lundi 6 août 2012
6011. COMMENTAIRES DU PEUPLE
1
Vraiment pas surpris. Depuis les années 80 que le niveau de vie baisse.
J'étais jeune, mon papa achetait une voiture comptant, il avait une maison, il avait un salaire de la classe moyenne et ma mère restait à la maison. Et en prime on avait un chalet. Et mon père avait une 6 ème année.
Aujourd'hui, avec des études universitaires je n'ai pas de maison, nous sommes deux à travailler à temps plein en plus de se taper 2h30 par jour de métron et d'étronbus pour se déplacer. Nous n'avons pas d'auto et même pas moyen de s'en coller pour les imprévus.
Nous en avons mares! Je ne serai pas surpris si la marmite explose!
Merci!
Alain Cloutier de Longueuil. 6 août 2012 à 16 h 17 HAE
2
Si des travailleurs doivent avoir recours au banques alimentaires our joindre les 2 bouts c'est qu'ils se font exploiter, cela merite d'enquêter sur ce phenomène.
Jean-Pierre Panfili de ST-IGNACE-DE-LOYOLA. 6 août 2012 à 15 h 48 HAE
3
«La croissance économique crée des emplois» (Harper, Charest, Marois, Legault).
Voici les résultats des politiques économiques néolibérales au Québec et au Canada (Salvation Army report le même constat).
Les gens travaillent (sont pas des paresseux), puis ils ne sont pas capables d'atteindre les deux bouts.
Le problème à la pauvrEté passe nécessairement par des politiques rédistributives qui, bien sûr, ne viendront pas des compagnies privées, mais plutôt de l'État.
Malheureusement, ces gens qui occupent l'état le font à la faveur de plus riches...
Ricardo Alfredo de Montreal. 6 août 2012 à 14 h 20 HAE
4
Bien que je ne remette aucunement en question les bonnes intentions de ces organismes, il faut tout de même admettre qu'il y a un effet pervers.
Ça rend la pauvreté "vivable" et normale.
Quand c'est rendu que des gens qui travaillent doivent avoir recours à la charité pour se nourrir il y a un grave problème de justice.
Je prétends pas avoir de solution magique, mais il me semble qu'un bon premier pas serait de dire à ces gens qui travaillent de se regrouper et d'exiger des salaires qui leur permettent de subvenir à leurs besoins.
La dignité n'est pas négociable, c'est un droit.
Cela dit, la solidarité est toujours de mise.
Denis Blouin de Québec. 6 août 2012 à 12 h 52 HAE
5
Mais il faut que les travailleurs soient pauvres, quelle idée!
Comment imaginer des travailleurs riches?
Le système n'a jamais été fait pour qu'il y ait plus de riches mais bien pour que les riches soient plus riches,
et les autres...
Bah, les autres...
Louie Bouchez de Tuvalu. 7 août 2012 à 07 h 50 HAE
6
Un système créé par les babyboomers, pour les babyboomers et qui se meure avec les babyboomers.
Phylippe Goyette de Saint-jean-sur-richelieu. 6 août 2012 à 19 h 34 HAE
7
Les banques alimentaires devraient s'adresser en priorité aux familles monoparentales. Une mère seule ne peut pas être à deux places en même : s'occuper de ses jeunes enfants et travailler. Les jeunes célibataires devraient avoir honte de fréquenter les banques alimentaires. Ils arrachent le pain de la bouche des enfants affamés. Quand on est jeune et en bonne santé, on travaille. C'est absurde de faire venir des Mexicains pour ramasser les légumes dans nos champs, alors que tant de jeunes Québécois dans la force de l'âge végétent
Alexandre Reney de Montreal. 4 août 2012 à 07 h 36 HAE
8
moisson Québec devrait se concentrer sur le pourquoi une telle augmentation de demande d'aide alimentaire, surtout de l'augmentation des 18/30 ans parmi leur clientèle, ils sont surement pas tous handicapé, l'âge a laquelle il y as une grande demande de main d'oeuvre, on importe de plus en plus d'étrangers pour faire de la culture, chez moisson Québec on préfère les nourrir au lieu de les encourager a travailler, et le meilleur incitatif au travail, c'est d'être plus sévère avant de donner du manger a quiconque en fait la demande. Pas beson de haute études pour faire de la culture de légumes, de travailer comme manoeuvre dans la construction, de faire de l'aménagement paysager. y as pas de sot métiers comme on dit, mais il semble qu'il y as des sots a donner sans demander rien en retour. Recevoir devrait être le fruit d'un travail,
