DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

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DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

mardi 11 février 2014

6307. ET TOUT EN PARLANT DE DIEUDONNÉ, ON PARLE DE VOLTAIRE.

*

Petit débat instantané

DIEUDONNÉ

VOLTAIRE

JEAN BRICMONT

«Si vous vous demandez qui a le pouvoir, demandez-vous de qui vous ne pouvez pas parler.»

Voltaire. Cité par Jean Bricmont

10 janv. 2014

QUAND JEAN BRICMONT PARLE DE DIEUDONNÉ SANS SE FAIRE COUPER


[Très intéressant!]

*

[N’ayant pas tout lu de Voltaire, j’ai fait une petite recherche sur Internet pour trouver la source de la citation et sa formulation exacte. Je n’étais pas le seul.]

Sur :


Première ressource francophone sur les canulards du Web

[Dit-on sur ce site. Très bien! Mais on pourrait faire oeuvre utile et missionnaire en élargissant cette mission digne d'éloge vers les médias traditionnels qui ne sont pas sans reproche. Euphémisme. Litote. Et cette recherche de la vérité pourrait s'étendre.  Pourquoi pas au monde politique, commercial, financier, militaire ? Et religieux. ]

[Là, on s’interroge aussi. On donne ce lien :]


 « Pour savoir qui vous dirige vraiment il suffit de regarder ceux que vous ne pouvez pas critiquer. »

Voltaire

[Et ensuite celui-ci :]

A controversial writer named Kevin Alfred Strom said something very similar in 1993:

*

[On va aller voir]

Kevin Alfred Strom


I’M OFTEN MISQUOTED: Two quotes of mine are often given incorrectly, the first because of imprecise remembrance of a memorable idea, and the second because of a purposely or inadvertently sloppy journalist reporting on my historic trial.

The first is my maxim on the rulers of society, which exists online and in print in a dozen different variations, some of them probably more elegant than my original.

What I said was:

“To determine the true rulers of any society, all you must do is ask yourself this question: Who is it that I am not permitted to criticize.»

*

[Et le débat se poursuit :]

*

Ludwig Briand. 19/01/2014 (Répondre à #5)


Le 10 Janvier 2014, dans l’émission "Ce soir ou jamais" présentée par Frédéric Taddeï sur France 2 s’est tenu un débat sur l’humoriste controversé Dieudonné.

Dans le dernier tiers de l’émission il y a eu un échange au sujet de la phrase (…) de Voltaire

(…)

[LB a transcrit cet extrait de l'émission]
[
"Ambiance :

Jean Bricmont : Il y a une phrase de Voltaire que de plus en plus de gens répètent et si j’étais vous, je ferais attention à ça, ils disent :

« si vous voulez savoir qui a réellement le pouvoir, demandez vous de qui on ne peut pas parler»

( silence) … sans commentaire !

Brouhaha général

Jean-François Kahn : Cela dit ça, c’est une phrase antisémite !

Rihan-Cypel : Oui !

Jean Bricmont : Pourquoi elle est antisémite ?

Jean-François Kahn : Bah vous savez pourquoi… (rire de fond) … alors là faut pas quand même faire un dessin …ha ha ha.

Jean Bricmont : Mais je dis simplement qu’elle n’était pas antisémite chez Voltaire. »

(Fin de l’extrait.)

(Ensuite, LB poursuit son commentaire.)

A la lumière de ce qui est écrit, on comprend mieux et réellement ce qui se cache derrière cette citation.

Comme les mafieux lavent leur argent sale pour s'offrir une belle image en société, les antisémites et autres racistes utilisent le même procédé pour leurs citations nauséabondes en les lavant de leurs origines trop révélatrices de leur réel contenu, et leur apportant le cautionnement d'un grand philosophe.

Que peut-on faire pour laver à son tour la mémoire de Voltaire de ces fausses citations mal intentionnellement attribuées?

Cordialement,

Ludwig BRIAND

*

[Mon commentaire : 

Que cette phrase soit de Voltaire – pourquoi ne le serait-elle pas ? 

Monsieur Bricmont a peut-être une bonne mémoire. Il faudrait, si on veut une plus grande précision, demander à un spécialiste de Voltaire. Qui a tout lu et se souvient de tout.

