Charest, le « suspect numéro un », selon Khadir
radio-canada
*
POINT DE PRESSE DE M. AMIR KHADIR, DÉPUTÉ DE MERCIER
SUR LES ÉLECTIONS PARTIELLES (VOIR TEXTE). SUR MONSIEUR
BARRETTE LE SEIGNEUR DE LA MÉDECINE ET DES GROS COCHONS DE DOCTEURS OU VERRAT (PORC QUI N'EST PAS CHÂTRÉ) ET DES GROSSES TRUIES MÉDECIN - IL NE FAUT PAS OUBLIER LES FEMMES! (VOIR ORIGINAL INSPIRANT SUR LE SITE). SUR MONSIEUR CHAREST (VOIR TEXTES), SUR L’AVENTURE OLYMPIQUE DE NOTRE DÉLIRANT MAIRE À PILULES. (VOIR TEXTE). ENCORE SUR MONSIEUR
CHAREST (VOIR TEXTES)
Le mardi 12 avril 2016, 12 h 45
Hall principal de l'hôtel du Parlement, Hôtel du Parlement
(…)
Journaliste : (...) : Que décodez-vous des
résultats de l'élection partielle dans Chicoutimi hier? Est-ce qu'on doit
comprendre que votre parti est en grande difficulté, notamment en région?
M. Khadir : Bien, regardez, les élections ont été
excessivement polarisées. Je ne sais pas si vous avez été dans la région,
tout
ce que les gens voulaient s'assurer, c'est que, malgré leurs millions, malgré des dizaines de
ministres libéraux et des membres des cabinets des ministres qui ont débarqué
dans la région, malgré le maire de la municipalité qui s'est mis derrière une
candidate qui jouissait de tout l'appui de la nomenclature locale, qu'elle ne
passe pas.
Donc, il y a eu une extrême polarisation qui a fait en sorte
que la CAQ a perdu presque 35 % de ses appuis
qu'une bonne partie des appuis qui allaient ailleurs se sont
rués vers le PQ dans le seul but de bloquer la candidate libérale
dont les appuis, d'ailleurs, malgré tout l'argent et
l'énergie investis, n'ont pas augmentés par rapport aux dernières élections.
Le nôtre a modestement augmenté. Nous n'avons pas pu faire
le plein de l'appui qu'on sent dans la population en raison de cette
polarisation.
Combien de fois je l'ai entendu sur la rue? Tous les
journalistes, vos collègues, qui étaient là, le savent très bien,
les gens se sont parfois bouché le nez, sachant très bien
que le Parti québécois n'est pas la solution pour le Québec, mais sont allés
pour le moins pire, dans les circonstances, pour éviter le pire.
Mais je rappelle que le Québec y perd à chaque fois. À
chaque fois qu'entre le pire et le moins pire, on choisit le moins pire, on
abandonne le meilleur.
Or, bien des gens, je le sais pour avoir pratiqué le
terrain plusieurs fois, donc trois jours de suite juste avant les élections,
beaucoup de gens qui nous appuient, qui trouvent que Québec solidaire est la
solution de l'avenir, malheureusement, devant de tels choix déchirants,
choisissent de bloquer le gouvernement libéral étant donné
les scandales de corruption qu'on a connus récemment et l'insatisfaction par
rapport à l'austérité.
2
LA CORRUPTION. LES CORROMPUS. ANCIENS. NOUVEAUX. ANCIENS.
Journaliste : M. Khadir, la semaine dernière, M. Couillard a
dit qu'il n'était pas responsable des pratiques de financement du PLQ d'avant
2013.
Est-ce que, selon vous, c'est sa façon de pointer vers Jean
Charest?
M. Khadir : On peut le voir comme ça.
Je pense que M. Couillard cherche surtout à enlever de la
pression devant un questionnement légitime, et qui le taraude, et qui est dans
la tête de tous les Québécois.
M. Couillard était lui aussi un ministre à 100 000 $ de Jean
Charest.
Jean-Marc Fournier est aussi, lui, un ministre à 100 000 $,
un ministre pivot de l'ère Charest.
Dans les pires moments, dans la pire période de ces cocktails
de financement, de ces pratiques de financement frauduleux et illégal, dans le
trafic d'influence au sommet du pouvoir,
dans le détournement des fonds publics pour graisser la
patte d'entreprises amies du parti au pouvoir
ET INVERSEMENT.
Jean-Marc Fournier était au centre des
décisions. Et il est toujours là, au côté de M. Couillard.
Alors, c'est sûr que
M. Couillard sent de la pression, alors là il fait toutes sortes de choses pour
se disculper.
Mais Jean Charest, Philippe Couillard, Jean-Marc Fournier,
Nathalie Normandeau et Sam Hamad font partie du même orchestre...
(...)
...l'orchestre qui a orchestré la corruption et
la collusion dans l'octroi des contrats publics et le financement illégal du
Parti libéral.
Tous ces éléments-là font partie du même orchestre, chantaient
le même... en fait, jouaient de la même musique et chantaient le même refrain.
