jeudi 26 septembre 2013
6235. MOMENT DE POÉSIE. NOS AMIS LES PSYCHOPATHES
mercredi 25 septembre 2013
6234. JE SUIS LUCIDE, JE SUIS CONSCIENT, J’AI LES YEUX OUVERTS. JE REGARDE ET J’ENTENDS ! DES MESURES FORTES AU CONSEIL DE SÉCURITÉ SONT UN PAS DANS LA BONNE DIRECTION, NOUS N’Y SOMMES PAS ENCORE MAIS NOUS PROGRESSONS. NOTRE GROUPE EST OUVERT À TOUS CEUX QUI PARTAGENT CET OBJECTIF, QUELLES QUE SOIENT LEURS DIFFÉRENCES, QUELLES QUE SOIENT LEURS SENSIBILITÉS. IL FAUT DONC EN TIRER LES CONSÉQUENCES QUI EST NOTRE TROISIÈME ENGAGEMENT: LE RENFORCEMENT DE NOTRE SOUTIEN À L’OPPOSITION DÉMOCRATIQUE EN LUI FOURNISSANT TOUS LES MOYENS ET NOTAMMENT CEUX DE LA COMMUNICATION. JE VOUS DEMANDE, EN CE MOMENT SI DIFFICILE POUR LE PEUPLE SYRIEN D’OBSERVER UNE MINUTE DE SILENCE À LA MÉMOIRE DE TOUTES LES VICTIMES DES VIOLENCES EN SYRIE. EN CE MOMENT HISTORIQUE, NOUS TENONS À REMERCIER NOS CAMARADES DE LA DGSE, LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA SÉCURITÉ EXTÉRIEURE QUI AIDENT L’ARMÉE LIBRE SYRIENNE À RÉALISER SES RÊVES D’HARMONIE. LEURS FIÈRES DEVISES : « PARTOUT OÙ NÉCESSITÉ FAIT LOI » OU « DES RÉSULTATS GRANDIOSES PAR DES VOIES ÉTROITES » . NOUS TENONS À PRÉCISER QUE NOS AGENTS ACTION OPÈRENT DANS UN CADRE JURIDIQUE ET DÉONTOLOGIQUE TRÈS STRICT. JE SUIS LUCIDE, JE SUIS CONSCIENT, J’AI LES YEUX OUVERTS. JE REGARDE ET J’ENTENDS ! VOILÀ ! JE SUIS LUCIDE, JE SUIS CONSCIENT ET J’AI LES YEUX OUVERTS. VOILÀ.
6233. LE GENRE DE CHOSES QUI ARRIVENT À TOUT LE MONDE. MONSIEUR FRANÇOIS HOLLANDE, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE (CUVÉE 2012). FAIT UN DISCOURS À LA TROISIÈME RÉUNION DU GROUPE DES AMIS DU PEUPLE SYRIEN. ET IL SE TROMPE DE PAPIER.
samedi 21 septembre 2013
6232
6231. MÉLISA BÉGIN - X FILE
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Une petite chanson
Mélisa Bégin - x file
http://www.youtube.com/watch?v=aWuA2Iauk08&feature=c4-overview&list=UUb0VNiH7rOxtJl7rGfRZXpg
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6230. MAIS QU'EST-CE QUI EXCITE TANT LA FRANCE ? OU PLUTÔT SON ÉTRANGE PREMIER MINISTRE. LES ÉLECTEURS FRANÇAIS ONT-ILS ÉCHANGÉ UN VIRUS SARKOZIEN VIRULENT CONTRE UNE FORME DE PATHOLOGIE NOUVELLE DONT LES EFFETS NÉFASTES SONT ENCORE INCONNUS. NOUS LEUR SOUHAITONS DONC BONNE CHANCE DANS CETTE ÉPREUVE.
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Si la première puissance mondiale se résout à accepter la réalité du terrain
(une Syrie résolument décidée à résister farouchement à toute agression étrangère, une Russie qui n’a nullement l’intention d’abandonner Damas, une opinion publique américaine qui s’en lasse…),
comment pouvez-vous expliquer que Paris, vassal de Washington, puisse dire le contraire ?
La France a-t-elle un intérêt à déclarer la guerre à un pays souverain ?
Thierry Meyssan : Paralysés par leur déclin, les États-Unis avaient confié au Royaume-Uni et à la France la recolonisation de la Libye et de la Syrie.
Ces deux États ont alors conclu le Traité de Lancaster House, en novembre 2010 —donc avant le printemps arabe—, pour mettre en commun leurs « forces de projection », c’est-à-dire leurs forces coloniales.
Ils devaient attaquer ensemble et se partager le gâteau selon leurs anciennes zones d’influence :
la Libye pour les Britanniques,
la Syrie pour les Français.
Concernant la Libye, le Royaume-Uni a organisé le soulèvement de Benghazi, non pas sur un mode révolutionnaire, mais sur celui du séparatisme, en donnant aux insurgés l’ancien drapeau du roi Idriss, c’est-à-dire celui de la domination anglaise.
Concernant la Syrie, la France a organisé l’Armée syrienne libre en lui donnant comme drapeau celui du mandat français (1920 à 1946).
Dans un cas comme dans l’autre, il suffit de voir les drapeaux pour savoir qu’il ne s’agit pas de mouvements révolutionnaires, mais de collaboration avec les anciens occupants.
Cependant, si le Royaume-Uni a pu s’installer en Libye, c’est parce que l’Otan est venu détruire la résistance, faisant au total 160 000 morts, selon les rapports internes de la Croix-Rouge.
Tandis qu’en Syrie, les trois vétos opposés par la Russie et par la Chine ont dissuadé l’Otan d’intervenir.
La France a donc trempé ses mains dans le sang pour rien.
À cette question stratégique s’ajoutent le poids de personnalités comme celles du ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius et du chef d’état-major particulier du président de la République, le général Benoît Puga.
Le premier est un ultra-sioniste tandis que le second est un catholique lefebvriste, ensemble ils partagent la même idéologie colonialiste.
La France n’a aucun intérêt à tenter de conquérir la Syrie, mais certaines grandes compagnies ont intérêt à faire payer cette conquête par le contribuable français pour leurs profits privés.
Au demeurant, le Royaume-Uni et la France seront les grands perdants de la guerre de Syrie, pas les États-Unis.
Car ces derniers vont se partager la région avec la Russie sur les décombres des
accords Sykes-Picot de 1916 par lesquels le Royaume-Uni et la France contrôlaient la région.
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« La diplomatie devra déboucher sur une victoire de la Syrie et une paix durable »
Thierry Meyssan
20 septembre 2013
http://www.voltairenet.org/article180327.html
6229. NOUS NE SOMMES PAS SYRIEN ET NE NOUS INTÉRESSONS À LA SITUATION SYRIENNE ACTUELLE QUE DU POINT DE VUE ESTHÉTIQUE. CE PAYS ÉTANT À L'AUTRE BOUT DU MONDE, CE QUI S'Y PASSE NE NOUS CONCERNE PAS. SAUF COMME AMATEUR OU COLLECTIONNEUR D'INFORMATIONS. N'ÉTANT PAS DE NATUREL SADIQUE, NOUS NE POUVONS QUE SOUHAITER QUE TOUT SE TERMINE POUR LE MIEUX. QUOIQUE NOUS N'AVONS AUCUNE IDÉE DE CE QUE ÇA PUISSE ÊTRE. SI, EN TANT QUE CITOYEN D'UN PAYS LOINTAIN S'INTÉRESSANT - MODÉRÉMENT- À LA SITUATION D'UN AUTRE PAYS LOINTAIN, NOUS POUVONS CONCLURE QUE CECI NE NOUS CONCERNE PAS. ET, DANS LE CAS CONTRAIRE, NOUS N'AVONS AUCUN MOYEN DE CHANGER QUOIQUE CE SOIT À LA SITUATION ACTUELLE. SAUF LE RECOURS À LA PRIÈRE. À L'ALLUMAGE DE LAMPIONS DANS LES ÉGLISES. AUX LETTRES DE LECTEUR DANS LES MÉDIAS. OU LES MANIFESTATIONS. ACTIVITÉS D'ÉGALES VALEURS. PAR CONTRE, NOUS VOYONS BIEN QUE CECI N'EST PAS LE CAS DES GENS IMPORTANTS QUI NOUS DIRIGENT. EUX SEMBLENT TRÈS CONCERNÉS PAR LA SITUATION. ET, EUX, PARAISSENT AVOIR DES SOLUTIONS EFFICACES ET RAPIDES. ILS SEMBLENT AVOIR MÊME DE GRANDS INTÉRÊTS - DANS TOUS LES SENS DU TERME - POUR CE QUI S'Y PASSE. ET LES MÉDIAS LÈCHE-BOTTES SONT LÀ POUR MOTIVER LE BON PEUPLE. QUI PAIERA LA FACTURE DE TOUTE FORME D'INTERVENTION. EN $. OU AVEC SA PEAU. OU, SI LE CITOYEN EST TROP VIEUX, AVEC LA PEAU DE SES FILS, DE SES NEVEUX ET COUSINS. DONC, POUR CONCLURE: LES MALADES MENTAUX QUI NOUS DIRIGENT ET LEURS SINGES SAVANTS DES MÉDIAS DOIVENT ÊTRE AUSCULTÉS DE PRÈS.
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SYRIE : INGÉRENCE DÉLIBÉRÉE, PRÉTEXTE DOUTEUX
Général Dominique Delawarde
12 septembre 2013
Réseau Voltaire
Paris. France
http://www.voltairenet.org/article180213.html
Alors que certains journalistes, puis le gouvernement français,
METTENT EN CAUSE LA LOYAUTÉ NATIONALE DES FRANÇAIS METTANT EN DOUTE LES ACCUSATIONS FORMULÉES PAR LES SERVICES DE RENSEIGNEMENT FRANÇAIS,
le général Dominique Delawarde met les pieds dans le plat.
Pour lui,
LES PREUVES INDUBITABLES PRODUITES PAR LE POUVOIR POLITIQUE
ne sont absolument pas crédibles d’un point de vue militaire.
Ancien chef du bureau Situation-Renseignement-Guerre électronique de l’état-major inter-armes de Planification opérationnelle en région parisienne, ayant servi près de deux années au Proche-Orient, dont 14 mois en qualité de chef du bureau renseignement de la Force Intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL), ayant fait une bonne douzaine de séjours dans la région (Qatar, Émirats, Koweït), ayant enfin servi trois années aux États Unis en qualité d’officier de liaison auprès de l’Enseignement militaire supérieur US, je crois connaître mieux que le citoyen moyen, voire que certains experts autoproclamés, les problèmes du Proche et du Moyen-Orient.
Je me suis toujours tenu informé sur ce qui s’y passait et, par conséquent sur le sujet qui nous préoccupe aujourd’hui :
UNE ÉVENTUELLE INTERVENTION MILITAIRE EN SYRIE.
Cet article a pour but de donner les raisons précises de mes doutes quant à l’opportunité d’une intervention en répondant à quelques questions simples.
Il s’agit aussi de donner matière à réfléchir à ceux qui veulent vraiment étudier le problème sans se contenter des logorrhées verbales bien pensantes et des affirmations péremptoires des hommes politiques de tous bords.
LES PREUVES INDUBITABLES PRÉSENTÉES PAR LE PREMIER MINISTRE AUX DÉPUTÉS SONT-ELLES CONVAINCANTES ET CRÉDIBLES ?
Quelles que soient ces preuves, ma réponse est non.
Les preuves peuvent évidemment être indubitables puisque personne n’a d’éléments concrets pour les mettre en doute. Mais elles peuvent être fausses.
Je n’ai pas la mémoire courte et me souviens du général états-unien Colin Powell présentant aux Nations Unies, avec un aplomb incroyable, ses « fausses preuves indubitables » établies par la CIA sur l’existence d’armes de destruction massive en Irak pour justifier l’intervention militaire qui a suivi.
Je sais qu’en France, phare de l’humanité, on ne ment jamais, mais tout de même ...
Personnellement, j’ai la conviction intime que nous sommes en présence d’une nouvelle manipulation avec le massacre au gaz chimique de Damas et je vais tenter d’en convaincre le lecteur.
À QUI PROFITE CE « MASSACRE » AU GAZ ?
Certainement pas à Bachar El-Assad qui n’aurait jamais pris le risque de franchir cette ligne rouge posée depuis longtemps par les États-uniens et les Franco-Britanniques.
Il savait qu’une intervention occidentale suivrait toute utilisation de gaz et signifierait sa chute à courte échéance.
Il savait que les Nations Unies étaient mandatées pour étudier l’utilisation des gaz en Syrie.
IL POSSÈDE UN ARSENAL SUFFISANT POUR FRAPPER SES ADVERSAIRES SANS FAIRE APPEL AU GAZ.
Aurait-il pris un tel risque, à un tel moment pour tuer seulement quelques centaines d’adversaires en banlieue de Damas, capitale du pays, à une relative proximité des délégations diplomatiques étrangères ?
Cette affirmation absurde ne tient pas la route.
CE « MASSACRE », DONT NUL NE CONNAÎT L’AMPLEUR RÉELLE, PROFITE DONC AUX DEUX AUTRES PARTIES EN CAUSE DANS CETTE AFFAIRE.
D’ABORD AUX OPPOSANTS À BACHAR EL-ASSAD
qui, si intervention il y a, ont toutes les chances de gagner rapidement leur combat et
DE PRENDRE LE POUVOIR EN SYRIE.
ENSUITE AUX ÉTATS-UNIENS ET AUX FRANCO-BRITANNIQUES QUI SOUHAITENT DEPUIS LONGTEMPS AFFAIBLIR LE HEZBOLLAH LIBANAIS,
MAIS SURTOUT L’IRAN (CIBLE PRINCIPALE EN RAISON DU NUCLÉAIRE),
EN SUPPRIMANT LEUR ALLIÉ DE TOUJOURS : LA SYRIE DE BACHAR EL-ASSAD.
Y A-T-IL EU D’AUTRES PRÉCÉDENTS DANS CE GENRE DE MANIPULATION ?
La réponse est oui.
IL Y A EU TIMISOARA (DÉCEMBRE 1989) OÙ LES MÉDIAS DU MONDE ENTIER ONT REPRIS PENDANT PRÈS DE SIX SEMAINES LA FAUSSE INFORMATION D’UN « MASSACRE » DE 4 600 PERSONNES POUR AIDER À FAIRE TOMBER NICOLAE CEAUȘESCU.
