Ça sent le souffre.
Si les firmes d'ingénieurs et de construction, maitre d'œuvre de cette catastrophe, n'ont pas été inquiété dans cette histoire, c'est tout simplement que le Canada est le paradis judiciaire des délinquants corporatifs comme l'affirme avec moult preuves à l'appui de leur thèse « Noir Canada » de l'auteur Alain Deneault en collaboration avec Delphine Abadie et William Sacher. Jamais personne de responsable.
Les ponts s'effondrent, 40 milliards disparaissent de la caisse de dépôt et les dirigeants empochent des primes au rendement !
Les firmes de génie-conseil sont affairés un peu partout dans le monde, accoquinés à des dictatures féroces et des régimes d'une corruption à faire frémir JJ Charest lui-même.
Pointer du doigt les responsables d'un tel gâchis risquerait fort de nuire à l'image de marque de ces sociétés à l'étranger.
Voilà sans doute la véritable raison de cet inquiétant silence de la part des « autorités compétentes ».