Journaliste : Mais, hier, quand même, M. Charest, il a senti
le besoin de défendre l'intégrité de son gouvernement quelques jours après les
déclarations de M. Couillard concernant sa... son niveau de responsabilités...
M. Khadir : Comme tout suspect. Comme tout suspect, comme
toute personne qui se voit accusée de crimes graves, bien oui, il va nier.
Mais
il est suspect et il est accusé aux yeux du public.
Marc Bibeau était son ami
et principal collecteur de fonds. L'entreprise de Marc Bibeau, Schokbeton, a
connu la visite de l'UPAC et a été saisie.
Jamais les faits que nous avons
démontrés n'ont été remis en question.
Journaliste : Mais est-ce que, de votre point de vue, M.
Charest est davantage responsable de la situation actuelle que M. Couillard?
M. Khadir : Bien sûr. Comme dans toute organisation, il y a
des postes de responsabilité.
M. Charest était après tout chef du Parti
libéral.
Mais, à moins qu'on accepte encore des, disons, des justifications à
la Gérald Tremblay, là, les aveuglements volontaires, les «je ne le savais
pas», les «je ne voyais pas»,
SUR CE POINT DE LA QUESTION, IL FAUDRAIT D'AUTRES ENQUÊTES. CAR IL SEMBLE QUE PENDANT UN CERTAIN TEMPS (?) IL Y AIT EU UN GOUVERNEMENT PARALLÈLE À MONTRÉAL. LE MAIRE ET LE CONSEIL MUNICIPAL S'AMUSANT À SE VOTER DES LOIS PENDANT QU'UN CERTAIN NOMBRE DE HAUTS FONCTIONNAIRES AVEC DES PRÉSIDENTS DE COMPAGNIE S'ACCORDAIENT DES CONTRATS ET LES MODIFIANT SELON LEUR BON VOULOIR AFIN D'AUGMENTER SANS CESSE LE MONTANT ACCORDÉ. CONTRATS SANS APPEL D'OFFRES. CONTRAIT AVEC APPEL D'OFFRE ACCORDÉ AU PLUS BAS SOUMISSIONNAIRE QUI GAGNAIT À CHAQUE FOIS CAR AYANT MISÉ AU PLUS BAS. EN FAIT, À PERTE. MAIS IL S'AVAIT QUE SI LE CONTRAT NE POUVAIT ÊTRE RÉOUVERT DE SON CÔTÉ, IL POUVAIT L'ÊTRE SANS FIN POUR D'INNOMBRABLE AJOUTS ET MODIFICATIONS DE LA PART DE «LA VILLE». AINSI, ON A VU DES CONTRATS DOUBLER OU TRIPLER DE TARIF. COMME ON A OBSERVÉ POUR LE MÉTRO. ET POUR LES IMBÉCILES - VOIR JOURNALISTES OFFICIELS - QUI NE CROIENT PAS À LA «THÉORIE DU COMPLOT». IL Y AVAIT 7 COMPAGNIES DE CONSTRUCTION QUI SE PARTAGEAIENT À TOUR DE RÔLE TOUS LES CONTRATS IMPORTANTS. DANS LE JEU, ON DÉSIGNAIT LE GAGNANT QUI OFFRIRAIT LE MEILLEUR PRIX (LE PLUS BAS). TOUS LES AUTRES MISANT PLUS HAUT AFIN DE S'ASSURER QU'IL GAGNE. ON SE PARTAGEAIT SANS DOUTE UNE PARTIE DU BUTIN. ET CELA ALLAIT AUSSI AUX SOUS-TRAITANTS DONT CERTAINS ÉTAIENT LIÉS À LA MAFIA ET QUI AVAIENT LE MONOPOLE SUR CERTAINS TRAVAUX COMME LA CÉRAMIQUE. ET SI QUELQU'UN OSAIT MISER CONTRE EUX, C'ÉTAIT TOUT DE SUITE LES MENACES ET PIRE. ON PARLE ICI DE LA MAFIA. ON A DONC DES VOLEURS HONNÊTES DU CRIME ORGANISÉ LÉGAL. ET DES VOLEURS MALHONNÊTES DU CRIME ORGANISÉ ILLÉGAL. VOUS AVEZ DIT LE MOT «COMPLOT». L'OREILLE ME SUFFLAIT.
à moins que M. Couillard veut qu'on le juge de la
même manière que M. Tremblay, qu'il était aussi naïf, aussi incapable du
moindre jugement que Gérald Tremblay, qu'est-ce qu'il veut comme choix?
Il nous donne le choix.
On a le choix de trouver en lui une personne naïve, incapable de comprendre ce qui se passe alentour de lui.
Alors, je me demande en vertu de quelle compétence il veut diriger le Québec aujourd'hui.
Sinon, s'il est la personne intelligente qu'on sait, capable de discernement, capable de savoir ce qui se passe alentour de lui, il ne pouvait pas ne pas savoir.
Il nous donne le choix.