En fait les opposants avaient déterré quelques cadavres des cimetières de la ville, les avaient entourés de fils de fer barbelés et avaient tourné des images horribles visant à faire pleurer les téléspectateurs occidentaux.
Ils ont ensuite, sur la foi de ces images manipulées, avancé le chiffre énorme de 4 632 victimes qui n’existaient pas , mais que personne n’a osé mettre en doute.
Leur coup était joué et gagné puisqu’il a entraîné la chute de Ceaușescu.
Après coup les médias et les politiques occidentaux ont eu le bon goût de s’excuser pour leur erreur et ont avoué qu’ils avaient été manipulés... mais L’OBJECTIF ÉTAIT ATTEINT.
Il y a eu deux autres MANIPULATIONS DE CE TYPE EN BOSNIE ET AU KOSOVO lorsque j’étais en fonction.
Elles ont été réalisées avec succès et l’opinion et les médias n’en ont jamais connu les tenants et les aboutissants.
Comment une telle manipulation avec utilisation de gaz aurait elle pû être réalisée par l’opposition ?
C’est assez simple à réaliser…
L’opposition prend quelques familles entières (hommes, femmes, enfants, vieillards) soupçonnées d’être pro- Bachar et capturées lors des combats. Elle utilise du gaz prélevés sur les stocks de l’Armée arabe syrienne par du personnel déserteur. Elle gaze et filme les derniers instants horribles, puis, en appelle à l’ONU et aux États-unis. Le tour est joué.
Pour faire bonne mesure, vous rajoutez quelques témoins de votre camp pour raconter l’horreur, vous avancez le chiffre de 1 700 morts, chiffre invérifiable (comme celui de Timisoara) et vous envoyez les images les plus horribles.
La manipulation est servie...
LE RENSEIGNEMENT FRANÇAIS PRÉTEND QUE LES REBELLES N’ONT PAS LES SAVOIR-FAIRE POUR METTRE EN ŒUVRE LES GAZ.
C’EST OUBLIER UN PEU VITE QUE LES REBELLES SONT SOUTENUS ET CONSEILLÉS
[armés et payés – il ne s’agit plus, depuis longtemps, de contestataires ni même de rebelles. On a dépassé le stade de guerre civile. Il ne s’agit pas encore de révolution mais d’une guerre où le pays est envahi par des mercenaires et guérilléros étrangers augmentant considérablement le nombre des ennemis armés de l’État et voulant renverser le gouvernement et prendre le pouvoir. Comme il y a diverses factions ayant des intérêts divergents, ce sera ensuite le plus féroce qui gagnera le gros lot en éliminant tous les autres. Quant au petit nombre de naïfs qui voulaient une démocratie. On les fusillera comme les autres s’ils ne courent pas assez vite. Les probabilités sont que le prochain gouvernement sera composé de fanatiques musulmans. Bonjour les femmes!]
PAR DES SERVICES SPÉCIAUX ÉTRANGERS QUI, EUX, ONT TOUTES LES CONNAISSANCES NÉCESSAIRES.
Pourquoi les Allemands, les Canadiens et même les député britanniques doutent-ils du bien-fondé de l’intervention militaire ?
Ces trois pays se doutent bien qu’il y a très probablement une manipulation.
Ils ont eux aussi des services de renseignement et un minimum de bon sens.
[En ce qui concerne le Canada et son gouvernement : le mot «minimum» est adéquat.]
Ils ne veulent pas engager la vie de leurs soldats sur des preuves qui pourraient bien s’avérer « bidon » et analysent les conséquences d’une telle intervention.
Ils préfèrent s’occuper du rétablissement de leur économie en crise et de la sécurité à l’intérieur de leurs frontières avant d’aller jouer, à crédit comme le fait la France, les justiciers dans le reste du monde.
Par ailleurs, il ne peut échapper à personne que les gaz sont volatils et que l’utilisation de gaz dans une zone urbanisée comme Damas très majoritairement et densément peuplée par les partisans de Bachar El-Assad pourrait se retourner contre ses auteurs au moindre coup de vent...
Cette utilisation de gaz dans la ville de Damas n’est tout simplement pas crédible.
Il est vrai que « plus c’est énorme, plus ça passe », mais là, la ficelle est un peu grosse...
Quelles conséquences régionales et internationales en cas d’intervention militaire ?
Pour la Syrie même, une seule certitude.
LA CHUTE DE BACHAR EL-ASSAD, CHEF D’ÉTAT LAÏQUE, ENTRAÎNERA LA DÉBÂCLE ET L’EXIL POUR LES POPULATIONS CHRÉTIENNES ET ALAOUITES
dont la majorité l’aura soutenu pendant de très nombreuses années, voire pour de nombreux sunnites...
donc, de nouveaux massacres et de nouvelles masses de réfugiés...
Est-ce le but recherché ?
[Pour les USA et Israël, oui. Chaos créatif. Une multitude de tribus en guerre à l’Irakienne au lieu d’un état à peu près stable et possiblement dangereux.
Moyennement. Mais suffisamment pour ralentir leur marche vers la domination. Ou être un obstacle. Inacceptable. ]
Pour les Israéliens, une Égypte et une Syrie affaiblies, divisées et dont les économies auront été ramenées 50 ans en arrière, ne représentent plus une menace sérieuse pour très longtemps.
UNE INTERVENTION ÉTATS-UNIENNE ET FRANCO-BRITANNIQUE N’EST PAS UNE MAUVAISE AFFAIRE POUR EUX,
AU POINT DE SE DEMANDER SI NOUS NE « TRAVAILLONS » PAS UN PEU À LEUR PROFIT...
L’IRAN ÉTANT LA PROCHAINE CIBLE, connue de tous,
il est probable que le prix du pétrole explosera assez vite à la suite de l’intervention,
entraînant de nouvelles difficultés pour nos économies déjà fragiles.
L’INTERVENTION AURA UN COÛT POUR UN PAYS DÉJÀ SURENDETTÉ COMME LE NÔTRE.
CE COÛT SERA ÉVIDEMMENT SUPPORTÉ DIRECTEMENT OU INDIRECTEMENT PAR LE CONTRIBUABLE.
À moins que le gouvernement ne réalise l’opération à budget de Défense constant ce qui conduira à échelonner les dépenses d’équipement et à retarder, une fois de plus, la modernisation de nos forces.
UNE TELLE PARTICIPATION FRANÇAISE À UNE INTERVENTION RELÈVE-T-ELLE DE L’INGÉRENCE HUMANITAIRE ET/OÙ DU RESPECT DES CONVENTIONS DE GENÈVE ?
Si tel était le cas, POURQUOI LA FRANCE N’A-T-ELLE PAS PROPOSÉ D’INTERVENIR MILITAIREMENT LORS DU MASSACRE DE GAZA en Janvier 2009 (1 300 morts, bien réels ceux là, dont 900 civils et 300 enfants) ?
L’ARMÉE ISRAÉLIENNE AVAIT ALORS UTILISÉ DES BOMBES AU PHOSPHORE INTERDITES PAR LES CONVENTIONS DE GENÈVE...
Y aurait-il deux poids deux mesures ?
DES MASSACRES AUTORISÉS OU TOLÉRÉS ET DES MASSACRES INTERDITS ?
Autres éléments troublants, en vrac
Le 6 mai dernier, CARLA DEL PONTE, ancienne procureur de la Cour pénale internationale, membre de la commission indépendante mandatée par l’ONU pour enquêter sur l’utilisation de gaz en Syrie DÉCLARAIT QUE LES REBELLES (ET NON LES FORCES DU RÉGIME) ONT UTILISÉ DU GAZ SARIN.
Toute vérité n’étant pas bonne à dire dans un monde onusien largement financé par les USA, la commission indépendante (peut être moins qu’on ne le croit) déclarera dès le lendemain que les preuves sont insuffisantes pour accuser formellement la rébellion d’utilisation de gaz...
Par ailleurs la mission d’observateurs de la Ligue arabe envoyée au début du conflit a publié un rapport très équilibré sur les violences en Syrie dès janvier 2012. J’ai noté dans ce rapport :
« 28 – La mission a noté l’émission de faux rapports émanant de plusieurs parties faisant état de plusieurs attentats à la bombe et de violence dans certaines régions. Lorsque les observateurs se sont dirigés vers ces zones pour enquêter, les données recueillies montrent que ces rapports ne sont pas crédibles.
29 – La mission a noté également, se basant sur les documents et les rapports émanant des équipes sur le terrain, qu’il y a des exagérations médiatiques sur la nature et l’ampleur des accidents et des personnes tuées ou blessées à la suite des événements et des manifestations qui ont eu lieu dans certaines villes. » [1]
Cet excellent rapport établi par une commission majoritairement sunnite (donc plutôt anti-Bachar) n’était sans doute pas suffisamment anti-Bachar pour être évoqué par les médias occidentaux.
Il mérite pourtant une lecture attentive. À ceux qui souhaitent s’informer au delà du prêt-à-penser politique français, il suffit de le lire.
En conclusion, vous aurez compris que je ne crois pas un instant que les « preuves indubitables » françaises, quelles qu’elles soient, puissent justifier, à ce jour, une intervention militaire de quelque niveau que ce soit.
Je sais évidemment QU’UNE GRANDE PARTIE DES FORCES REBELLES EST COMPOSÉE DE MERCENAIRES FINANCÉS PAR LE QATAR ET L’ARABIE SAOUDITE (sunnites wahhabites) dans leur croisade contre les alaouites et les chiites.
CETTE FORCE REBELLE, SOUTENUE PAR LES ÉTATS-UNIENS ET LES FRANCO-BRITANNIQUES, N’EST DONC PAS VRAIMENT CELLE D’UNE « ARMÉE SYRIENNE LIBRE».
Les Nations Unies rendront leur rapport dans quelques semaines tout au plus. Sera-t-il impartial Je l’espère.
Mais je sais que les financements US sont vitaux pour l’ONU et qu’il lui est parfois difficile d’être vraiment indépendante.
Je voudrais terminer en disant que
JE NE SUIS PAS UN PARTISAN DE BACHAR EL-ASSAD, LOIN S’EN FAUT. MAIS
IL EST TRÈS PROBABLEMENT MOINS PIRE QUE CELUI QUI POURRAIT PRENDRE SA SUITE.
La justification et les conséquences de nos actes doivent donc être examinées beaucoup plus sérieusement qu’elles ne le sont aujourd’hui.
JE CONSTATE ENFIN QUE LA « COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE »,
TERME UTILISÉE INDÛMENT PAR NOS HOMMES POLITIQUES ET REPRIS PAR NOS JOURNALISTES À LONGUEUR DE JOURNÉE, NE SEMBLE COMPTER AUJOURD’HUI QUE TROIS PAYS :
LES ÉTATS-UNIS, LA GRANDE-BRETAGNE ET LA FRANCE
qui représentent à eux trois moins de 8 % DE LA POPULATION MONDIALE.
LES POSITIONS DE LA CHINE, DE L’INDE, DE LA RUSSIE, DU BRÉSIL, DU JAPON, DE L’ALLEMAGNE SONT PRESQUE TOTALEMENT OCCULTÉES des débats internationaux,
y compris sur la Syrie,
alors qu’ils constituent PRÈS DE 60 % DE LA POPULATION MONDIALE.
Font-ils partie ou non de la communauté internationale ?
[la communauté internationale semble représenter les occidentaux, blancs, riches, européens (on y ajoute les USA et Israël, chien de poche des USA.]
Il y a, là aussi, matière à réflexion...
[1] « Rapport du chef de la Mission des observateurs de la Ligue Arabe en Syrie pour la période du 24/12/2011 au 18/01/2012 »
Réseau Voltaire, 2 février 2012
http://www.voltairenet.org/article172606.html
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LA RUSSIE AFFIRME DÉTENIR DES PREUVES INCRIMINANT LES REBELLES SYRIENS
18 septembre 2013
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2013/09/18/002-conseil-securite-syrie-armes-chimiques.shtml
*
SYRIE
RAPPORT SUR LES ARMES CHIMIQUES
http://www.un.org/fr/
*
UNITED NATIONS MISSION TO INVESTIGATE ALLEGATIONS OF THE USE OF CHEMICAL WEAPONS
IN THE SYRIAN ARAB REPUBLIC
REPORT ON THE ALLEGED USE OF CHEMICAL WEAPONS IN THE GHOUTA AREA OF DAMASCUS
21 August 2013
Note by the Secretary-General
http://www.un.org/disarmament/content/slideshow/Secretary_General_Report_of_CW_Investigation.pdf
mercredi 18 septembre 2013
6228. CE QUI DEVAIT ÊTRE UNE JOURNÉE SPECTACULAIRE ET L'ABOUTISSEMENT D'UNE CARRIÈRE, POUR LA CHEFFE D'ANTENNE DE RADIO CANADA (PRÉSENTATRICE / LECTRICE DE NOUVELLES SUR LE TÉLÉPROMPTEUR/TÉLÉSOUFFLEUR) S'EST MALHEUREUSEMENT MAL TERMINÉ. OU MIEUX QU'ON AURAIT PU L'ESPÉRER. TOUT ÉTANT COMME D'HABITUDE, UNE QUESTION DE POINT DE VUE. LE PRÉSIDENT DES USA, PARTICULIÈREMENT AGITÉ CE SOIR-LÀ, BRASSAIT SES PETITES MAINS ET A REÇU UN DES ÉLÉMENTS DU DÉCOR DU LOGO DE RADIO CANADA SUR LA TÊTE. LUI DONT LES PROBLÈMES MENTAUX ÉTAIENT DÉJÀ CONNUS NE S'EST PAS PARTICULIÈREMENT AMÉLIORÉ. SES PROBLÈMES NON PLUS. SAUF QU'IL EST DEPUIS CE TEMPS ET ACTUELLEMENT DANS LE COMA, CE QUI EST TRÈS BIEN. COMPTE TENU DE LA SITUATION. COMME ON DIT: IL NE PEUT PLUS FAIRE DE MAL À PERSONNE. MAIS COMME ON EST CATHOLIQUE, ON LUI SOUHAITE BON RÉTABLISSEMENT. DANS QUELQUES ANNÉES. ET, EN ATTENDANT: BON BIP! (BRUIT QUE FONT LES MACHINES QUI MAINTIENNENT SES FONCTIONS VITALES. BIP! BIP!
mardi 17 septembre 2013
6227. MAIS COMMENT FONT-ILS ? LE TEXTE EST ÉCRIT SUR L'ÉCRAN DE L'ANIMATEUR RADIO. VOILÀ !
6226. DANS LA SÉRIE DE DOCUMENTAIRE SUR LA VIE DES HUMAINS. GÉNÉRALEMENT, CHAQUE HUMAIN A UN MÉTIER. NOUS PARLERONS AUJOURD'HUI DES JOURNALISTES. MAIS COMMENT FONT-ILS ?