Ou que cette phrase ne soit pas de Voltaire.

Ou qu’on ne la trouve pas sur Internet. 

Ou qu’on n’y trouve que des variantes supposées être de V 

Ne prouve rien. 

Un jour, tous les livres seront sur Internet puisqu’ils sont le produit de l’humanité et doivent être mis à sa disposition. Aujourd’hui, on n’a que ce qu’on veut y mettre. Et ce qui n'y est pas n'est pas une preuve d'inexistence.

Que cette citation vienne de monsieur Kevin Alfred Strom ne change rien non plus. Il a pu la lire dans un texte de V et oublier sa provenance. La faire sienne comme font bien des auteurs. Quelle importance.

Ou l'inventer pour signaler et décrire un problème ou une situation. 

Différents philosophes ont pu la reformuler au cours des âges pour signaler un phénomène. Dont monsieur V. Et monsieur S. Et monsieur B.

Qu'il ait formulé cette idée qu'il n'est pas le seul à avoir eu. Parce que de nombreuses personnes se posent encore et toujours la même question. La reformulant à leur façon.

Cette petite phrase est un théorème.

Que des gens des médias ne s’en rappellent pas – voir extrait – n’y change rien lorsqu’on sait qu’elle est l’état mental général de ce petit monde.

Que les mêmes ahuris y voient des signes de ou de  ou de.

Grippe cérébrale.

Si cette citation est exacte et qu’elle est bien de V, ceci changerait quoi.?

On accuserait alors  V de. 

Étant donné l’état du débat en France au sujet de l’affaire Dieudonné.

Et cette phrase n’est pas raciste. Ou elle peut l’être. Question de goût.

Des gens qui s'attribuent trop d'importance s'en défendent. Se voient déjà acculé et menacé. Déjà des ambulanciers improvisés vont à leurs secours. 

On ne parle pas ici des Protocoles des Sages de Sion ou du film le Juif Süss

Que des excités racistes pensent que les juifs dirigent clandestinement la société n'a pas d'importance. On n'est pas en 1933. Et il n'y a pas un maître manipulateur comme monsieur H et ses petits amis pour focaliser les peurs et les rancunes ou les appétits bridés.

Même si les organisations Israéliennes semblent faire de grands efforts pour démontrer, qu'effectivement, ce sont eux qui dirigent. Bruyamment. Faisant tout pour attirer l'attention sur elles. Obsessivement. Tout en prétendant le contraire. Bruyamment. Ceci en poussant de petits cris de terreur.

Et cette phrase est encore plus fascinante quand elle n'est pas raciste.

Malgré que l'on fasse des efforts héroïques pour lui faire signifier ceci. Et uniquement ça.

Bruyamment.

Elle fonctionne très bien avec ce qui se passe là-bas. 

Et ici, aussi.

À un détail près : on peut parler de certaines personnes – mais en bien. Car toute critique envers ces personnes très nommables sera sévèrement punie.

Socialement.

Économiquement.

Administrativement.

Juridiquement.

Financièrement.

Mais.

La phrase concerne des gens qu'on ne nomme pas.

En France, on semble faire une fixation – effet de sidération - on en reparlera – envers certaines personnes. Comme si on se sentait coupable de quelque chose. Ou qu’on pouvait faire autre chose pour réparer ce que des gens qui sont à peu près tous morts ont fait. Ou laissé faire. Victimes. Complices. Coupables. Témoins. Tous réunis au même banquet des vers de terre.

Ce qui est impossible. 

La Nature n'a aucune pitié.

L'Histoire non plus.

Et l'espèce humaine non plus.

On se repent, regrette, promet de ne plus recommencer, jure de mieux faire à l’avenir et se lance à la gorge de toute personne qui ne chante pas le même cantique. 

D’où, entre 2 accès de colère, ces débats torturés et tortueux et ces incantations Talmudiques. 

Les élans de bonne foi si sonores, ces mains sur le cœur,  ont quelque chose de louche et d’obscène. 

Ou de très intéressant pour qui apprécie l’observation des phénomènes humains. 

La mauvaise foi des humains a quelque chose de vivifiant.

Mais ils peuvent toujours faire pire que mal penser.

Il y a tant de possibilités dans le mot «faire». Une petite part d'infini.

