DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

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DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

lundi 14 janvier 2013

6103. À QUELLE SAUCE SEREZ-VOUS MANGÉ ?

ELITES WILL MAKE GAZANS OF US ALL

GAZA IS A WINDOW ON OUR COMING DYSTOPIA.

Chris Hedges

Nov 19, 2012

http://www.truthdig.com/report/item/elites_will_make_gazans_of_us_all_20121119/

http://www.truthdig.com/report/item/elites_will_make_gazans_of_us_all_20121119/

The growing divide between the world’s elite and its miserable masses of humanity is maintained through spiraling violence.

Many impoverished regions of the world, which have fallen off the economic cliff, are beginning to resemble Gaza, where 1.6 million Palestinians live in the planet’s largest internment camp.

[Pourquoi ne pas dire: camp de concentration. Mais moderne. Une ville utopique. Absurde. Le village. Un peu comme celui de Numéro 2, 3, ect. dans Une étape de plus dans le progrès de la civilisation.]

Le Prisonnier, série TV Britannique de 1967, avec Patrick McGoohan.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Prisonnier

http://en.wikipedia.org/wiki/The_Prisoner

http://akas.imdb.com/title/tt0061287/combined

[En fait, ce ne sont pas les conditions du camp de concentration de Gaza qui sont hors des normes connues de ce genre de prisons à ciel ouvert mais le fait que personne ne peut en parler. On détourne donc le regard et met la musique plus fort. Sinon, il faudrait dénoncer les pervers - vicieux, surréalistes atteints de psychose paranoïaque schizophrénique contagieuse - qui l'administrent. Et un blocage psychologique empêche tout employé des médias et des institutions ou intellectuel de le faire. Car, selon la théologie actuelle, les gardiens et organisateurs du camp sont eux-mêmes des victimes. Dissonance cognitive. Et toute pensée vilaine, tout acte répugnant leur est impossible. Car une victime est bonne. Baptisée et purifiée dans la douleur. Si ce n'est la sienne, c'est celle de son père ou grand père. Essayer de comprendre, de voir, décrire ce qui se passe, ce que c'est, est douloureux. D'où un malaise qui  arrive presque à l'envie de vomir quand placé devant les faits qu'il a refusé de voir depuis des décennies, un éditorialiste sérieux, à la TV, se désole de commencer à comprendre qu'il ne peut autant plus aimer Israël. Ce qui est un phénomène fascinant. Commettre des crimes en plein jour, contre des millions de personnes et demeurer invisible, innommé. On est dans une histoire de vampire!]

These sacrifice zones, filled with seas of pitifully poor people trapped in squalid slums or mud-walled villages, are increasingly hemmed in by electronic fences, monitored by surveillance cameras and drones and surrounded by border guards or military units that shoot to kill.

These nightmarish dystopias extend from sub-Saharan Africa to Pakistan to China.

[Et dans nos contrées, il y a déjà des villes modèles où ne sont admis que des bourgeois. Rien ne traîne. Tout est constamment neuf. Des serviteurs qui arrivent le matin et repartent le soir et s'occupent de l'environnement. Et des gardes surveillent les entrées et font des rondes dans les rues lors du couvre-feu. Les gens honnêtes dorment le soir. Pourquoi sortiraient-ils? S'il n'y a pas de gens honnêtes dans les rues, si on y arrête quelqu'un, celui-ci n'est pas à sa place. Si les visiteurs peuvent pénétrer ces lieux sur invitation, on n'aime pas qu'ils restent. On peut même interdire les enfants et les jeunes. Ces dignes personnes peuvent donc vivre paisiblement, protégé des ghettos ambiants, en attendant de porter des couches - comme on n'aime pas les vieux en «perte d'autonomie», non plus..]

They are places where targeted assassinations are carried out, where brutal military assaults are pressed

against peoples left defenseless, without an army, navy or air force.

All attempts at resistance, however ineffective, are met with the indiscriminate slaughter that characterizes modern industrial warfare.