6225. UNE SÉRIE D'ÉMISSIONS ANIMALIÈRES ÉDUCATIVES: CES GRANDS MALADES QUI NOUS GOUVERNENT.
dimanche 15 septembre 2013
6224. ET VOILÀ LE MAÎTRE DU MONDE QUI VEUT BOMBARDER UN PAYS DE PLUS. IL Y A TANT DE BOMBES DANS LES ENTREPÔTS, IL FAUT BIEN FAIRE DE LA PLACE POUR LES MODÈLES LES PLUS RÉCENTS. MAIS CE SERA HUMANITAIRE ET CONVIVIAL. ET SINCÈRE.
6223. AUTRE MEMBRE DE LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE DES VOLEURS. CRIMINEL RÉCIDIVISTE, REPENTI ET RÉHABILITÉ DONNANT GRATUITEMENT DES LEÇONS DE MORALE À LA TV.
6222. AUTRE SPÉCIMEN DE LA « COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE » (QUI N'EXISTE PAS) (SAUF L'ONU QUI RESSEMBLE TOUS LES PAYS DU MONDE). LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE QUI N'EXISTE PAS COMPRENDRAIT SI ON ANALYSE LES HOMMES D'ÉTATS QUI EN PARLE: LES PAYS D'EUROPE, LES USA, LE CANADA ET ISRAËL. MAIS PAS LES PAYS DE L'ONU ET LEURS 6 MILLIARDS D'HUMAINS SANS IMPORTANCE.
6221. LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE (LES AMIS DES USA ET D'ISRÀËL) DONNE DES CONSEILS DES BONTÉ AU MONDE
6220. POLITICIEN SINCÈRE RENCONTRANT D'INNOCENTS JOURNALISTES
6219
6218.
samedi 14 septembre 2013
6217. LE JOURNALISTE MODERNE COMME DE NOS JOURS EST UN HOMME CHARMANT, CALME ET CULTIVÉ. TOUJOURS BIENVEILLANT ET FRATERNEL. CONSTRUCTIFS, RIGOUREUX DANS SES ANALYSES, SES SYNTHÈSES ET SON ORTHOGRAPHE. TRÈS CONVAINCANT SUR UNE SÉRIE DE SUJETS QU’IL CONNAÎT PARFAITEMENT SANS JAMAIS AVOIR RIEN APPRIS. DÉMONTRANT, HEURE APRÈS HEURE, UNE SI ADMIRABLE IGNORANCE. L’INFORMATION DESCENDANT DES CIEUX ET SE POSANT SUR SA TÊTE COMME LES LANGUES DE FEU L’ENCOURAGEANT À MARCHER SUR LES EAUX AVEC JÉSUS OU LE PREMIER MINISTRE. OU À ENTRAÎNER LE PEUPLE AU COMBAT. UN HOMME CULTIVÉ ET PASSIONNANT QUI A TOUJOURS PLEIN DE CHOSES IMPORTANTES À NOUS DIRE ENTRE 2 ANNONCES. UNE AUTHENTIQUE SENTINELLE DU PEUPLE. LE SEPTIÈME POUVOIR. TOUJOURS DERRIÈRE LA POLICE, LES SERVICES SECRETS, L’ARMÉE, LE MINISTÈRE DE LA DÉFENSE ET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES SANS OUBLIER L’INDUSTRIE DE LA FINANCE. ON EN GARDERA UN SOUVENIR ÉMU.
jeudi 12 septembre 2013
6216. CONSOMMATEUR DE NOUVELLES RECEVANT SA DOSE JOURNALIÈRE D'INFORMATIONS NEUTRES ET OBJECTIVES PAR LES PROFESSIONNELS DE L'INFORMATION NEUTRE ET OBJECTIVE: MONSIEUR ASSAD EST MÉCHANT, MONSIEUR ASSAD EST VRAIMENT MÉCHANT. IL TUE SON PEUPLE. IL TUE SES ENFANTS. UN À UN. JUSTE AVANT LE SOUPER COMME S'IL FAISAIT EXPRÈS POUR NOUS COUPER L'APPÉTIT.
MAIS QUE QUELQU'UN FASSE QUELQUE CHOSE! IL FAUT PUNIR MONSIEUR ASSAD. COMME CE VILAIN MONSIEUR SADDAM HUSSEIN OU CE VILAIN CHAVEZ. OH! IL EST DÉJÀ MORT. |
6215. NOUS NE SAVONS PAS CE QUE NOUS VOYONS. ET NE COMPRENONS PAS CE QUE NOUS ENTENDONS. IL FAUT DONC TRADUIRE. POURQUOI MONSIEUR OBAMA SI PRESSÉ DE «PUNIR» L'ÉTAT SYRIEN SOUS PRÉTEXTE DE VILAIN COMPORTEMENT (NOUS ENTENDONS ICI QUE MONSIEUR OBAMA, EMPEREUR DU MONDE, AUTOPROCLAMÉ, UBU ROI, A LE DROIT DE PUNIR ET, PROBABLEMENT DE RÉCOMPENSER LES ÉTATS DU MONDE - COMME DANS LE PASSÉ, LES USA ONT FAIT POUR LE CHILI, L'ARGENTINE, LE PARAGUAY, L'URUGUAY, COLOMBIE, PANAMA, NICARAGUA, VÉNÉZUÉLA, YOUGOSLAVIE, AFGHANISTAN, IRAK, LYBIE, ECT. CAR LES USA SONT DE GRANDS PUNISSEURS - DEVIENT SOUDAINEMENT PLUS COMPRÉHENSIF. IL ALLAIT SÉVIR. N'AYANT PAS BESOIN D'AUTRE OPINION QUE LA SIENNE. ET, TOUT À COUP, IL ACCEPTE DE SOUMETTRE SA VOLONTÉ ET SON OPINION À CELLE DU CONGRÈS ET DU SÉNAT QUI, SURPRENAMMENT, SONT ÉTRANGEMENT PACIFISTE. ALORS QUE LE PREMIER MOUVEMENT SPONTANÉ EST LE CÉLÈBRE «KICK ASS». QUEL ÉLÉMENT NOUVEAU S'EST AJOUTÉ À LA PIÈCE INTERMINABLE QUE L'ON OBSERVAIT DEPUIS 2 ANS. SUITE À LA DESTRUCTION DE LA LYBIE. OBSERVONS. V'LÀ LA RUSSIE ! SUITE À L'IMPLOSION DE L'URSS, PRÉCÉDENTE INCARNATION DE LA RUSSIE ÉTERNELLE, CE PAYS S'ÉTAIT RETIRÉ DES AFFAIRES DU MONDE POUR LÉCHER SES BLESSURES. CE QUI A PERMIS AUX AUTRES JOUEURS DE PRENDRE TOUTE LA PLACE ET D'«INTERVENIR» EN YOUGOSLAVIE (DÉTRUITE), AFGHANISTAN, IRAK. ET DE LAISSER LEUR CHIEN FOU ISRAÉLIEN FAIRE SON CARNAGE DANS SES ENVIRONS IMMÉDIATS. LIBAN. GAZA. SANS QUE LES PLEUREUSES MÉDIATIQUES NE PROTESTENT. SANS ÊTRE INVITÉ À LA TABLE, VOILÀ QU'UN NOUVEAU JOUEUR SE PRÉSENTE. ON LUI A FAIT COMPRENDRE QU'IL N'ÉTAIT PAS LE BIENVENUE. IL A FAIT COMPRENDRE QU'IL S'INSTALLAIT ET JOUERAIT SES CARTES. LES RÉALISTES ONT DU ACCEPTER CETTE NOUVELLE RÉALITÉ. COMME LE MONDE RÉEL FONCTIONNE À LA NAZI, TOUT EN SE PRÉTENDANT GUIDÉ PAR LA MORALITÉ ET D'AUTRES GRANDS PRINCIPES: SOIT LA CUPIDITÉ, L'HUBRIS ET LA FORCE. DORÉNAVANT UNE NOUVELLE FORCE S'AJOUTE AU JEU DES FORCES DANS LE MONDE. POUR LE SIMPLE HUMAIN SANS IMPORTANCE, POUR QUI LES ACTIONS DES MAÎTRES DU MONDE SE PASSENT TROP LOIN ET TROP HAUT, IL N'Y A QU'UNE CHOSE QUI LE CONCERNE: ACTUELLEMENT, IL N'Y AURA PAS DE GUERRE MONDIALE. MÊME SI TOUS LES INGRÉDIENTS ÉTAIENT RÉUNIS. ET QUE LES PSYCHOPATHES PIAFFAIENT DE PLAISIR.
*
SYRIE : L’INITIATIVE RUSSE DANS SA VÉRITABLE DIMENSION !
Ghaleb Kandil
Article traduit de l’arabe par Mouna Alno-Nakhal pour Mondialisation.ca
Mondialisation.ca
11 septembre 2013
http://www.mondialisation.ca/syrie-linitiative-russe-dans-sa-veritable-dimension/5349391
L’initiative avancée par la Russie, pour contrer les États-Unis décidés à attaquer la Syrie, établit de nouvelles équations et de nouveaux équilibres traduisant les nouvelles réalités imposées par l’Axe de la résistance sur le terrain ;
équations qui ont révélé le coût d’une telle agression pour les États-Unis, leurs alliés, leurs agents dans la région et surtout pour l’entité sioniste,
maintenant que la Syrie, l’Iran et la Résistance libanaise ont FAIT COMPRENDRE
que cette entité recevra sa part de « la contre-attaque défensive » en réponse à l’agression étatsunienne.
Premièrement,
PAR CETTE INITIATIVE LA RUSSIE A RÉUSSI À REPRENDRE LES RÊNES DE L’OFFENSIVE AU NIVEAU INTERNATIONAL
et à imposer à Obama et à l’Empire US de nouvelles donnes qui devraient les ramener à « obéir» au Conseil de sécurité de l’ONU.
En effet, il est clair que l’équation révélée hier par M. Poutine, qui se résumerait à dire
« L’ARRÊT DE VOTRE AGRESSION CONTRE DES ACCORDS AVEC LA SYRIE SUR LES ARMES CHIMIQUES »,
est le prélude à une entente globale qui DISSUADERAIT TOUTE INGÉRENCE EN SYRIE
sous n’importe quelle forme que ce soit
– AUSSI BIEN POLITIQUE QUE FINANCIÈRE OU MILITAIRE –
et à la reprise du processus de Genève 2 perturbé par les USA depuis des mois.
De nombreux détails mériteraient plus d’attention et de suivi, notamment celui qui témoigne que la Russie a réussi à montrer que la crise est la résultante du conflit entre la Syrie et ses alliés d’une part,
et les USA et leurs agents d’autre part ;
en même temps qu’elle est apparue comme un référent essentiel pour les ajustements dictés par une nouvelle réalité internationale.
Le tout, suivi d’une gifle retentissante assénée par son ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, au triangle colonialiste US-France-GB
LORSQU’IL A REFUSÉ DE PLACER TOUT PROJET CONCERNANT LES ARMES CHIMIQUES DANS LE CADRE DU CHAPITRE VII DE LA CHARTE DES NATIONS UNIES.
Deuxièmement,
l’ensemble des données disponibles révèlent que le « projet de solution russe » vise à dissuader toute agression contre la Syrie et certainement pas à l’encourager ou à s’y associer.
Ceci est très clair et le deviendra de plus en plus,
CAR LES USA NE DEVRONT PAS SE CONTENTER DE DÉCLARER PUBLIQUEMENT LEUR ABANDON DES HOSTILITÉS, RETIRER LEURS NAVIRES DE GUERRE ET LEURS DESTROYERS ;
ILS DEVRONT AUSSI CESSER TOUT FINANCEMENT, ARMEMENT ET SOUTIEN PRODIGUÉS AUX BANDES TERRORISTES.
C’est en tout cas le premier point sur lequel repose l’entente préalable, sur cette initiative, entre les ministres des Affaires étrangères de la Russie et des USA.
Soutenir les efforts de l’Etat syrien dans son combat contre le terrorisme sera, dans les prochaines semaines, le cadre des activités de la Russie sur le plan international ;
cette initiative ayant créé les conditions de nouvelles avancées sur le terrain en faveur de la Syrie.
En l’occurrence, C’EST CE DONT TÉMOIGNENT LES CRIS, LES JÉRÉMIADES ET L’HYSTÉRIE des pays impliqués dans l’agression,
qui ont vu échouer leurs tentatives de destruction de l’État syrien
et dont le dernier espoir était de faire pencher la balance en faveur des gangs terroristes d’Al-Qaïda dirigés par Bandar bin Sultan.
Troisièmement,
L’ABANDON PAR LA SYRIE DE SON ARSENAL D’ARMES CHIMIQUES EST COMPENSÉ PAR UNE MODIFICATION QUALITATIVE DE SES CAPACITÉS DE DÉFENSE ET DE DISSUASION DU FAIT DE L’IMPLICATION DIRECTE DE LA RUSSIE
dans des projets de renforcement de ses systèmes de défense et de sécurité.
Ceci, que ce soit en missiles, en avions de combat, en armes sophistiquées, et même en connexion à l’immense réseau de stations radar russes
comme l’a démontré le test des deux missiles (1) lancés par Israël.
Par conséquent, la Syrie – qui a annoncé sa volonté d’adhérer au Traité de non-prolifération des armes chimiques et d’abandonner son arsenal chimique sous contrôle international – dispose déjà de moyens, et disposera de tous les moyens qui seront mis à sa disposition par son allié russe.