On a le choix de trouver en lui une personne naïve, incapable de comprendre ce qui se passe alentour de lui.
Alors, je me demande en vertu de quelle compétence il veut diriger le Québec aujourd'hui.
Sinon, s'il est la personne intelligente qu'on sait, capable de discernement, capable de savoir ce qui se passe alentour de lui, il ne pouvait pas ne pas savoir.
M. Boivin (Simon) : Est-ce qu'il est possible selon vous que
les enquêtes de l'UPAC ne remontent pas jusqu'à M. Charest?
CE QUI DOUTEUX. CAR DANS UNE AFFAIRE SIMILAIRE MAIS RELEVANT DE LA HAUTE POLITIQUE - LA LUTTE CONTRE LE SÉPARATISME - VERSION DE BASE SOFT - AVANT LES MEURTRES POLITIQUES - OÙ ÉTAIT IMPLIQUÉ LE PREMIER MINISTRE DU CANADA, MONSIEUR CHRÉTIEN, LE JUGE A CONDAMNÉ QUELQUES COMPLICES, HOMMES DE MAINS ET PROFITEURS DE BASE ET S'EST ARRÊTÉ AVANT QU'IL SE PLACE LUI-MÊME DANS LA SITUATION DE DEVOIR FAIRE ARRÊTER OU JUGER L'EX-PREMIER MINISTRE DU CANADA. ON SAIT CE QU'IL FAUT PENSER DES INSTITUTIONS ET DE CEUX QUI LES GANGRÈNENT MAIS ON NE PROCÉDERA JAMAIS À UNE AMPUTATION. ON LAISSERA LES HISTORIENS OFFICIELS ÉMETTRE PRUDAMMENT QUELQUES DOUTES. AINSI, APRÈS UN LONG TEMPS AVANT LES CONDAMNATIONS, VOILOITYPA LES HISTORIENS RÉVISIONNISTES NOUS RACONTER LES CÔTÉS POSITIFS DE MONSIEUR DUPLESSIS NOTRE PAPA DOC À NOUS. VERSION OCCIDENTALE OÙ LA POLICE SE CONTENTE DE VOUS MATRAQUER ET LES JUGES DE VOUS RUINER SANS QU'ON NE JUGE NÉCESSAIRE DE VOUS ASSASSINER OU DE FAIRE DISPARAÎTRE VOTRE CADAVRE.
M. Khadir : Je souhaite qu'on n'évoque jamais cette
possibilité, parce qu'en principe, si quelqu'un est responsable, si Amir Khadir
est responsable, il ne faudrait pas que l'UPAC se gêne.
Si Jean Charest est responsable, il ne faudrait pas que l'UPAC se gêne.
Moi, je prends... je dis en toute liberté que l'attente minimale aujourd'hui que la population a dans ses institutions et dans l'UPAC,
c'est qu'on aille au fond des choses; peut-être pas dans toutes les choses, parce qu'il y en a trop,
mais au moins qu'on frappe le plus fort et le plus haut, qu'on attrape les gros poissons,
et c'est sûr que dans la tête des gens M. Charest est gravement accusé, c'est le suspect... le premier suspect dans toutes ces affaires-là.
Si Jean Charest est responsable, il ne faudrait pas que l'UPAC se gêne.
Moi, je prends... je dis en toute liberté que l'attente minimale aujourd'hui que la population a dans ses institutions et dans l'UPAC,
c'est qu'on aille au fond des choses; peut-être pas dans toutes les choses, parce qu'il y en a trop,
mais au moins qu'on frappe le plus fort et le plus haut, qu'on attrape les gros poissons,
et c'est sûr que dans la tête des gens M. Charest est gravement accusé, c'est le suspect... le premier suspect dans toutes ces affaires-là.
(…)
L’AVENTURE OLYMPIQUE ?????
M. Boivin (Simon) : Donc, pour vous, est-ce que c'est une
aventure qui vaut l'investissement, l'aventure olympique?
M. Khadir : Il y a tellement de beaux projets pour créer des
emplois durables au Québec, là. On a besoin de transport électrique collectif
partout dans le Québec
ON A BESOIN D'AUTOBUS ORDINAIRES ET DE TRAINS ORDINAIRES - ET VOILÀ QU'ON DÉLIRE SUR UN MONORAIL ULTRA RAPIDE - PARTOUT AU QUÉBEC. AU SUJET DES BUS RÉGIONAUX, LES CRÉTINS D'ORLÉAN TRANSPORT ONT TOUT SABOTÉ. ET LES CITADINS ONT BESOIN DES TRANSPORTS GRATUITS DANS LES VILLES. BUS. MÉTRO. ET NON D'UN BILLET QUI AUGMENTE SANS CESSE OBLIGEANT LES PAUVRES À MARCHER. CE QUI PERMET D'ADMIRER LEUR FORME PHYSIQUE.
les régions nous le demandent; on a besoin de projets de transition énergétique, d'emplois durables, d'emplois verts,
et là on se lancerait avec le Comité olympique, dont on sait combien les pratiques sont affligées de scandales de corruption.
