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Et tous ces braves gens qui n'ont que les mots «civilisation» «démocratie» «droits de l'homme (et de la femme)» «oh! mon Dieu! Et celui des enfants!» «Et le droit des bébés» «Et la violence à la tv qui traumatise les jeunes» à la bouche trouvent tout à fait naturel, comme l'ont fait les USA, Israël en Irak, Afghanistan, Liban, Gaza, Serbie, etc, de détruire toutes les infrastructures rendant vivable une ville moderne.

Et ainsi plonger la population dans le cahos et la préhistoire: bombardement des producteurs d'électricité, d'eau, filtration des égoûts, les réservoirs de pétrole, les réseau communication y compris les stations de radio, tv et les journaux (avec les journalistes dedans), les ports, les ponts et les routes principales et un petit hôpital ici par là et beaucoup d'ambulances.

Tuer des médecin et des infirmières est bonbon. Plus il y a d'agonisants qui souffrent bruyamment, mieux c'est!

Bravo pour le vieux, les malades, les infirmes, les femmes enceintes et les enfants! Et les bébés!

On oublie qu'il est impossible de faire vivre ensemble 1 million d'habitants sans ces machines et les gens qui les utilisent. Et avant le XIX ième siècle, ce n'est que près de 2,000 ans avant qu'on avait réussi à réunir autant de gens dans un ville. Et il a fallu 2000 ans pour recommencer. On joue avec le feu.

Même 100,000 personnes est un exploit. Et le début de progrès et de la civilisation est sans doute le livre, l'écriture et la culture mais les ponts et les routes (à construire, entretenir - 0n en sait quelque chose ici avec nos viaducs- hiver comme été, l'eau potable et les égoûts. Et l'électricité dans un pays hivernal. Ou pour l'air climatisé dans les pays torrides. Et les couveuses des maternités des hôpitaux.

Sans ces réseaux dont personne ne parle, entretenus par ces anonymes qu'on préfère oublier, il n'y a plus que des taudis pour la population et quelques châteaux.

Il ne s'agit plus d'attaquer l'armée ennemie mais la population comme on le faisait avant les guerres «civilisées» post-Moyen-Âge (il fut une époque où on considérait inhumain et immoral de tuer des civils. Et d'abîmer les villes. Et une époque beaucoup plus longue, avant, où c'était un sport amusant. Le viol des femmes étant la récompense du guerrier. On est revenu à ces époques barbares à la deuxième guerre mondiale et on y est encore.

Mais il ne s'agit plus de bombardements d'extermination (pluie de bombes explosives, chimiques, au phosphore, ect) comme l'ont fait les «Alliés» lors de la deuxième guerrre mondiale contre la population Allemande ce qui a eu son point culminant (une prouesse technologique qui marque le début du véritable progrès moderne) l'incinération de 2 coups de 100,000 femmes (en prime, enfants, vieillards) au Japon par 2 seules bombes et 2 avions (plus des rechanges qui n'ont pas servies) alors qu'il en fallait des milliers et des centaines d'avions pour en faire autant avant. Ce qu'on appelait la Guerre Totale.

L'objectif n'est plus la décimation de la population mais de la réduire en hordes de mandiants terrorisées. Des fuyards vivants sont bien plus encombrants pour ce qui reste de la défense ennemie (on s'en occupe aussi) que des tas de morts.

La Guerre Totale change de visage. Comme d'habitude, selon les bonnes vieilles méthodes des Hells Angel's ou de la Mafia, il s'agit de tuer autant de gens que nécessaire pour s'assurer de la «coopération» des survivants. Dévaster le pays ou le bar de danseuses ne sert à rien, il faut simpler remplacer l'ex-propriétaire par un nouveau plus coopératif qui pourra payer sa «protection». Le pays et le bar de danseuses doit rester intact. Ou à peu près.

Que ce soit une dîme au mafieu local ou la possession des puits de pétrole. Ou les mines et les usines (qu'on évitera de toucher.) (Ce sont les gens que l'ont doit tuer, mutiler (les bombes à billes Israéliennes au Liban) ou blesser parce qu'il n'ont aucune valeur sauf comme exemple de ce qui arrive si vous ne coopérez pas (les Palestiniens en savent quelque chose).

Il y a seulement une différence d'échelle. Les Hells Angel's et même la Mafia ont bien moins de ressources qu'un État qui dispose de tout l'$ de la nation et de la population coopérative (moyennant endoctrinement constant) pour lui servir de caisse de résonance ou d'hommes de mains. Volontaires au début de tout conflit puis forcés grâce à la conscription.

Les cochons iront à l'abattoir presque contents que ce soit sous l'uniforme nazi, israélien, étasuniens, canadiens. Le hasard des naissances révélant le pelage.

Tout le reste au sujet de la «communauté internationale» n'est que du blabla pour les naïfs.

Vous avez quelque chose que je veux et je l'aurais. Que ce soit le vagin d'une femme, l'$ d'un barman ou les puits de pétrole de tout un pays.

Et ceux qui veulent et prennent les moyens d'avoir diffèrent seulement en nombre.

Le voyou, dépravés, pervers, manique sexuel, voleur, celui qui pisse dans les bénitiers dénoncé par tout le monde et condamné par les tribunaux.

Plus ambitiieux. La bandes des motards ou de la Mafia ou les armées.

Ce qu'on veut on le prend de force.

Si vous n'avez rien, vous pouvez crever. Votre vie et votre mort n'intéresse personne.

On l'a dit, il n'est pas nécessaire de tuer tout le monde. Il faut en tuer assez.

Ce que les théoriciens de l'art militaire de toutes les époques confirment avec plus de mots et plus jolies. De Sun Tzu à Clausewitz et d'autres plus récents.

Des ados des gangs du rues qui attendent dans les gares d'autobus les fugueuses et leur promettent une vie nouvelle qui leur fera oublier leurs parents ratés avant le viol collectif qui les rendra coopérative.

(Une fille de 14 ans vivante vaut plus cher qu'une morte. Il faut lui faire simplement comprendre qu'elle appartient désormais à quelqu'un et que sa nouvelle vie est celle d'une pute jusqu'à ce qu'elle soit trop endommagée pour avoir une valeur quelconque.)

Aux armées modernes avec leur centaines de milliards de joujoux perfectionner. Il s'agira toujours de faire peur et faire mal.

Il s'agit d'éduquer.

Ensuite, une fois la fillette enfilée de partout et couverte de sperme, on lui fait récite ses droits nouveaux.

Dans le cas d'un pays, arriveront les avocats, comptables et politiciens qui formeront le nouveau gouvernement qui vendra tout à fait légalement les richesses du pays aux défonceurs de petites filles.

Ce que fait le gouvernement d'Irak, par exemple, au grand plaisir des poules pas de têtes caquetant dans les médias. La démocratie est arrivée en Irak.

De la même façon que Marc Lépine l'a apporté à l'École Polytechnique.

On vous l'avait dit tout est simple.

Et le professeur Bulle parlera de la civilisation un autre jour.