Gerald Dumouchel de Québec. 4 août 2012 à 01 h 25 HAE
*
DE PLUS EN PLUS DE TRAVAILLEURS PAUVRES, SELON MOISSON MONTRÉAL
D'après le reportage de Marc Verreault
6 août 2012 à 11 h 03 HAE
http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2012/08/06/002-moisson-montreal-travailleurs-pauvres-lundi.shtml
*
MOISSON MONTRÉAL VEUT CONGELER LES LÉGUMES ET PRODUIRE DE L'ÉLECTRICITÉ
3 août 2012
http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2012/08/03/003-moisson-projets-conservation.shtml
*
Image. http://lib54.files.wordpress.com/2012/08/affiche1prc3a9caire2005reduite.jpg?w=594
http://lib54.wordpress.com/2012/08/05/le-travail-aujourdhui-une-denree-pour-faire-des-profits/
Blog de Jean-Marie Meilland
Ce blog souhaite simplement soumettre des réflexions et des informations dont peut-être quelques personnes pourront tirer bénéfice. S'exprimer sur Internet est une habitude aujourd'hui, et pourquoi me pas se servir d'un nouvel instrument, quand bien même il ne serait pas aussi efficace qu'on le dit ? Et d'autre part les autres moyens, telle la presse écrite, sont hostiles ou indifférents à certaines réflexions, critiques et n'allant pas avec la mode, d'autant plus si elles ne viennent pas de personnages bien en cour ou appartenant à une chapelle. Alors, je confie les pages qui suivent au vent (fréquent dans ma ville) pour qu'ils portent plus loin ces poussières d'idées, et ces messages d'indignation ou d'espoir…
*
L'ÉPREUVE DE LA PRÉCARITÉ
Elsa Fayner
http://cgt.upvd.over-blog.com/120-index.html
Comment vit-on au quotidien quand on vit seule, sans qualification et que l’on alterne les petits boulots ? En janvier 2007, la journaliste Elsa Fayner est partie à Lille pour expérimenter quelques mois la vie d’une salariée précaire. Récit.
*
http://lala.blog.tdg.ch/
Vraiment pas surpris. Depuis les années 80 que le niveau de vie baisse.
J'étais jeune, mon papa achetait une voiture comptant, il avait une maison, il avait un salaire de la classe moyenne et ma mère restait à la maison. Et en prime on avait un chalet. Et mon père avait une 6 ème année.
Aujourd'hui, avec des études universitaires je n'ai pas de maison, nous sommes deux à travailler à temps plein en plus de se taper 2h30 par jour de métron et d'étronbus pour se déplacer. Nous n'avons pas d'auto et même pas moyen de s'en coller pour les imprévus.
Nous en avons mares! Je ne serai pas surpris si la marmite explose!
Merci!
Alain Cloutier de Longueuil. 6 août 2012 à 16 h 17 HAE
2
Si des travailleurs doivent avoir recours au banques alimentaires our joindre les 2 bouts c'est qu'ils se font exploiter, cela merite d'enquêter sur ce phenomène.
Jean-Pierre Panfili de ST-IGNACE-DE-LOYOLA. 6 août 2012 à 15 h 48 HAE
3
«La croissance économique crée des emplois» (Harper, Charest, Marois, Legault).
Voici les résultats des politiques économiques néolibérales au Québec et au Canada (Salvation Army report le même constat).
Les gens travaillent (sont pas des paresseux), puis ils ne sont pas capables d'atteindre les deux bouts.
Le problème à la pauvrEté passe nécessairement par des politiques rédistributives qui, bien sûr, ne viendront pas des compagnies privées, mais plutôt de l'État.
Malheureusement, ces gens qui occupent l'état le font à la faveur de plus riches...
Ricardo Alfredo de Montreal. 6 août 2012 à 14 h 20 HAE
4
Bien que je ne remette aucunement en question les bonnes intentions de ces organismes, il faut tout de même admettre qu'il y a un effet pervers.
Ça rend la pauvreté "vivable" et normale.
Quand c'est rendu que des gens qui travaillent doivent avoir recours à la charité pour se nourrir il y a un grave problème de justice.
Je prétends pas avoir de solution magique, mais il me semble qu'un bon premier pas serait de dire à ces gens qui travaillent de se regrouper et d'exiger des salaires qui leur permettent de subvenir à leurs besoins.