SANS COMPTER TOUS CES ATHLÈTES QUI SE DROGUENT
Là, on se lancerait avec eux, on dépenserait des milliards de dollars pour 2 semaines?
ON A BESOIN D'AUTOBUS ORDINAIRES ET DE TRAINS ORDINAIRES - ET VOILÀ QU'ON DÉLIRE SUR UN MONORAIL ULTRA RAPIDE - PARTOUT AU QUÉBEC. AU SUJET DES BUS RÉGIONAUX, LES CRÉTINS D'ORLÉAN TRANSPORT ONT TOUT SABOTÉ. ET LES CITADINS ONT BESOIN DES TRANSPORTS GRATUITS DANS LES VILLES. BUS. MÉTRO. ET NON D'UN BILLET QUI AUGMENTE SANS CESSE OBLIGEANT LES PAUVRES À MARCHER. CE QUI PERMET D'ADMIRER LEUR FORME PHYSIQUE.
les régions nous le demandent; on a besoin de projets de transition énergétique, d'emplois durables, d'emplois verts,
et là on se lancerait avec le Comité olympique, dont on sait combien les pratiques sont affligées de scandales de corruption.
SANS COMPTER TOUS CES ATHLÈTES QUI SE DROGUENT
Là, on se lancerait avec eux, on dépenserait des milliards de dollars pour 2 semaines?
M. Boily (Simon) : Donc, vous êtes contre?
M. Khadir : Bien... Un jour, quand il y aura toute la
pratique... En fait, quand le sport amateur, le sport olympique sera remis en
question dans ses pratiques, ça sera moins commercial et moins entaché de
corruption, puis, quand nous, on aura accompli tous les autres beaux projets
qu'on a besoin pour relancer l'emploi et le développement économique écologique
du Québec, bien, on verra.
Mais, pour le moment, franchement, il n'y a pas d'autre chose, là, de plus urgent?
C'est des milliards de fonds publics, là.
ON IMAGINE TOUS CES BEAUX CONTRATS AUX CORROMPUS (ENTREPRISES). CES CHANTRES DU LIBRE MARCHÉ INCAPABLES DE VIVRE SANS L'ÉTAT!
ON REVIENT À MONSIEUR CHAREST
On n'en a pas assez gaspillé déjà dans la corruption, dans l'octroi de contrats, dans la réalisation de mégaprojets qui nous sont sur les mains, comme par exemple la Romaine ou les contrats éoliens?
ET LES 2 HÔPITAUX - ANGLO ET FRANCO - DE 2 MILLIARDS CHACUN. AU BÉNÉFICE DES VENDEURS DE TERRAINS CONTAMINÉS - AU FRAIS DE LA PRINCESSE - ET DES 7 COMPAGNIES DE CONSTRUCTION DE MONTRÉAL. MERCI.
Mais, pour le moment, franchement, il n'y a pas d'autre chose, là, de plus urgent?
C'est des milliards de fonds publics, là.
ON IMAGINE TOUS CES BEAUX CONTRATS AUX CORROMPUS (ENTREPRISES). CES CHANTRES DU LIBRE MARCHÉ INCAPABLES DE VIVRE SANS L'ÉTAT!
ON REVIENT À MONSIEUR CHAREST
On n'en a pas assez gaspillé déjà dans la corruption, dans l'octroi de contrats, dans la réalisation de mégaprojets qui nous sont sur les mains, comme par exemple la Romaine ou les contrats éoliens?
ET LES 2 HÔPITAUX - ANGLO ET FRANCO - DE 2 MILLIARDS CHACUN. AU BÉNÉFICE DES VENDEURS DE TERRAINS CONTAMINÉS - AU FRAIS DE LA PRINCESSE - ET DES 7 COMPAGNIES DE CONSTRUCTION DE MONTRÉAL. MERCI.
(…)
M. Khadir : Bien, regardez, on est en train de parler d'une
organisation politique qui a pratiqué le financement illégal sur une quinzaine
d'années au moins.
On parle de 20 millions de dollars d'argent collecté frauduleusement, possiblement, si on extrapole les chiffres du DGEQ entre 2006 et 2011 sur les 15 ans du mandat de Charbonneau.
Donc, d'accord? Et le plus clair de cette période-là, c'est M. Jean Charest qui était à la commande de cette organisation. Alors, dire ça et le reste, ça veut dire que,
s'il y a des pratiques frauduleuses, du trafic d'influence, des contrats gonflés, de la collusion,
en définitive ça relève de celui qui avait les commandes de l'État. Il avait les deux mains sur le volant, n'est-ce pas?
Ce n'est pas moi qui l'ai dit, c'est M. Charest qui disait qu'il avait les deux mains sur le volant. Alors, ce volant-là, c'est un véhicule qui a dérapé vers la corruption, vers le trafic d'influence, vers la fraude pour ramasser de l'argent. Donc, c'est lui le responsable, c'est lui qui tenait ce volant.