On se demande à chaque fois jusqu'où ils vont aller. Un peu comme les Jackass. 

Ai-je dit que j'étais misanthrope ?

Mais on revient à l’essentiel de la phrase. Y a-t-il des gens que l’on ne peut nommer?

On vient de dire qu’il y a des gens ou des groupes ou un groupe que l’on peut nommer avec précaution, mesure, prudence, affection et amour.

Sinon.

Mais qui sont ces gens que l’on ne peut nommer ?

Que l’on ne nomme jamais.

Car on vient de dire qu’on ne cesse de nommer d’autres personnes ce qui entraîne cris et lamentations.

Ici

Ici, en 2008, dans la Caisse de Dépôt et Placement - quasi-banque d'État où on accumule des impôts pour en faire des placements à intérêt ou dividendes afin de payer les services de l'État ou des pensions. 

Ici, en pleine crise économique, lors du Krash simili 1929 où on est passé à un cheveu - si ce n’était de l’intervention de tous les États non fauchés qui ont imprimé (symboliquement et poétiquement) de l’$ imaginaire pour sauver les Bourses et les Banques et l’Élite financière. 

Donc, ici, en 2008, après l’élection du Parti Libéral de monsieur Charest, on découvrit officiellement toutes ces belles choses. Y compris que la Caisse de Dépôt et Placement venait de perdre 50 milliards.

Son directeur d’alors déclara que c’était «la tempête parfaite» et qu’il avait fait ce qu’il avait pu.

Peu de temps après, il démissionna. Il ne fut pas jeter à la rue comme un employé incompétent. Il partit avec une généreuse prime de séparation. Et entra tout de suite au service du groupe financier d’un des hommes les plus riches du pays.

La question se posait étant donné les faits : le banquier incompétent ou malchanceux démissionnaire avait une promotion. Inattendue. Comment un groupe financier prudent comme celui de son futur employeur pouvait-il faire une telle chose? Quel directeur du personnel engage un candidat incompétent, au jugement défectueux, malchanceux ou portant malheur ? Ce DRG se ferait vite mettre à la porte si ça se savait.

Alors, restait une autre réponse.

C’était une récompense.

Pour service rendu.

Mais lesquels?

Aucun média ne publia de tels soupçons. Ce sont ceux de particuliers. Des asociaux.

On cessa tout simplement de parler de la CDP, de ses pertes, du Krash. Car il fallait que les gens ayant de l'$ retournent voir leurs courtiers - qui avaient eu pendant cette période la même réputation que les sidatiques. 

Et tout est revenu comme avant.

On encourage les gens à penser à leurs pensions. À investir. À commencer à économiser pour leurs vieux jours. 40 ans à l'avance. Car il faut économiser dès maintenant. À aller régulièrement à la banque. À force de silence, elles sont redevenues des institutions respectables au lieu de maisons hantées, de foires, de carnavals et de casinos.

On a tout fait pour faire oublier que ce sont elles qui ont causé et répandu la peste financière. 

Et que si monsieur Bernard Madoff a été condamné à 150 ans de prisons pour escroquerie, ce qu'il a fait n'est rien comparé à leurs actes. Tous auraient dû se retrouver en prison.

Son escroquerie est énorme, on parle de plus de 50 milliards - qui se serait évaporé ??? 

Mais ce montant n'est rien comparé à ce que les banques ont évaporé. La part des anges. On ne saura jamais le chiffre réel parce que tous les tenants de la religion de l'église universelle du Marché ont intérêt (quel joli mot!) à ce qu'on n'en parle pas. 

Bien sûr, on parle. D'autre chose. On ne cesse de répéter que le communisme ne marche pas. Ni le socialisme. La chute de l'URSS en serait la preuve. 

Le seul indice des pertes subies est le montant approximatif - on ne saura sans doute jamais le chiffre exact - de ce que les États ont dû engloutir pour sauver les riches et le système. Disons, des milliers de milliards.

Alors vient à l’esprit l’«investissement» fait par la CDP. 

Un énorme tas de ce qu’on appelait Papier Commerciaux (pourris). Qui valait un jour 50 milliards. Et le lendemain, zéro. D’où la perte de la CDP.

La question se pose encore et n’a jamais eu de réponse.

