Au moins 80 morts après une frappe gouvernementale dans un marché
Syria conflict: Marketplace air strikes 'kill 80'
Syrie : raids sanglants du régime près de Damas
Syrie : la « barbarie » et l’« inhumanité » du régime dénoncés après les raids meurtriers sur Douma
Carnage en Syrie, l'ONU horrifiée
Dénonciations internationales
Syria conflict: UN 'horrified' by attacks on civilians
« Acte barbare »
pour la France
« mépris pour la vie humaine »
selon les Etats-Unis :
[OPINIONS DE 2 BELLES BANDES D'ASSASSINS QUI DOIVENT BIEN S'Y CONNAÎTRE EN MEURTRES.]
Les diplomaties occidentales ont vivement condamné lundi 17 août les raids menés dimanche par le régime syrien sur un marché à Douma, près de Damas, qui ont fait 96 morts, principalement des civils.
Le ministre des affaires étrangères français Laurent Fabius a dénoncé
« l’inhumanité d’un régime qui n’hésite pas à massacrer sa population »
Le secrétariat d’Etat américain a condamné des raids « brutaux »
Tout en réaffirmant que Washington
« travaillait avec ses partenaires pour une véritable transition politique négociée, en dehors [du président syrien Bachar Al] Assad ».
Plus tôt, l’ONU s’était déclarée « horrifiée » par l’attaque.
L’envoyé spécial des Nations unies pour la Syrie, Staffan de Mistura, a jugé « inacceptable pour un gouvernement de tuer ses propres citoyens quelles que soient les circonstances » :
« Le bombardement du gouvernement sur Douma hier a été dévastateur, les attaques de zones civiles avec le lancement à l’aveugle de bombes aériennes, telles que des bombes incendiaires, sont interdites par le droit international. »
Le Conseil de sécurité des Nations unies a soutenu lundi à l’unanimité un nouveau plan pour la paix en Syrie.
Il s’agit du premier plan politique concernant le conflit syrien sur lequel tous les pays membres du Conseil, y compris la Russie, se mettent d’accord.
[DÉSINFORMATION. LA RUSSIE NE SE FERA PAS PASSER UN AUTRE TRUC À LA LIBYENNE. OU C’EST UN TEXTE CONVIVIAL ET SANS PORTÉE. OU LA RUSSIE ET LA CHINE IMPOSERONT LEURS VÉTOS. DONC DÉSINFORMATION.]
Une des attaques les plus meurtrières depuis 2011
« C’est de la barbarie primaire, une haine contre l’homme »
A affirmé le chef de la Coalition de l’opposition en exil, Khaled Khoja
Qui a aussi dénoncé indirectement la complicité des alliés du régime Assad, notamment la Russie et l’Iran.
Les raids de dimanche sur Douma, fief rebelle dans la région de la Ghouta orientale, constituent une des attaques les plus meurtrières depuis le début de la guerre, en 2011.
Ils surviennent presque 2 ans jour pour jour après l’attaque à l’arme chimique dans le même secteur, qui avait fait des centaines de morts le 21 août 2013 et avait été attribuée au régime par les Occidentaux et l’opposition.
L'attaque contre la ville est survenue 2 ans, pratiquement jour pour jour, après l'attaque chimique attribuée au régime syrien par les Occidentaux et l'opposition au président Bachar Al-Assad. Des centaines de personnes avaient été tuées dans cette attaque du 21 août 2013.
[ET QUI AVAIT ÉTÉ FAITES PAR LES COUPEURS DE GORGES ET DE TÊTES EMPLOYÉS DE LA TURQUIE.]
Lundi, les avions du régime ont encore frappé à 4 reprises la ville meurtrie.
Les avions du régime syrien ont de nouveau frappé, à 4 reprises, la ville rebelle lundi.
[C'EST UNE VILLE REBELLE. UNE VILLE ENVAHIE ET CONTRÔLÉE PAR LES FANATIQUES MUSULMANS COUPEURS DE TÊTES.]
Les frappes de dimanche coïncident avec la visite du patron des affaires humanitaires de l’ONU
Stephen O’Brien, qui effectue son premier déplacement en Syrie.
Stephen O’Brien, qui effectue son premier déplacement en Syrie.
M. O’Brien a affirmé qu’il venait
« évaluer les besoins du peuple syrien afin de lui offrir de l’aide humanitaire»
selon la traduction en arabe de l’agence officielle syrienne Sana.
Le pays compte au moins 7,6 millions de déplacés sur son territoire et 422 000 civils prisonniers des combats.
Le haut responsable de l'ONU a lancé un appel à tous les belligérants de ce conflit afin de «protéger les civils et respecter le droit humanitaire international».
