samedi 8 octobre 2011
5757. LES USA ET LES ÉTASUNIENS ET LES USSIENS, ESPOIR DU MONDE
*
LES ÉTATS-UNIS CRÉÉS POUR DOMINER LE MONDE, DIT MITT ROMNEY
7 octobre 2011
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2011/10/07/007-romney-republicains-dieu-etats-unis.shtml
Le candidat à l'investiture républicaine Mitt Romney a plaidé pour une politique étrangère plus musclée et promis de restaurer la domination mondiale de l'Amérique au cours d'un discours qui contrastait avec les politiques du président Obama, mais qui rappelait celles de George W. Bush.
L'ancien gouverneur du Massachusetts, qui domine dans les sondages, avait choisi de prononcer son premier grand discours sur la politique étrangère dans une école militaire de Charleston, en Caroline du Sud, dont près d'un millier et demi d'élèves ont servi à l'étranger, notamment en Irak, en Afghanistan.
« Dieu n'a pas créé ce pays pour être une nation de suiveurs.
L'Amérique doit diriger le monde,
ou bien quelqu'un d'autre le fera. »
— Mitt Romney
« Si vous ne voulez pas que l'Amérique soit le plus grand pays du monde, je ne suis pas votre président. Vous avez ce président aujourd'hui »,
a-t-il dit sous des applaudissements nourris.
Accusant Barack Obama d'avoir affaibli le pays, M. Romney a affirmé que sous son administration, l'économie, la défense et les valeurs américaines avaient décliné.
[Pourtant, c'est le pays de parano où le budget de la défense équivaut à celui de tous les pays du monde réuni !]
« Les États-Unis doivent toujours conserver leur suprématie militaire pour dissuader leurs agresseurs potentiels et défendre leurs alliés »,
[Il n'y a plus d'agresseur «potentiel», pour une fois, dans l'Histoire de l'Humanité, il semble que les nations se soient calmées. Il reste sans doute quelques sincères militatants en guenilles qui voudraient se faire sauter dan les mausolée de Lincoln mais ils ne font généralement pas plus de victimes qu'un dépressif avec un fusil dans un école. Et ce genre d'activité criminelle est du ressort de la police. Mais que deviendraient les industries militaires et les banquiers si on laissait la police s'occuper de «terroristes» ? Le plus beau, c'est que depuis le 11 Septembre, on a réussi à transformer quelques «terroristes» en équivalent de l'URSS ou de l'Allemagne Nazie. Ce qui a sauvé l'industrie militaire US (et leurs industriels) de la faillite après l'implosion de l'URSS.) À écouter ces grands personnages, on se croirait de retour à la veille de la première guerre mondiale ou la deuxième. En ce moment, le plus grand danger pour l'Humanité est les USA. Mais encore une fois, il ne faut pas trop s'en faire. Au pire, les psychopathes U.S. provoqueront la première guerre mondiale du nouveau siècle (et millénaire) (pour les pessimistes: se souvenir qu'en 1911, on était à 3 ans de la première boucherie du siècle. En 2011, ma perruche New York ne voit rien venir.) Au pire, il y aura 1 milliard de morts et quelques milliards de blessés. Comme tous les empires avant eux, les USA redeviendront une puissance moyenne (ou plusieurs). Et les femmes se remettront au boulot pour refaire d'autres bébés. Et tout le monde oubliera. ]
a-t-il ajouté.
Faisant l'état des lieux des dangers potentiels pour les États-Unis, il a évoqué
« les visions anti-américaines de l'Iran, de la Corée du Nord, du Venezuela et de Cuba ».
[Et les visions anti-Iranienne, Cubaine, Syrienne (on s'essouffle) des USA.]
Il a également désigné la Chine, qui veut devenir une « superpuissance »
[Seul les USA ont le droit d'être une superpuissance. Comme Don Corleone a le droit de vendre de la drogue.]
et la Russie,
« dirigée par un homme qui croit que l'Union soviétique était le bien et non le mal ».
« Même si l'Amérique devrait travailler avec d'autres nations, nous nous réservons le droit d'agir seuls pour protéger nos intérêts nationaux »,
a ajouté M. Romney.
Sa rhétorique rappelait l'approche unilatérale de l'ex-président George W. Bush, sa doctrine de frappes préventives contre la terreur et son « axe du mal ».
