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dimanche 3 mai 2009

383.LA FEMME NOUS INQUIÈTE

LA FEMME NOTRE AMIE.

Comme le dit si bien la Bible,-notre ouvrage de référence avec Mein Kampf-, la femme a été créée (ce mot prend 3 e ce qui est trop et, en plus, 2 sont accentués, ce qui fait beaucoup. Et nous ne faisons qu’aborder le cas de la femme.) par Dieu à partir d’une côte de notre père à tous, Adam, pour le désennuyer. Car il se sentait seul.

Ce fut une des pires erreurs de Dieu qui en commettra bien d’autres par la suite. Et celle-ci mis à jamais en jeu le sort de l’humanité. Et la plus grave erreur d’Adam de révéler à voix haute un de ses désirs passagers, peut-être pas le plus important de tous mais celui du moment (et l’instant suivant ,c’aurait été une Porshe 911) et passait par là une parente bien intentionnée qui avait trop de temps libre et qui voulait lui faire un cadeau. C’aurait pu être une montre qu’il n’aurait pas aimé. Ou une balayeuse portative.

Car, jusqu’à présent, Dieu avait eu un parcours sans faute. La création. L’univers. Le Monde. La terre. Les océans. Le Jour. Les animaux du ciel, de la terre et des mers. Et, pour finir, sa plus belle réalisation d’entre toutes, celle dont il était le plus fier, l’Homme. Moi. On le comprend.

L’homme, à ce moment, on ne sait pourquoi, se trouvait bien seul au monde avec tous les animaux de la création. Et la Terre pour lui tous seul. Dieu, pour lui faire plaisir, lui inventa donc une «compagne». Erreur fatale.

Emporté par son caractère étrange et fantasque qu’elle était incapable de contrôler (et même des millions d’années plus tard), elle lui apporta toutes sortes d’ennuis, irrita Dieu et, finalement, le fit expulser du Paradis Terrestre. Avec elle.

Il me semble que c’était suffisant pour comprendre. 1 +1 font 2. Toujours. Il y a 100 millions d’années et maintenant. Il ne sert à rien de recommencer à compter pour voir s’il y a eu des changements récemment. Non. On recommence en pensant que, cette fois, avec nous, ce sera différent. Non.

Il faut donc se méfier d’elle. Et de ses sœurs. Car elles sont plus que deux. Elles sont même au moins 10. Et, peut-être plus, dans le monde. On dit qu’il y en a partout. Et même beaucoup.

Elles sont capables de tout. Souvenez-vous en! Ne venez pas me dire ensuite que je ne vous ai pas prévenu.

Vous avez entrouvert votre porte. Une femme est entrée. La femme est encore là. Que faire?

Car la femme procure bien des joies mais aussi quelques soucis. Il faut donc y penser à 2 fois avant d’ajouter une personne de sexe féminin de type humanoïde chez vous.

Bon, la décision est prise ou il est trop tard. Elle est arrivée chez vous, vous ne vous rappelez plus comment, vous ne savez plus quand, c’est un peu vague et elle ne semble pas vouloir repartir.

Elle n’est pas prête. Vous venez de remarquer que ça lui arrive souvent. Régulièrement. Vous remarquerez bientôt qu’elle ne sera pas souvent prête à ce que vous voudrez faire. Ou pas rapidement. Ou pas maintenant. Ou ça prendra un temps du diable.

Vous lui avez même, parfois, suggéré quelques conseils nuancés dans ce sens. Elle pouvait partir si elle le voulait. Ce serait bon pour elle de changer d’air. De prendre du recul. De faire le point. De réfléchir. Car vous avez besoin de temps pour vous. Pour penser. Pour réfléchir. Pour vous recentrer sur vous-même. Et mettre de l’ordre dans votre collection de cartes de hockey.

Elle fait semblant de ne pas comprendre. Ou elle ne comprend rien du tout. On ne sait jamais avec elle.

Vous êtes vous-même ambigüe à ce sujet. Comme Dieu, elle vous amuse, vous irrite, se rend indispensable et tant qu’on ne peut plus se passer d’elle. C’est une impression. Vous pouvez très bien vous passer d’elle.

Vous ne savez plus que penser. C’est ça. Vous ne savez plus que penser et vous ne pensez plus. Tout ceci à cause d’elle. Avant, vous vous en souveniez très bien, vous pensiez parfaitement bien.

On dirait que vous ne savez plus comment faire. Pourtant, pour un homme, penser est facile. C’est même tout à fait naturel Pourtant, dès qu’elle arrive près de vous vos idées se brouillent. Vous êtes troublé. Tout devient flou. Et vous n’êtes plus vous-mêmes.

Vous avez cette curieuse impression. Mais vous avez raison. Vous n’êtes plus vous-mêmes. Et c’est une impression vraiment curieuse.