En visite à Damas lors des bombardements meurtriers qui ont eu lieu dimanche au nord-est de la capitale syrienne, il s'est dit « horrifié » par les frappes aériennes du régime de Bachar Al-Assad.
[COMME PAR HASARD!]
Il s'est dit
« horrifié par l'absence totale de respect de la vie des civils dans ce conflit »
au cours d'une conférence de presse tenue lundi.
Il s'est dit
« particulièrement atterré par les informations sur les frappes aériennes qui ont fait des dizaines de morts et des centaines de blessés parmi les civils, au coeur de Douma, une zone assiégée ».
« Les attaques contre les civils sont illégales, inacceptables et doivent cesser. »
— Stephen O'Brien
[ON EN PARLERA AUX ISRAÉLIENS]
La semaine dernière, un rapport d’Amnesty international a accusé le gouvernement syrien de commettre des
« crimes de guerre »
dans la Ghouta orientale
parlant d’« attaques directes, aveugles et disproportionnées ».
Un rapport d'Amnistie internationale, publié la semaine dernière, accusait le gouvernement syrien de commettre des « crimes de guerre » dans la région de Douma.
Le rapport parlait d'«attaques directes, aveugles et disproportionnées ».
Les raids aériens ont fait près de 100 morts à Douma, une banlieue de Damas tenue par les rebelles depuis trois ans.
Le gouvernement syrien soutient qu'il s'agit d'une erreur
et que son aviation visait des positions du front islamique, le principal groupe rebelle dans la région de Damas.
[BIZARRE. DANS SANA- AGENCE ARABE SYRIENNE D'INFORMATION- ON N'EN PARLE PAS]
et que son aviation visait des positions du front islamique, le principal groupe rebelle dans la région de Damas.
[BIZARRE. DANS SANA- AGENCE ARABE SYRIENNE D'INFORMATION- ON N'EN PARLE PAS]
DÉNONCIATIONS INTERNATIONALES
« Le bilan est monté à 96 morts, dont au moins 2 femmes et 4 enfants »
a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), lundi.
L'organisme basé au Royaume-Uni souligne que le nombre de victimes risque d'augmenter puisque des 240 blessés plusieurs se trouvent dans un état critique.
« Il s'agit d'un massacre délibéré »
a déclaré le directeur de l'OSDH, Abdel Rahmane, à l'AFP.
L'opposition syrienne en exil a qualifié l'attaque contre le marché public de Douma de «massacre ».
« Assad commet un nouveau massacre à Douma, en visant un marché bondé »
a dénoncé la Coalition de l'opposition en exil sur Twitter.
Le conflit syrien a été déclenché en mars 2011 à la suite de la violente répression de manifestation pacifique contre le régime Al-Assad.
Les manifestations se sont muées en révoltes, qui ont dégénéré en guerre civile.
Les combats - qui opposent les forces gouvernementales, des rebelles, des Kurdes et des djihadistes - ont fait plus de 240 000 morts depuis le début du conflit.
Plus de 4 millions de Syriens ont également fui le pays.
Syria conflict: UN 'horrified' by attacks on civilians
43 minutes ago
BBC
From the section Middle East
Syrian Civil Defence rescue workers carry a wounded man after what activists said was a government air strike in the rebel-held Damascus suburb of Douma
Sunday's attack on Douma was one of the bloodiest single incidents of the Syrian conflict
The UN's humanitarian chief has said he is "horrified" by the attacks on civilians taking place in Syria.
Stephen O'Brien told reporters during a visit to Damascus that the targeting of non-combatants in the country's war was
"unlawful, unacceptable and must stop".
He was "particularly appalled" by government air strikes on a rebel-held suburb of the capital on Sunday.
Activists said on Monday that the death toll from the attack on a market in Douma had risen to at least 96.
That would make it one of the bloodiest single incidents of the four-year-long conflict, which has so far left more than 250,000 people dead.
Meanwhile, the UN Security Council has backed a new peace talks proposal from the organisation's Syria envoy, Staffan de Mistura, in a rare show of unity on a topic that has divided members.
Mr de Mistura's plan involves inviting the various Syrian parties to hold talks at working groups in September, as a step towards implementing the roadmap to peace adopted by world powers in 2012 that calls for the formation of a transitional government
'Total disregard for civilian life'
A Syrian military source told the Reuters news agency that in its strikes on Sunday the air force had targeted the headquarters of the rebel group, Jaysh al-Islam (Army of Islam).
State television also reported that rebels had shelled a government-held district of the northern city of Aleppo on Monday, killing 10 people and wounding 17.
Syrian men stand amid the rubble after what activists said was a government air strike in the rebel-held Damascus suburb of Douma
(16 August 2015)
A Syrian military source said the air force had targeted the headquarters of a rebel group
Mr O'Brien called on both sides to protect civilians and respect international humanitarian law at the end of a three-day visit to Syria, his first to the country since becoming the UN's under-secretary general for humanitarian affairs in May.