On parle de 20 millions de dollars d'argent collecté frauduleusement, possiblement, si on extrapole les chiffres du DGEQ entre 2006 et 2011 sur les 15 ans du mandat de Charbonneau.
Donc, d'accord? Et le plus clair de cette période-là, c'est M. Jean Charest qui était à la commande de cette organisation. Alors, dire ça et le reste, ça veut dire que,
s'il y a des pratiques frauduleuses, du trafic d'influence, des contrats gonflés, de la collusion,
en définitive ça relève de celui qui avait les commandes de l'État. Il avait les deux mains sur le volant, n'est-ce pas?
Ce n'est pas moi qui l'ai dit, c'est M. Charest qui disait qu'il avait les deux mains sur le volant. Alors, ce volant-là, c'est un véhicule qui a dérapé vers la corruption, vers le trafic d'influence, vers la fraude pour ramasser de l'argent. Donc, c'est lui le responsable, c'est lui qui tenait ce volant.
IL UTILISAIT CETTE EXPRESSION POUR SIGNIFIER QU'IL VOULAIT ÊTRE UN GOUVERNEMENT MAJORITAIRE. ET ON A PU ASSISTER AU RÉSULTAT. À COMMENCER PAR LA DESTRUCTION DU ZOO DE QUÉBEC.
(…)
M. Laforest (Alain) : M. Khadir, bonjour. Vous savez, ce
matin il y a un groupe qui s'est formé, un groupe de citoyens, pour suivre les
recommandations de la commission Charbonneau parce qu'ils ne font pas confiance
au gouvernement. En quelques secondes, vous en pensez quoi?
M. Khadir : Bien, j'en pense beaucoup de bien. Je pense
qu'une mobilisation de la société, de groupes de citoyens de la société civile
c'est toujours bon pour la démocratie.
Je vous rappelle qu'il y a eu quelque chose d'à peu près similaire, il y a plusieurs années, lorsqu'ils sont venus nous voir pour une pétition pour demander la démission de Jean Charest pour tous ces scandales de corruption, et on a recueilli 250 000 signatures.
Ces gens-là savent, et aujourd'hui tout le monde sait, y compris ceux qui se sont lancés, qu'ils peuvent compter sur un parti, à l'Assemblée nationale, qui n'a jamais été accusé de quoi que ce soit, un parti qui a les mains propres, ça s'appelle Québec solidaire; un parti qui n'a pas les mains liées par le pouvoir des lobbys, ça s'appelle Québec solidaire; un parti qui a le verbe libre pour nommer les choses, pour nommer les gens quand c'est nécessaire, et c'est Québec solidaire; un parti qui a préparé... qui a travaillé sur les prête-noms, sur le financement sectoriel, sur le lobbyisme, donc qui est capable de produire des résultats. Donc, ces gens-là peuvent compter sur nous, et je pense que c'est les deux qui vont faire le travail, c'est-à-dire une mobilisation citoyenne puis un relais politique avec Québec solidaire.
Je vous rappelle qu'il y a eu quelque chose d'à peu près similaire, il y a plusieurs années, lorsqu'ils sont venus nous voir pour une pétition pour demander la démission de Jean Charest pour tous ces scandales de corruption, et on a recueilli 250 000 signatures.
Ces gens-là savent, et aujourd'hui tout le monde sait, y compris ceux qui se sont lancés, qu'ils peuvent compter sur un parti, à l'Assemblée nationale, qui n'a jamais été accusé de quoi que ce soit, un parti qui a les mains propres, ça s'appelle Québec solidaire; un parti qui n'a pas les mains liées par le pouvoir des lobbys, ça s'appelle Québec solidaire; un parti qui a le verbe libre pour nommer les choses, pour nommer les gens quand c'est nécessaire, et c'est Québec solidaire; un parti qui a préparé... qui a travaillé sur les prête-noms, sur le financement sectoriel, sur le lobbyisme, donc qui est capable de produire des résultats. Donc, ces gens-là peuvent compter sur nous, et je pense que c'est les deux qui vont faire le travail, c'est-à-dire une mobilisation citoyenne puis un relais politique avec Québec solidaire.
M. Laforest (Alain) : Verbe libre. Gilles Ouimet était assis
à la table ce matin. C'est un ancien libéral.
M. Khadir : Oui, ancien. Assis à la table de?
M. Laforest (Alain) : Assis à la table de cette
coalition-là.
M. Khadir : M. Khadir : Écoutez, lorsque M. Ouimet était ici
comme député, il manifestait beaucoup d'insatisfaction par rapport au comportement
de son gouvernement dans plusieurs dossiers.
Il m'a… Je peux le dire, je pense, aujourd'hui, maintenant qu'il est assis à cette table-là, je me sens autorisé de révéler qu'à plusieurs fois il s'est plaint auprès de moi en confidence combien il se désolait que le Parti libéral ne se remette pas en question, qu'on voit les mêmes pratiques s'installer, qu'il y a un déni et que sont récompensés ceux qui étaient là avant et qui participaient à cette culture de corruption, et que des gens comme lui qui voulaient changer les choses de l'intérieur ont été tenus à l'écart. Je vous le répète, c'est des confidences que j'ai entendues de lui. Il s'en désolait, mais je pense que c'est une conséquence logique de cette réflexion et de cette expérience au sein du Parti libéral qu'ils conduisent aujourd'hui.
