Utilisation du Taser
Le ministre Dupuis soulève l'indignation
9 octobre 2009
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2009/10/08/003-taser-dupuis.shtml#commentaires
Le ministre québécois de la Sécurité publique, Jacques Dupuis, a soulevé l'ire de l'opposition lorsqu'il a commenté, jeudi, une intervention pendant laquelle des policiers ont maîtrisé un déficient intellectuel en crise avec un pistolet à impulsion électrique en août dernier.
La députée de Matapédia, Danielle Doyer, porte-parole du PQ en matière de services sociaux, venait d'exposer en Chambre le cas d'un trisomique de 43 ans demeurant dans une résidence relevant du ministère de la Santé et des services sociaux.
Exprimant son inquiétude et celle des parents de déficients intellectuels, la députée a demandé si le gouvernement Charest approuvait cette intervention, survenue l'été dernier à Québec.
Le ministre Jacques Dupuis a exprimé sa tristesse devant la situation, mais a dit qu'il s'en remettait aux policiers et aux employés du Centre de réadaptation en déficience intellectuelle de Québec qui étaient alors sur place.
Il a cependant laissé entendre que la déficience intellectuelle d'une personne n'était pas un facteur qui entrait en ligne de compte lorsque des policiers intervenaient.
«Il y a une vérité toute simple, toute simple: quand on n'obtempère pas aux ordres d'un policier, on s'expose à un certain nombre de choses.» — Jacques Dupuis
Le ministre Dupuis soulève l'indignation
9 octobre 2009
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2009/10/08/003-taser-dupuis.shtml#commentaires
Le ministre québécois de la Sécurité publique, Jacques Dupuis, a soulevé l'ire de l'opposition lorsqu'il a commenté, jeudi, une intervention pendant laquelle des policiers ont maîtrisé un déficient intellectuel en crise avec un pistolet à impulsion électrique en août dernier.
La députée de Matapédia, Danielle Doyer, porte-parole du PQ en matière de services sociaux, venait d'exposer en Chambre le cas d'un trisomique de 43 ans demeurant dans une résidence relevant du ministère de la Santé et des services sociaux.
Exprimant son inquiétude et celle des parents de déficients intellectuels, la députée a demandé si le gouvernement Charest approuvait cette intervention, survenue l'été dernier à Québec.
Le ministre Jacques Dupuis a exprimé sa tristesse devant la situation, mais a dit qu'il s'en remettait aux policiers et aux employés du Centre de réadaptation en déficience intellectuelle de Québec qui étaient alors sur place.
Il a cependant laissé entendre que la déficience intellectuelle d'une personne n'était pas un facteur qui entrait en ligne de compte lorsque des policiers intervenaient.
«Il y a une vérité toute simple, toute simple: quand on n'obtempère pas aux ordres d'un policier, on s'expose à un certain nombre de choses.» — Jacques Dupuis