[On a pu voir, ici, ce qu'il arrive aux manifestants dénonçant les manoeuvres obscures du gouvernement ou du parti politique élu, soit lors du G20, G8 et, encore plus ici, au Québec, lorsque des étudiants manifestaient. Et des spectateurs réclamaient encore plus de sévérité de la police pour ceux qui dérangeaient leur digestion. Et le chef de l'État local, crapule dirigeant un parti de crapules dénonçait la violence des rues et cherchaient à y lier le parti politique de l'opposition. Devant faire face à une commussion d'enquête sur des crimes variés - mais se spécialisant dans l'industrie de la construction- il organisa une élection précipitée, cet été, afin de retourner au pouvoir avec sa capacité de nuisance avant que la commission commence ses travaux. Plus il attendrait, plus on trouverait probablement des preuves e magouilles. Jusqu'à présent, si on en a trouvé abondamment, c'étaient du côté de quelques grandes villes. D'où la démission de quelques maires. Il avait déjà fait le même truc lors de la crise de 2008 et a été réélu, majoritaire, avec la complicité des médias. Maintenant, son parti ayant perdu le pouvoir, n'ayant pas été réélu dans son comté, l'ex-premier a trouvé un nouveau job dans un cabinet d'avocats. Et plus aucun journaliste ne reparle des manigances de ce parti qui paraît avoir retrouvé sa vertu et, bientôt, un nouveau chef. Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes connus.]

In the new global landscape, as in Israel’s occupied territories and the United States’ own imperial projects in Iraq, Pakistan, Somalia, Yemen and Afghanistan, massacres of thousands of defenseless innocents are labeled wars.

Resistance is called a provocation,

[Et terrorisme.]
terrorism or a crime against humanity.

The rule of law, as well as respect for the most basic civil liberties and the right of self-determination,

is a public relations fiction used to placate the consciences of those who live in the zones of privilege.

Prisoners are routinely tortured and “disappeared.”

[Et même envoyé dans certains pays où on soutraite la torture. Et, encore plus surréaliste - dans un pays comme la Syrie (avant cette guerre) dénoncé comme faisant parti de l'Axe du Mal donc un ennemi. Qui questionnera vos ennemis. Encore plus surréaliste est le fait qu'aucun employé des médias n'y ait vu quelque chose d'étonnant. Les gauchistes du lot ont dénoncé la torture. Mais non le fait que votre ennemi officiel soit votre allié officieux. Curiosité de l'Histoire. ]
The severance of food and medical supplies is an accepted tactic of control.

[Gaza]

Lies permeate the airwaves.

Religious, racial and ethnic groups are demonized.

Missiles rain down on concrete hovels, mechanized units fire on unarmed villagers, gunboats pound refugee camps with heavy shells,

and the dead, including children, line the corridors of hospitals that lack electricity and medicine.

[Depuis 10 ans que l'Occident est en Afghanistan pour... heu! construire des écoles pour les filles... hum!, on évite de spécifier leur nombre. Et lorsqu'on bombarde un village ou un mariage ou un autobus à partir d'informations obtenues sous la torture qui indiqueraient la présence de «terroristes», il y a souvent des «bavures» et des «dommages collatéraux». Que fait-on des blessés? Les soldats ont leur propre hôpital moderne et tout et il y a, ailleurs, un certain nombre d'établissement du tiers monde réservés aux indigènes qui n'ont pas été modernisé avec les milliards engloutis dans cette conquête. Dans le cas des  blessés collatéraux, on les laisse crever sur place - car comment reconnaître les bons des mauvais? - mais, comme on a bon coeur, s'ils se rendent par leur propre moyen à l'hôpital des civilisés, on les soignera. Sinon, à eux de se rendre par leur propre moyen dans les mouroirs pour nègres et bronzés. Aucun employé des médias qui vient régulièrement faire son tour ne parle de ces hôpitaux, le (les) bon(s) et les autres. Et ne demande où est passé tout le pognon. Ce qui serait impoli. Et lorsqu'on travaille pour ces institutions que sont les médias on est aussi neutre - on n'embarrasse pas le gouvernement ce qui est impoli et serait faire de la politique- on abandonne ses couilles à l'embauche. Bling! Une couille dans la chaudiére. Bling! Pour l'autre.]