Par ailleurs, l’indéfectible partenariat qu’elle a construit avec l’Iran et la Résistance libanaise constitue une organisation hautement performante en cas d’agression sioniste,
si bien qu’une des constantes des équations régionales et internationales est
DÉSORMAIS QUE TOUTE INGÉRENCE ISOLÉE OU GROUPÉE, D’ISRAËL, DES USA OU DE L’OTAN EN SYRIE,
rencontrera une douloureuse réaction à laquelle participeront l’Iran et la Résistance libanaise,
alors que la Russie sera présente en appui de la défense syrienne par tous les outils et moyens disponibles.
D’ailleurs, C’EST CE QUE LA RUSSIE A DÉJÀ FAIT EN DÉPÊCHANT SA FLOTTE FACE AU DANGER US
et en fournissant des armes modernes à l’Armée arabe syrienne, en plus de ses formateurs et experts travaillant avec leurs homologues syriens à développer différentes techniques en fonction du plan de défense syrien.
Quatrièmement,
LA FIN DE RÈGNE DE L’HÉGÉMONIE ET DE L’UNILATÉRALISME US,
le renforcement de l’organisation défensive régionale contre Israël et les USA,
et même la contre-attaque défensive contre l’agression des États-Unis qui ont pris toutes leurs dispositions pour ce faire,
sont autant de réalisations initiées et accomplies par la résistance de l’État syrien, de son Commandant en chef, de son Armée et de son peuple ;
réalisations à mettre aussi sur le compte de la fermeté de ses alliés d’Iran et du Hezbollah et de l’extraordinaire courage de son allié russe.
Le monde doit s’attendre à découvrir le contenu de ce que nous ont préparé, tout en finesse politique et diplomatique, le trio formé par Sergueï Lavrov, Walid Mouallem et Hussein Abdel Lahyan dont la présence concomitante à Moscou ne relève probablement pas de la coïncidence.
Le partenariat entre la Russie et « l’Organisation de la Résistance en Orient » s’est donc renforcé.
C’est un nouveau bloc qui vient de naître et c’est le bras qui se met en travers de l’agression hargneuse des Israéliens et des USA.
Tout un chacun en Syrie ou ailleurs a le droit de clamer que la Syrie en acceptant de se défaire de son arsenal chimique, au profit d’un système de défense plus performant, a capitulé.
Mais cela reviendrait à refuser de reconnaître qu’une telle concession est d’un coût nettement moindre que celui que les Syriens auraient payé sans cette victoire politique, qui n’a été rendue possible que grâce à leur résistance à l’agression US.
Ce à quoi nous avons assisté, ces derniers jours, fera date dans l’Histoire moderne en ce sens que des forces de libération luttant pour leur souveraineté et leur indépendance ont réalisé cet exploit sans recourir à une guerre pour laquelle ont été mobilisés de considérables moyens une fois qu’Obama a annoncé sa décision d’attaquer la Syrie, un exploit dont le mérite revient à la Résistance syrienne !
1. La Russie détecte 2 missiles en Méditerranée
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/09/03/97001-20130903FILWWW00299-la-russie-detecte-2-missiles-en-mediterranee.php
SYRIE : L’INITIATIVE RUSSE DANS SA VÉRITABLE DIMENSION !
Ghaleb Kandil
Article traduit de l’arabe par Mouna Alno-Nakhal pour Mondialisation.ca
Mondialisation.ca
11 septembre 2013
http://www.mondialisation.ca/syrie-linitiative-russe-dans-sa-veritable-dimension/5349391
L’initiative avancée par la Russie, pour contrer les États-Unis décidés à attaquer la Syrie, établit de nouvelles équations et de nouveaux équilibres traduisant les nouvelles réalités imposées par l’Axe de la résistance sur le terrain ;
équations qui ont révélé le coût d’une telle agression pour les États-Unis, leurs alliés, leurs agents dans la région et surtout pour l’entité sioniste,
maintenant que la Syrie, l’Iran et la Résistance libanaise ont FAIT COMPRENDRE
que cette entité recevra sa part de « la contre-attaque défensive » en réponse à l’agression étatsunienne.
Premièrement,
PAR CETTE INITIATIVE LA RUSSIE A RÉUSSI À REPRENDRE LES RÊNES DE L’OFFENSIVE AU NIVEAU INTERNATIONAL
et à imposer à Obama et à l’Empire US de nouvelles donnes qui devraient les ramener à « obéir» au Conseil de sécurité de l’ONU.
En effet, il est clair que l’équation révélée hier par M. Poutine, qui se résumerait à dire
« L’ARRÊT DE VOTRE AGRESSION CONTRE DES ACCORDS AVEC LA SYRIE SUR LES ARMES CHIMIQUES »,
est le prélude à une entente globale qui DISSUADERAIT TOUTE INGÉRENCE EN SYRIE
sous n’importe quelle forme que ce soit
– AUSSI BIEN POLITIQUE QUE FINANCIÈRE OU MILITAIRE –
et à la reprise du processus de Genève 2 perturbé par les USA depuis des mois.
De nombreux détails mériteraient plus d’attention et de suivi, notamment celui qui témoigne que la Russie a réussi à montrer que la crise est la résultante du conflit entre la Syrie et ses alliés d’une part,
et les USA et leurs agents d’autre part ;
en même temps qu’elle est apparue comme un référent essentiel pour les ajustements dictés par une nouvelle réalité internationale.
Le tout, suivi d’une gifle retentissante assénée par son ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, au triangle colonialiste US-France-GB
LORSQU’IL A REFUSÉ DE PLACER TOUT PROJET CONCERNANT LES ARMES CHIMIQUES DANS LE CADRE DU CHAPITRE VII DE LA CHARTE DES NATIONS UNIES.
Deuxièmement,
l’ensemble des données disponibles révèlent que le « projet de solution russe » vise à dissuader toute agression contre la Syrie et certainement pas à l’encourager ou à s’y associer.
Ceci est très clair et le deviendra de plus en plus,
CAR LES USA NE DEVRONT PAS SE CONTENTER DE DÉCLARER PUBLIQUEMENT LEUR ABANDON DES HOSTILITÉS, RETIRER LEURS NAVIRES DE GUERRE ET LEURS DESTROYERS ;
ILS DEVRONT AUSSI CESSER TOUT FINANCEMENT, ARMEMENT ET SOUTIEN PRODIGUÉS AUX BANDES TERRORISTES.
C’est en tout cas le premier point sur lequel repose l’entente préalable, sur cette initiative, entre les ministres des Affaires étrangères de la Russie et des USA.
Soutenir les efforts de l’Etat syrien dans son combat contre le terrorisme sera, dans les prochaines semaines, le cadre des activités de la Russie sur le plan international ;
cette initiative ayant créé les conditions de nouvelles avancées sur le terrain en faveur de la Syrie.
En l’occurrence, C’EST CE DONT TÉMOIGNENT LES CRIS, LES JÉRÉMIADES ET L’HYSTÉRIE des pays impliqués dans l’agression,
qui ont vu échouer leurs tentatives de destruction de l’État syrien
et dont le dernier espoir était de faire pencher la balance en faveur des gangs terroristes d’Al-Qaïda dirigés par Bandar bin Sultan.
Troisièmement,
L’ABANDON PAR LA SYRIE DE SON ARSENAL D’ARMES CHIMIQUES EST COMPENSÉ PAR UNE MODIFICATION QUALITATIVE DE SES CAPACITÉS DE DÉFENSE ET DE DISSUASION DU FAIT DE L’IMPLICATION DIRECTE DE LA RUSSIE
dans des projets de renforcement de ses systèmes de défense et de sécurité.
Ceci, que ce soit en missiles, en avions de combat, en armes sophistiquées, et même en connexion à l’immense réseau de stations radar russes
comme l’a démontré le test des deux missiles (1) lancés par Israël.
Par conséquent, la Syrie – qui a annoncé sa volonté d’adhérer au Traité de non-prolifération des armes chimiques et d’abandonner son arsenal chimique sous contrôle international – dispose déjà de moyens, et disposera de tous les moyens qui seront mis à sa disposition par son allié russe.
Par ailleurs, l’indéfectible partenariat qu’elle a construit avec l’Iran et la Résistance libanaise constitue une organisation hautement performante en cas d’agression sioniste,
si bien qu’une des constantes des équations régionales et internationales est
DÉSORMAIS QUE TOUTE INGÉRENCE ISOLÉE OU GROUPÉE, D’ISRAËL, DES USA OU DE L’OTAN EN SYRIE,
rencontrera une douloureuse réaction à laquelle participeront l’Iran et la Résistance libanaise,
alors que la Russie sera présente en appui de la défense syrienne par tous les outils et moyens disponibles.
D’ailleurs, C’EST CE QUE LA RUSSIE A DÉJÀ FAIT EN DÉPÊCHANT SA FLOTTE FACE AU DANGER US
et en fournissant des armes modernes à l’Armée arabe syrienne, en plus de ses formateurs et experts travaillant avec leurs homologues syriens à développer différentes techniques en fonction du plan de défense syrien.
Quatrièmement,
LA FIN DE RÈGNE DE L’HÉGÉMONIE ET DE L’UNILATÉRALISME US,
le renforcement de l’organisation défensive régionale contre Israël et les USA,
et même la contre-attaque défensive contre l’agression des États-Unis qui ont pris toutes leurs dispositions pour ce faire,
sont autant de réalisations initiées et accomplies par la résistance de l’État syrien, de son Commandant en chef, de son Armée et de son peuple ;
réalisations à mettre aussi sur le compte de la fermeté de ses alliés d’Iran et du Hezbollah et de l’extraordinaire courage de son allié russe.
Le monde doit s’attendre à découvrir le contenu de ce que nous ont préparé, tout en finesse politique et diplomatique, le trio formé par Sergueï Lavrov, Walid Mouallem et Hussein Abdel Lahyan dont la présence concomitante à Moscou ne relève probablement pas de la coïncidence.
Le partenariat entre la Russie et « l’Organisation de la Résistance en Orient » s’est donc renforcé.
C’est un nouveau bloc qui vient de naître et c’est le bras qui se met en travers de l’agression hargneuse des Israéliens et des USA.
Tout un chacun en Syrie ou ailleurs a le droit de clamer que la Syrie en acceptant de se défaire de son arsenal chimique, au profit d’un système de défense plus performant, a capitulé.
Mais cela reviendrait à refuser de reconnaître qu’une telle concession est d’un coût nettement moindre que celui que les Syriens auraient payé sans cette victoire politique, qui n’a été rendue possible que grâce à leur résistance à l’agression US.
Ce à quoi nous avons assisté, ces derniers jours, fera date dans l’Histoire moderne en ce sens que des forces de libération luttant pour leur souveraineté et leur indépendance ont réalisé cet exploit sans recourir à une guerre pour laquelle ont été mobilisés de considérables moyens une fois qu’Obama a annoncé sa décision d’attaquer la Syrie, un exploit dont le mérite revient à la Résistance syrienne !
1. La Russie détecte 2 missiles en Méditerranée
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/09/03/97001-20130903FILWWW00299-la-russie-detecte-2-missiles-en-mediterranee.php
6114. LES ATERMOIEMENTS DE MONSIEUR OBAMA, CHEF DU MONDE LIBRE ET DE LA «COMMUNAUTÉ INTERNTIONALE» EXPLIQUÉS AUX ESPRITS CURIEUX
*
LA DÉCISION DE BARAK OBAMA DE DÉCLARER LA GUERRE À LA SYRIE NE VIENT PAS DE NULLE PART.
VOILÀ POURQUOI LES ÉTATS-UNIS VEULENT AGRESSER LA SYRIE
Ghaleb KANDIL
11 septembre 2013
http://www.legrandsoir.info/voila-pourquoi-les-etats-unis-veulent-agresser-la-syrie.html
Elle est le résultat d’une série de facteurs qui, du point de vue du président étasunien, constituent une
DERNIÈRE TENTATIVE POUR ÉVITER LA FIN DE L’HÉGÉMONIE UNILATÉRALE DE L’EMPIRE AMÉRICAIN SUR LE MONDE.
L’IMPASSE DES ÉTATS-UNIS REFLÈTE AUSSI CELLE D’ISRAËL,
qui voit croitre, avec impuissance, la force de dissuasion régionale de l’axe de la résistance, dont le maillon central est la Syrie.
C’EST CE QUI EXPLIQUE LARGEMENT L’ARGUMENT DE LA "SÉCURITÉ NATIONALE AMÉRICAINE",
avancé par Obama pour vanter la guerre contre la Syrie.
Le premier de ces facteurs EST
L’ÉCHEC DE LA GUERRE INDIRECTE MENÉE DEPUIS DEUX ANS POUR DÉTRUIRE L’ÉTAT SYRIEN.
Un échec d’autant plus retentissant que des moyens colossaux ont été mobilisés par les États-Unis et leurs agents pour atteindre cet objectif.
Mais l’État syrien a résisté, sous le leadership de son président Bachar al-Assad, et toutes les tentatives se sont heurtées à la solidité de l’Armée arabe syrienne, qui a repris l’initiative sur le terrain et a absorbé puis repoussé
LES VAGUES SUCCESSIVES LANCÉES PAR DES DIZAINES DE MILLIERS DE MERCENAIRES ÉTRANGERS VENUS DE 80 PAYS.
La dernière vague venait de Jordanie, où le prince saoudien Bandar Ben Sultan, le véritable chef d’Al-Qaïda, a massé 20 000 extrémistes, entraînés pendant des mois par des troupes spéciales étasuniennes, françaises et britanniques.
Les groupuscules d’Al-Qaïda en Syrie sont le principal outil des Étasuniens.
Leur dernier plan consistait à opérer une percée à Damas.
Mais les vagues de jihadistes-takfiristes se sont brisées sur le rempart de l’armée syrienne, qui a lancé un offensive préventive autour de la capitale.
Deuxième facteur :
Il est clairement apparu que la résistance de l’État syrien tout ce temps a été le principal catalyseur pour l’émergence de nouveaux équilibres internationaux.
Cette résistance a servi de levier aux pays opposés à l’hégémonie unilatérale des Etats-Unis, comme la Russie, la Chine et plus généralement les membres des BRICS, qui ont fait preuve de dynamisme.
Lors des différents épisodes de l’agression contre la Syrie, Washington a dû se plier aux exigences d’un nouveau partenariat international en acceptant, du moins théoriquement, les arrangements conclus avec la Russie, notamment les accords de Genève 1 et 2.