Il m'a… Je peux le dire, je pense, aujourd'hui, maintenant qu'il est assis à cette table-là, je me sens autorisé de révéler qu'à plusieurs fois il s'est plaint auprès de moi en confidence combien il se désolait que le Parti libéral ne se remette pas en question, qu'on voit les mêmes pratiques s'installer, qu'il y a un déni et que sont récompensés ceux qui étaient là avant et qui participaient à cette culture de corruption, et que des gens comme lui qui voulaient changer les choses de l'intérieur ont été tenus à l'écart. Je vous le répète, c'est des confidences que j'ai entendues de lui. Il s'en désolait, mais je pense que c'est une conséquence logique de cette réflexion et de cette expérience au sein du Parti libéral qu'ils conduisent aujourd'hui.
Maintenant, moi, je pense que c'est une bonne chose que des
gens du Parti libéral se joignent à l'ensemble de la population. Moi, je suis
sûr, dans le Parti libéral, même sur les banquettes actuelles du gouvernement,
il y a des députés, des hommes et des femmes honorables qui voudraient que ça
change, sauf que pour que ça change, ce n'est pas le silence qu'il nous faut,
là, ça suffit.
Ça fait huit, neuf ans qu'ils ont fait le silence, voyez-vous, on est encore dans le déni.
C'est le moment que des gens comme Gilles Ouimet se lèvent et disent basta!, ça suffit.
Ça fait huit, neuf ans qu'ils ont fait le silence, voyez-vous, on est encore dans le déni.
C'est le moment que des gens comme Gilles Ouimet se lèvent et disent basta!, ça suffit.
M. Croteau (Martin) : Bonjour, M. Khadir. Vous avez dit que
M. Charest était un suspect. Donc, juste pour vous poser la question clairement
: Soupconnez-vous que M. Charest a commis des gestes criminels?
M. Khadir : Écoutez, fabriquer des faux pour obtenir des
avantages financiers, c'est dans le Code criminel.
Le Parti libéral fabriquait des faux lorsqu'il pratiquait les prête-noms.
ET LE COMTÉ 127 !
C'était faussement déclaré que des gens avaient donné… mettaient en place une structure où des collecteurs de fonds disaient à des entrepreneurs, mettons, comme Paul Sauvé : Tu vas m'emmener des gens qui vont participer au cocktail, tu t'arranges pour qu'ils puissent payer des trucs de 1 000 $. Puis là, on déclarait au DGEQ, le Parti libéral sachant très bien que ces gens-là ne faisaient pas ça en vertu de leur adhésion au Parti libéral, mais pour financer un cocktail sur commande politique pour obtenir des faveurs, mais le Parti libéral les rapportait comme des dons faits en vertu de la Loi électorale pour les seules fins d'appui à un parti, donc c'était fabriquer des faux.
Le Parti libéral fabriquait des faux lorsqu'il pratiquait les prête-noms.
ET LE COMTÉ 127 !
C'était faussement déclaré que des gens avaient donné… mettaient en place une structure où des collecteurs de fonds disaient à des entrepreneurs, mettons, comme Paul Sauvé : Tu vas m'emmener des gens qui vont participer au cocktail, tu t'arranges pour qu'ils puissent payer des trucs de 1 000 $. Puis là, on déclarait au DGEQ, le Parti libéral sachant très bien que ces gens-là ne faisaient pas ça en vertu de leur adhésion au Parti libéral, mais pour financer un cocktail sur commande politique pour obtenir des faveurs, mais le Parti libéral les rapportait comme des dons faits en vertu de la Loi électorale pour les seules fins d'appui à un parti, donc c'était fabriquer des faux.
Écoutez, c'est mon interprétation de non-juriste, mais je
pense qu'on comprend bien que des gens qui ont orchestré tout ça sont passibles
d'accusations criminelles.
C'est le cas de Mme Normandeau, n'est-ce pas? Elle a été arrêtée en vertu d'accusations criminelles.
Alors, si la responsabilité doit monter plus loin, puis un jour on démontre le rôle de M. Charest dans tout ça, moi, je ne vois pas d'autres possibilités.
C'est le cas de Mme Normandeau, n'est-ce pas? Elle a été arrêtée en vertu d'accusations criminelles.
Alors, si la responsabilité doit monter plus loin, puis un jour on démontre le rôle de M. Charest dans tout ça, moi, je ne vois pas d'autres possibilités.
