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mercredi 14 octobre 2015

6730. ART. ART TRADITIONEL. ART CLASSIQUE. ART MODERNE. ART CONTEMPORAIN. ART CONCEPTUEL. MONSIEUR JOSEPH GOEBBELS. RADIO-CANADA, LE CONTRÔLE DES ESPRITS. LE CONCEPT














CONFLIT SYRIEN : LE SORT D'AL-ASSAD DIVISE TOUJOURS LES RUSSES ET LES AMÉRICAINS

28 septembre 2015

Radio-Canada

Puisant dans l'histoire de la fondation de l'ONU 

- les cendres de la Deuxième Guerre mondiale –

le président américain Barack Obama a tendu la main à l'Iran et à la Russie
afin de parvenir à une résolution diplomatique du conflit syrien.

Il exclut cependant toute collaboration avec le président syrien Bachar Al-Assad

alors que Moscou en fait la pierre d'assise de son approche.

« Les États-Unis sont prêts à travailler avec tous les pays, y compris la Russie et l'Iran, pour résoudre le conflit »

a lancé M. Obama lors de son discours devant l'Assemblée générale des Nations unies.

Il s'est toutefois empressé d'ajouter que

« nous devons reconnaître qu'après tant de sang versé et de carnages
il ne peut y avoir un retour au statu quo d'avant la guerre »

référant au président syrien Bachar Al-Assad.

Au cours de son allocution

Monsieur Obama a délimité les limites de sa collaboration en qualifiant Bachar Al-Assad de

«tyran »

qui

« massacre des enfants innocents »

En référence à la position russe

qui consiste à s'appuyer sur Al-Assad pour sortir de la guerre civile
Monsieur Obama

a dénoncé la logique consistant à soutenir

« des tyrans comme Bachar Al-Assad »

sous prétexte que l'alternative

« serait pire ».

Déclenché par la répression de manifestations antigouvernementales pacifiques en mars 2011

 le conflit a dégénéré en une guerre civile

qui a fait plus de 240 000 morts en quelque quatre ans et demi.

Des millions d'autres ont fui les affres de la guerre

et ont gonflé le nombre de migrants réclamant le statut de réfugié en Europe.

La stratégie de Moscou en Syrie: protéger le régime, selon un général de l'Otan

Le commandant des forces de l'Otan en Europe

le général Philip Breedlove

s'inquiète du déploiement de missiles antiaériens russes en Syrie

arguant qu'ils sont inutiles contre le groupe État islamique.

« Ces équipements sophistiqués n'ont rien à voir avec le groupe État islamique»

a-t-il dit devant un groupe de réflexion à Washington.

« Très haut sur l'agenda de Poutine et des Russes en Syrie, il y a protéger le régime d'Assad »

a expliqué le général.

Il a ajouté que Moscou veut

« ralentir l'avance des forces anti-Assad »

et mener quelques actions contre le groupe État islamique

« pour légitimer son approche. »


*

Douteur je doute. On ne doute jamais assez. Tout ce qu'on vous dit est faux. Tout ce que vous savez est faux. Parce que tout ce qu'on vous dit est faux. Mais il se peut qu'une partie de ce que savez soit vraie mais laquelle? Le professeur Bulle a parlé. Ou pensé quelque chose. Ou eut une émotion quelconque. Le professeur Bulle pense quelques fois par année donc il lui arrive d'être. Mais pas souvent!