DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

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DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

mercredi 6 janvier 2010

1871

DISCOURS DE TONY BLAIR À LA NATION BRITANNIQUE

(essentiel de l'allocution prononcée le 7 octobre 2001)

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/actualite/attentat/riposte/blair.html

« Comme vous le savez tous après l'annonce du président Bush, une opération militaire a été déclenchée contre des cibles en Afghanistan. Je peux confirmer que des forces britanniques participent à cette opération. (…)

Aucun pays n'engage avec légèreté ses forces dans une opération militaire avec les risques que celle-ci implique.

Nous avons dit clairement, après les attentats du 11 septembre aux États-Unis, que nous agirions une fois les responsables identifiés.

Il n'y a pas de doute dans mon esprit, pas plus que dans l'esprit de tous ceux qui ont étudié toutes les preuves disponibles, y compris des éléments confidentiels, que ces attaques ont été menées par le réseau Al-Qaïda dirigé par Oussama ben Laden.

Il est tout aussi clair qu'ils sont protégés et soutenus par le régime taliban à l'intérieur de l'Afghanistan.

Cela fait près d'un mois maintenant que les atrocités ont eu lieu.

Cela fait plus de deux semaines qu'un ultimatum a été adressé aux talibans pour qu'ils livrent les terroristes ou qu'ils en subissent les conséquences.

Il est parfaitement clair que les talibans ne le feront pas. Ils ont eu le choix entre la justice et la terreur et ils ont choisi la terreur.

L'opération dans laquelle nous sommes engagés compte trois éléments, tout aussi importants :

militaire, diplomatique et humanitaire.

L'opération militaire que nous lançons aura pour cible des endroits liés au réseau terroriste Al-Qaïda ainsi que l'appareil militaire des talibans.

Elle a été planifiée en tenant compte de notre détermination à faire tout notre possible pour éviter des pertes civiles.

Je ne peux pas révéler quelle sera la durée de cette opération. Mais nous ferons preuve de discernement et détermination.

Nous avons pour objectif de poursuivre les responsables des attentats, d'éradiquer le réseau terroriste de ben Laden et d'agir contre le régime taliban qui le soutient.

En ce qui concerne la participation britannique, je peux confirmer que le gouvernement des États-Unis a présenté, mercredi dernier, une requête spécifique pour l'utilisation d'un certain nombre d'éléments des forces armées britanniques dans l'opération qui a maintenant commencé et j'ai autorisé le déploiement de ces éléments.

Ils comprennent la base de Diego Garcia, des appareils, notamment de reconnaissance, ainsi que des sous-marins lance-missiles. Les sous-marins lance-missiles sont en action cette nuit. L'appui aérien sera prêt à être utilisé dans les prochains jours.

Les États-Unis fourniront bien entendu le gros des forces requises et ils mèneront l'opération. Mais celle-ci est un effort international.

Tout comme le Royaume-Uni, la France, l'Allemagne, l'Australie et le Canada se sont engagés à y participer.

Sur les fronts diplomatique et politique, depuis que je suis premier ministre, je ne peux me souvenir d'une situation pour laquelle une coalition ait obtenu aussi vite un aussi puissant soutien. Non seulement en provenance des pays directement engagés dans l'opération militaire mais de bien d'autres partout dans le monde.

La coalition s'est vue renforcée, et non pas affaiblie, au cours des vingt-six jours qui se sont écoulés depuis que les atrocités ont eu lieu.

La stature d'homme d'État du président Bush n'y est pas pour rien.

Le monde comprend que, bien qu'il y ait des risques à agir comme nous le faisons, les risques de l'inaction sont beaucoup, beaucoup plus grands :

la menace de davantage d'atrocités, les menaces pour nos économies, la menace pour la stabilité du monde.

Sur le front humanitaire, nous assemblons une coalition pour venir en aide aux réfugiés à l'intérieur et en dehors de l'Afghanistan, qui est tout aussi vitale que la coalition militaire. […]

Nous avons déjà contribué à hauteur de 36 millions de livres (57,6 millions d'euros) à l'effort humanitaire et nous sommes prêts à faire davantage. […]

Je souhaite dire, enfin, comme je l'ai déjà dit à plusieurs reprises, que ce n'est pas une guerre contre l'islam.

Cela me met en colère, comme cela met en colère la grande majorité des musulmans, d'entendre ben Laden et ses complices être appelés des terroristes islamistes.

Ce sont des terroristes purs et simples.

L'islam est une religion pacifique et tolérante et les actions de ces gens sont contraires aux enseignements du Coran. […]

Ces temps sont difficiles et éprouvants pour nous tous. Les gens vont s'inquiéter de ce que les terroristes pourraient chercher à faire en réponse. […]

C'est un moment extrêmement grave pour le monde. Aucun des dirigeants engagés dans cette opération ne veut la guerre. Aucun des nos pays ne la veut. Nous sommes pacifiques.

Mais nous savons que, parfois, pour défendre la paix, nous devons nous battre.

La Grande-Bretagne a appris cette leçon plusieurs fois au cours de son Histoire.

Nous ne le faisons que si nous croyons que la cause est juste.

Cette cause est juste. »