M. Croteau (Martin) : Mais je veux juste vous… c'est parce
que vous n'avez pas répondu directement à ma question, et pardonnez-moi
d'insister…
M. Khadir : Parce que je ne suis pas un juge.
M. Croteau (Martin) : Bien, vous n'êtes pas un juge, mais
vous avez dit que M. Charest était un suspect, donc…
M. Khadir : Pour moi, c'est un suspect, oui, bien sûr.
M. Croteau (Martin) : …donc je vous pose la question très
clairement une deuxième fois : Est-ce que oui ou non vous le soupçonnez d'avoir
commis des crimes?
M. Khadir : Je soupçonne qu'il a été à la commande de la
machine qui a commis ces crimes. Je soupçonne que c'est lui qui décidait en
dernier lieu que oui ou non on opérait comme ça. Je soupçonne donc…
M. Croteau (Martin) : …mais vous avez dit que M. Charest
était un suspect, donc…
M. Khadir : Pour moi, c'est un suspect, oui, bien sûr.
M. Croteau (Martin) : …donc je vous pose la question très
clairement une deuxième fois : Est-ce que oui ou non vous le soupçonnez d'avoir
commis des crimes?
LE JOURNALISTE OFFICIEL ESSAIE DE LE PIÉGER CE QUI PERMETTRAIT DE LE FAIRE ACCUSER DE DIFFAMATION ...
LE JOURNALISTE OFFICIEL ESSAIE DE LE PIÉGER CE QUI PERMETTRAIT DE LE FAIRE ACCUSER DE DIFFAMATION ...
M. Khadir : Je soupçonne qu'il a été à la commande de la
machine qui a commis ces crimes. Je soupçonne que c'est lui qui décidait en
dernier lieu que oui ou non on opérait comme ça. Je soupçonne donc que les
choses qu'ont fait Mme Normandeau et qui l'ont conduit… qui ont conduit l'UPAC
à l'accuser en matière criminelle relèvent aussi de la responsabilité de M.
Charest.
M. Croteau (Martin) : J'ai une question sur un tout autre
sujet qui n'a rien à voir avec ça, si vous permettez : Comment accueillez-vous
le projet…
M. Khadir : Et je mets en garde… moi, je mets au défi M.
Charest, s'il pense le contraire, qu'il n'est pas suspect d'avoir collaboré,
orchestré ce que ses ministres ont fait, qu'il me poursuive en justice. Il est
avocat, il a un grand cabinet, je le mets en défi que si c'est faux, que ce
n'est pas lui qui avait les deux mains sur le volant, que ce n'est pas lui qui
contrôlait le Parti libéral, que ce n'est pas lui qui était le chef de
l'organisation qui a fait tout ça, qu'il me poursuive.
M. Croteau (Martin) : Vous êtes prêt à vous défendre en cour
pour…
M. Khadir : Je suis prêt à me défendre, oui, contre lui.
M. Croteau (Martin) : Vous êtes à ce point certain qu'il est
un suspect que…
M. Khadir : Bien, il est suspect d'avoir orchestré tout ça
puisque c'est lui, le chef du Parti libéral, et c'est le Parti libéral qui a
fait tout ça. Mme Normandeau n'a pas fait ça dans l'ignorance du Parti libéral.
(…)
M. Khadir : Hi! Good afternoon.
M. Hicks (Ryan) : How confident are you in your assertion
that Mr. Charest is responsible for what has happened over the years with the
political financing?
M. Khadir : I am as confident as he was when he was saying
that he has both hands on the…
M. Hicks (Ryan) : Wheel.
M. Khadir : …on the wheel. He had both hands on the wheel of
a party that has committed criminal offence.
Because when you gather money illegally under the law and you fabricate information that aren't true to gather money, it is… passible…
Because when you gather money illegally under the law and you fabricate information that aren't true to gather money, it is… passible…
It can be condemned by Criminal Code. O.K.?
So it's indictable under the Criminal Code. That's why probably Mme Normandeau was indicted. O.K.? She is under criminal charges.
But Mme Normandeau wasn't doing that alone. She had the whole Liberal Party doing that.
And who had the control over that party? Mr. Charest.
So, I'm as confident as he was when he was asserting that he has both hands on the wheel.
So it's indictable under the Criminal Code. That's why probably Mme Normandeau was indicted. O.K.? She is under criminal charges.
But Mme Normandeau wasn't doing that alone. She had the whole Liberal Party doing that.
And who had the control over that party? Mr. Charest.
So, I'm as confident as he was when he was asserting that he has both hands on the wheel.
Journaliste : And you're so confident that you're saying to
him to take you to court to challenge that if it's untrue.
M. Khadir : Yes. If it's untrue that he had the control and
he was the Chief, the Leader of the Liberal Party in charge of his decisions,
he can take me to the court.
If he can blame us for saying that the Liberal Party has done wrong by collecting illegal money to organize his elections and has practiced influence-peddling in giving contracts to private companies, you can bring me to justice.
If he can blame us for saying that the Liberal Party has done wrong by collecting illegal money to organize his elections and has practiced influence-peddling in giving contracts to private companies, you can bring me to justice.
(…)
Journaliste: Mr. Khadir, I just want to make sure that I'm
not taking your words out of context; I want to be absolutely 100%
crystal-clear.