Mais très vite, les États-Unis ont tenté de vider de leurs contenus ces arrangements, avant d’essayer de les torpiller.
L’agression directe contre la Syrie reste donc, pour les États-Unis, la seule et dernière voie pour tester leurs capacités de renverser la table, de protéger
et de RENOUVELER LEUR HÉGÉMONIE UNILATÉRALE SUR LE MONDE,
et de se retourner sur le partenariat qu’ils ont fait semblent d’accepter.
CAR LA FIN DE L’HÉGÉMONIE SIGNIFIE LA FIN DES PRIVILÈGES ET DES INTÉRÊTS QUE LES AMÉRICAINS ONT ACCUMULÉ CE DERNIER QUART DE SIÈCLE, EN TANT QUE PUISSANCE UNIQUE SUR LA SCÈNE MONDIALE,
DEPUIS L’EFFONDREMENT DE L’UNION SOVIÉTIQUE.
Accepter un monde multipolaire conduira, forcément, à une révolution dans les rapports internationaux
et à un changement de la structure des NATIONS UNIES, INSTRUMENTALISÉES TOUTES CES ANNÉES PAR WASHINGTON POUR SERVIR SES INTÉRÊTS.
Troisième facteur :
Le sort d’Israël et des États fantoches arabes se situe au cœur de l’agression contre la Syrie.
En effet, l’alliance constituée par l’Occident, Israël, les pétromonarchies rétrogrades et la Turquie, sait pertinemment que la victoire de la Syrie et du président Bachar al-Assad va déclencher une vague nationaliste arabe hostile au mouvement sioniste et aux forces colonialistes dans la région.
Cette victoire va renforcer la Syrie, l’Iran et les mouvements de résistance, qui ont déjà réussi à briser LA FORCE DE DISSUASION ISRAÉLIENNE lors des guerres successives,
notamment celle de JUILLET 2006, AU LIBAN.
C’est, d’ailleurs, le véritable objectif de l’agression contre la Syrie depuis mars 2011.
Quatrième facteur :
Une éventuelle victoire de la Syrie constituerait un danger stratégique pour les États-Unis et leurs auxiliaires, surtout à l’ère des changements décisifs qui sont en train de s’opérer en Égypte, après la chute retentissante des Frères musulmans.
Une telle victoire resserrerait forcément l’étau sur Israël.
Les États-Unis et leurs agents n’ont donc plus qu’une dernière carte à jouer : celle de l’intervention militaire directe en Syrie.
Mais la Syrie n’est pas seule sur le terrain.
Contrairement à l’Irak de Saddam Hussein et à la Libye de Moammar Kadhafi, elle est au cœur d’un axe régional qui a enregistré des victoires successives sur Israël depuis 1982 dans quatre guerres majeures, en plus de dizaines d’autres affrontements militaires et bras de fer politico-diplomatiques.
Cet axe est aujourd’hui soutenu par une grande puissance, la Russie, longtemps humiliée par les États-Unis, et qui est aujourd’hui déterminée à retrouver sa place centrale sur la scène internationale.
Dans ce nouveau bras de fer, imposé par Washington, l’axe de la résistance et ses alliés internationaux font preuve de solidité.
C’est surtout la résistance de la Syrie, de son président, de son peuple et de son armée, qui les encourage à ne pas céder aux menaces des États-Unis.
Et lorsque ces menaces se concrétiseront en acte, les États-Unis et leurs auxiliaires seront surpris par la capacité de riposte de cet axe qui s’étend de Téhéran à Moscou, en passant par Bagdad, Damas, Beyrouth et Pékin
LA DÉCISION DE BARAK OBAMA DE DÉCLARER LA GUERRE À LA SYRIE NE VIENT PAS DE NULLE PART.
VOILÀ POURQUOI LES ÉTATS-UNIS VEULENT AGRESSER LA SYRIE
Ghaleb KANDIL
11 septembre 2013
http://www.legrandsoir.info/voila-pourquoi-les-etats-unis-veulent-agresser-la-syrie.html
Elle est le résultat d’une série de facteurs qui, du point de vue du président étasunien, constituent une
DERNIÈRE TENTATIVE POUR ÉVITER LA FIN DE L’HÉGÉMONIE UNILATÉRALE DE L’EMPIRE AMÉRICAIN SUR LE MONDE.
L’IMPASSE DES ÉTATS-UNIS REFLÈTE AUSSI CELLE D’ISRAËL,
qui voit croitre, avec impuissance, la force de dissuasion régionale de l’axe de la résistance, dont le maillon central est la Syrie.
C’EST CE QUI EXPLIQUE LARGEMENT L’ARGUMENT DE LA "SÉCURITÉ NATIONALE AMÉRICAINE",
avancé par Obama pour vanter la guerre contre la Syrie.
Le premier de ces facteurs EST
L’ÉCHEC DE LA GUERRE INDIRECTE MENÉE DEPUIS DEUX ANS POUR DÉTRUIRE L’ÉTAT SYRIEN.
Un échec d’autant plus retentissant que des moyens colossaux ont été mobilisés par les États-Unis et leurs agents pour atteindre cet objectif.
Mais l’État syrien a résisté, sous le leadership de son président Bachar al-Assad, et toutes les tentatives se sont heurtées à la solidité de l’Armée arabe syrienne, qui a repris l’initiative sur le terrain et a absorbé puis repoussé
LES VAGUES SUCCESSIVES LANCÉES PAR DES DIZAINES DE MILLIERS DE MERCENAIRES ÉTRANGERS VENUS DE 80 PAYS.
La dernière vague venait de Jordanie, où le prince saoudien Bandar Ben Sultan, le véritable chef d’Al-Qaïda, a massé 20 000 extrémistes, entraînés pendant des mois par des troupes spéciales étasuniennes, françaises et britanniques.
Les groupuscules d’Al-Qaïda en Syrie sont le principal outil des Étasuniens.
Leur dernier plan consistait à opérer une percée à Damas.
Mais les vagues de jihadistes-takfiristes se sont brisées sur le rempart de l’armée syrienne, qui a lancé un offensive préventive autour de la capitale.
Deuxième facteur :
Il est clairement apparu que la résistance de l’État syrien tout ce temps a été le principal catalyseur pour l’émergence de nouveaux équilibres internationaux.
Cette résistance a servi de levier aux pays opposés à l’hégémonie unilatérale des Etats-Unis, comme la Russie, la Chine et plus généralement les membres des BRICS, qui ont fait preuve de dynamisme.
Lors des différents épisodes de l’agression contre la Syrie, Washington a dû se plier aux exigences d’un nouveau partenariat international en acceptant, du moins théoriquement, les arrangements conclus avec la Russie, notamment les accords de Genève 1 et 2.
Mais très vite, les États-Unis ont tenté de vider de leurs contenus ces arrangements, avant d’essayer de les torpiller.
L’agression directe contre la Syrie reste donc, pour les États-Unis, la seule et dernière voie pour tester leurs capacités de renverser la table, de protéger
et de RENOUVELER LEUR HÉGÉMONIE UNILATÉRALE SUR LE MONDE,
et de se retourner sur le partenariat qu’ils ont fait semblent d’accepter.
CAR LA FIN DE L’HÉGÉMONIE SIGNIFIE LA FIN DES PRIVILÈGES ET DES INTÉRÊTS QUE LES AMÉRICAINS ONT ACCUMULÉ CE DERNIER QUART DE SIÈCLE, EN TANT QUE PUISSANCE UNIQUE SUR LA SCÈNE MONDIALE,
DEPUIS L’EFFONDREMENT DE L’UNION SOVIÉTIQUE.
Accepter un monde multipolaire conduira, forcément, à une révolution dans les rapports internationaux
et à un changement de la structure des NATIONS UNIES, INSTRUMENTALISÉES TOUTES CES ANNÉES PAR WASHINGTON POUR SERVIR SES INTÉRÊTS.
Troisième facteur :
Le sort d’Israël et des États fantoches arabes se situe au cœur de l’agression contre la Syrie.
En effet, l’alliance constituée par l’Occident, Israël, les pétromonarchies rétrogrades et la Turquie, sait pertinemment que la victoire de la Syrie et du président Bachar al-Assad va déclencher une vague nationaliste arabe hostile au mouvement sioniste et aux forces colonialistes dans la région.
Cette victoire va renforcer la Syrie, l’Iran et les mouvements de résistance, qui ont déjà réussi à briser LA FORCE DE DISSUASION ISRAÉLIENNE lors des guerres successives,
notamment celle de JUILLET 2006, AU LIBAN.
C’est, d’ailleurs, le véritable objectif de l’agression contre la Syrie depuis mars 2011.
Quatrième facteur :
Une éventuelle victoire de la Syrie constituerait un danger stratégique pour les États-Unis et leurs auxiliaires, surtout à l’ère des changements décisifs qui sont en train de s’opérer en Égypte, après la chute retentissante des Frères musulmans.
Une telle victoire resserrerait forcément l’étau sur Israël.
Les États-Unis et leurs agents n’ont donc plus qu’une dernière carte à jouer : celle de l’intervention militaire directe en Syrie.
Mais la Syrie n’est pas seule sur le terrain.
Contrairement à l’Irak de Saddam Hussein et à la Libye de Moammar Kadhafi, elle est au cœur d’un axe régional qui a enregistré des victoires successives sur Israël depuis 1982 dans quatre guerres majeures, en plus de dizaines d’autres affrontements militaires et bras de fer politico-diplomatiques.
Cet axe est aujourd’hui soutenu par une grande puissance, la Russie, longtemps humiliée par les États-Unis, et qui est aujourd’hui déterminée à retrouver sa place centrale sur la scène internationale.
Dans ce nouveau bras de fer, imposé par Washington, l’axe de la résistance et ses alliés internationaux font preuve de solidité.
C’est surtout la résistance de la Syrie, de son président, de son peuple et de son armée, qui les encourage à ne pas céder aux menaces des États-Unis.
Et lorsque ces menaces se concrétiseront en acte, les États-Unis et leurs auxiliaires seront surpris par la capacité de riposte de cet axe qui s’étend de Téhéran à Moscou, en passant par Bagdad, Damas, Beyrouth et Pékin
lundi 9 septembre 2013
6213. LE PRÉSIDENT DES USA, MONSIEUR BUSH (ON NE SAIT PAS), PRIX NOBEL DE LA PAIX 2009, PARLE DE SON DÉSIR INTENSE DE PAIX EN SYRIE ET DE TOUT LE BIEN DONT IL PENSE AU SUJET DU PEUPLE SYRIEN. - SON UNIQUE BUT DANS LA VIE - ET ON L'AIME POUR SA CANDEUR ET SA SINCÉRITÉ.
samedi 7 septembre 2013
6212. 2013. L'INFORMATION NEUTRE ET OBJECTIVE COMME SI VOUS Y ÉTIEZ.
jeudi 5 septembre 2013
6211. LA VIE PALPITANTE DES FRANÇAIS
6210. ENCORE UNE FOIS, DANS NOS PRÉTENDUES DÉMOCRATIES, LES PSYCHOPATHES GOUVERNENT. TUEURS. VOLEURS. OBSÉDÉS. MALADES. CHEFS DES LEMMINGS APPRIVOISÉS. TOUS SE DIRIGEANT AVEC EXALTATION VERS LE PRÉCIPICE.
*
DANS LES HUIT PROCHAINS JOURS, LA PAIX EST POSSIBLE EN SYRIE
Thierry Meyssan
Réseau Voltaire
Damas (Syrie)
4 septembre 2013
http://www.voltairenet.org/article180034.html
English
http://www.voltairenet.org/article180051.html
DEPUIS LA CHUTE DE L’UNION SOVIÉTIQUE, LES NATIONS UNIES APPARAISSENT COMME UNE SIMPLE CHAMBRE D’ENREGISTREMENT DE LA POLITIQUE US, AU POINT QUE WASHINGTON APPELLE SES ALLIÉS LA « COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE »
Pourtant, le monde de George W. Bush n’est plus.
L’ONU peut à nouveau jouer un rôle au service de la paix, lorsqu’un de ses membres est menacé par les États-Unis.
Thierry Meyssan appelle à clore la crise syrienne comme le fut celle de Suez,
en appelant à une «session extraordinaire d’urgence » de l’Assemblée générale.
LA RÉVOLTE DU PARLEMENT BRITANNIQUE CONTRE LE PROJET COLONIAL DE DAVID CAMERON,
suivie par la transmission du dossier syrien par Barack Obama au Congrès des États-Unis modifient profondément les rapports de force internationaux,
même si le Congrès devait en dernier ressort autoriser le recours aux bombardements.
Dans la période actuelle, tous les États retrouvent leur liberté de parole.
SEULE LA FRANCE EST ENCORE SUSCEPTIBLE DE FAIRE PRESSION SUR SES VASSAUX
[Et la France, ex grande puissance, et son parlement croupion est à genoux devant l’industrie de la finance et de la guerre. Et ses propagandistes : l’État Juif et les USA]
pour leur dicter une politique belliciste.
Ni le Royaume-Uni, ni les États-Unis jusqu’au vote de leur Congrès, ne le peuvent.
OR, LA MAJORITÉ DES ÉTATS DANS LE MONDE SONT CONSCIENTS DES CONSÉQUENCES EN CHAÎNE QU’UNE INTERVENTION OCCIDENTALE PEUT PROVOQUER AU PROCHE-ORIENT.
Qu’elle soutienne la Syrie ou qu’elle souhaite le renversement de ses institutions, cette majorité ne peut que s’opposer à un bombardement, fut-il « chirurgical », de la Syrie.
Par conséquent, il existe durant un peu plus d’une semaine une fenêtre permettant de stopper la guerre :
L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES NATIONS UNIES PEUT SE SAISIR DE LA QUESTION ET INTERDIRE À SES MEMBRES D’ATTAQUER LA SYRIE,
y compris pour prévenir l’usage d’armes de destruction massive par son gouvernement.
En droit, la défense de la paix incombe au seul Conseil de sécurité et non à l’Assemblée générale.
[Et la guerre!]
Cependant, lorsque le Conseil ne parvient pas à statuer en raison d’un blocage entre ses membres permanents, l’Assemblée générale peut prendre acte de sa carence et trancher à sa place.
Dès lors, l’Assemblée peut adopter une résolution interdisant d’attaquer la Syrie.
