vendredi 14 mai 2010
3625.
CRITIQUE DU MAIRE TREMBLAY
UN CRI DU COEUR, PLAIDE LABEAUME
14/05/2010
http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2010/05/20100514-111159.html
Le maire de Québec a avoué que sa montée de lait contre la mauvaise gestion dans certaines grandes villes du Québec visait directement le maire de Montréal, Gérald Tremblay, et sa ville:
«Oui, oui, je visais Montréal. Je suis désolé Gérald».
En entrevue à Mongrain, le maire de Québec a dit avoir lancé un «cri du cœur» au congrès de l’Union des municipalités du Québec jeudi parce que les élus municipaux sont «tannés» de payer pour les scandales qui secouent la métropole.
«On a l’air de bandits ces temps-ci, c’est un cri du cœur, j’ai pas calculé mes affaires, mais c’est ce que ça a donné».
Selon les dires de Labeaume, les scandales de Montréal éclaboussent l’ensemble des élus municipaux, au nombre de 8000 dans la province.
«Ils travaillent fort, moi je suis bien payé, mais eux font entre 3000$ et 6000$, insiste-t-il. Ils font ça parce qu’ils sont passionnés».
Les maires sont responsables de la gestion de leur administration, a rappelé le maire de Québec.
«On ne peut pas être au courant de tout, mais nous en sommes imputables. Ça ne veut pas dire que quand il y a quelque chose de croche, c’est la faute du maire»,
nuance-t-il.
Jeudi, en marge du congrès, le maire Labeaume a vertement critiqué la mauvaise gestion dans certaines villes, sans jamais nommer Montréal ou le maire Tremblay.
«Il y en a qui ont mal géré leur ville. Il y a des problèmes d'incurie en gestion municipale, puis, on mange tous la claque à cause de cela. On passe tous pour des pareils, puis, moi, je suis révolté», a-t-il déclaré.
En entrevue vendredi matin sur les ondes de LCN, le maire Gérald Tremblay a refusé de commenter la sortie de son homologue de Québec. Actuellement à l’exposition universelle de Shanghai, le maire a dit qu’il commentera l’affaire à son retour dans la métropole, dans trois jours.
LA NOUVELLE EN VIDÉO
Video 1
Attaque contre le maire Tremblay: Régis Labeaume en remet. Reportage.
(TVA Nouvelles)
[Il ne s'agit pas de «mauvaise gestion» ou d'étourderie comme la ménagère qui oublie de mettre les porte-couteaux à côté des assiettes. Le docteur Bulle aime la précision et fantasme au vocabulaire. Donnez-lui un dictionnaire et il refera le monde. Précisons donc: il s'agit de corruption, de pot-de-vin (au multiples pluriel), de trafic d'influence, de collusion, de vol, intimidation, chantage, de complicité avec le crime organisé (Mafia), très organisé (Chambre de Commmerce ou Marché Libre des parasites sociaux enregistrées et incorporés). Tous ces mots méritent d'être observé dans leur habitat naturel et étudié dans leur réserve zoologique, un dictionnaire. Méditons.
Tandis que le crime désorganisé (voleur de sacoches, gang de rue, le mari frustré qui tue sa charmante épouse ou le contraire) est pourchassé par la LOI dans toute sa rigueur. Il y a même un premier ministre du Canada qui s'en est fait une spécialité, un devoir moral. Et ne cesse de brâmer contre la clémences des tribunaux et la légèreté des peines.
Tandis qu'ici, on assiste à un marivaudage légal ou d'une viriante de Paule à la Plage d'Éric Rohmerqui serait Un Maire dans un Bateau de Croisière par Falardeau. ]
UN CRI DU COEUR, PLAIDE LABEAUME
14/05/2010
http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2010/05/20100514-111159.html
Le maire de Québec a avoué que sa montée de lait contre la mauvaise gestion dans certaines grandes villes du Québec visait directement le maire de Montréal, Gérald Tremblay, et sa ville:
«Oui, oui, je visais Montréal. Je suis désolé Gérald».
En entrevue à Mongrain, le maire de Québec a dit avoir lancé un «cri du cœur» au congrès de l’Union des municipalités du Québec jeudi parce que les élus municipaux sont «tannés» de payer pour les scandales qui secouent la métropole.
«On a l’air de bandits ces temps-ci, c’est un cri du cœur, j’ai pas calculé mes affaires, mais c’est ce que ça a donné».
Selon les dires de Labeaume, les scandales de Montréal éclaboussent l’ensemble des élus municipaux, au nombre de 8000 dans la province.
«Ils travaillent fort, moi je suis bien payé, mais eux font entre 3000$ et 6000$, insiste-t-il. Ils font ça parce qu’ils sont passionnés».
Les maires sont responsables de la gestion de leur administration, a rappelé le maire de Québec.
«On ne peut pas être au courant de tout, mais nous en sommes imputables. Ça ne veut pas dire que quand il y a quelque chose de croche, c’est la faute du maire»,
nuance-t-il.
Jeudi, en marge du congrès, le maire Labeaume a vertement critiqué la mauvaise gestion dans certaines villes, sans jamais nommer Montréal ou le maire Tremblay.
«Il y en a qui ont mal géré leur ville. Il y a des problèmes d'incurie en gestion municipale, puis, on mange tous la claque à cause de cela. On passe tous pour des pareils, puis, moi, je suis révolté», a-t-il déclaré.
En entrevue vendredi matin sur les ondes de LCN, le maire Gérald Tremblay a refusé de commenter la sortie de son homologue de Québec. Actuellement à l’exposition universelle de Shanghai, le maire a dit qu’il commentera l’affaire à son retour dans la métropole, dans trois jours.
LA NOUVELLE EN VIDÉO
Video 1
Attaque contre le maire Tremblay: Régis Labeaume en remet. Reportage.
(TVA Nouvelles)
[Il ne s'agit pas de «mauvaise gestion» ou d'étourderie comme la ménagère qui oublie de mettre les porte-couteaux à côté des assiettes. Le docteur Bulle aime la précision et fantasme au vocabulaire. Donnez-lui un dictionnaire et il refera le monde. Précisons donc: il s'agit de corruption, de pot-de-vin (au multiples pluriel), de trafic d'influence, de collusion, de vol, intimidation, chantage, de complicité avec le crime organisé (Mafia), très organisé (Chambre de Commmerce ou Marché Libre des parasites sociaux enregistrées et incorporés). Tous ces mots méritent d'être observé dans leur habitat naturel et étudié dans leur réserve zoologique, un dictionnaire. Méditons.
Tandis que le crime désorganisé (voleur de sacoches, gang de rue, le mari frustré qui tue sa charmante épouse ou le contraire) est pourchassé par la LOI dans toute sa rigueur. Il y a même un premier ministre du Canada qui s'en est fait une spécialité, un devoir moral. Et ne cesse de brâmer contre la clémences des tribunaux et la légèreté des peines.
Tandis qu'ici, on assiste à un marivaudage légal ou d'une viriante de Paule à la Plage d'Éric Rohmerqui serait Un Maire dans un Bateau de Croisière par Falardeau. ]