"I am absolutely horrified by the total disregard for civilian life by all parties in this conflict"
he said.
"Attacks on civilians are unlawful, unacceptable and must stop."
[TIENS! ON VIENT DE FÊTER OU COMMÉMORER LES BOMBES ATOMIQUES US SUR LES FEMMES JAPONAISE.]
The Syrian Observatory for Human Rights, a UK-based group that monitors the conflict, said
that in Sunday's raid on Douma air force jets fired at least 10 rockets at the town's central market
before attacking again after rescue workers arrived.
that in Sunday's raid on Douma air force jets fired at least 10 rockets at the town's central market
before attacking again after rescue workers arrived.
One video said to be of the aftermath showed a marketplace completely destroyed with surrounding buildings in ruins and vehicles on fire.
'In harm's way'
Turkey has said it plans to set up a "safe zone" for civilians across its border with Syria - policed by "moderate" Syrian forces - who would thwart attacks by the government or Islamic State militants.
[COMME EN LIBYE. CE TERRITOIRE «PROTÉGÉ» DEVIENDRAIT DE FACTO UNE PROVINCE DU CALIFAT. MAIS LES TERRORISTES N'AURAIENT PLUS BESOIN D'AVOIR DE BASE EN TURQUIE ET DES CLINIQUES POUR LES BLESSÉS TENUES PAR LES ISRAÉLIENS. MAIS QUI SAIT?]
[«TERRITOIRE PROTÉGÉ» «NO-MAN'S LAND» SIGNIFIE UNE ZONE OÙ LES AVIONS ET CAMIONS DE L'ARMÉE SYRIENNE SERAIT DÉTRUITS. ON LAISSE SUPPOSER QU'IL S'AGIT D'UNE ZONE SERVANT DE REFUGE AUX FUYARDS SYRIENS. MAIS ELLE SERAIT CONTRÔLÉE PAR LES AMIS DES DROITS DE L'HOMME DU CALIFAT. PARTENAIRES D'AFFAIRE DE LA CIA.]
[«TERRITOIRE PROTÉGÉ» «NO-MAN'S LAND» SIGNIFIE UNE ZONE OÙ LES AVIONS ET CAMIONS DE L'ARMÉE SYRIENNE SERAIT DÉTRUITS. ON LAISSE SUPPOSER QU'IL S'AGIT D'UNE ZONE SERVANT DE REFUGE AUX FUYARDS SYRIENS. MAIS ELLE SERAIT CONTRÔLÉE PAR LES AMIS DES DROITS DE L'HOMME DU CALIFAT. PARTENAIRES D'AFFAIRE DE LA CIA.]
But Mr O'Brien questioned the use of such buffer areas, saying any country which established them would have to "accept responsibility" for guaranteeing people's safety.
"Otherwise very vulnerable people could flock to such safe zones only to find that they've put themselves in more harm's way"
he told the BBC.
UN humanitarian chief Stephen O'Brien told the BBC the attack on Douma was "horrific"
A report by Amnesty International published last week accused the Syrian government of committing war crimes against the 163,000 people living under siege in Douma and other towns in the Eastern Ghouta agricultural belt around Damascus.
Between January and June 2015, government forces carried out at least 60 aerial attacks on the area, killing some 500 civilians, the report said.
The international community has also strongly condemned the air raids.
[THE INTERNATIONAL COMMUNITY DON'T EXIST.]
[THE INTERNATIONAL COMMUNITY DON'T EXIST.]
Staffan de Mistura described the attacks as
"unacceptable in any circumstances"
The European Union said
"Syria has already become the world's largest humanitarian crisis"
and urged the warring parties to respect international law
[IL N'EXISTE PAS DE «LOIS INTERNATIONALE». MAIS LA GUERRE A SES «LOIS» OU USAGES. DANS UNE GUERRE, ON TUE. DANS UNE GUERRE, CELUI QUI TUE LE PLUS, GAGNE LA GUERRE. ET, APRÈS LA GUERRE, IL DIRIGE LES SURVIVANTS. ET TOUT LE MONDE EST CONTENT]
[IL N'EXISTE PAS DE «LOIS INTERNATIONALE». MAIS LA GUERRE A SES «LOIS» OU USAGES. DANS UNE GUERRE, ON TUE. DANS UNE GUERRE, CELUI QUI TUE LE PLUS, GAGNE LA GUERRE. ET, APRÈS LA GUERRE, IL DIRIGE LES SURVIVANTS. ET TOUT LE MONDE EST CONTENT]
US State Department spokesman John Kirby said President Assad had
"no legitimacy to lead the Syrian people"
[ANALYSE DE CEUX QUI ONT DÉTRUIT L'IRAK ET LA LIBYE. DE NOUVELLES DÉMOCRATIES EN DEVENIR...]
