Parfois, il arrive que des gens qui font profession d'utiliser des idées se penchent brièvement sur la «guerre» pour en produire quelques concepts.
Si la «guerre» est le fait de leur pays, ils présument que c'était pour de bonnes raisons.
Si la «guerre» est le fait d'un autre pays, un doute surgit sur la noblesse de leurs motivations. Car il arrive à la personne qui aime s'appeler «intellectuel» de douter. Brièvement.
Il arrive aussi que les mêmes personnes dans un accès des grandeur d'âme qui leur fait du bien se désole, brièvement, de l'existence de la guerre. Qu'il faudrait empêcher mais on ne sait pas comment.
On conclut que la «guerre» est un phénomène mystérieux, imprévisible mais on ne l'étudiera pas plus longtemps car on fatigue vite.
Si vraiment on fait des efforts qui choquent la personne qui parle par leur cynisme qu'il ne se reconnaît pas d'habitude, il dira que la guerre est provoqué par des «intérêts».
Généralement, les gens moins cyniques diront que la guerre est survenu parce qu'un pays -généralement le vainqueur- a du se défendre de l'agression (irraisonné) (et sans motif) d'un autre pays.
Un pays qui perd n'entraîne aucune sympathie.
Par contre, le gagnant qui a su protéger sa population au milieu de toutes ces épreuvres...
Il y a tout un vocabulaire standardisé pour parle de ces choses.