1
Wouldn't it make sense to include men on the educational rostrum, too, preferably when they are still young, since they are capable of impregnating a large number of women? .
2
I am a male and I fully agree with you.
Sad to say but males still seem to dominate societies decisions.
The population of the Earth has more than doubled in my 40 + years.
There still seems to be this warped idea that the more children a man fathers, the more of a "man" he is.
Yet, society turns a blind eye (common sense) to the crisis now upon us.
People are building mega-cities on the land that should be used to produce food.
[Et des développeurs font des «développements» et des banlieues. Des super super centres commerciaux et des parkings monstrueux comme des aéroports. Et des routes pour y aller et en revenir. Comme si magasiner était le nouveau sacrement moderne. On va dans ces nouveaux temples pour une eucharistie à la mode. Qui n'est pas gratuite comme l'ancienne. Qu’il faut payer et payer 2 fois avec le «crédit». Le «Salut» est sur terre car on est immédiatement récompensé de ses mérites. Le zonage et l’urbanisme sont fait par et pour eux. Sur des terres agricoles (plus plates), des marécages (inutiles et boueux), des forêts (à commercialiser). Après la coupe à blanc.]
The Green Revolution only made matters worse by introducing chemical that allows food to be grown in areas that would not naturally produce food crops.
[Produit chimique > angrais > pétrole.]
Then, society has tha audacity to label women as "baby factories" for producing too many children, which only adds to the "problem."
Women are the real people who sustain a healthy family unit.
[Elle peut très bien «soutenir» sa famille dans sa cabane de carton avec ses 20 enfants dans un taudis. Seule et enceinte. Sa survie et celle de sa «famille» n’étant assurée que par les ONG car autrement tous mourraient de faim comme le savent tous les Darwiniens Calvinistes de stricte observance. ]
And, because of the archacic beliefs that men are the bread winners, the glue that holds the family together, the producer of many offspring because of a God-like virility,
the protectors of the "weaker sex", sadly, women will continue to be seen as, again, "baby factories",
and incapable of leading the family unit
If men were educated, as you wisely intimated, as to the real problems of too many offspring, and that more = MANLY, changes may start to happen.
I feel it would be better to have less children, but to raise them with a sense of what are truly the right things to do in life, to others, and to the places we live..
3
If you assume you are forced to exercise economy of effort, i.e. constrained by resources, (which I think is always the case) then Education of Women is the best generic solution.
It does not exclude other solutions, however if you have only one dollar of effort to apply I would place it there.
[L’éducation des femmes dans une société patriarcale (si cette société les laisse faire) ne sert à rien si elles sont engrossées continuellement de l’adolescence à la perte de leur fertilité. Dans les sociétés «évoluées» c’est la richesse (à redistribuer) (plus ou moins) qui semble avoir résolu le problème > 1 enfant unique ou 2 (la paire : garçon, fille). La religion n’étant qu’un prétexte sociologique. Les régions catholiques plus pauvres faisaient plus de bébés que les voisins protestants tout aussi croyants mais ayant des héritages à distribuer. Dès que les citoyens cathos s’enrichirent au-delà de la survie journalière, le taux de naissance commença à diminuer. L’éducation ? Celle qui a donné un métier aux hommes en plus de l’usage de leur seule force physique. Sans même que cette éducation concerne la sexualité : sujet tabou. La contraception et l’avortement restant illégale. Les sociétés pauvres fonctionnent comme tout groupe animal, la Nature réglant les rythmes de la vie. Et la Nature réglant les rythmes de la mort. Anciennement, les ressources locales contrôlaient indirectement le nombre de naissance (comme dans tout troupeau animal). Il n’y avait jamais «trop» de vivants dans un espace donné. Si les ressources diminuaient encore, on déménageait ou on attaquait le voisin qui avaient des greniers pleins. Aujourd’hui, la charité moderne et la richesse inutile (surplus) permet de fixer les troupeaux humains en place. Ayant assez à manger, ils prolifèrent. Comme les lapins en Australie. Sans qu’on se soucie de ce qui arrivera à ces jeunes sitôt passé le stade de bébé. Si la Nature a été déjouée par nos efforts, il restera la maladie, les épidémies mentales et sociologiques comme la guerre ou le fanatisme pour réguler les vivants en trop. Qu’on aime ou non ce genre de raisonnement, il semble que c’est ainsi que les choses se passent. Allons faire un tour dans un camps de réfugiés et de «personnes déplacées» par la guerre voisine. L’éducation des peuples : le tableau noir ou la guerre ?]
*
GLOBAL POPULATION
WORLD'S POPULATION SOON TO HIT 7 BILLION
CBC News
Jul 10, 2011
http://www.cbc.ca/news/world/story/2011/07/10/f-world-population-day-7billion.html