Qu’y a-t-il de changé dans votre vie? Réfléchissez.

Réfléchissez-mieux!

Voilà.

Car vous n’étiez vraiment vous-mêmes que seul.

Phénomène normal de dissonance cognitive. Trop d’informations contradictoires doivent être traitées trop rapidement par votre cerveau. Vous aviez été prévenu. Devez-vous la tuer?

Le professeur Bulle étant un homme logique (les 2 termes ne peuvent qu’aller ensemble) conseille l’euthanasie passive, active, le meurtre et le suicide car il y a trop d’humains sur terre, ceci dans un but écologique et non moral. Il serait en effet immoral de conseiller l’assassinat. Pour des raisons qui n’en sont pas : psychologie, cupidité, jalousie, politique, religion, pureté. Indignes d’un être civilisé.

Par contre, afin de préserver la planète, des moyens radicaux peuvent être utilisés. Et si le meurtre d’une personne peut vous chagriner, la disparition de quelques centaines de millions peut très bien s’envisager rationnellement. Et il faut bien commencer quelque part. Et avec quelqu’un.

C’est «pour son bien» comme on dit. Pour le bien de la planète et le bien de la femme. Si vous lui expliquiez et qu’elle vous aimait vraiment, comme elle le dit, elle comprendrait. Mais c’est encore un sujet que vous n’oserez pas aborder –et il y en a de plus en plus- car ça provoquerait une chicane. Une autre. Car la femme a mauvais caractère. Et ce n’est pas son moindre défaut.

Cessez de penser. Changer de sujet. Sujet 2.

Elle paraît trouver l’endroit agréable et parfait. Et à déjà commencé à refaire la décoration. Il est trop tard. Il fallait y penser avant. Elle a déjà amené ses «petits riens». 12 valises. 77 fois 7 fois petits pots. Elle a vidé l’armoire de la salle de bain, vos tiroirs et vos meubles pour y placer quelque «petites» choses «utiles», «des petits rien» «en attendant».

Et elle a commencé à «donner des conseils».

Une femme qui donne des conseils se sent à l’aise. Trop. Elle a perdu cette insécurité naturelle qui lui va si bien. Cette crainte qui perce, parfois, son regarde de biche. Va t-il me violer? Il est 2 fois plus pesant que moi et a un pied de plus et est capable de dévisser un pot de conserve neuf ou de se servir du tire-bouchon infailliblement. D’un mouvement du bras et il me brise le cou. Me casse les reins. Les bras ou les poignets. Il peut m’étrangler d’une seule main. Me saisir par les cheveux et me faire valser dans le mur. S’il se fâche, je suis morte. Et personne n’entendra jamais plus parler de moi. Il fera des choses horribles à mon corps et m’enterrera dans la cave avec les autres.

Elle prend donc de grand risque pour s’accoupler. Dans la Nature, des situations de ce genre de produisent avec la mante religieuse et la tarentule. Les 2 partenaires sexuels ont des différences de taille si évidentes qu’il est aussi évident qu’un des 2 est également destiné à devenir le lunch de l’autre une fois la fécondation terminée. Heureusement, hors du monde des insectes, dans le monde humain, la tarentule, c’est vous. Vous êtes content. Dieu est bon.

Voilà, comment doit se sentir une femme. Toujours sur le qui-vive. De cette façon, elle restera mince et fera tout pour vous plaire. Et non le contraire. N’importe quel bon musulman pratiquant comprendrait. Et pas vous?

Elle n’aurait jamais osé avant. Elle aurait eu bien trop peur de vous «perdre». Non que vous n’auriez rien compris de ses conseils, au contraire, vous n’auriez rien perdu de la conversation. Vous les auriez trop bien compris et ce qu’ils impliquaient : une mainmise constante du KGB sur chaque seconde de votre vie, de l’enfance à la mort. Mais vous n’étiez pas «mûr». Vous êtes «mûr» maintenant.

Elle se sent trop sûre d’elle. Ce qui est mal. Surtout pour vous. Une femme, par contre, adore se sentir en sécurité.

Elle veut vous améliorer. Vous êtes perdu.

Selon elle, il faut renouveler votre garde-robe. Pourtant, votre unique paire de jeans vous faisait encore très bien. Le confort étant votre principale activité, vous n’en changiez que lorsqu’elle était percée. Ou suffisamment pour vous faire arrêter par la police. Pareil pour vos souliers. Il semble que votre unique paire de soulier ait aussi un problème. Pourtant, avant qu’elle arrive ici et s’y installe, vous n’aviez aucun problème. Ni votre jeans ni vos souliers.