D’après la note publiée par le gouvernement britannique,
[?]
l’intervention des grandes puissances serait légale en dehors d’un mandat du Conseil de sécurité si elle poursuit comme objectif exclusif de défendre les populations civiles en interdisant l’usage d’armes de destruction massive
et
si elle emploie des moyens proportionnés pour atteindre cet objectif.
BIEN SÛR, COMME EN LIBYE, IL NE S’AGIT QUE DE JUSTIFIER L’ENTRÉE EN GUERRE,
puis de se glisser dans l’agression pure et simple.
Jamais M. Cameron n’a eu l’intention de s’en tenir à ses buts officiels.
Si le Conseil de sécurité ne peut empêcher une escalade dans la guerre, en raison du veto occidental, l’Assemblée générale le peut.
En vertu de la résolution « Union pour le maintien de la paix » (377, V), adoptée sur proposition du secrétaire d’État US Dean Acheson durant la crise coréenne,
elle doit pour cela se réunir en «session extraordinaire d’urgence » à la demande de la majorité de ses membres.
C’est de cette manière que la Communauté internationale, alors conduite par l’Union soviétique et les États-Unis,
a contraint la France, le Royaume-Uni et Israël à se retirer du Canal de Suez qu’ils avaient envahi, en 1956.
Une telle décision n’empêchera pas les États-Unis, l’Arabie saoudite et la Turquie de continuer à déverser armes et argent pour financer jihadistes et mercenaires,
mais aucun État ne pourra bombarder la Syrie.
Cette résolution aurait comme effet immédiat de précipiter la tenue de la Conférence de paix de Genève 2 car elle priverait les groupes armés de l’espoir de vaincre.
Le temps qui passe ne pourrait plus que profiter à la Syrie face à ses agresseurs.
D’ores et déjà, Cuba a évoqué cette option dans une déclaration de son ministre des Affaires étrangères, Bruno Rodriguez-Parrilla.
Il a souligné qu’il est du devoir moral du secrétaire général, Ban Ki-moon, de collecter lui-même les signatures nécessaires à la tenue de cette session extraordinaire d’urgence.
Ce serait une occasion pour lui de montrer à ceux qui le perçoivent comme un pion des États-Unis qu’ils se trompent.
Il serait moins hasardeux de faire confiance à l’ambassadeur Bashar Jaafari pour débloquer la situation.
[Ambassadeur Syrien à l’ONU]
La paix est à portée de main.
*
SOUPIRS ET GRINCEMENTS DE DENTS
LES PROBLÈMES DE PROGRAMMATION SE POURSUIVENT. LES INGÉNIEURS DE GOOGLES ONT EFFACÉS QUELQUES CODES HTML. LA COULEUR. LES HYPERLIENS AUTOMATIQUES. LE CHOIX DE CARACTÈRE. PRESQUE TOUS CEUX DE LA SECTION «RÉDIGER». AVEC LA BARRE DE DÉFILEMENT QUI NE FONCTIONNE PAS NON PLUS. SAUF DANS LA SECTION HTML.
6209. MÉLISA BÉGIN - LOSE YOUR MIND
DOUTEUR. PROFESSEUR BULLE. HENRY DICKSON
Chanson. Mélisa Bégin. Lose Your Mind
mardi 3 septembre 2013
6208
6207. YOUGOSLAVIE. AFGHANISTAN. IRAK. LIBYE. SYRIE. IRAN. GUERRE MONDIALE .Y-A-T-IL QUELQU'UN QUI POURRA ARRÊTER LA MUSIQUE DU BAL AVANT QU'IL NE COMMENCE ?
*
SYRIE : SI L’ERREUR EST HUMAINE, LA PERSÉVÉRENCE EST DIABOLIQUE
Dominique Jamet
Réseau Voltaire
http://www.voltairenet.org/article180039.html
Paris (France) | 2 septembre 2013
Pour l’essayiste Dominique Jamet, le projet d’intervention française en Syrie est grotesque :
il n’a pas de but réel et ouvre la voie aux jihadistes.
Que l’on aime ou pas le régime syrien, il n’y a aucune raison d’aller cautionner les criminels d’Al-Qaïda.
SANS MANDAT DE L’ONU,
cavalier SEUL AU SEIN DE L’UNION EUROPÉENNE,
sans l’aval du Parlement,
IGNORANT SUPERBEMENT L’AVIS CONTRAIRE DE LA MAJORITÉ DES FRANÇAIS (64 % AUX DERNIÈRES NOUVELLES),
François Hollande maintient donc sa décision de coller aux basques de l’Oncle Sam
en se lançant et en nous lançant aveuglément dans une opération absurde
QUE NOUS N’OSERIONS PAS MENER SANS LES ÉTATS-UNIS,
et que les États-Unis pourraient parfaitement mener sans nous.
Plaisant attelage que celui de l’éléphant et de la mouche du coche !
Nous allons faire de la figuration inintelligente et jouer les utilités dans un film dont le producteur, le réalisateur et le scénariste sont à Washington.
ET CELA POUR TENIR LES PROMESSES INCONSIDÉRÉES que le président et le ministre des Affaires étrangères français ont PRODIGUÉES AUX REPRÉSENTANTS D’UNE OPPOSITION DONT NUL NE SAIT EXACTEMENT CE QU’ELLE REPRÉSENTE,
ET PARCE QUE LE PRÉSIDENT AMÉRICAIN SE DOIT, SOUS PEINE DE PERDRE LA FACE, DE RESPECTER L’ENGAGEMENT SOLENNEL QU’IL A PRIS DE JOUER LES GENDARMES EN CAS DE FRANCHISSEMENT DE LA « LIGNE ROUGE » par le conducteur syrien.
De quoi s’agit-il exactement ?
En aucun cas de faire la guerre, paraît-il,
puisque RECONNAÎTRE, FINANCER, ENTRAÎNER, ÉQUIPER, ARMER L’UN DES DEUX BELLIGÉRANTS ET BOMBARDER SON ADVERSAIRE N’EST PAS PRENDRE PART À LA GUERRE. PAS DAVANTAGE DE RENVERSER LE RÉGIME QUE L’ON N’A CESSÉ D’AFFAIBLIR ET DONT ON SOUHAITE PUBLIQUEMENT LA CHUTE.
MAIS SEULEMENT, pour l’instant, D’INTIMIDER, D’HUMILIER, de coiffer d’un bonnet d’âne et de mettre au coin BACHAR EL-ASSAD.
Dernier avertissement avant l’exclusion temporaire qui précédera elle-même l’exclusion définitive. C’est trop ou trop peu.
C’EST SUFFISANT POUR NOUS ATTIRER LE RESSENTIMENT ET ÉVENTUELLEMENT LES REPRÉSAILLES D’UN DES DEUX CAMPS
SANS SATISFAIRE LES BESOINS ET LES REVENDICATIONS DE L’AUTRE.
C’est assez pour que l’Amérique et la France soient accusées une fois de plus de S’IMMISCER AVEC LEURS GROS SABOTS DANS LES AFFAIRES INTÉRIEURES D’UN PAYS SOUVERAIN, NAGUÈRE ENCORE COLONISÉ ;
ce n’est pas assez pour en finir avec le dictateur et le régime visés.
Ce n’est pas d’une ou de plusieurs frappes – dont les cibles ont, du reste, été dûment averties de ce qui les attend
– que jaillira une solution (même provisoire, même militaire)
À UN PROBLÈME NATIONAL, RELIGIEUX ET POLITIQUE.
Décontenancés par les réticences et les refus de leurs opinions publiques,
les deux cavaliers de l’Apocalypse,
L’UN PERCHÉ SUR UN PUR-SANG QU’IL NE MAÎTRISE PAS,
L’AUTRE JUCHÉ SUR UN ÂNE QUI REFUSE D’AVANCER,
s’efforcent in extremis de bricoler une coalition
qui, à défaut d’agir dans la légalité,
serait censée prouver que la Syrie fait contre elle l’union des démocraties occidentales et des pays musulmans.
Mais les buts des uns et des autres ne sont pas les mêmes.
Alors que Washington et Paris rêvent d’installer un gouvernement démocratique à Damas et de préserver l’existence d’une Syrie multiconfessionnelle, multiethnique et multiculturelle,
LA TURQUIE ET LA LIGUE ARABE VEULENT LA VICTOIRE ET L’HÉGÉMONIE DE LA COMPOSANTE SUNNITE DU PAYS,
et les djihadistes voient dans le conflit l’occasion rêvée de faire flotter sur un État du Proche-Orient les bannières noires du salafisme et d’Al-Qaïda.
SOUS PRÉTEXTE DE « PUNIR » UN ASSASSIN, NOUS CAUTIONNONS DES CRIMINELS.
Ni l’honneur de la France ni l’intérêt national ne sont en jeu entre Alep, Homs et Damas.
La Chambre des communes nous a fourni, l’autre jour, la plus claire et la plus justifiée des échappatoires en refusant à David Cameron la permission de s’aventurer sur un terrain où il n’avait rien à faire au mépris des conséquences terribles qui pourraient en résulter.
LE CHEF DE L’ÉTAT FRANÇAIS DAIGNE AUTORISER L’ASSEMBLÉE NATIONALE À DISCUTER du sujet du jour mercredi prochain, peut-être avant, peut-être après l’intervention franco-américano-turque.
MAIS CE SERA UN DÉBAT SANS VOTE.
C’EST DIRE LA CONSIDÉRATION, LA MARGE DE MANŒUVRE ET LE POUVOIR QUI, SOUS LA CINQUIÈME RÉPUBLIQUE, SONT LAISSÉS À LA REPRÉSENTATION NATIONALE.
6206. LES POUSSE-AU-CRIME SE METTENT À RÉFLÉFLIR AVANT D'AGIR. ILS DEVIENNENT PRUDENTS. PEUT-ÊTRE QU'IL N'Y AURA PAS DE GUERRE MONDIALE. BRÛLEZ UN LAMPION. ANNIVERSAIRE PROCHAIN. 9 SEPTEMBRE 1939. LE CANADA DÉCLARE LA GUERRE À L'ALLEMAGNE.
LE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE L'ONU RAPPELLE LES CONDITIONS DE LA LÉGALITÉ D'UNE INTERVENTION UNE INTERVENTION MILITAIRE DANS UN PAYS TIERS NE PEUT ÊTRE LÉGALE QU'AVEC L'AUTORISATION DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DES NATIONS UNIES,
SAUF EN CAS DE LÉGITIME DÉFENSE,
A DÉCLARÉ MARDI LE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE L'ONU, BAN KI-MOON,
QUI SEMBLE AINSI METTRE EN DOUTE PAR AVANCE LA LÉGALITÉ D'ÉVENTUELLES FRAPPES AMÉRICAINES EN SYRIE.
3 septembre 2013 à 15 h 42 HAE
Reuters
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2013/09/03/008-onu-secretaire-general-legalite-intervention-pays-tiers.shtml
http://www.cbc.ca/news/world/story/2013/09/03/syria-ballistic-launch-mediterranean.html
Les États-Unis envisagent de frapper la Syrie, car ils accusent le régime de Bachar Al-Assad d'un bombardement meurtrier à l'arme chimique le 21 août en périphérie de Damas.
« L'usage de la force est légal uniquement en cas de légitime défense, conformément à l'article 51 de la charte des Nations unies et/ou lorsque le Conseil de sécurité approuve une telle action»,
a dit Ban Ki-moon devant la presse.
« C'est un principe ferme des Nations unies »,
a ajouté le secrétaire général de l'ONU.
Le président américain Barack Obama a déclaré samedi qu'il n'était
« pas inquiet à l'idée d'agir sans l'approbation du Conseil de sécurité des Nations unies qui a été jusqu'à présent totalement paralysé et impuissant à tenir Assad responsable de ses actes ».
La Russie, appuyée par la Chine, a bloqué à 3 reprises au Conseil de sécurité des projets de résolution condamnant le régime syrien et le menaçant de sanctions.
« Je prends note de l'argument pour une action visant à prévenir l'usage d'armes chimiques »,
a-t-il dit.
« En même temps, nous devons envisager l'impact d'une MESURE PUNITIVE s
ur les efforts visant à prévenir un nouveau bain de sang et à faciliter une résolution politique du conflit. »
« Le chaos en Syrie et dans la région ne sert à personne »,
a-t-il poursuivi.
« J'appelle à de nouveaux efforts de la part des acteurs régionaux et internationaux pour réunir la conférence de Genève dès que possible ».
SORTIR DE L'IMPASSE
Les États-Unis et la Russie avaient annoncé en mai leur intention d'organiser une conférence sur la paix en Syrie afin de relancer le plan mis au point en juin 2012 et resté pour lettre morte. M
ais ni le gouvernement syrien, ni les rebelles n'ont voulu négocier et le projet d'une nouvelle conférence est apparu mort-né.
« Le Conseil de sécurité a le devoir d'aller au-delà de l'actuelle impasse et montrer son autorité»,
a dit M. Ban.
« Il s'agit d'une question plus large que le conflit en Syrie.
Il s'agit de notre responsabilité à l'égard de l'humanité ».
Pour Ban Ki-moon, SI les inspecteurs de l'ONU qui se sont rendus en Syrie confirment l'utilisation d'armes chimiques dans le conflit,
le Conseil de sécurité de l'ONU devrait surmonter ses divisions et agir.
« Si elle était confirmée,
toute utilisation d'armes chimiques par quelque partie
et quelles que soient les circonstances
constituera une grave violation du droit international
et un crime de guerre atroce »,
a-t-il dit.
« Quel que soit l'auteur, il doit être traduit en justice.
[Et le fournisseur ? Les USA ou l'Arabie Saoudite ou Israë?]
Il ne saurait y avoir aucune impunité »,
a ajouté le secrétaire général de l'ONU.
Ban Ki-moon a aussi exprimé ses doutes sur l'efficacité d'une éventuelle intervention militaire en Syrie.
« Je prends note de l'argument selon lequel une action empêcherait l'utilisation d'armes chimiques à l'avenir »,
a-t-il dit.
« Dans le même temps, nous devons réfléchir aux conséquences de toute mesure punitive sur les efforts destinés à empêcher la poursuite du bain de sang et à faciliter une résolution politique du conflit. »
[Il ne peut y avoir de solution politique au conflit. Il reste la solution militaire traditionnelle. Le plus fort vaincra. Et fera ce qu’il voudra du plus faible. Le perdant. Et tout le monde dira qu’il aura eu raison.]
