CRISE FINANCIÈRE AUX É.-U. :
LES DIRIGEANTS DE WALL STREET
AURAIENT DÛ ÊTRE POURSUIVIS
ET MIS EN PRISON
SELON BEN BERNANKE
lundi 5 octobre 2015
RADIO-CANADA. Associated Press
Ben Bernanke, ancien président de la Réserve fédérale des États-Unis, croit que certains dirigeants de Wall Street auraient dû être emprisonnés pour leur rôle dans la crise financière de 2008 qui a provoqué la Grande Récession.
Des amendes de plusieurs milliards de dollars ont été imposées aux grandes banques et aux firmes de courtage, dans le sillage de l'effondrement économique causé en grande partie par des prêts irresponsables et des opérations sur titres douteuses qui ont fait éclater la bulle immobilière.
[LES AMENDES ONT ÉTÉ PAYÉES AVEC L’$ DES CONTRIBUABLES/CITOYENS QUI A SERVI À LES RENFLOUÉS. COMME LES BANQUES ONT PRÉTENDUS AVOIR REMBOURSÉS LES «PRÊTS» CONSENTIS. ET AU CANADA, LE MINISTRE DES FINANCES A RACHETÉ LES PAPIERS COMMERCIAUX POURRIS DES BANQUES AU PRIX D'ACHAT. ET NON AU PRIX DU MOMENT = ZÉRO. SINON, PRESQUE TOUTE LES BANQUES ÉTAIENT EN FAILLITE. IL N'Y EN AVAIT QU'UNE QUI N'AVAIT PAS ACHATÉ DE CES PAPIERS. DONC AVEC LE MÊME $ QU'ON LEUR AVAIT DONNÉ. ON VOUS PRÊTE DES MILLIARDS À ZÉRO % D’INTÉRÊT ET VOUS PRÊTEZ À DU 5 OU 30 % (CARTE DE CRÉDIT). VOUS ÊTES IDIOT SI VOUS NE FAITES PAS DE PROFIT. ET TOUT CECI A ÉTÉ RETRANSMIS AVEC L’ENTHOUSIASME BÉTA. Nom commun: La betterave sucrière a acquis une très grande importance économique, grâce à la production de sucre (saccharose) dont elle est la deuxième source dans le monde après la canne à sucre – Nom commun : d’une bêtise niaise et lourde. Synonymes → voir idiot. Adjectif : ± Un peu bête. Traductions : Anglais : Stupid. Dummy - DES HABITUELS FOURNISSEURS DE CONTENUS DE LA PRESSE. ]
Dans une entrevue avec le quotidien USA Today publiée dimanche, M. Bernanke dit qu'en plus des banques et des firmes de courtage, les individus aussi auraient dû être tenus responsables.
Il aurait préféré voir plus d'enquêtes sur les actions individuelles, a-t-il confié.
Parce que, « de toute évidence », quelque chose qui s'est mal passé ou qui était illégal a été fait par des gens, et non par une « firme abstraite ».
Questionné pour savoir si les coupables auraient dû aller en prison, il a répondu par l'affirmative.
Il n'a toutefois nommé personne qui aurait dû, selon lui, être poursuivi.
M. Bernanke effectue une tournée de promotion pour son livre, The Courage to Act: A Memoir of a Crisis and Its Aftermath
Il en a commencé la rédaction après avoir quitté la Réserve fédérale en 2014.
Le livre détaille sa vision de la crise dans laquelle le gouvernement américain a dû prendre en charge les géants hypothécaires Fannie Mae et Freddie Mac et a fourni des centaines de milliards de dollars pour venir en aide aux plus grandes institutions financières américaines.
Dans son livre, que l'Associated Press a obtenu à l'avance, il écrit que les ententes de sauvetage pour les banques et les firmes de Wall Street, payées par les contribuables, étaient extrêmement impopulaires, mais néanmoins nécessaires pour éviter la catastrophe économique.
« Je n'étais certainement pas heureux de renflouer Wall Street et je n'avais aucune raison de vouloir le faire, a-t-il déclaré au USA Today.
Mais nous l'avons fait parce que si le système financier s'effondrait, l'économie aurait immédiatement suivi. »
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L'ÉCONOMIE
EST UNE
ACTIVITÉ SOCIALE ET CULTURELLE ET NON UNE SCIENCE COMME LE PRÉTENDENT DE PRÉTENDUS SPÉCIALISTES PIRE ELLE EST DEVENUE UNE RELIGION UNE FOI UN CULTE UN VATICAN WALL STREET ET LES USA AVEC DES PAPES ET DES SAINTS UN CIEL
LE MARCHÉ OÙ LOGENT LES ÉLUS LES MILLIARDAIRES LE 0.00000001 % |
QUELQUES NOTES SUR LES BANQUES ET LES ÉTATS ET LES PARTIS POLITIQUES. C'EST LA MÊME CHOSE
DANS QUEL MONDE VIVEZ-VOUS ?
JE SUIS CERTAIN QUE VOUS N’EN AVEZ AUCUNE IDÉE.
LE BUT ÉTANT D’EMPÊCHER L’ÉTAT D’IMPRIMER DE L’$ ET DE LE DÉPENSER COMME IL VOULAIT.
L’ÉTAT CONTINUE DE DÉPENSER COMME IL VEUT MAIS IL FAIT SEMBLANT D’EMPRUNTER L’$ AUX BANQUES.
QUAND ON PARLE DE «MARCHÉ» «MARCHÉ FINANCIER» ON PARLE DE BANQUES, DE BOURSES, DE MILLIARDAIRES, ETC.