[Rappelons-nous que les «frappes préventives» sont de attaques contre un pays indépendant sans déclaration de guerre, donc des attaques vicieuses et lâches généralement contre des pays incapables de se défendre (raison pour laquelle on les attaque. Évidamment! Ce qui a été déclaré un «crime contre l'humanité» lors des procès des «criminels de guerre nazis à Nuremberg». Et ce qui leur a valu d'être prendu. Hum1]
Mitt Romney compte aussi intensifier les relations des États-Unis avec leurs alliés, dont Israël et la Grande-Bretagne,
renforcer l'opposition américaine à l'arme nucléaire iranienne,
renouer avec la défense antimissile,
accélérer la construction de navires de guerre,
pour passer de neuf bâtiments par an à 15,
et intensifier les efforts diplomatiques au Moyen-Orient
[Si on veut «protéger» Israël, pourquoi pas exterminer les Palestiniens. Ce qui éviterait aux Israéliens de faire la sale besogne.]
La veille de son discours, M. Romney a annoncé que s'il était élu, il nommerait dans son équipe de conseillers en matière de politique étrangère et de sécurité nationale de nombreux proches collaborateurs de George W. Bush.
RICK PERRY ET L'EXCEPTIONNALISME AMÉRICAIN
Mitt Romney n'est pas le seul candidat à prôner la suprématie des États-Unis.
En perte de vitesse dans les sondages, Rick Perry a de son côté mis de l'avant « l'exceptionnalisme américain »,
affirmant qu'il n'y avait rien que les États-Unis ne pouvaient résoudre.
[Et leur dette! Bien sûr, en refusant payer.]
« Ceux qui occupent la Maison-Blanche maintenant ne croient pas en l'exceptionnalisme américain, ils préfèrent imiter les politiques qui ont échoué en Europe »,
[Lesquelles? Toutes les politiques ont échouées comme tout, inévitablement, échoue. Principe de Peter. Entropie. Déchéance. Mort. Pas plus les individus que les nations ne sont éternelles. Et même les choses aussi dures soient-elle, même la pierre devient sable et poussière. Comme le sable, les plantes et les débris biologiques des créatures du passé sont devenus de la pierre. Parfois, le nom d'un État reste dans le temps mais il n'a rien à voir avec le même État du passé au sommet de sa puissance. De même que ses habitants actuels n'ont rien à voir avec les croisés ou les conquistadors. On ne se résigne pas. Ce qui n'a aucune importance. Les illusions et l'espoir sont des drogues dures. ]
a déclaré à Washington le gouverneur du Texas.
« Je crois en l'exceptionnalisme de l'Amérique.
L'Amérique reste le meilleur espoir de l'humanité. »
Radio-Canada.ca avec Agence France Presse
Les commentaires (133)
LES ÉTATS-UNIS CRÉÉS POUR DOMINER LE MONDE, DIT MITT ROMNEY
7 octobre 2011
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2011/10/07/007-romney-republicains-dieu-etats-unis.shtml
Le candidat à l'investiture républicaine Mitt Romney a plaidé pour une politique étrangère plus musclée et promis de restaurer la domination mondiale de l'Amérique au cours d'un discours qui contrastait avec les politiques du président Obama, mais qui rappelait celles de George W. Bush.
L'ancien gouverneur du Massachusetts, qui domine dans les sondages, avait choisi de prononcer son premier grand discours sur la politique étrangère dans une école militaire de Charleston, en Caroline du Sud, dont près d'un millier et demi d'élèves ont servi à l'étranger, notamment en Irak, en Afghanistan.
« Dieu n'a pas créé ce pays pour être une nation de suiveurs.
L'Amérique doit diriger le monde,
ou bien quelqu'un d'autre le fera. »
— Mitt Romney
« Si vous ne voulez pas que l'Amérique soit le plus grand pays du monde, je ne suis pas votre président. Vous avez ce président aujourd'hui »,
a-t-il dit sous des applaudissements nourris.
Accusant Barack Obama d'avoir affaibli le pays, M. Romney a affirmé que sous son administration, l'économie, la défense et les valeurs américaines avaient décliné.
[Pourtant, c'est le pays de parano où le budget de la défense équivaut à celui de tous les pays du monde réuni !]
