On vient donc de nous dire que les spéculateurs qu'on disait calmé - ayant eu leur leçon- au cours du dernier désastre financier n'ont rien appris ni compris. Ils recommencent à spéculer sur la monnaie, se foutant de plonger un pays dans l'abîme. Quand on parle de spéculateurs, il faut aussi parler des banques.
Ce qui nous ramène à la nouvelle précédente. La dette mondiale et celle de pays. On oublie le passé récent (encore les journalises en crise de TDAH (trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité ) et que ce sont les pays riches qui ont sauvé le système économique en jetant dans le trou noir créé par les spéculateurs des milliards de $. Un peu comme la fable du petit garçon qui bouche un trou dans un barrage en y mettant le doigt. Aussitôt, un autre trou se fait plus loin. Et un autre et une autre.
La «solution« proposé par les psychopathes asociaux (pléonasme) est de couper dans les dépenses (soit les services destinées à la majorité - à qui on a pris leur $ pour les sauver) ou de privatiser. Les services rentables de l'État étant alors racheté par les mêmes psychopathes avec l'$ que leur a prêté l'État ($ des citoyens - contribuables - électeurs).
L'autre solution de l'État est de dévaleur l'$. Pour réduire à zéro sa dette et effacer l'$ «prêtés» aux psychopathes. Ou de les mettre collectivement dans un camps de concentration. (Ils sont trop nombreux pour les prisons existantes - les mots camps et concentration ensemble ont pris une connotation désagréable depuis la dernière guerre mais il y a aussi une idée de réflexion avec le mot concentration et de vacance avec le mot camp qui peut être intéressante.
On voit donc se profiler une partie de cartes intéressantes. Ou la minorité bourré de fric biodégradable dont elle doit se débarrasser au plus vite avant que le recyclage commence, achète et force les gouvernements à vendre tout ce qui a matériellement de la valeur contre de l'$ qui en a de moins en moins. Le but étant de créer une nouvelle aristocratie dirigeant une masse anoymes de crèves la faim. Esclaves-ilotes-serfs, on a le choix des mots.
Ou quelqu'un - qui?- les prendra de revers. Et jouera la fin des Templiers numéro 2.
On vend des billets?
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