DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR
DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

jeudi 17 juin 2010

3909. COMMENTAIRE DU PROFESSEUR BULLE

Les journaux nous parlent parfois de personnages intéressants qui ont été utile discrètement. En voici un.

Il ajoute un petit détail qu'on ignorait au sujet de la fraude de monsieur Vincent. Tout le monde parle de 125 millions. Ce qui est déjà pas mal.

Le monsieur parle lui de près de 400 millions!

Erreur de calcul?

Le monsieur a 100 ans, il peut se tromper.

Le journaliste, certainement plus jeune, a pu se tromper en prenant des notes?

Comment faire le calcul de la différence?

Ce qui n'est, après tout, qu'un détail (!) (pas pour les fraudés, sans doute mais notre monde déteste les perdants et, encore plus, les gagnants de jadis qui perdent un jour (car il faut avoir les moyens pour perdre beaucoup de fric dans l'affaire Norbourg ou avec monsieur Jones ou encore mieux avec monsieur Madoff. Ceux qui n'ont jamais rien gagné, sauf de quoi survivre, y voit un peu de morale échappée du plateau de madame la Justice - qui, on le sait est aveugle ou a un bandeau sur les yeux- plateau qui penche toujours du même bord.

Mais la morale n'est pas le sujet qui nous intéresse aussi. C'est plutôt la curiosité - curiosité qui ne rend personne curieux- au sujet de tout cet ? «perdu». On parle ici de celui de monsieur Lacrois, on pourrait aussi parler de celui de monsieur Jones.

Si un jeune voleur de dépanneur parti avec le contenu du tiroir de la caisse et qui se fait attraper dit que l'$ est «perdu». La coutume veut qu'après une conversation, parfois longue, avec les agents de la paix, le jeune voleur repenti retrouve la mémoire et se souvient de la dernière fois où il a vu l'$ mystérieux.

Mais il semble que tout le monde se fout de cet $.

Il est intéressant de savoir que 125 millions (ici, près de 400) peuvent «disparaître.

Et on dit que notre monde laïc et athée ne croit plus en rien et certainement pas en Dieu. Mais des miracles, tous les jours se produisent.

Miracle, encore, le fait que monsieur Lacroix ait travaillé pour la Caisse de Dépôt et Placement, le temps (selon certains) de démontrer son incompétence, ce qui l'a fait envoyer réaliser d'autres défis.

Encore plus miraculeux, le fait que, sans doute pris de vertige, avec tous ces fonds à administrer, quelqu'un (?) (on n'a jamais su qui) (et on n'a pas fait le moindre effort pour le savoir) décide de vendre un des fonds de la Caisse au bon monsieur Vincent. Dont on vient de dire que certains doutaient des qualités de bons gestionnaires.

On ne parle pas de peanuts.

100 millions.

Avec les déposants qui ignoraient le voyage qu'ils faisaient.

100 millions vendu pour 60,000? au bon monsieur Vincent.

Monsieur Vincent, toujours en crise avec les chiffres n'avaient pas le capital nécessaire. Ce n'était rien à l'époque puisqu'on lui a fait crédit.

Ensuite, on perd la trace de cet $. Jusqu'à ce qu'une décennie plus tard, on commence à poser des questions pour se rendre compte, qu'en effet, on n'a pas la moindre idée où a pu passer l'$.

Certains esprits peu délicats prétendent que monsieur Vincent a fait le cave lors du procès dans l'idée de faire son temps. Et «après avoir payé sa dette à la société», il sera redevenu un homme libre. Qui s'il lui vient à l'esprit de se lancer en affaire aura encore quelques millions sous un matelas.

Comme il n'a pu avoir l'$ seul, ni le faire disparaître seul, on peut supposer qu'il a fallu payer le silence de quelqu'un. Avec quelques sous. Et en faisant un peu de prison à leur place!

Mais seuls les gens mesquins, ignobles et indignes de faire parti des amis de Muse pourraient penser une telle chose.

On peut aussi faire un rapport entre la façon (les français de France - les seuls vrais Français- qui écrivent bien - seuls les vrais Français savent écrire- diraient «cavalière») dont on a traité la menue monnaie de la Caisse de Dépôt dans le passé et la manière exotique dont on a, plus tard, traité des tonnes de fric.

Certains esprits étroits s'indigneront devant le fait que l'on traite de «menues monnaie» 100 millions$. Comme toujours, tout est question de comparaison. Si on dit que, plus tard, on a trouvé le moyen de perdre 50 milliards...

Voilà.

Et, bien sûr, tout le monde se fout de ce qui est arrivé à ce pognon.

Et, plus surprenant, le principal responsable de la Caisse à ce moment, après avoir démissionné subitement et pricipitamment a trouvé un poste encore mieux payé auprès d'un des illustres sages financiers qui nous guident.

Il va de soi - malgré ce que les sinistres personnages indignes d'être invité chez Muse- que jamais le président de la Caisse d'alors n'a été foutu à la porte ni même réprimandé. Nenni! Il a même bénéficié d'une généreuse prime de départ pour l'aide à se ressourcer. Ce qu'il n'a pas eu le temps de faire puisqu'une plus belle job l'attendait (?).

Est-ce le mot juste?

Le professeur Bulle aime la précision.

Certains esprits viles, veules, qui ne méritent certainement pas de vivre font courir la rumeur qu'il s'agirait peut-être d'une récompense (?) pour service rendu (?) et à qui (?).

Le professeur Bulle reste sans voix et sans mot devant pareille mauvaise foi.

Il va donc aller jouer du peigne (avec du papier de soie). Ce qui fait un bruit amusant proche du gazou propice à la réflexion et susceptible d'aider à la création de grandes oeuvres littéraires qui, malheureusement, sont toutes française.

Il ne restera donc qu'à créer (?) des oeuvres mineures. Le grand roman Canadien (?). Pire, le grand roman Québécois (?).

Quelle déchéance!

Qu'il est doux le son du gazou sur le golfe clair!