A Syrian man injured in what activists said was a government air strike in the rebel-held Damascus suburb of Douma (16 August 2015)
Amnesty International has accused the government of war crimes against besieged civilians
Mr O'Brien also condemned rival armed groups for cutting off the water supply in Damascus and Aleppo in recent days, affecting at least seven million people.
"It is unacceptable for those engaged in conflict to use access to water and other services as a weapon of war"
he said.
The British diplomat noted that the UN and its partners were providing assistance to millions of Syrians in need, but he added:
"I remain extremely concerned for the welfare of the 4.6 million people stuck in hard-to-reach and besieged areas."
He also expressed concern at the lack of funding for the humanitarian operation in Syria and its neighbours, which is less than 30% funded.
*
United Nations Under-Secretary-General for Humanitarian Affairs and Emergency Relief Coordinator, Stephen O’Brien statement to the press on Syria
REPORT from UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs
Damascus, 17 August 2015
As delivered
Good morning everyone.
Thanks for joining us here so early.
As you know, I have been in Syria for the last three days. I arrived on Saturday and I have seen for myself the shocking devastation wrought by the brutal conflict and the impact this has had on ordinary people.
It is my first visit to Syria and I wish it were not under such terrible circumstances.
Sadly, the conflict continues to escalate.
Last week we heard of shelling of Damascus by armed groups.
While I have been here, we have heard appalling reports of new airstrikes on the besieged area of Douma.
Yesterday’s airstrikes – on the central market area – caused scores of civilian deaths and hundreds of people were injured. Hospitals are scrambling to treat them.
I am absolutely horrified by the total disregard for civilian life by all parties in this conflict.
Attacks on civilians are unlawful, unacceptable and must stop.
I appeal to every party engaged in violence and fighting to protect civilians and to respect international humanitarian law.
In the last two days I have visited Homs and Damascus.
In Homs I saw with my own eyes inestimable human suffering.
In the Old City, I saw that almost every home had been completely destroyed.
Behind the broken windows of each destroyed home, I was sharply conscious that there had been people whose lives have also been shattered.
I sat with Ahmed, who told me his harrowing story amid all this violence and destruction.
Above all, he said he wanted peace in his country.
Despite the destruction and daily challenges, he and his family are glad to have been able to return to their home at last.
It is civilians who have borne the brunt of this conflict for over four years.
At least a quarter-million Syrians have been killed, more than a million injured and almost half of the population have been displaced from their homes.
Due to cuts imposed by armed groups, at least five million people in Damascus have been without water for three days.
This is the third time they have suffered this, this year.
Elsewhere in the country, two million people in Aleppo have also been deprived of their water supply – now for 17 days - while 300,000 people in the Dara’a area have endured water cuts seven times this year.
It is unacceptable for those engaged in conflict to use access to water and other services as a weapon of war.
Here in Damascus I met Deputy Prime Minister and Foreign Minister al-Moallem, Deputy Prime Minister Ghalawanji and Deputy Foreign Affairs Minister Dr. Faysal Mekdad, and other key officials.
We had constructive discussions on ways to strengthen humanitarian aid operations, and I hope that concrete steps will now be taken so that more people have a chance to receive vital aid.
I told them that the United Nations and our partners are providing assistance to millions of Syrians in need, including by crossing conflict lines and international borders, and we are ready to help many more.
I also expressed my deep concern for the welfare of the 4.6 million people stuck in hard-to-reach and besieged areas.
Freedom of movement of, and for, all people trying to flee the violence and conflict must be ensured by all parties.
However, we cannot scale up our operations to reach more people if we do not have adequate resources.
I am very concerned by the lack of funding for humanitarian aid in Syria and the region.
Today - nearly three quarters of the way through the year - the humanitarian appeal for 2015 is less than 30 percent funded.
I ask the members of the international community to step up and provide us with the resources for our essential life-saving and protection work. People across Syria are counting on it.
This conflict - now in its fifth year – severely affects not only the lives of millions of people in Syria, but also continues to undermine the security of the region and beyond.
Later today I will return to Lebanon to see for myself the consequences for the 1.2 million Syrians who fled there for safety, but also for the Lebanese communities hosting them.
I will meet senior officials and brief the press in Beirut, after I visit communities in the Beka’a valley.
Before I leave Syria, I want to express my admiration for the courageous humanitarian workers who are staying and delivering despite the numerous challenges that they face. Their commitment is remarkable and their sacrifice humbling.
Above all I hope for a political solution that can be found soon so that we can give hope to the many millions of Syrian families who tonight are hungry and fearing for their lives.
Thank you.