The impending collapse of the international economy, the assaults on the climate, the resulting droughts, flooding, precipitous decline in crop yields and rising food prices

are creating a universe where power is divided between the narrow elites,

who hold in their hands sophisticated instruments of death,

and the enraged masses.

[Et ces sadiques spéculent même sur les grains et la nourriture qui prennent encore plus de valeur qu'elles deviennnent une rareté. Et comme les actions des compagnies ont une valeur incertaine, on se replie sur ce qui en a eu toujours, le droit de manger et de vivre.]
The crises are fostering a class war that will dwarf anything imagined by Karl Marx.

They are establishing a world where most will be hungry and live in fear,

while a few will gorge themselves on delicacies in protected compounds.

And more and more people will have to be sacrificed to keep this imbalance in place.

Because it has the power to do so,

Israel—as does the United States—flouts international law to keep a subject population in misery.

The continued presence of Israeli occupation forces defies nearly a hundred U.N. Security Council resolutions calling for them to withdraw.

The Israeli blockade of Gaza, established in June 2007, is a brutal form of collective punishment that violates Article 33 of the Fourth 1949 Geneva Convention, which set up rules for the “Protection of Civilian Persons in Time of War.”

The blockade has turned Gaza into a sliver of hell,

an Israeli-administered ghetto

where thousands have died, including the 1,400 civilians killed in the Israeli incursion of 2008.

With 95 percent of factories shut down, Palestinian industry has virtually ceased functioning. The remaining 5 percent operate at 25 to 50 percent capacity.

Even the fishing industry is moribund.

Israel refuses to let fishermen travel more than three miles from the coastline,

and within the fishing zone boats frequently come under Israeli fire.

The Israeli border patrols have seized 35 percent of the agricultural land in Gaza for a buffer zone.

[Et on rase des champs, coupe des oliviers, détruit des maisons et des villages pour loger des «colons» avec leurs immeubles sans nègre et leurs routes blanches, venus de New York et subventionnés par les USA]

The collapsing infrastructure and Israeli seizure of aquifers mean that in many refugee camps, such as Khan Yunis, there is no running water.

UNRWA (the United Nations Relief and Works Agency for Palestine Refugees in the Near East) estimates that 80 percent of all Gazans now rely on food aid.

And the claim of Israeli self-defense belies the fact that it is Israel that maintains an illegal occupation and violates international law by carrying out collective punishment of Palestinians.

It is Israel that chose to escalate the violence when during an incursion into Gaza earlier this month its forces fatally shot a 13-year-old boy.

AS THE WORLD BREAKS DOWN,

this becomes the new paradigm—modern warlords awash in terrifying technologies and weapons murdering whole peoples.

We do the same in Afghanistan, Iraq, Pakistan, Yemen and Somalia.

[Yougoslavie, Libye, Syrie.]

MARKET FORCES AND THE MILITARY MECHANISMS THAT PROTECT THESE FORCES ARE THE SOLE IDEOLOGY THAT GOVERNS INDUSTRIAL STATES AND HUMANS’ RELATIONSHIP TO THE NATURAL WORLD.

It is an ideology that results in millions of dead and millions more displaced from their homes in the developing world.

And the awful algebra of this ideology means that these forces will eventually be unleashed on us, too.

THOSE WHO CANNOT BE OF USE TO MARKET FORCES ARE CONSIDERED EXPENDABLE.

[Et, ici, on fermera une usine rentable pour faire faire les mêmes trucs dans des pays pauvres par des esclaves. Ou des enfants. Quoiqu'on dénonce l'exploitation sexuelle des enfants, on approuve l'exploitation économique qui leur montre la valeur du travail. Ou même aux USA où certains États sont prêt à subventionner chaque emploi à prix d'or. Électrolux. Et, on pense revendre les mêmes trucs ici, au même prix - même fabriqués pour moins cher, la différence reste dans les poches des patrons- aux chômeurs.]

