The Government of Canada considers military personnel to be expendable.
[Comme tous les États. Ne dit-on pas «chair à canon» en France et «cannon fodder» si on parle anglo. L'entraînement de base consiste à les mettre en forme tout en les fatiguant assez pour leur faire perdre leur personnalité et le fondre en un seul groupe dirigé par un officier de base. Groupes et officiers de base étant intégré dans un plus grand groupe lui-même.... Le tout s'appelant «armée». Ceci permet aux États-Majors de jouer au jeu de blocs de couleurs (pour faire joli) (et les différencier des blocs de l'adversaire) sur de grandes tables (avant l'internet) où on reconstituait la colline à prendre, la ville à occuper ou le pays à envahir. Si le soldat de base est assez bien dressé, il acceptera de mourir -la chose n'est pas présenté ainsi, aussi abruptement- sur ordre. La subtilité étant qu'il doit rarement mourir seul et qu'il a donc un certain nombre de chance d'en réchapper. Le jeu consistant pour l'officier de base sur les ordres de son officier supérieur qui lui-même obéit aux généraux-amiraux devant leur carré de sable avec les blocs de bois de dire à ses hommes: hop là! Oups! Allez les gars! Pour la reine! Vive la patrie! Merci la vie! (signifiant: avancer). Et ils courent en avant (courir en arrière s'appelle «fuir») (à moins d'en avoir reçu l'ordre sous forme de «retraite en ordre régulier pour se regrouper à l'arrière) (Chez les Romains, les légionnaires fuyards étaient crucifiés.). La situation pour un citoyen de base: avancer vers une mitrailleuse qui tire sur vous! lui ferait peur. Et il refuserait d'avancer (dans les armées où on n'a pas eu le temps de driller les citoyens de base pour en faire des soldats de base (situation de l'URSS envahit par Hitler) on recourait à la méthode de Pavlov. L'officier qui donnait un ordre qui n'était pas immédiatement obéi tirait une balle dans la tête au citoyen désobéissant. Ce qui encourageait fortement les autres à avancer. Si, après une courte avance, les tirs du joueur adverse (en avant) le faisait reculer, l'officier de base tirait dans le dos des plus lents qui avançaient encore et dans le ventre de ceux qui revenaient sur leurs pas. Les Français, en 1914, pour remédier à la même situation tiraient au canon à l'arrière de leur troupe pour les encourager à aller de l'avant. L'effet psychologique était immédiat. Et pour une efficacité plus grande, on tirait SUR les lambins. Voir leurs confrères de travail réduits en charpies faisant prendre conscience aux armées de base qu'ils avaient peut-être plus de chance de s'en tirer en allant en avant. Ou la mort, au moins serait retardée. De l'usage de Pavlov dans les petites choses de la vie.]
The soldiers are not treated like human beings but as robots trained and sent to kill and be killed.
[L'effet de l'entraînement de base est de transformer l'individu en partie d'un troupeau d'insecte. En plus de lui montrer à tuer efficacement. Et à être tué le plus difficilement possible. Mais lorsqu'une telle chose arrivera inévitablement (si pas à vous mais à un de vos collègues de travail à côté de vous) (ou en avant) prendre la chose avec un grain de sel. Et en tirer une motivation supplémentaire de gagner cette foutue guerre. Ou, au moins, prendre cette fichue colline 213 b. Ou c. ]
[Le soldat est un tueur professionnel. Comme en utilise la Mafia. Certaines personnes dans nos sociétés ont le rôle des intouchables en Inde. Ceux qui s'occupent des malades, des morts, de la merde, des vidanges. Ou tuent. On avait les bourreaux entraînés à faire souffrir indéfiniment et à faire ressentir une infinie variété de douleurs aux condamnés sur les ordres des autoritiés politiques, militaires ou religieuses. On n'en a plus. Même les bourreaux qui tuaient le plus simplement du monde sont réservés à des pays du Tiers-Monde et les USA (ce qui dit beaucoup de choses). Il reste les bouchers puisqu'on mange encore de la viande de bêtes mortes. Les thanatologues qui traitent les cadavres (embaumement) avant de les enterrer. Ceux qui font les autopsie pour découvrir les causes d'une maladie ou d'un assassinat. Les chirurgiens. Il reste les soldats. Qui tueront sur ordre. ]
During the early months of the war in Afghanistan Canadian troops wore green uniforms in a desert environment
and rode around in ordinary jeeps.
The uniforms gave no protection against snipers and the jeeps gave no protection against Improvised Explosive Devices buried by the Taliban in the roads.
Only an impersonal Government and Military Leadership could have sent soldiers not properly equipped to a brutal combat zone.
These soldiers were sitting ducks and made up the bulk of the casualties.
Even the armored personnel carriers were not equipped with armored captains chairs in which the soldiers could use lap and shoulder restraint belts while on patrol.
When the personnel carriers were blown up, some were thrown as high as 100 feet in the air and others rolled over and over.
As a consequence, the soldiers were not killed from the blast or shrapnel but died as a result of trauma such as head injury, broken necks and backs from being hurled around inside the personnel carrier vehicle.
This information was never released to the media or the public.
Trauma from explosion continues to be the primary cause of death for unrestrained Canadian soldiers riding inside armored personnel carriers.
An armored vehicle is of no use if the soldiers inside get thrown around the interior of the vehicle when it gets blown up.
[Vous ne finissez pas en giclée de sang mais comme des oeufs tombant par terre. Tout est en métat à l'intérieur de ces véhicules «blindés». Le rembourrage est considéré dépense inutile. On n'est tout de même pas en limo.]
The Government of Canada relies on public relations baloney and patriotic garbage to cover up the reasons why most of our soldiers get killed.
Most of the deaths can be avoided.
[La façon la plus simple est de ne plus aller se battre. Mais c'est trop simple. C'est une des raisons qui explique que le recrutement se fait chez les jeunes hommes enthousiates et rarement, sauf conscription générale, chez les misanthrophes pessimistes de 50 ans. Les jeunes hommes qui aiment l'aventure et le sport. Les mêmes ado qui font du car surfing derrière une auto. Pour les mêmes raisons. Leur cerveau de jeune mâle est insuffisamment développé pour comprendre les conséquences de leurs actes. ]
The Government gave inferior body armor to soldiers because funerals are cheaper than the cost of quality armor! .
Deep Cover. 2011/06/15
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CANADIAN MILITARY REDEPLOYING SOLDIERS WITH PTSD. POST-TRAUMATIC STRESS DISORDER
Jun 14, 2011
CBC News
http://www.cbc.ca/news/canada/story/2011/06/14/ptsd-soldiers-redeploy.html
Il y a 7 ans