La dignité n'est pas négociable, c'est un droit.
Cela dit, la solidarité est toujours de mise.
Denis Blouin de Québec. 6 août 2012 à 12 h 52 HAE
5
Mais il faut que les travailleurs soient pauvres, quelle idée!
Comment imaginer des travailleurs riches?
Le système n'a jamais été fait pour qu'il y ait plus de riches mais bien pour que les riches soient plus riches,
et les autres...
Bah, les autres...
Louie Bouchez de Tuvalu. 7 août 2012 à 07 h 50 HAE
6
Un système créé par les babyboomers, pour les babyboomers et qui se meure avec les babyboomers.
Phylippe Goyette de Saint-jean-sur-richelieu. 6 août 2012 à 19 h 34 HAE
7
Les banques alimentaires devraient s'adresser en priorité aux familles monoparentales. Une mère seule ne peut pas être à deux places en même : s'occuper de ses jeunes enfants et travailler. Les jeunes célibataires devraient avoir honte de fréquenter les banques alimentaires. Ils arrachent le pain de la bouche des enfants affamés. Quand on est jeune et en bonne santé, on travaille. C'est absurde de faire venir des Mexicains pour ramasser les légumes dans nos champs, alors que tant de jeunes Québécois dans la force de l'âge végétent
Alexandre Reney de Montreal. 4 août 2012 à 07 h 36 HAE
8
moisson Québec devrait se concentrer sur le pourquoi une telle augmentation de demande d'aide alimentaire, surtout de l'augmentation des 18/30 ans parmi leur clientèle, ils sont surement pas tous handicapé, l'âge a laquelle il y as une grande demande de main d'oeuvre, on importe de plus en plus d'étrangers pour faire de la culture, chez moisson Québec on préfère les nourrir au lieu de les encourager a travailler, et le meilleur incitatif au travail, c'est d'être plus sévère avant de donner du manger a quiconque en fait la demande. Pas beson de haute études pour faire de la culture de légumes, de travailer comme manoeuvre dans la construction, de faire de l'aménagement paysager. y as pas de sot métiers comme on dit, mais il semble qu'il y as des sots a donner sans demander rien en retour. Recevoir devrait être le fruit d'un travail,
Gerald Dumouchel de Québec. 4 août 2012 à 01 h 25 HAE
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DE PLUS EN PLUS DE TRAVAILLEURS PAUVRES, SELON MOISSON MONTRÉAL
D'après le reportage de Marc Verreault
6 août 2012 à 11 h 03 HAE
http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2012/08/06/002-moisson-montreal-travailleurs-pauvres-lundi.shtml
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MOISSON MONTRÉAL VEUT CONGELER LES LÉGUMES ET PRODUIRE DE L'ÉLECTRICITÉ
3 août 2012
http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2012/08/03/003-moisson-projets-conservation.shtml
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Image. http://lib54.files.wordpress.com/2012/08/affiche1prc3a9caire2005reduite.jpg?w=594
http://lib54.wordpress.com/2012/08/05/le-travail-aujourdhui-une-denree-pour-faire-des-profits/
Blog de Jean-Marie Meilland
Ce blog souhaite simplement soumettre des réflexions et des informations dont peut-être quelques personnes pourront tirer bénéfice. S'exprimer sur Internet est une habitude aujourd'hui, et pourquoi me pas se servir d'un nouvel instrument, quand bien même il ne serait pas aussi efficace qu'on le dit ? Et d'autre part les autres moyens, telle la presse écrite, sont hostiles ou indifférents à certaines réflexions, critiques et n'allant pas avec la mode, d'autant plus si elles ne viennent pas de personnages bien en cour ou appartenant à une chapelle. Alors, je confie les pages qui suivent au vent (fréquent dans ma ville) pour qu'ils portent plus loin ces poussières d'idées, et ces messages d'indignation ou d'espoir…
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L'ÉPREUVE DE LA PRÉCARITÉ
Elsa Fayner
http://cgt.upvd.over-blog.com/120-index.html
Comment vit-on au quotidien quand on vit seule, sans qualification et que l’on alterne les petits boulots ? En janvier 2007, la journaliste Elsa Fayner est partie à Lille pour expérimenter quelques mois la vie d’une salariée précaire. Récit.
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http://lala.blog.tdg.ch/