DOUTEUR ET UNE PAGE INTÉRESSANTE

lundi 15 mars 2010

3185. LE PROFESSEUR BULLE COMMENTE LE NO 3184

Parmi les forces qui commandent à la société

(puisque tout est rapport de force) (pour préciser, pour ceux qui ont moins de neurones, le plus fort oblige à faire au plus faible ce qu'il veut. Comme le savent toutes les femmes violées. Ce n'est que le plaisir qui change.).

(le plus fort prend ce qu'il veut et on ne tient sa survie ou la quantité de sang ou d'$ perdu qu'à sa modération)

il y a les syndicats.

(aussi la mafia indépendante et celle du Conseil du Patronat - mais c'est un autre sujet) (crime désorganisé, organisé, très organisé, légal et béni).

Avec toutes ces forces en présence et en concurrence, le syndicalisme est le seul appuis des travailleurs isolés (qui ne peuvent compter sur aucun parti politique qui préfèrent évidemment soutenir les plus forts soient la Mafia des patrons), il est donc très tentant de la corrompre par l'entremise de ses représentants.

Ou, comme il s'agit d'humainerie, la tentation de la corruption vient d'elle-même avec les occasions.

Ici, la seule corruption des chefs n'est pas seule en cause même si certains abusaient des fausses factures. Il y a aussi les liaisons douteuses (?) avec certains grands entrepreneurs (avec qui ils auraient dû être normalement en conflit - puisqu'on vous dit que tout est rapport de force) qui ont ailleurs des relations tout aussi douteuses avec les politiciens des différentes marches de l'escalier - du municipal en montant.

On parle aussi de la corruption basique qui rend tentant pour le gros bras - comme le savent tous ceux qui ont gardé un souvenir impérissange du merveilleux temps de l'école- de taxer les plus faibles.

Ici, on demandait aux ouvrier de payer pour travailler sinon.

Bref, il y a de quoi enquêter et de quoi ne pas vouloir.

Le chat du professeur Bulle salive.