Un homme rationnel (et quel homme ne l’est pas!) n’a pas de problème, juste des occasions d’exercer sa raison sur la matière et de trouver une nouvelle solution. Nous traiterons donc le sujet féminin de cette manière, le cas de la femme, comme un problème à résoudre. Une occasion renouvelée d’exercer votre cerveau sur la réalité, la physique et la matière.

La Nature vous envoie un message en la plaçant sur votre route. Ou dans votre appartement. Ou votre chalet. Ou votre maison.

Si elle est allergique, vous avez peut-être encore une chance. Informez-vous discrètement au sujet de son allergie. Elle sera touchée par votre intérêt soudain pour son bien être. Les femmes sont des êtres sensibles. Mais pas tout le temps.

Pollen, poisson, fruits de mer, arachide, chat et procurez-vous selon le cas des fleurs, du poisson, des fruits de mer, un pot de beurre de peanut et un chat. Il se peut que les symptômes varient selon l’intensité de l’allergie, de l’inconfort léger :congestion, éternuement, yeux rouges qui pleurent, nez qui coulent à la mort subite. La langue enfle et se coince dans la trachée entraînant l’asphyxie. C’est très pratique.

Vous ne voulez pas aller jusque là. Pas encore. Ce qui ne vous empêche pas en homme rationnel que vous êtes de vous préparer à le faire au cas où. Et, en attendant, de tenir à jour un dossier sur les allergies. Elle ne veut toujours pas partir. Vous voulez qu’elle parte puis vous ne voulez pas. Le problème se complique déjà.

Parfois, quand elle est là, vous perdez la tête. Quand elle part, toujours provisoirement, vous vous ennuyez. Sentiment nouveau pour vous. Vous ne vous ennuyiez jamais avant. Qu’est-ce qui vous arrive? Votre raison est soumise à rude épreuve. Pourrez-vous vous en tirer intact? Peut-être pas. Vous en serez probablement marqué à jamais. Il faudra donc, provisoirement , apprendre à vivre avec elle. Et sans elle. Comme lorsque le drogué qui ne l’est pas encore rencontre madame l’héroïne puis la quitte. Lorsqu’il est trop tard.

Vous ne pouvez malheureusement pas faire tout le temps comme si elle n’était pas là. En espérant qu’elle ne soit pas là ou si elle y est qu’elle soit partie au moment où vous reviendrez dans la cuisine. Vous avez essayé et vous êtes rendu compte que ça ne fonctionnait pas.

La vie est un processus continuel d’apprentissage. Il faudra donc apprendre à la supporter .Son humeur, son corps. Bien agréable, vous le reconnaissez. Mais elle a des ballonnements. Elle ronfle. Elle a les pieds froids. Car une femme n’est pas parfaite. Et son cerveau.

Si vous avez une femme dans votre entourage comme animal de compagnie, il se peut que vous ayez remarqué une modification régulière de son caractère. Ceci est normal (pour la femme). Il est préférable de vous séparer d’elle lorsque ces symptômes déplaisants se présentent pour la première fois. Vous n’avez jamais vu de choses semblables avant et n’avez aucune envie de le revoir de votre vivant. Ceci est bien

Ou, au moins, l’éloigner provisoirement. Pour son bien. Et le vôtre.

Le professeur Bulle a toujours déconseillé la vie commune avec une femme. Du moins dans un appartement ordinaire de moins de 10 pièces. Vivre dans 2 appartements séparés du même immeuble est bien aussi. Avec, au moins, 2 portes qui se ferment à clé. Mieux, dans 2 maisons, pas nécessairement face à face mais dans le même quartier, le même village, la même ville. Ou le même continent. Et ce n’est pas obligé.

Anciennement, on disait que les épreuves forgeaient le caractère. Et les gens anciens qui étaient aussi religieux disaient, en plus, que les épreuves donnaient des indulgences, sorte de monnaie spirituelle qu’il fallait accumuler pour le ciel. Dieu étant une sorte de banquier. Qui, comme on sait, ne prête qu’au riche.

Nous vous prévenons, vous allez souffrir. Ce que vous avez connu n’a aucune commune mesure avec la chasse à l’ours qui, comparé à ce que vous allez vivre et devoir subir, est du même ordre que la collection de papillons.

Vous allez horriblement souffrir. Tous vos sens vont être poussés à l’extrême limite de leur possibilité. Comme on disait : vos nerfs vont être mis à rude épreuve. Et que dire des siens? Ce qu’elle fera, aucune bête ne le fera jamais.

La femme va muer.

Car la femme mue comme le serpent. Ou mute comme dans la série V où des extraterrestres de type lézards carnivores cannibales se cachaient sous une apparence humaine pour prendre le pouvoir. Transformer le monde en abattoir et dévorer la population. C’était une fiction. Mais ici, ce sera bien réel. Car la femme va changer.

Vous êtes en danger.