« Les États-Unis doivent toujours conserver leur suprématie militaire pour dissuader leurs agresseurs potentiels et défendre leurs alliés »,
[Il n'y a plus d'agresseur «potentiel», pour une fois, dans l'Histoire de l'Humanité, il semble que les nations se soient calmées. Il reste sans doute quelques sincères militatants en guenilles qui voudraient se faire sauter dan les mausolée de Lincoln mais ils ne font généralement pas plus de victimes qu'un dépressif avec un fusil dans un école. Et ce genre d'activité criminelle est du ressort de la police. Mais que deviendraient les industries militaires et les banquiers si on laissait la police s'occuper de «terroristes» ? Le plus beau, c'est que depuis le 11 Septembre, on a réussi à transformer quelques «terroristes» en équivalent de l'URSS ou de l'Allemagne Nazie. Ce qui a sauvé l'industrie militaire US (et leurs industriels) de la faillite après l'implosion de l'URSS.) À écouter ces grands personnages, on se croirait de retour à la veille de la première guerre mondiale ou la deuxième. En ce moment, le plus grand danger pour l'Humanité est les USA. Mais encore une fois, il ne faut pas trop s'en faire. Au pire, les psychopathes U.S. provoqueront la première guerre mondiale du nouveau siècle (et millénaire) (pour les pessimistes: se souvenir qu'en 1911, on était à 3 ans de la première boucherie du siècle. En 2011, ma perruche New York ne voit rien venir.) Au pire, il y aura 1 milliard de morts et quelques milliards de blessés. Comme tous les empires avant eux, les USA redeviendront une puissance moyenne (ou plusieurs). Et les femmes se remettront au boulot pour refaire d'autres bébés. Et tout le monde oubliera. ]
a-t-il ajouté.
Faisant l'état des lieux des dangers potentiels pour les États-Unis, il a évoqué
« les visions anti-américaines de l'Iran, de la Corée du Nord, du Venezuela et de Cuba ».
[Et les visions anti-Iranienne, Cubaine, Syrienne (on s'essouffle) des USA.]
Il a également désigné la Chine, qui veut devenir une « superpuissance »
[Seul les USA ont le droit d'être une superpuissance. Comme Don Corleone a le droit de vendre de la drogue.]
et la Russie,
« dirigée par un homme qui croit que l'Union soviétique était le bien et non le mal ».
« Même si l'Amérique devrait travailler avec d'autres nations, nous nous réservons le droit d'agir seuls pour protéger nos intérêts nationaux »,
a ajouté M. Romney.
Sa rhétorique rappelait l'approche unilatérale de l'ex-président George W. Bush, sa doctrine de frappes préventives contre la terreur et son « axe du mal ».
[Rappelons-nous que les «frappes préventives» sont de attaques contre un pays indépendant sans déclaration de guerre, donc des attaques vicieuses et lâches généralement contre des pays incapables de se défendre (raison pour laquelle on les attaque. Évidamment! Ce qui a été déclaré un «crime contre l'humanité» lors des procès des «criminels de guerre nazis à Nuremberg». Et ce qui leur a valu d'être prendu. Hum1]
Mitt Romney compte aussi intensifier les relations des États-Unis avec leurs alliés, dont Israël et la Grande-Bretagne,
renforcer l'opposition américaine à l'arme nucléaire iranienne,
renouer avec la défense antimissile,
accélérer la construction de navires de guerre,
pour passer de neuf bâtiments par an à 15,
et intensifier les efforts diplomatiques au Moyen-Orient
[Si on veut «protéger» Israël, pourquoi pas exterminer les Palestiniens. Ce qui éviterait aux Israéliens de faire la sale besogne.]
La veille de son discours, M. Romney a annoncé que s'il était élu, il nommerait dans son équipe de conseillers en matière de politique étrangère et de sécurité nationale de nombreux proches collaborateurs de George W. Bush.
RICK PERRY ET L'EXCEPTIONNALISME AMÉRICAIN
Mitt Romney n'est pas le seul candidat à prôner la suprématie des États-Unis.
En perte de vitesse dans les sondages, Rick Perry a de son côté mis de l'avant « l'exceptionnalisme américain »,
affirmant qu'il n'y avait rien que les États-Unis ne pouvaient résoudre.
[Et leur dette! Bien sûr, en refusant payer.]
« Ceux qui occupent la Maison-Blanche maintenant ne croient pas en l'exceptionnalisme américain, ils préfèrent imiter les politiques qui ont échoué en Europe »,
[Lesquelles? Toutes les politiques ont échouées comme tout, inévitablement, échoue. Principe de Peter. Entropie. Déchéance. Mort. Pas plus les individus que les nations ne sont éternelles. Et même les choses aussi dures soient-elle, même la pierre devient sable et poussière. Comme le sable, les plantes et les débris biologiques des créatures du passé sont devenus de la pierre. Parfois, le nom d'un État reste dans le temps mais il n'a rien à voir avec le même État du passé au sommet de sa puissance. De même que ses habitants actuels n'ont rien à voir avec les croisés ou les conquistadors. On ne se résigne pas. Ce qui n'a aucune importance. Les illusions et l'espoir sont des drogues dures. ]
a déclaré à Washington le gouverneur du Texas.
« Je crois en l'exceptionnalisme de l'Amérique.
L'Amérique reste le meilleur espoir de l'humanité. »
Radio-Canada.ca avec Agence France Presse
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