Malgré que plusieurs personnes sont arrivées à la même conclusion : Ces Papiers Pourris ont été acheté à son futur employeur qui, autrement, malgré sa réputation de bon gestionnaire, aurait fait faillite.

Dans le même esprit de méditation et de recueillement, on se souviendra que les banques du Canada dont les coffres étaient remplis de ces Papiers ont été sauvées de la faillite par le Gouvernement du Canada – on fit pareil aux USA – qui acheta ces papiers à leur valeur d’origine. Beaucoup. Et non à leur valeur du moment : zéro. 

Le ministre des finances de l’époque déclara que l’État faisait un bon investissement et qu’il les garderait 30 ans, le temps qu’ils prennent du mieux. Alors, il les revendrait.

On ( USA + Canada) sauva aussi de la faillite Général Motor et Chrysler. Qu’on aurait pu acheter pour 1$. Et on y investi des milliards.

On ne parle plus de ces choses.

Et on ne nomme jamais les gens qui ont fait ou laissé faire ces choses.

L’économie prendrait du mieux comme un malade alité.

Dit-on.

On surveille son pouls incertain et défaillant.

L’$ «investi» dans le Marché Financier pour le sauver est devenu – mystérieusement- une dette. Dette qui s'est, à son tour, transformé en déficit, qu’il faut rembourser avec intérêt. Car le Canada a, hum!, «emprunté» cet $ aux banques pour le leur donner. C’est de toute beauté.

L'hypocrisie est un hommage du vice à la vertu.

Ou

L'hypocrisie est un hommage que le vice rend à la vertu aurait dit La Rochefoucauld 

Car ces cigales folles ont vite retrouvé leur rôle de donneuses de leçons. 

Et ces banques réclament de la rigueur au Canada. Y compris les sociétés de notation/cotation qui, avaient très bien noté ces Papiers Pourris contribuant à leur déversement.

Et, la première ministre du Québec, à la mémoire défaillante, comme toutes les personnes des institutions affirment que si le Québec ne réduit pas sa dette, ces agences vont baisser sa note de crédit ce qui obligera la province à payer plus cher ses emprunts ou sa dette.

Et les théologiens du Marché qui, toujours veillent, entonnent des cris au sujet de la faillite de la province.

Et pour lutter contre le méchant déficit, il faudra privatiser. 

Mettre des milliers de fonctionnaires à la porte. 

Diminuer les services que les citoyens croyaient mériter. 

Augmenter les impôts, les taxes et les frais de services pour ceux-ci. 

Tout en baissant les impôts des riches et des entreprises. 

Tout en augmentant les budgets militaires du Canada. Le parti politique qui dirige ce pays a promis 240 milliards de joujoux divers à l'Armée. 

Si l'État a moins de revenu, il faut bien payer tout ceci. Et les prisons pour les mécontents. Des prisons nouvelles. 

Le jeu est fascinant. 

Aux USA, chaque mois, on donne 85 milliards à zéro % d'intérêts aux Banques. Mais on promet de diminuer.

Ici, l'État prête à 1 % aux Banques. Qui prêtent aux citoyens.

Et les provinces, comme le Québec, emprunte au Marché (?) à du 3 %.

Le Canada ne peut pas leur prêter ?

Il faut que les Banques s'engraissent au passage.

Quand je dis qu’on ne nomme pas – ici, réellement, on ne nomme pas – on utilise des expressions vagues à la place. 

On dira le Marché. 

Le 1 %.

Comme s’il n’y avait personne à la tête de ces organismes qui dirigent les pays et le Monde. Car les États n’existent plus. Ni les nations. 

On remarquera que certains encore puissants tout en agonisants font de grands gestes et ne pouvant s’empêcher d’utiliser les bonnes vieilles méthodes pour écraser les petits. Et les piller. Plus ou moins lentement. Ce qu’on appelle l’Histoire.

Comme ces guêpes qui pondent leurs œufs dans le corps d’une araignée qu’ils tétanisent de leur dard. Plus tard, leurs petits sortirent de leurs œufs dans le corps de la victime et s’en nourriront le temps de grossir jusqu’à ce qu’ils soient prêt à se creuser un autre tunnel dans son corps pour sortir à l’air libre. Les films de la série Alien utilisait ce même phénomène. En plus grandiose.

