DOUTEUR ET UNE PAGE INTÉRESSANTE

samedi 1 février 2014

6301. ENTENDU. DIEUDONNÉ

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UN JOURNALISTE APPELLE AU MEURTRE DE DIEUDONNÉ

IL N'Y A PAS DE PITIÉ POUR ÇA

C'EST UNE BÊTE IMMONDE

JE SUIS EXTRÉMISTE DANS CETTE AFFAIRE. MANICHÉEN.

SA MORT PAR EXÉCUTION ME RÉJOUIRAIT PROFONDÉMENT

« Dieudonné est un animal abominable, il faut le faire taire, je regrette qu'il n'y ait plus la peine de mort.

«Ce mec, il faut le museler, le faire taire à jamais »,


«Il n'y a pas de pitié pour ça. Ce type, sa mort par exécution par un peloton de soldats me réjouirait profondément. Je peux aller jusque-là», 

dit-il, avant d'ajouter : 

«Pour moi, c'est une bête immonde, donc on le supprime et c'est tout». 

«Je signe et je persiste» 

ajoute-t-il quelques secondes plus tard, voyant que ses interlocuteurs n'admettent pas de tels propos. 

«N'allons pas jusque-là parce que nous sommes contre la peine de mort» 

lance alors un invité.  

«Ah ben voilà (...), il y a toujours quelque chose qui nous empêche d'aller jusqu'au bout».

Vidéo

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[Dans l'émission - version Youtube plus longue - un autre animateur radio (le «journaliste» qui est décrit comme tel par le CRAN et qui fait sujet de ce commentaire - à cause de ses commentaires passionnants - est aussi un animateur radio (animateur de colonie de vacance, animateur de pastorale ) - on dirait ici, de la radio-poubelle (étant donné le niveau de Q.I. des propos) quoique les sujets locaux d'acrimonie de nos excités soient: les pauvres (parasites), les immigrés, les artistes, les intellectuels ), donc, l'autre animateur dit que : l'interdiction (du spectacle de D) est une pédagogie. Ce qui est intéressant.]

[Autre extrait du premier animateur: Donc... monsieur Dieudonné... il m'écorche la gueule de prononcer Dieudonné]

[Extrait d'un autre animateur: (dans les médias) On ne fait plus appel à des «conscience intellectuelle» (pour l'information) (mais à des (comiques/humoristes).... C'est la défaite de la pensée.]

[Dans cette affaire, on a un État qui s'éveille et qui fait son travail. Il était temps]