jeudi 18 juillet 2013
6188. NOS AMIS LES RICHES ONT LES MAINS DANS VOS POCHES. VOUS SENTIEZ UN CERTAIN INCONFORT OU UN LÉGER FRISSON DE PLAISIR, VOUS EN AVEZ MAINTENANT UNE EXPLICATION TOUTE RATIONNELLE.
LE PLUS GRAND PLAN DE SAUVETAGE FINANCIER
Entre 2008 et 2012, les banques centrales des États-Unis, du Royaume-Uni et des 17 pays ayant l’euro pour monnaie ont effectué des prêts [aux banques] d’une valeur de 8.8 billions $, afin d’atténuer les effets de la crise financière mondiale.
La Réserve Fédérale Américaine a versé 2.95 billions $
et la Banque Centrale Européenne 3.58 billions $.
[Et le Canada, des milliards de $]
[La Banque Centrale du Canada a racheté aux banques leurs dettes pourries pour purifier leurs livres – sinon, elles étaient en bonne arithmétique et comptabilité, sous zéro. Ou dans le rouge. En faillite. Puis on leur a prêté de l’$. Au Canada, c’est à 1 %. Aux USA, comme au Canada, on continue aussi à leur en prêter, mais à zéro % et quelques centièmes. Et puisqu’on se sodomise entre amis, les banques reprêtent cet $ à l’État et aux provinces. Puis se plaignent du déficit de leurs finances et demandent des coupures de postes et de services ou leur privatisation services. Ce qu’on fait. L’État fédéral prévoit mettre au chômage des dizaines de milliers de fonctionnaires. Non les dépenses militaires qui contribuent à la mafia industrialeuse militaireuse mais à l’environnement. Comme si ce n’était pas assez, les municipalités, les provinces et le pays mettent aussi de l’$ dans différents travaux pour faire fonctionner les entreprises qui donnent à la caisse électorale. 50 % des contrats aux entreprises de quelque importance sont données par les gouvernements. Économie libre ?]
[Selon des spécialistes, c’est l’équivalent de celui de 1929. Sauf que les États, ayant des spécialistes capables de se souvenir du passé, ont réagi avant que le pire se produise. Mais, victime de l’idéologie moderne, ils n’ont pu aller au bout de leur logique : quand le même pays (les USA) plonge 2 fois le monde, en moins de 100 ans dans la merde, il faut faire quelque chose. Quand ce sont les mêmes milieux financiers, Étasuniens et autres, de la mafia de l’$, qui provoquent l’explosion, il faut des mesures plus radicales. Impossibles à envisager et encore moins à faire par de telles gens, victimes de l’idolâtrie financière. ]
*
Guinness World Records 2013. Le Mondial des Records. Un monde de records à découvrir.
p. 151
*
Un billion = 1 000 milliards, soit 1 000 000 000 000.
Mille billions = un billiard.
[À la prochaine crise économique. Suffit d'attendre !]
http://fr.wikipedia.org/wiki/Billion
Entre 2008 et 2012, les banques centrales des États-Unis, du Royaume-Uni et des 17 pays ayant l’euro pour monnaie ont effectué des prêts [aux banques] d’une valeur de 8.8 billions $, afin d’atténuer les effets de la crise financière mondiale.
La Réserve Fédérale Américaine a versé 2.95 billions $
et la Banque Centrale Européenne 3.58 billions $.
[Et le Canada, des milliards de $]
[La Banque Centrale du Canada a racheté aux banques leurs dettes pourries pour purifier leurs livres – sinon, elles étaient en bonne arithmétique et comptabilité, sous zéro. Ou dans le rouge. En faillite. Puis on leur a prêté de l’$. Au Canada, c’est à 1 %. Aux USA, comme au Canada, on continue aussi à leur en prêter, mais à zéro % et quelques centièmes. Et puisqu’on se sodomise entre amis, les banques reprêtent cet $ à l’État et aux provinces. Puis se plaignent du déficit de leurs finances et demandent des coupures de postes et de services ou leur privatisation services. Ce qu’on fait. L’État fédéral prévoit mettre au chômage des dizaines de milliers de fonctionnaires. Non les dépenses militaires qui contribuent à la mafia industrialeuse militaireuse mais à l’environnement. Comme si ce n’était pas assez, les municipalités, les provinces et le pays mettent aussi de l’$ dans différents travaux pour faire fonctionner les entreprises qui donnent à la caisse électorale. 50 % des contrats aux entreprises de quelque importance sont données par les gouvernements. Économie libre ?]
[Selon des spécialistes, c’est l’équivalent de celui de 1929. Sauf que les États, ayant des spécialistes capables de se souvenir du passé, ont réagi avant que le pire se produise. Mais, victime de l’idéologie moderne, ils n’ont pu aller au bout de leur logique : quand le même pays (les USA) plonge 2 fois le monde, en moins de 100 ans dans la merde, il faut faire quelque chose. Quand ce sont les mêmes milieux financiers, Étasuniens et autres, de la mafia de l’$, qui provoquent l’explosion, il faut des mesures plus radicales. Impossibles à envisager et encore moins à faire par de telles gens, victimes de l’idolâtrie financière. ]
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Guinness World Records 2013. Le Mondial des Records. Un monde de records à découvrir.
p. 151
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Un billion = 1 000 milliards, soit 1 000 000 000 000.
Mille billions = un billiard.
[À la prochaine crise économique. Suffit d'attendre !]
http://fr.wikipedia.org/wiki/Billion