Mais eux-mêmes sont dirigés par leur élite financière. Qui répond à l’élite financière mondiale.

Qu'on ne nomme pas.

On parlera de la droite. Ce qui ne veut rien dire. 

Qui sont l’élite des prédateurs humains venant des meilleurs sujets des anciens États. Dans une sorte de compétition qu’on appellerait les Jeux Olympiques de la Corruption.

Il y a, bien sûr, encore un Français de la communauté ou en provenant qui se lamentera en disant qu’on sait bien qui on vise. Comme si ce petit pays de rien du  tout avait la moindre importance. Comme si ces communautés minoritaires partout – mais puissantes – assez pour acheter les politiciens locaux si facilement vendables puisqu’ils ne demandent que ça.
Il y en a bien sûr.

Mais on circonscrit une puissance bien supérieure. 

Tout le reste n'est que diversion. Voulue ?

Mais le phénomène est Darwinien dans toute sa splendeur. Un eugénisme inverse. Inventé bien avant 1930. Le Monde propriété des plus forts. Des profiteurs qui ne peuvent cesser de profiter. Ceux qui connaissent les mécanismes financiers parce qu’ils les ont inventés et en ont le contrôle, ce qu’on appelle, le Système. Il y a toutes sortes de nom. Et qui ont réussi à ce que toutes les richesses produites par la multitude – les animaux de la ferme- se dirigent vers eux.

Eugénisme inverse. Car si à l'origine on visait la disparition des inaptes et des défectueux ou des dégénérés - les perdants - par l'euthanasie. Un après l'autre. Afin de faire un Monde meilleur. Ou la stérilisation des pauvres. Ou les camps de concentrations - plus tard. 

Maintenant, on ne s'intéresse plus aux pauvres qu'on laisse à la police ordinaire. 

On s'intéresse aux saints de maintenant, les riches. Les gagnants du système. Il faudrait engraisser encore ces rapaces qui ne seront jamais assez gros. Et jamais assez resplendissants. Qui ont un appétit sans limite.  Et tout le monde veut qu'ils se portent de mieux en mieux. 

Tout ceci est intéressant et demanderait à être étudié.

Mais ne le sera pas. Car on n’en parlera pas.

On répliquera qu’on ne cesse d’en parler.

Quelques personnes sans importance. Qui parlent. Écrivent.

En sachant bien que rien ne changera. 

Sauf s'ils sont très jeunes.

Ceux qui sont en position de faire quelque chose – nos maîtres - sont désormais les serviteurs d’autres maîtres.

La démocratie a été une tentative pour remplacer le pouvoir des rois. Et surveiller et diluer le pouvoir de ceux qui prendraient sa place. Brider leur ambition et leur appétit. Lui mettre sans cesse des freins ou des bâtons dans les roues ou du sable dans l'engrenage.

Car il faut toujours quelqu’un pour commander. 

Et nous ne faisons que choisir – comme on joue aux dés – ceux à qui nous obéiront.

Malgré leurs promesses, nos nouveaux dirigeants ne cessent de relier le fils que l’on a voulu distendre. Accaparant tous les pouvoirs et contre-pouvoir. De manière à devenir des rois provisoires élus. 

Et ce dernier problème, ils essaient aussi de le régler, afin que leur pouvoir soit définitif et héréditaire.

Mais ce ne sont que des marionnettes.

Eux-aussi, obéissent à l’élite qui est devenu leur religion. Et on leur laissera le plaisir de jouer avec leur petit peuple qu’ils peuvent soumettre à leurs caprices sociaux ou religieux.

Nous revenons à la jolie phrase si inspirante.

«Si vous vous demandez qui a le pouvoir, demandez-vous de qui vous ne pouvez pas parler.»

Ou

 « Pour savoir qui vous dirige vraiment il suffit de regarder ceux que vous ne pouvez pas critiquer. »

Et puisqu'on ne les nommera pas et, encore moins, expliquera leur comportement; on pourra, entre temps, observer tous ceux qui les servent. Les protègent. Les vantent. Tous bien placés dans les médias et les institutions et les États. 

Ce monde est le leur.

Et la Terre fourmille du bétail humain que l'on peut tondre à volonté.]