They have no rights and legitimacy.

Their existence, whether in Gaza or blighted postindustrial cities such as Camden, N.J., is considered a drain on efficiency and progress.

They are viewed as refuse.

And as refuse they not only have no voice and no freedom; they can be and are extinguished or imprisoned at will.

[Et comme ce sont des idiots ou que leur Q.I n'est pas très élevé - je ne suis pas un humaniste- ils voteront pour le parti qui les voleront. Même ici, malgré tous les scandales du parti des voleurs, il a été presque réélu, les votes ayant été partagés en tiers. P.Q. Libéraux. C.A.Q. Quoique les 2 partis US soient au service des invisibles, il y en a un qui est pire que l'autre mais c'est celui que les pauvres aiment. Sous prétexte qu'il défend la liberté (celle de qui?) et est contre l'envahissement étatique. Sans penser - ils en sont incapables - que sans l'État, ils seraient dans des cabanes en carton sous les ponts. Car si l'État économise ses sous quant il s'agit des pauvres - ce qui n'est pas le cas pour l'armée- il aide avec modération - mais comme il y a tant de pauvres, ça fait au total pas mal de fric et l'autre parti parasite trouve donc que c'est encore trop et qu'on économiserait en coupant ce qui est social. Tout en se prétendant croyant - en quoi?- ils n'ont qu'une idée vague de la charité chrétienne. Il y avait quelqu'un de célèbre qui a parlé de sépulcre blanchi, blanc et propre au dehors et à l'intérieur desquels grouille la vermine sur la pourriture.]

THIS IS A WORLD WHERE ONLY CORPORATE POWER AND PROFIT ARE SACRED.

It is a world of barbarism.

“In disposing of man’s labor power the system would, incidentally, dispose of the physical, psychological, and moral entity ‘man’ attached to that tag,”

Karl Polanyi wrote in “The Great Transformation.”

“Robbed of the protective covering of cultural institutions, human beings would perish from the effects of social exposure;

they would die as the victims of acute social dislocation through vice, crime, and starvation.

Nature would be reduced to its elements, neighborhoods and landscapes defiled, rivers polluted, military safety jeopardized, the power to produce food and raw materials destroyed.

Finally, the market administration of purchasing power would periodically liquidate business enterprise,

for shortages and surfeits of money would prove as disastrous to business as floods and droughts in primitive society.

Undoubtedly, labor, land, and money markets are essential to a market economy.

But no society could stand the effects of such a system of crude fictions even for the shortest stretch of time unless its human and natural substance as well as its business organization

was PROTECTED AGAINST THE RAVAGES OF THIS SATANIC MILL.”

There are 47.1 million Americans who depend on food stamps to eat.

[Et certains ne savent même pas d'où ça leur vient et ne peuvent même pas comprendre qu'ils dépendent de l'État pour survivre et lorsqu'on leur parle de «liberté», liberté qui implique de limiter les pouvoir de l'État, ils sont d'accord.]

The elites are plotting to take these food stamps away, along with other “entitlement” programs that keep the poor from destitution.

The slashing of trillions of dollars from Medicare, Medicaid and other social programs, given the political impasse in Washington and the looming “fiscal cliff,” now seems certain.

There are 50 million people considered to be living below the poverty line,

but because the poverty line is so low—$22,350 for a family of four—this figure means nothing.

Add the tens of millions of Americans who live in a category called “near poverty,” i

ncluding all those families attempting to live on less than $45,000 a year,

and you have at least 30 percent of the country living in poverty.

Once these people figure out that there is no economic recovery, that their standard of living is going to continue to drop, that they are trapped,

THAT HOPE IN THE FUTURE IS AN ILLUSION,

they will become as angry as protesters in Greece and Spain or the militants in Gaza or Afghanistan.