(…)
*
COMMENTAIRES DU PEUPLE
1
Comprenez vous aujourd`hui pourquoi je ne cesse de qualifier les États-Unis comme L`EMPIRE CRIMINEL,
il se fiche du droit international
et agissent en hors la loi
et sème la pagaille partout dans le monde,
leur dictat est oppressant et méprisant et va conduire l`humanité à sa destruction,
car s`ils attaquent sans l`aval du conseil de sécurité, comme a dit Sergei Lavrov, le droit international sera une fois de plus bafoué
et débutera la loi de la jungle
et à ce jeu là la Russie avec la Chine et l`Iran peuvent attaquer d`autres pays aussi.
Mario Major de LAVAL. 3 septembre 2013 à 16 h 31 HAE
2
Très bientôt, on va nous vendre l'idée que les Nations Unies, ça ne fonctionne plus,
qu'il nous faut autre chose,
genre un véritable gouvernement mondial
avec son armée
et plus de pays souverains avec chacun sa propre armée.
Ça fait très "1984", je sais,
mais arrêtons de nous cacher la tête dans le sable. C'est ça qui s'envient.
Martin de Lafontaine de Lévis. 3 septembre 2013 à 16 h 25 HAE
3
[On est chanceux, on a déjà un gouvernement mondial qui n’attend que l’occasion favorable pour «mondialiser» «globaliser» encore davantage: les USA. Et un gouverneur mondial – non élu démocratiquement par les 7 milliards d’habitants de la Terre- Prix Nobel de la Paix !!!!! - et qui, tous les mardis, consulte sa liste de personnes à assassiner par drones interposés. Le président des USA. HIHA!]
4
(…) Obama est aussi pourri que les 2 Bush
Louis Forest de Marbleton. 3 septembre 2013 à 16 h 08 HAE
5
Autrement dit Ban Ki-Moon rappelle aux Américains qu'ils doivent attendre le résultat de l'enquête des inspecteurs de l'ONU
et que TOUTE FRAPPE SANS L'AVAL DU CONSEIL DE SÉCURITÉ EST ILLÉGALE. Les Américains l'ont déjà fait en Irak et rien ne les empêche de récidiver, sauf qu'
ils perdront le peu de crédibilité qui leur reste dans le monde
et qu'ils enverront le message qu'ILS SONT AVEC LEUR COPAIN ISRAËL DES NATIONS BELLIQUEUSES QUI SE CROIENT AU-DESSUS DES LOIS.
jean-claude vincent de laval. 3 septembre 2013 à 16 h 03 HAE
6
(…) Les USA sont partis sur le mauvais pied avec cette histoire du 21 août, et depuis chaque pas qui ont suivis les a enfoncés de plus en plus profondément dans le discrédit.
PEUT ÊTRE DEVRONT ILS BIENTÔT FAIRE DES EFFORTS POUR CONVAINCRE QU'ILS NE SONT PAS COMPLICES DE CE MASSACRE ?
Pierre Tremblay de Montréal. 3 septembre 2013 à 16 h 01 HAE
7
(...) le "droit" international est essentiellement décoratif,
et en pratique la seule loi qui s'applique sur la scène internationale est celle du plus fort.
Si les États-Unis veulent attaquer en Syrie, personne n'osera les en empêcher,
ni ne pourrait de toute façon...
Mathieu Bernier de Gaspé. 3 septembre 2013 à 15 h 58 HAE
8
Ah oui !
ET AVEC CETTE NOUVELLE LOI DE LA JUNGLE QUI POURRAIT EMPÊCHER LA RUSSIE D`ENVOYER UNE BOMBE ATOMIQUE SUR NEW-YORK ?
Mario Major de LAVAL. 3 septembre 2013 à 16 h 22 HAE
*
SYRIA ATTACK ILLEGAL WITHOUT SECURITY COUNCIL APPROVAL,
UN WARNS ISRAELI MISSILE TEST RAISES TENSION AMID SYRIA CRISIS
Sep 3, 2013
http://www.cbc.ca/news/world/story/2013/09/03/syria-ballistic-launch-mediterranean.html
UN Secretary General Ban Ki-moon has warned
that any military strikes against Syria for an alleged chemical weapons attack last week are legal only
in self-defence
under the UN charter
or if approved by the UN Security Council.
Ban also cautioned nations such as the United States and France that may be considering such strikes that any "punitive" action taken against Syria could unleash more turmoil and bloodshed.
U.S. President Barack Obama has been seeking to rally political support for a strike against Syria.
But Ban also said that if UN inspectors confirm the use of chemical weapons in Syria, the Security Council, which has long been deadlocked on the 2½-year Syrian civil war, should overcome its differences and take action.
"If confirmed,
any use of chemical weapons
by anyone
under any circumstances
will be a serious violation of international law and outrageous war crime,"
he told reporters Tuesday.
"Any perpetrators must be brought to justice.
There should be no impunity."
TENSIONS IN THE REGION WERE ON THE RISE TUESDAY AFTER ISRAEL TESTED A U.S.-BACKED MISSILE SYSTEM IN THE MEDITERRANEAN.
THE MORNING LAUNCH WAS FIRST REPORTED BY MOSCOW MEDIA THAT QUOTED RUSSIAN DEFENCE OFFICIALS AS SAYING TWO BALLISTIC "OBJECTS" HAD BEEN FIRED EASTWARD FROM THE CENTRE OF THE SEA — ROUGHLY IN THE DIRECTION OF SYRIA.
The news ruffled financial markets
until Israel's Defence Ministry said
that it, along with a Pentagon team,
had carried out a test launch of a Sparrow missile.
The Sparrow, which simulates the long-range missiles of Syria and Iran,
is used for target practice by Israel's U.S.-backed ballistic shield Arrow.
"Israel routinely fires missiles or drones off its shores to test its own ballistic defence capabilities,"
[?]
a U.S. official said in Washington.
WESTERN NAVAL FORCES HAVE BEEN GATHERING IN THE MEDITERRANEAN AND THE RED SEA
since President Bashar al-Assad was accused of carrying out an Aug. 21 gas attack in his more than two-year-old conflict with rebels trying to topple him.
Damascus denies responsibility for the incident.
Obama was expected to order REPRISAL strikes
on Syria last week,
but put them off to seek support from Washington lawmakers first.
Obama said Tuesday he's confident Congress will authorize a strike,
and he won the support of House Speaker John Boehner, Congress's top Republican, who said
ACTING AGAINST SYRIA WAS SOMETHING "THE UNITED STATES AS A COUNTRY NEEDS TO DO."
(…)
With U.S. action on Syria delayed,
ISRAELI PRIME MINISTER BENJAMIN NETANYAHU HAS SOUGHT TO PLAY UP THE JEWISH STATE'S ABILITY TO DEAL WITH ITS FOES ALONE.
On Tuesday, the rightist leader spoke of anti-missile systems as a national "wall of iron."
"These things give us the power to protect ourselves,
and anyone who considers harming us would do best not to,"
he said in a speech.
Israeli Defence Minister Moshe Yaalon shrugged off a question from reporters on whether the launch might have been ill-timed.
He said Israel had to work to maintain its military edge and "this necessitates field trials and, accordingly, a successful trial was conducted to test our systems.
And we will continue to develop and to research and to equip the IDF [Israel Defence Forces] with the best systems in the world."
Tensions are high among Israelis despite calls for calm from the government,
according to freelance reporter Irris Makler.
The country's military has noted t
here is a chance Syria, if attacked by the U.S., might then retaliate against Israel.
"People in the street are nervous.
They're lining up to get gas masks,
which are government-issued.
They're FIGHTING each other in the queues,"
Makler told CBC News.
Arrow designer Uzi Rabin said tests of the anti-missile system are planned "long, long in advance" and generally go unnoticed.
"What apparently made the difference today is the high state of tension over Syria
and Russia's UNUSUAL VIGILANCE,"
he told Reuters.
A Russian Defence Ministry spokesman
quoted by the Interfax news agency said
the launch was picked up by an early warning radar station at Armavir, near the Black Sea, which is designed to detect missiles from Europe and Iran.
RIA, another Russian news agency, later quoted a source in Syria's "state structures"
as saying the objects had fallen harmlessly into the sea.
The Russian Defence Ministry declined comment to Reuters.
MOSCOW IS ASSAD'S BIG-POWER ALLY AND HAS MOBILIZED ITS OWN NAVY IN THE FACE OF U.S. MILITARY preparations
to PUNISH the Syrian government for its alleged killing of more than 1,400 people in the chemical strike in an embattled Damascus suburb.
OUTSIDE INTERVENTION
RUSSIA OPPOSES
any outside military intervention in Syria's civil war
and says it suspects the GASSINGS WERE STAGED BY REBELS SEEKING FOREIGN INVOLVEMENT IN THE CONFLICT.
RUSSIAN DEFENCE MINISTER SERGEI SHOIGU
INFORMED PRESIDENT VLADIMIR PUTIN
OF THE LAUNCH
but it was not immediately clear how he reacted.
Brent crude oil extended gains to rise by more than $1 per barrel and Dubai's share index fell
AFTER RUSSIA SAID IT DETECTED THE LAUNCHES.
Five U.S. destroyers and an amphibious ship are in the Mediterranean,
poised for possible strikes against Syria with cruise missiles
— which are not ballistic.
[?]
U.S. officials said the aircraft carrier USS Nimitz and four other ships in its strike group moved into the Red Sea on Monday.
"The pressure being applied by the United States causes particular concern,"
Itar-Tass quoted Russian Defence Ministry official Oleg Dogayev as saying.
He said "
the dispatch of ships armed with cruise missiles toward Syria's shores has a negative effect on the situation in the region."
The United States sees its underwriting of the Arrow as a means of reassuring Israel and,
by extension, of REDUCING THE CHANCE THAT ITS ALLY MIGHT LAUNCH UNILATERAL ATTACKS ON SYRIA OR IRAN t
hat could destabilize the wider region.
Netanyahu has reluctantly supported U.S.-led diplomatic efforts to curb Iran's nuclear program.
He has been circumspect about the Western showdown with Syria,
worrying that should Assad fall to Islamist-led rebels,
they could prove more hostile to the Jewish state.
OBAMA SEEKS SUPPORT
With war-weary Americans skeptical of sparking another long-winded intervention,
Obama tried to assure the public INVOLVEMENT IN SYRIA
WILL BE A "LIMITED, PROPORTIONAL STEP."
"This is not Iraq, and this is not Afghanistan,"
Obama said.
Boehner's support is key; however, Republicans in Congress do not speak with one voice. Some Tea Party-backed Republicans are among those who have expressed skepticism.
AFTER A DECADE OF WAR IN IRAQ AND AFGHANISTAN,
polls show most Americans opposed to any new military action overseas.
That reluctance is being reflected by senators and representatives, some of whom say Obama still hasn't presented bulletproof evidence that Assad's forces were responsible for the Aug. 21 attack.
Others say the president hasn't explained
why intervening is in America's interest.
Obama won conditional support Monday from two of his fiercest foreign policy critics, Republican senators John McCain of Arizona and Lindsey Graham of South Carolina. A congressional vote against Obama's request "would be catastrophic in its consequences" for U.S. credibility abroad,
McCain told reporters outside the White House following an hour-long private meeting with the president.
But despite Obama's effort to assuage the two senators' concerns, neither appeared completely convinced afterward.
THEY SAID THEY'D BE MORE INCLINED TO BACK OBAMA IF THE U.S. SOUGHT TO DESTROY THE ASSAD GOVERNMENT'S LAUNCHING CAPABILITIES AND COMMITTED TO PROVIDING MORE SUPPORT TO REBELS SEEKING TO OUST ASSAD FROM POWER.
"There will never be a political settlement in Syria as long as Assad is winning,"
Graham said.
McCain said Tuesday he is prepared to vote for the authorization that Obama seeks, but the Arizona Republican also said he wouldn't back a resolution that fails to change the battlefield equation, where Assad still has the upper hand.
*
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Senate See the limited options the U.S. has for a strike
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Read whether an attack on Syria is legal Syria and poison gas:
Will we ever confirm what happened?
Chemical weapons: what you need to know. How use of sarin, nerve agents, mustard gas in war came to be recognized as a 'moral obscenity'
CBC News: Aug. 27, 2013.
http://www.cbc.ca/news/interactives/chemical-weapons/
SAUF EN CAS DE LÉGITIME DÉFENSE,
A DÉCLARÉ MARDI LE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE L'ONU, BAN KI-MOON,
QUI SEMBLE AINSI METTRE EN DOUTE PAR AVANCE LA LÉGALITÉ D'ÉVENTUELLES FRAPPES AMÉRICAINES EN SYRIE.
3 septembre 2013 à 15 h 42 HAE
Reuters
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2013/09/03/008-onu-secretaire-general-legalite-intervention-pays-tiers.shtml
http://www.cbc.ca/news/world/story/2013/09/03/syria-ballistic-launch-mediterranean.html
Les États-Unis envisagent de frapper la Syrie, car ils accusent le régime de Bachar Al-Assad d'un bombardement meurtrier à l'arme chimique le 21 août en périphérie de Damas.
« L'usage de la force est légal uniquement en cas de légitime défense, conformément à l'article 51 de la charte des Nations unies et/ou lorsque le Conseil de sécurité approuve une telle action»,
a dit Ban Ki-moon devant la presse.
« C'est un principe ferme des Nations unies »,
a ajouté le secrétaire général de l'ONU.
Le président américain Barack Obama a déclaré samedi qu'il n'était
« pas inquiet à l'idée d'agir sans l'approbation du Conseil de sécurité des Nations unies qui a été jusqu'à présent totalement paralysé et impuissant à tenir Assad responsable de ses actes ».
La Russie, appuyée par la Chine, a bloqué à 3 reprises au Conseil de sécurité des projets de résolution condamnant le régime syrien et le menaçant de sanctions.
« Je prends note de l'argument pour une action visant à prévenir l'usage d'armes chimiques »,
a-t-il dit.
« En même temps, nous devons envisager l'impact d'une MESURE PUNITIVE s
ur les efforts visant à prévenir un nouveau bain de sang et à faciliter une résolution politique du conflit. »
« Le chaos en Syrie et dans la région ne sert à personne »,
a-t-il poursuivi.
