LA CROISSANCE. LA CROISSANCE. LA CROISSANCE. LA CROISSANCE.
LA CRÉATION DE LA RICHESSE D'ABORD, SELON HARPER
9 août 2011
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2011/08/09/010-harper-bourses-bresil.shtml
Le premier ministre du Canada, Stephen Harper, à Sao Paulo au Brésil
Les dirigeants politiques mettent trop l'accent sur la chute des bourses dans le monde, a affirmé mardi le premier ministre du Canada, Stephen Harper.
Même si la volatilité des marchés n'est pas « sans conséquence », le premier ministre Harper a tenu à souligner que ce qui comptait vraiment était la création de richesse à long terme.
[Sans se poser, bien sûr, la question à savoir à qui profite cette richesse ? Aux riches. Et le reste, s'il en reste, pour un peu tout le monde. Le mot le dit: richesse = riche. Ce sont d'autres mots qu'on utilise pour les pauvres qui sont bien chanceux d'avoir leur propre vocabulaire: pauvreté = pauvre(s). Riche = $. Pauvres = zéro. Même s'ils sont nombreux. Monsieur Reagan avait une belle théorie selon laquelle la richesse était comme l'eau sur le dos d'un canard. Eux qui finit, inévitablement, par tomber et dégoutter sur les canetons à ses pieds. On aurait pu dire qu'il aurait été plus simple d'arroser les canetons puisque ils étaient en majorité et que l'excuse du système est que les canatons doivent être arrosés régulièrement et le seront. On a 2 manières de mouiller les canetons. Puisqu'il faut qu'ils soient mouillés. Et si les canatons finissent par être mouillés, si les canetons sont mouillés ceci montre que le système est bon. Pour des raisons religieuses et morales, on préfère procéder de la première manière en inondant la tête du canard puisque seuls les riches (on change de métaphore) ont la tête assez solide pour supporter les tracas dû au trop plein d'$. Et si les canetons sont secs et mécontents, la solution est d'encore plus arroser la tête des canards. On dira que les canetons sont très patients.]
« L'important, c'est de se concentrer sur les occasions d'affaires à moyen et long terme pour créer de la richesse, pour créer du commerce, des entreprises et des emplois »,
a dit le premier ministre, de passage à Sao Paulo, au Brésil, dans le cadre d'une tournée en Amérique du Sud.
«Il est trop facile de mettre l'accent sur les milliards qui sont gagnés ou perdus sur les marchés.»
Stephen Harper
Mardi, les marchés nord-américains se ressaisissent au lendemain de la pire séance depuis la crise financière de 2008.
Le premier ministre Harper est à Sao Paulo pour prononcer un discours devant les gens d'affaires et les dirigeants politiques dans le cadre d'une tournée sud-américaine. Lundi, le Canada et le Brésil ont conclu des ententes commerciales.
En profondeur
Dette : Canada, le bon élève
Contrairement aux États-Unis et à l'Europe, Ottawa s'est sorti de l'engrenage de la dette.
Audio-Vidéo
Le premier ministre Stephen Harper souhaite renforcer les liens économiques avec le Brésil, rapporte Philippe Leblanc.
Stephen Harper est au Brésil où il discute avec des gens d'affaires brésiliens et canadiens, explique Philippe Leblanc.
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Photo. http://storage.canoe.ca/v1/blogs-prod-photos/8/3/d/0/8/83d083df493b8a983e63937637b06ce5.jpg?stmp=1301081323
LA CRÉATION DE LA RICHESSE D'ABORD, SELON HARPER
9 août 2011
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2011/08/09/010-harper-bourses-bresil.shtml
Le premier ministre du Canada, Stephen Harper, à Sao Paulo au Brésil
Les dirigeants politiques mettent trop l'accent sur la chute des bourses dans le monde, a affirmé mardi le premier ministre du Canada, Stephen Harper.
Même si la volatilité des marchés n'est pas « sans conséquence », le premier ministre Harper a tenu à souligner que ce qui comptait vraiment était la création de richesse à long terme.
[Sans se poser, bien sûr, la question à savoir à qui profite cette richesse ? Aux riches. Et le reste, s'il en reste, pour un peu tout le monde. Le mot le dit: richesse = riche. Ce sont d'autres mots qu'on utilise pour les pauvres qui sont bien chanceux d'avoir leur propre vocabulaire: pauvreté = pauvre(s). Riche = $. Pauvres = zéro. Même s'ils sont nombreux. Monsieur Reagan avait une belle théorie selon laquelle la richesse était comme l'eau sur le dos d'un canard. Eux qui finit, inévitablement, par tomber et dégoutter sur les canetons à ses pieds. On aurait pu dire qu'il aurait été plus simple d'arroser les canetons puisque ils étaient en majorité et que l'excuse du système est que les canatons doivent être arrosés régulièrement et le seront. On a 2 manières de mouiller les canetons. Puisqu'il faut qu'ils soient mouillés. Et si les canatons finissent par être mouillés, si les canetons sont mouillés ceci montre que le système est bon. Pour des raisons religieuses et morales, on préfère procéder de la première manière en inondant la tête du canard puisque seuls les riches (on change de métaphore) ont la tête assez solide pour supporter les tracas dû au trop plein d'$. Et si les canetons sont secs et mécontents, la solution est d'encore plus arroser la tête des canards. On dira que les canetons sont très patients.]
« L'important, c'est de se concentrer sur les occasions d'affaires à moyen et long terme pour créer de la richesse, pour créer du commerce, des entreprises et des emplois »,
a dit le premier ministre, de passage à Sao Paulo, au Brésil, dans le cadre d'une tournée en Amérique du Sud.
«Il est trop facile de mettre l'accent sur les milliards qui sont gagnés ou perdus sur les marchés.»
Stephen Harper
Mardi, les marchés nord-américains se ressaisissent au lendemain de la pire séance depuis la crise financière de 2008.
Le premier ministre Harper est à Sao Paulo pour prononcer un discours devant les gens d'affaires et les dirigeants politiques dans le cadre d'une tournée sud-américaine. Lundi, le Canada et le Brésil ont conclu des ententes commerciales.
En profondeur
Dette : Canada, le bon élève
Contrairement aux États-Unis et à l'Europe, Ottawa s'est sorti de l'engrenage de la dette.
Audio-Vidéo
Le premier ministre Stephen Harper souhaite renforcer les liens économiques avec le Brésil, rapporte Philippe Leblanc.
Stephen Harper est au Brésil où il discute avec des gens d'affaires brésiliens et canadiens, explique Philippe Leblanc.
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Photo. http://storage.canoe.ca/v1/blogs-prod-photos/8/3/d/0/8/83d083df493b8a983e63937637b06ce5.jpg?stmp=1301081323
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Douteur je doute. On ne doute jamais assez. Tout ce qu'on vous dit est faux. Tout ce que vous savez est faux. Parce que tout ce qu'on vous dit est faux. Mais il se peut qu'une partie de ce que savez soit vraie mais laquelle? Le professeur Bulle a parlé. Ou pensé quelque chose. Ou eut une émotion quelconque. Le professeur Bulle pense quelques fois par année donc il lui arrive d'être. Mais pas souvent!