DOUTEUR ET UNE PAGE INTÉRESSANTE

vendredi 9 juillet 2010

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Comment informer l'ONU? Y a-t-il un gouvernement qui fait quelque chose?

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La vraie question est: ya-t-il une piasse a faire la dessus?

Ya-t-il un interet geo-politique et economique?

Si la réponse est NON, ne crois surtout pas que l'ONU ou quelconque gouvernement va débarquer pour la seule et unique defense des femmes la bas.

Le maximum auquel tu peux t'attendre, c'est une lettre de reprimande pour contenter l'opinion publique.

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Ils ont un gouvernement : le gouvernement sud-africain.

Pourquoi ce gouvernement ne fait-il rien?

Il ne fait rien contre beaucoup de choses d'ailleurs (viols de bébés, viols de fillettes, etc...).

C'est horreur après horreur que nous apprenons.

Pourquoi irions-nous nous mettre le nez dans leurs affaires? Qu'ils agissent d'abord.

Et que les médias nous expliquent aussi pourquoi ce gouvernement ne fait rien.

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Les organismes de défense des droits de l'homme (et de la femme) ne peuvent rien pour les laissés pour compte de l'économie.

Nos droits sont donc virtuels!

Le fond du problème, c'est qu'ils font de la fausse représentation; ce qui est le pire des viols, selon moi. J'ai des preuves mais l'on ne m'écoute pas moi non plus, en d'autres matières de droits, au Québec; donc ce que dis est vrai:

Nos gouvernements nous oppressent et rient de nous autre.

Celui qui le dit est pris au piège...

Leur force est leur droit.

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On a beau mettre beaucoup d'accent sur les progrès de l'Afrique, il ne faut pas oublier de parler de ce genre de pratiques barbares. D'ailleurs je crois que c'est Richard Martineau qui en parlait sur son blogue récemment.

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L'ONU ne peut rien faire contre les crimes des hommes; mais s'il n'y avait pas une Charte, il ne nous resterait plus rien qu'à nous révolter...

C'est du barbarisme technocratique, à complicité libéralitaire!

Nos sorts sont donc entre nos mains...

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Envoyé par Caroline12
9 juillet 2010 à 09 h 27 HAE

En Afrique du Sud comme un peu partout dans le monde, le véritable problème c'est un problème de valeurs, tant que la vie et la dignité humaine ne seront pas le bien le plus précieux il ne sera pas possible d'obtenir de changements importants.

Nous mesurons ce qui a de la valeur à l'aulne de l'argent, le jour ou le bonheur des gens sera le principal étalon de mesure tout va changer.

Nos valeurs n'ont pas évolués contrairement à la technologie, à la science et à la médecine, si nos valeurs devenaient désuètes aussi rapidement que nos ordinateurs après 6 mois, imaginez le spectaculaire bon évolutif que l'humanité aurait connu.

Le problème c'est que nos croyances et nos concepts du monde ne suivent pas le rythme de la technologie, c'est pourquoi nous mettons au point des armes de destructions massives hyper sophistiqués au lieu de mettre au point des moyens de nourrir tout le monde et de partager la richesse de manière hautement sophistiquée.

Quand la valeur d'une vie humaine sera ce qu'il y a de plus important, de plus précieux et de plus sacré, là enfin les choses pourront commencer à changer

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C'est l'anarchie en Afrique du sud. Les femmes ont le droit de se faire respecter.

Le progrès social est loin de devenir une réalité.

La justice dans ce pays violent est un rêve lointain.

L'éducation n'a pas fait son travail si cette brutalité contre les femmes continue.

La corruption politique est un problème majeur.

Malgré la folie de la coup du monde l'économie ne fait pas grande chose pour le peuple

de l'Afrique du sud. C'est honteux de maltraiter les lesbiennes.

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Caroline 12 votre commentaire est spectaculaire.

On aurait du mal à ajouter quelque chose à votre sagesse remarquable.

La dignité humaine, comme vous dites, c'est la clef du progrès personnel, social,

et politique. L'amour entre les femmes est toujours l'amour authentique.

Si l'amour est généreux c'est tout ce qui compte.

Regardez la tragégie entre les hommes et les femmes.

La militarisation de l'humanité est le grand obstacle qui barre la route vers

la reconnaissance de la dignité des êtres humains.

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Hey, les amis : c'est L'AFRIQUE, pas l'Amérique du nord ni l'Europe de l'ouest...

Juste de l'autre côté de la frontière sud-africaine, il y a le Zimbabwe, le Mozambique, la Namibie et l'Angola...

Ce sont des régions qui ont toutes connu les guerres interethniques et civiles, ou l'occupation d'un voisin «venu défendre une ethnie - la sienne».

Tous ces pays où il n'y a souvent pas UN téléphone par village sont livrés à des multiples cultures folkloriques bouleversées par la modernité et qui tentent, forcément d'appliquer des solutions folkloriques à des problèmes modernes.

Dire que ces voisine n'ont aucune influence sur les Sud-africains revient à nier que le Canada soit influencé par les USA, culturellement parlant.

L'Afrique du Sud, en dépit d'une certaine richesse qu'elle doit à la présence des Afrikaners qui sont demeurés partie prenante de la population après l'Apartheid, n'a pas eu le temps nécessaire pour digérer toutes les recettes occidentales.

De ces «recettes», combien demeurent applicables, voire souhaitables, pour le continent africain ? Comment NOTRE «Gros Bon Sens» peut-il faire unanimité là-bas ?

Ces actes que l'on juge répugnants, ici, sont l'expression d'une culture populaire qui évoluera avec le temps, il faut l'espérer.

Le danger est que la Nature a horreur du Vide et tend à le remplacer par la première solution facile venue.

C'est la raison de la récente éclosion de l'Islamisme radical en Afrique...

Il faut donc être prudent et veiller à REMPLACER ces pratiques barbares par autre chose et non pas seulement les proscrire.

Pour l'instant, les reportages de ce genre servent bien la cause de l'évolution des mentalités mais il reste à connaître leurs impacts et la diffusion qu'il en est faite... en Afrique.

S'il n'y a que nous qui y avons accès, cela ne changera rien... là-bas.

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Il est vrai que la vie humaine doit être à la une pour qu'elle puisse s'accomplir;

Mais attention de ne pas tomber dans le culte de soi-même. Pour ce qui est du lesbiannisme, je ne suis pas fondamentalement contre puisque cela est un choix légitime, mais pour ce qui est des crimes que l'on pourrait commettre à cet égard, je suis totalement contre.

Mais bien que l'être humain, selon les dispositions de la Charte, soit considéré comme une fin en soi, il nous en revient de le reconnaître puisque les droits et libertés de la personne sont la base d'une société basée sur la justice sociale, justice des riches comme des pauvres, ou Dieu est reconnu comme l'être suprême, ce Dieu que l'on ne connaît ou que l'on méconnaît!

Mais s'Il est vrai, avouons qu'Il nous laisse libre de le reconnaître...

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AFRIQUE DU SUD
VIOLS CORRECTIFS, REPORTAGES SIGNIFICATIFS

8 juillet 2010

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2010/07/08/011-afrique-sud-viols-lesbiennes.shtml#commentaires


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