« J'appelle à de nouveaux efforts de la part des acteurs régionaux et internationaux pour réunir la conférence de Genève dès que possible ».
SORTIR DE L'IMPASSE
Les États-Unis et la Russie avaient annoncé en mai leur intention d'organiser une conférence sur la paix en Syrie afin de relancer le plan mis au point en juin 2012 et resté pour lettre morte. M
ais ni le gouvernement syrien, ni les rebelles n'ont voulu négocier et le projet d'une nouvelle conférence est apparu mort-né.
« Le Conseil de sécurité a le devoir d'aller au-delà de l'actuelle impasse et montrer son autorité»,
a dit M. Ban.
« Il s'agit d'une question plus large que le conflit en Syrie.
Il s'agit de notre responsabilité à l'égard de l'humanité ».
Pour Ban Ki-moon, SI les inspecteurs de l'ONU qui se sont rendus en Syrie confirment l'utilisation d'armes chimiques dans le conflit,
le Conseil de sécurité de l'ONU devrait surmonter ses divisions et agir.
« Si elle était confirmée,
toute utilisation d'armes chimiques par quelque partie
et quelles que soient les circonstances
constituera une grave violation du droit international
et un crime de guerre atroce »,
a-t-il dit.
« Quel que soit l'auteur, il doit être traduit en justice.
[Et le fournisseur ? Les USA ou l'Arabie Saoudite ou Israë?]
Il ne saurait y avoir aucune impunité »,
a ajouté le secrétaire général de l'ONU.
Ban Ki-moon a aussi exprimé ses doutes sur l'efficacité d'une éventuelle intervention militaire en Syrie.
« Je prends note de l'argument selon lequel une action empêcherait l'utilisation d'armes chimiques à l'avenir »,
a-t-il dit.
« Dans le même temps, nous devons réfléchir aux conséquences de toute mesure punitive sur les efforts destinés à empêcher la poursuite du bain de sang et à faciliter une résolution politique du conflit. »
[Il ne peut y avoir de solution politique au conflit. Il reste la solution militaire traditionnelle. Le plus fort vaincra. Et fera ce qu’il voudra du plus faible. Le perdant. Et tout le monde dira qu’il aura eu raison.]
(…)
*
COMMENTAIRES DU PEUPLE
1
Comprenez vous aujourd`hui pourquoi je ne cesse de qualifier les États-Unis comme L`EMPIRE CRIMINEL,
il se fiche du droit international
et agissent en hors la loi
et sème la pagaille partout dans le monde,
leur dictat est oppressant et méprisant et va conduire l`humanité à sa destruction,
car s`ils attaquent sans l`aval du conseil de sécurité, comme a dit Sergei Lavrov, le droit international sera une fois de plus bafoué
et débutera la loi de la jungle
et à ce jeu là la Russie avec la Chine et l`Iran peuvent attaquer d`autres pays aussi.
Mario Major de LAVAL. 3 septembre 2013 à 16 h 31 HAE
2
Très bientôt, on va nous vendre l'idée que les Nations Unies, ça ne fonctionne plus,
qu'il nous faut autre chose,
genre un véritable gouvernement mondial
avec son armée
et plus de pays souverains avec chacun sa propre armée.
Ça fait très "1984", je sais,
mais arrêtons de nous cacher la tête dans le sable. C'est ça qui s'envient.
Martin de Lafontaine de Lévis. 3 septembre 2013 à 16 h 25 HAE
3
[On est chanceux, on a déjà un gouvernement mondial qui n’attend que l’occasion favorable pour «mondialiser» «globaliser» encore davantage: les USA. Et un gouverneur mondial – non élu démocratiquement par les 7 milliards d’habitants de la Terre- Prix Nobel de la Paix !!!!! - et qui, tous les mardis, consulte sa liste de personnes à assassiner par drones interposés. Le président des USA. HIHA!]
4
(…) Obama est aussi pourri que les 2 Bush
Louis Forest de Marbleton. 3 septembre 2013 à 16 h 08 HAE
5
Autrement dit Ban Ki-Moon rappelle aux Américains qu'ils doivent attendre le résultat de l'enquête des inspecteurs de l'ONU
et que TOUTE FRAPPE SANS L'AVAL DU CONSEIL DE SÉCURITÉ EST ILLÉGALE. Les Américains l'ont déjà fait en Irak et rien ne les empêche de récidiver, sauf qu'
ils perdront le peu de crédibilité qui leur reste dans le monde
et qu'ils enverront le message qu'ILS SONT AVEC LEUR COPAIN ISRAËL DES NATIONS BELLIQUEUSES QUI SE CROIENT AU-DESSUS DES LOIS.
jean-claude vincent de laval. 3 septembre 2013 à 16 h 03 HAE
6
(…) Les USA sont partis sur le mauvais pied avec cette histoire du 21 août, et depuis chaque pas qui ont suivis les a enfoncés de plus en plus profondément dans le discrédit.
PEUT ÊTRE DEVRONT ILS BIENTÔT FAIRE DES EFFORTS POUR CONVAINCRE QU'ILS NE SONT PAS COMPLICES DE CE MASSACRE ?
Pierre Tremblay de Montréal. 3 septembre 2013 à 16 h 01 HAE
7
(...) le "droit" international est essentiellement décoratif,
et en pratique la seule loi qui s'applique sur la scène internationale est celle du plus fort.
Si les États-Unis veulent attaquer en Syrie, personne n'osera les en empêcher,
ni ne pourrait de toute façon...
Mathieu Bernier de Gaspé. 3 septembre 2013 à 15 h 58 HAE
8
Ah oui !
ET AVEC CETTE NOUVELLE LOI DE LA JUNGLE QUI POURRAIT EMPÊCHER LA RUSSIE D`ENVOYER UNE BOMBE ATOMIQUE SUR NEW-YORK ?
Mario Major de LAVAL. 3 septembre 2013 à 16 h 22 HAE
*
SYRIA ATTACK ILLEGAL WITHOUT SECURITY COUNCIL APPROVAL,
UN WARNS ISRAELI MISSILE TEST RAISES TENSION AMID SYRIA CRISIS
Sep 3, 2013
http://www.cbc.ca/news/world/story/2013/09/03/syria-ballistic-launch-mediterranean.html
UN Secretary General Ban Ki-moon has warned
that any military strikes against Syria for an alleged chemical weapons attack last week are legal only
in self-defence
under the UN charter
or if approved by the UN Security Council.
Ban also cautioned nations such as the United States and France that may be considering such strikes that any "punitive" action taken against Syria could unleash more turmoil and bloodshed.
U.S. President Barack Obama has been seeking to rally political support for a strike against Syria.
But Ban also said that if UN inspectors confirm the use of chemical weapons in Syria, the Security Council, which has long been deadlocked on the 2½-year Syrian civil war, should overcome its differences and take action.
"If confirmed,
any use of chemical weapons
by anyone
under any circumstances
will be a serious violation of international law and outrageous war crime,"
he told reporters Tuesday.
"Any perpetrators must be brought to justice.
There should be no impunity."
TENSIONS IN THE REGION WERE ON THE RISE TUESDAY AFTER ISRAEL TESTED A U.S.-BACKED MISSILE SYSTEM IN THE MEDITERRANEAN.
THE MORNING LAUNCH WAS FIRST REPORTED BY MOSCOW MEDIA THAT QUOTED RUSSIAN DEFENCE OFFICIALS AS SAYING TWO BALLISTIC "OBJECTS" HAD BEEN FIRED EASTWARD FROM THE CENTRE OF THE SEA — ROUGHLY IN THE DIRECTION OF SYRIA.
The news ruffled financial markets
until Israel's Defence Ministry said
that it, along with a Pentagon team,
had carried out a test launch of a Sparrow missile.
The Sparrow, which simulates the long-range missiles of Syria and Iran,
is used for target practice by Israel's U.S.-backed ballistic shield Arrow.
"Israel routinely fires missiles or drones off its shores to test its own ballistic defence capabilities,"
[?]
a U.S. official said in Washington.
WESTERN NAVAL FORCES HAVE BEEN GATHERING IN THE MEDITERRANEAN AND THE RED SEA
since President Bashar al-Assad was accused of carrying out an Aug. 21 gas attack in his more than two-year-old conflict with rebels trying to topple him.
Damascus denies responsibility for the incident.
Obama was expected to order REPRISAL strikes
on Syria last week,
but put them off to seek support from Washington lawmakers first.
Obama said Tuesday he's confident Congress will authorize a strike,
and he won the support of House Speaker John Boehner, Congress's top Republican, who said
ACTING AGAINST SYRIA WAS SOMETHING "THE UNITED STATES AS A COUNTRY NEEDS TO DO."
(…)
With U.S. action on Syria delayed,
ISRAELI PRIME MINISTER BENJAMIN NETANYAHU HAS SOUGHT TO PLAY UP THE JEWISH STATE'S ABILITY TO DEAL WITH ITS FOES ALONE.
On Tuesday, the rightist leader spoke of anti-missile systems as a national "wall of iron."
"These things give us the power to protect ourselves,
and anyone who considers harming us would do best not to,"
he said in a speech.
Israeli Defence Minister Moshe Yaalon shrugged off a question from reporters on whether the launch might have been ill-timed.
He said Israel had to work to maintain its military edge and "this necessitates field trials and, accordingly, a successful trial was conducted to test our systems.
And we will continue to develop and to research and to equip the IDF [Israel Defence Forces] with the best systems in the world."
Tensions are high among Israelis despite calls for calm from the government,
according to freelance reporter Irris Makler.
The country's military has noted t
here is a chance Syria, if attacked by the U.S., might then retaliate against Israel.
"People in the street are nervous.
They're lining up to get gas masks,
which are government-issued.
They're FIGHTING each other in the queues,"
Makler told CBC News.
Arrow designer Uzi Rabin said tests of the anti-missile system are planned "long, long in advance" and generally go unnoticed.
"What apparently made the difference today is the high state of tension over Syria
and Russia's UNUSUAL VIGILANCE,"
he told Reuters.
A Russian Defence Ministry spokesman
quoted by the Interfax news agency said
the launch was picked up by an early warning radar station at Armavir, near the Black Sea, which is designed to detect missiles from Europe and Iran.
RIA, another Russian news agency, later quoted a source in Syria's "state structures"
as saying the objects had fallen harmlessly into the sea.
The Russian Defence Ministry declined comment to Reuters.
MOSCOW IS ASSAD'S BIG-POWER ALLY AND HAS MOBILIZED ITS OWN NAVY IN THE FACE OF U.S. MILITARY preparations
to PUNISH the Syrian government for its alleged killing of more than 1,400 people in the chemical strike in an embattled Damascus suburb.
OUTSIDE INTERVENTION
RUSSIA OPPOSES
any outside military intervention in Syria's civil war
and says it suspects the GASSINGS WERE STAGED BY REBELS SEEKING FOREIGN INVOLVEMENT IN THE CONFLICT.
RUSSIAN DEFENCE MINISTER SERGEI SHOIGU
INFORMED PRESIDENT VLADIMIR PUTIN
OF THE LAUNCH
but it was not immediately clear how he reacted.
Brent crude oil extended gains to rise by more than $1 per barrel and Dubai's share index fell
AFTER RUSSIA SAID IT DETECTED THE LAUNCHES.
Five U.S. destroyers and an amphibious ship are in the Mediterranean,
poised for possible strikes against Syria with cruise missiles
— which are not ballistic.
[?]
U.S. officials said the aircraft carrier USS Nimitz and four other ships in its strike group moved into the Red Sea on Monday.
"The pressure being applied by the United States causes particular concern,"
Itar-Tass quoted Russian Defence Ministry official Oleg Dogayev as saying.
He said "
the dispatch of ships armed with cruise missiles toward Syria's shores has a negative effect on the situation in the region."
The United States sees its underwriting of the Arrow as a means of reassuring Israel and,
by extension, of REDUCING THE CHANCE THAT ITS ALLY MIGHT LAUNCH UNILATERAL ATTACKS ON SYRIA OR IRAN t
hat could destabilize the wider region.
Netanyahu has reluctantly supported U.S.-led diplomatic efforts to curb Iran's nuclear program.
He has been circumspect about the Western showdown with Syria,
worrying that should Assad fall to Islamist-led rebels,
they could prove more hostile to the Jewish state.
OBAMA SEEKS SUPPORT
With war-weary Americans skeptical of sparking another long-winded intervention,
Obama tried to assure the public INVOLVEMENT IN SYRIA
WILL BE A "LIMITED, PROPORTIONAL STEP."
"This is not Iraq, and this is not Afghanistan,"
Obama said.
Boehner's support is key; however, Republicans in Congress do not speak with one voice. Some Tea Party-backed Republicans are among those who have expressed skepticism.
AFTER A DECADE OF WAR IN IRAQ AND AFGHANISTAN,
polls show most Americans opposed to any new military action overseas.
That reluctance is being reflected by senators and representatives, some of whom say Obama still hasn't presented bulletproof evidence that Assad's forces were responsible for the Aug. 21 attack.
Others say the president hasn't explained
why intervening is in America's interest.
Obama won conditional support Monday from two of his fiercest foreign policy critics, Republican senators John McCain of Arizona and Lindsey Graham of South Carolina. A congressional vote against Obama's request "would be catastrophic in its consequences" for U.S. credibility abroad,
McCain told reporters outside the White House following an hour-long private meeting with the president.
But despite Obama's effort to assuage the two senators' concerns, neither appeared completely convinced afterward.
THEY SAID THEY'D BE MORE INCLINED TO BACK OBAMA IF THE U.S. SOUGHT TO DESTROY THE ASSAD GOVERNMENT'S LAUNCHING CAPABILITIES AND COMMITTED TO PROVIDING MORE SUPPORT TO REBELS SEEKING TO OUST ASSAD FROM POWER.
"There will never be a political settlement in Syria as long as Assad is winning,"
Graham said.
McCain said Tuesday he is prepared to vote for the authorization that Obama seeks, but the Arizona Republican also said he wouldn't back a resolution that fails to change the battlefield equation, where Assad still has the upper hand.
*
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Chemical weapons: what you need to know. How use of sarin, nerve agents, mustard gas in war came to be recognized as a 'moral obscenity'
CBC News: Aug. 27, 2013.
http://www.cbc.ca/news/interactives/chemical-weapons/
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