You were saying that you believe from our Premier Jean Charest, was spearheading efforts for illegal party financing for the Liberal Party?
You were saying that you believe from our Premier Jean Charest, was spearheading efforts for illegal party financing for the Liberal Party?
M. Khadar: Of course. I'm believing that because he was
saying to us all along that he was the Chief, the Leader of the Liberal Party,
and he had both hands on the wheel.
I don't think anybody could contest seriously today that Mr. Charest was in charge of the Liberal Party.
And the Liberal Party was doing that.
And Marc Bibeau who is his main collector, who is under scrutiny from UPAC, whose enterprise Schokbeton, a cement enterprise in construction, was rated by the UPAC, was a close collaborator with him, doing these type of things, collecting money, organizing benefit activities.
I don't think anybody could contest seriously today that Mr. Charest was in charge of the Liberal Party.
And the Liberal Party was doing that.
And Marc Bibeau who is his main collector, who is under scrutiny from UPAC, whose enterprise Schokbeton, a cement enterprise in construction, was rated by the UPAC, was a close collaborator with him, doing these type of things, collecting money, organizing benefit activities.
So, how could we believe reasonably that we can indict, we
can take for responsible only Mme Nathalie Normandeau, is that a just approach
to that question?
Is Mme Normandeau the only corporate, the only person responsible for all that?
Was Mme Normandeau acting alone or was she acting under the orders of Mr. Jean Charest?
Its' crystal-clear, she was doing everything under the orders of his leader.
Is Mme Normandeau the only corporate, the only person responsible for all that?
Was Mme Normandeau acting alone or was she acting under the orders of Mr. Jean Charest?
Its' crystal-clear, she was doing everything under the orders of his leader.
So, in my dictionary of the responsibilities, Mr. Charest is
the main suspect in all the wrongdoings of the Liberal Party, when it comes to
illegal financing.
Merci.
Merci.
Journaliste : Merci.
(Fin à 13 h 6)
*
ET LE MERCREDI
L'ex-premier ministre du Québec et l’ex- du parti Libéral du
Québec, monsieur John James Charest
Monsieur Charest était « le suspect numéro un » selon madame
Françoise David porte-parole parlementaire de Québec solidaire ou co-présidente
de QS avec monsieur Amir Khadir
Amir Khadir a « absolument raison » d'affirmer que Jean
Charest est le «premier suspect » de crimes qui auraient été commis par le
Parti libéral
Jean Charest porte une « lourde responsabilité » dans les
malversations qui ont entouré le financement politique du Parti libéral dans
les années 2000.
L'ancien chef « ne peut se défiler » de sa responsabilité.
« Un chef, ça assume des responsabilités. Je pense que Jean
Charest porte à tout le moins une immense responsabilité qui est celle de ne
pas avoir bien géré sa machine à faire de l'argent. »
Selon Pierre Karl Péladeau, chef du Parti québécois, Charest
ne peut nier sa responsabilité
Monsieur Charest ne pouvait ignorer les pratiques du parti
qu'il dirigeait.
« Je pense qu'il devait savoir, et, s'il ne le savait pas,
il a manqué à sa responsabilité de le savoir»
Le chef de la Coalition avenir Québec, François Legault, n'a
pas voulu lancer la pierre à Monsieur Charest.
Il fait valoir qu'il n'y a
aucune preuve que l'ancien premier ministre a été impliqué dans des
malversations.
« Il y a comme une aura de suspicion. Mais, pour l'instant,
on n'a pas ces preuves-là. »
IL N'Y A PAS DE PREUVE PARCE QU'ON NE LES CHERCHE PAS ET QU'ON FAIT BIEN ATTENTION DE COMMENCER À LES CHERCHER. MAIS ON A APPRIS RÉCEMMENT QUE L'UPAC AVAIT SAISI LES AGENDAS DE MONSIEUR CHAREST. C'EST UN DÉBUT.
Monsieur Charest a qualifié de « totalement gratuits » les
commentaires de Monsieur Khadir.
Il a accusé le député solidaire de souffrir d'une «
obsession » à son endroit.
Il n'a pas précisé s'il compte le poursuivre.
ET UNE JOLIE PHOTO DE MONSIEUR CHAREST DANS LES BRAS DE MONSIEUR TONY ACCURSO. PHOTO CHASTE MAIS SI ÉLOQUENTE
ET UNE JOLIE PHOTO DE MONSIEUR CHAREST DANS LES BRAS DE MONSIEUR TONY ACCURSO. PHOTO CHASTE MAIS SI ÉLOQUENTE
13 avril 2016
Douteur je doute. On ne doute jamais assez. Tout ce qu'on vous dit est faux. Tout ce que vous savez est faux. Parce que tout ce qu'on vous dit est faux. Mais il se peut qu'une partie de ce que savez soit vraie mais laquelle? Le professeur Bulle a parlé. Ou pensé quelque chose. Ou eut une émotion quelconque. Le professeur Bulle pense quelques fois par année donc il lui arrive d'être. Mais pas souvent!