jeudi 24 septembre 2015
6718. ART CLASSIQUE. ART ACADÉMIQUE. ART MODERNE. ART CONTEMPORAIN. ART CONCEPTUEL. MESSIEURS BARACK HUSSEIN OBAMA II VLADIMIR VLADIMIROVITCH POUTINE ВЛАДИ́МИР ВЛАДИ́МИРОВИЧ
TÊTE-À-TÊTE ENTRE POUTINE ET OBAMA À NEW YORK
Il s'agit de la première rencontre officielle entre les deux
hommes depuis un entretien bilatéral en juin 2013 en Irlande du Nord lors d'un
G8.
[AVANT QUE MONSIEUR POUTINE NE SOIT EXPULSÉ PAR LES CANICHES ET LE G8 DEVINT G7 ]
Publié le 24 septembre 2015
Le président Vladimir Poutine rencontrera lundi son
homologue américain Barack Obama à New York, où les deux chefs d'État doivent
prononcer un discours devant l'Assemblée générale annuelle de l'ONU, a annoncé
jeudi le Kremlin.
Il s'agit de la première rencontre officielle entre les deux
hommes depuis un entretien bilatéral en juin 2013 en Irlande du Nord lors d'un
G8.
Depuis, l'affaire Snowden et surtout la crise ukrainienne
ont empêché toute rencontre officielle entre les deux présidents.
Ils se sont toutefois entretenus régulièrement au téléphone
et ont échangé quelques mots en marge d'événements comme le 70e anniversaire du
Débarquement allié en Normandie le 6 juin 2014.
«Nous nous sommes mis d'accord pour un entretien avec Obama»
a déclaré le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov aux
agences de presse russes.
Cette rencontre, prévue lundi, aura lieu, car rejeter le
dialogue avec Moscou serait «irresponsable» face à la situation en Ukraine et
en Syrie
a estimé jeudi un responsable américain
en affirmant que la rencontre avait été calée à la demande
de la partie russe.
Cette rencontre interviendra après le discours du chef de
l'État russe à l'Assemblée générale de l'ONU.
Vladimir Poutine vient à New York pour promouvoir son plan
pour la Syrie, notamment pour bâtir une coalition élargie, comprenant l'armée
de Bachar al-Assad, pour combattre le groupe armé État islamique.
Depuis plus d'une semaine, l'activisme de Moscou en Syrie,
diplomatique, mais surtout, selon Washington, militaire, suscite l'inquiétude
des Occidentaux.
Les États-Unis estiment que Moscou, principal allié du
régime de Damas, accroît son soutien à la Syrie en livrant à celui-ci de
nouvelles armes.
Mais surtout, les Américains s'inquiètent d'un déploiement d'avions,
de tanks et de militaires russes dans le nord de la Syrie.
Moscou dément toute recrudescence militaire, tout en
admettant soutenir Damas dans sa lutte contre les djihadistes de l'organisation
État islamique (EI) et lui livrer des armes, conformément aux contrats
existants conclus avec le président Bachar al-Assad.
L'armée syrienne a utilisé pour la première fois mercredi
des drones fournis par la Russie
a affirmé une source de sécurité à Damas, sans donner
davantage de précisions.
Au cours de son discours à l'ONU lundi, le premier en une
décennie, le président russe devrait consacrer une grande partie de son exposé
à la Syrie, estiment les experts.
«Pour le moment, le programme de Vladimir Poutine à New York
se présente ainsi : il atterrit, il écoute les discours de ses collègues, il
fait le sien, ensuite il s'entretient le secrétaire général de l'ONU Ban
Ki-moon»
a précisé M. Peskov.
«Puis il rencontre M. Abe et M. Obama».
NE L'APPELEZ PAS LE TSAR
Le président russe Vladimir Poutine ne veut pas qu'on
l'appelle le «tsar»
selon l'extrait, jeudi, d'une interview à la chaîne
américaine CBS qui doit être diffusée dimanche, à la veille d'une rencontre à
New York avec le président Barack Obama.
«Comme vous le savez, certains vous appellent un tsar (...)
Ce nom vous convient-il?»
demande le journaliste Charlie Rose au chef du Kremlin,
selon l'extrait de cet entretien à l'émission 60 Minutes.
«Non cela ne me va pas»
lui répond le président Poutine.
«La manière dont on me désigne n'a pas d'importance, qu'il
s'agisse de partisans, d'amis ou d'opposants politiques. Ce qui est important,
c'est ce que vous pensez de vous, ce que vous devez faire pour l'intérêt du
pays qui vous a fait confiance en vous plaçant à la tête de l'État russe»
a expliqué Vladimir Poutine.
L'intégralité de cet entretien à CBS doit être diffusée
dimanche, à la veille de la venue du président russe à New York pour
l'Assemblée générale annuelle de l'ONU.
Interrogé encore par CBS sur ce qu'il «admire le plus à
propos de l'Amérique», le président Poutine répond «la créativité».
«La créativité lorsqu'il s'agit de régler vos problèmes»
poursuit le chef de l'État russe qui loue également
«l'ouverture d'esprit» des Américains et leurs «résultats incroyables dans le
développement de leur pays».
*
OBAMA AND PUTIN TO HOLD TALKS AT UN
BBC
4 hours ago
US President Barack Obama and his Russian counterpart
Vladimir Putin will hold their first face-to-face meeting in nearly a year on
Monday in New York, officials from both countries say.
The meeting comes amid tension over Russia's military
build-up in Syria and its annexation of Crimea last year.
The two leaders will meet on the sidelines of the UN General
Assembly
a US official told the AFP news agency.
They are last reported to have spoken by phone after the
Iran nuclear deal.
"Given the situations in Ukraine and Syria, despite our
profound differences with Moscow, the president believes that it would be
irresponsible not to test whether we can make progress through high-level
engagement with the Russians,"
a senior administration official told the BBC.
The official said that the main purpose of the meeting from
the US point of view was to ensure that Russia abides by the terms of the
ceasefire in Ukraine negotiated in Belarus in February.
It is not clear if the meeting will take place before or
after President Putin speaks at the UN, correspondents say.
The Russian leader is also due to meet Japanese Prime
Minister Shinzo Abe on Monday.
Relations between the US and Russia nosedived after the
Russian annexation of Crimea in March 2014.
The move led to the US and other Western countries imposing
sanctions on Russia amid allegations that it was fanning the insurgency in east
Ukraine by providing troops and arms.
Russia has strongly criticised the sanctions, describing
them as a naked attempt to force President Putin from power.
Russia has also been accused by the US of becoming
increasingly involved in the Syria conflict by sending weapons, troops and
supplies to an airport near the coastal city of Latakia.
US Secretary of State John Kerry said on Tuesday
that the build-up appeared to be limited to Russia
protecting its own forces in the country.
His comments followed the publication of satellite images
that suggested Russia was developing two additional military bases at a weapons
depot and military complex north of Latakia.
DOUTEUR. PROFESSEUR BULLE. HENRY DICKSON
BARACK HUSSEIN OBAMA II. VLADIMIR VLADIMIROVITCH POUTINE,
ВЛАДИ́МИР ВЛАДИ́МИРОВИЧ