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dimanche 23 mai 2010

3717.



En 2009, le PDG d'Hydro-Québec, Thierry Vandal, s'est vu accorder un boni de 125 000 $ en 2009. La Caisse de dépôt et placements a de son côté versé pour 22 millions de dollars en bonis.

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2010/04/29/002-bonis-dirigeants.shtml

[On peut noter que la compagnie Bombardier n'existerait pas sans les subventions et les commandes des États Canadienns et Québécois. Appeler cet organisme une «compagnie privée» relève donc de la pure poésie. On notera donc que le salaire de son PDG est très élevé pour ce qu'il fait: demander des subventions et faire du chantage lors des référendums - menaçant le gouvernement avec la possibilité que «sa» compagnie déménage. Affirmant dans ses moments libres qu'elle est trop taxée (?) et que le peuple ne l'est pas assez. Que le gouvernement devrait diminuer ses dépenses qui diminue «la compétitivé des entreprises» mais non ses subventions et autres allègements fiscaux faisant des compagnies «privées» québécoises les plus aérées des environs. On remarque que son PDG aime dialoguer.]