Banks and other financial corporations,

HANDED TRILLIONS IN INTEREST-FREE MONEY FROM THE FEDERAL RESERVE,

meanwhile hoard $5 trillion, much of it looted from the U.S. Treasury.

The longer this worldwide disparity and inequality is perpetuated, the more the masses will revolt and the faster we will internally replicate the Israeli model of domestic control—drones overhead, all dissent criminalized, SWAT teams busting through doors, deadly force as an acceptable form of subjugation, food used as a weapon, and constant surveillance.

In Gaza and other blighted parts of the globe we see this new configuration of power.

What is happening in Gaza, like what is happening to people of color in marginal communities in the United States, is the model.

The techniques of control, whether carried out by the Israelis or militarized police units in our inner-city drug wars, whether employed by military special forces or mercenaries in Pakistan, Afghanistan or Iraq, are tested first and perfected on the weak and the powerless.

Our callous indifference to the plight of the Palestinians, and the hundreds of millions of poor packed into urban slums in Asia or Africa, as well as our own underclass,

means that the injustices visited on them will be visited on us.

In failing them we fail ourselves.

AS THE U.S. EMPIRE IMPLODES,

the harsher forms of violence employed on the outer reaches of empire are steadily migrating back to the homeland.

At the same time, the internal systems of democratic governance have calcified.

Centralized authority has devolved into the hands of an executive branch that slavishly serves global corporate interests.

[L'État invisible.]

The press and the government’s judiciary and legislative branches have become toothless and decorative.

THE SPECTER OF TERRORISM, AS IN ISRAEL, IS USED BY THE STATE TO DIVERT GARGANTUAN EXPENDITURES

to homeland security, the military and internal surveillance.

Privacy is abolished.

DISSENT IS TREASON.

The military with its mantra of blind obedience and force characterizes the dark ethic of the wider culture.

Beauty and truth are abolished.

Culture is degraded into kitsch.

The emotional and intellectual life of the citizenry is ravaged by spectacle, the tawdry and salacious,

as well as by HANDFULS OF PAINKILLERS AND NARCOTICS.

BLIND AMBITION,

a lust for power and a grotesque personal vanity—exemplified by David Petraeus and his former mistress—are the engines of advancement.

The concept of the common good is no longer part of the lexicon of power.

[Même ici, ex-province catho, on n'entend jamais parlé de bien commun. Ou d'intérêt collectif. Ou de peuple. Ce que fait l'État pour la majorité est considéré du gaspillage. On ne fait que permettre aux plus faibles de survivre et de se multiplier comme des parasites. Il faut plutôt subventionner les entreprises et diminuer le «fardeau fiscal» des chétives épaules des riches. Il faut créer toujours plus de richesse en payant le moins cher possible ceux qui travaillent, la douleur et la faim et le froid motive les pauvres. Mais l'$ motive nos élites et permet de recruter les meilleurs. Donc la richesse produite par la majorité sera distribuée parmi les riches. Et privatiser tout ce qui sert à la majorité qui sera alors enfin consciente des coûts cessera de gaspiller. Eau, électricité, égoût, vidange, route, pont, hôpitaux, écoles. Comme le locataire paie son loyer au proprio de l'immeuble.]

This, as the novelist J.M. Coetzee writes, is “the black flower of civilization.”

It is Rome under Diocletian.

It is us.

EMPIRES, IN THE END, DECAY INTO DESPOTIC, MURDEROUS AND CORRUPT REGIMES THAT FINALLY CONSUME THEMSELVES.

And we, like Israel, are now coughing up blood.

*

Karl Polanyi

http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Polanyi

http://en.wikipedia.org/wiki/Karl_Polanyi

http://www.karlpolanyi.org/

*

Image. http://blogs.jamaicans.com/gwgraeme/files/2010/10/bernanke.jpg

http://blogs.jamaicans.com/gwgraeme/2010/10/11/feds-solution-to-stalled-u-s-economy-print-money/