivre pendant toute sa vie aux dépends des autres qui faisaeint la plupart la même chose. On l'applaudit bien fort!)
(La mojorité de ses clients étaient, comme lui, des juifs riches et influents, "ami" d'Israël, dont monsieur W.)
Seul accusé jusqu'à présent, et pas encore formellement inculpé, l'investisseur est assigné à résidence 24 heures sur 24 dans son luxueux appartement de Manhattan. (Qui est au nom de sa femme.)
La Fondation Elie Wiesel, vouée à l'entretien de la mémoire de l'Holocauste (et à la création de musée de ce genre dans toutes les capitale du monde), mène des programmes de sensibilisation à l'antisémitisme auprès des jeunes, en organisant concours et conférences internationales. Elle a été créée en 1986 par le prix Nobel de la Paix et sa femme Marion.
(Monsieur W est, selon des personnes généralement bien informée, un agent d'influence d'Israël. Un parmi des nombreux.)
(Tout prix Nobel de la paix qu'il soit, monsieur W, à chaque fois qu'Israël donne une volée à un pays voisin l'encourage.)
(Il y a probablement une morale à cette histoire.)
(Les notes entre parenthèse sont du professeur Bulle qui est un parfait irresponsable et ne sait vraiment pas ce qu'il dit.)