ON PARLE AINSI DES CRÉANCIERS DES ÉTATS.
L’ÉTAT A MAINTENANT UNE DETTE.
ET LES MARCHÉS VONT ACHETER ET VENDRE LA DETTE DES ÉTATS.
C’EST COMME SI VOUS ÉTIEZ MILLIONNAIRE ET SANS PROBLÈME FINANCIER. MAIS QUE SUR UN COUP DE FOLIE, VOUS EMPRUNTEZ UN MILLIARD $ DONT VOUS N’AVEZ PAS BESOIN. LE JETEZ. ET DEVEZ DORÉNAVANT 10 % D’INTÉRÊT À VOTRE PRÊTEUR. SOIT 100 MILLION PAR AN. QUE VOUS N’AVEZ ÉVIDAMMENT PAS.
CONTRAIREMENT À VOUS L’EX-MILLIONNAIRE, LES ÉTATS PEUVENT ENCORE EMPRUNTER POUR PAYER LEURS INTÉRÊTS. VOIR LA GRÈCE.
LE RÉSULTAT EST QUE LES ÉTAT S’ENDETTENT SANS CESSE ET DOIVENT SANS CESSE REMBOURSER L’INTÉRÊT DE L’INTÉRÊT DE LEUR «DETTE».
SOIT PAYER UNE RENTE AUX BANQUES. ET AUX ACTIONNAIRES MILLIARDAIRES DES BANQUES.
ON PEUT DONC LE LUI REPROCHER MAIS ILS SONT TOUS COMME ÇA. ONT TOUS FAIT LA MÊME CHOSE. CROIENT TOUS À LA MÊME RELIGION.
C’EST UNE FOI, UNE RELIGION QUI NE REPOSE QUE SUR LA CROYANCE OU LA CRÉDULITÉ COMME TOUTES LES RELIGIONS. ET NON SUR LA RÉALITÉ. COMME TOUTES LES RELIGIONS,
ELLE A SES THÉOLOGIENS APPELÉS ÉCONOMISTES TRADITIONNELS. QUE LES UNIVERSITÉS FOURNISSENT PAR BOITES DE CAMIONS À NEIGE ENTIERS.
UN CULTE QUE NE PARTAGE PAS LA MAJORITÉ DE LA POPULATION. AUQUEL ELLE NE COMPREND RIEN. PUISQU’À CHAQUE QUESTION – VLA UN ÉCONOMISTE CLASSIQUE QUI VOUS PARLERA DU MARCHÉ ET DES LIQUIDITÉS. DE LA LIBERTÉ ÉCONOMIQUE.
RELIGION SACRICIELLE ET AUQUEL ON FAIT CONTINUELLEMENT DES SACRIFICES FINANCIERS ET HUMAINS > LA POPULATION. QU’ON SAIGNE. EXPLOITE. ÉPUISE. DÉSESPÈRE.
AINSI LE CANADA ENFOURNE QUELQUES MILLIARDS PAR MOIS DANS LE MARCHÉ (PRÊT AUX BANQUES) À MOINS DE 1%.
AUX USA, C’EST 100 MILLIARDS PAR MOIS À ZÉRO %.
LES BANQUES LE REPRÈTENT AU TAUX STANDARD – PRÊT PERSONNEL/COMMERCIAL/HYPOTHÈQUE/CARTE DE CRÉDIT.
EN PLUS D’AVOIR UNE POSSIBILITÉ INFINIE D’IMPRIMER À LEUR TOUR DE L$ PUISQU’ELLES ÉTAIENT TENUES À CONSERVER 10% DES DÉPÔTS. ELLES REPRÈTENT LE RESTE. L’EMPRUNTEUR REMBOURSE ET LA BANQUE PRÊTE DE NOUVEAU 90%. OU NE REMBOURSE PAS.
ET LE QUÉBEC EMPRUNTAIT À 3 % AUX BANQUES. LES VILLES DE MONTRÉAL ET QUÉBEC ET HYDRO À PLUS CHER.
ON A VU QUE LE FÉDÉRAL PRÊTAIT À MOINS DE 1 %.
MAIS LE FÉDÉRAL NE PRÊTERA JAMAIS AUX PROVINCES NI AUX VILLES. C’EST CONTRE LE CULTE. AINSI LES USA ONT LAISSÉ CREVER DÉTROIT.
ON ENGRAISSE AINSI UN LOT INFINI DE PARASITES. LE 1%.
OU LE 0.0001 ? 0.000 000 01 %
LE CHIFFRE QUE VOUS VOULEZ
1000 PERSONNES SUR UNE PLANÈTE DE 8 MILLIARDS D’HABITANTS.
OU 100 ENTITÉS INDUSTRIELLES ET COMMERCIALES ET FINANCIÈRES QUI POSSÈDENT DÉJÀ LA MOITIÉ DE LA PLANÈTE. LE VÉRITABLE GOUVERNEMENT MONDIAL
ET IL EST NORMAL QUE LES BANQUES FASSENT DES PROFITS GIGANTESQUES. PAIENT LEURS C.A. DES SALAIRES RIDICULES. ET CACHENT LEUR PROFIT DANS DES PARADIS FISCAUX. NON CONTENTS DE LEUR LAISSER FAIRE DES PROFITS INSENSÉS, LES ÉTATS FONT DES LOIS POUR LES LAISSER CACHER LEUR $.
AUX USA, LE VATICAN DU CULTE, L’ÉTAT JETTE DANS LE MARCHÉ 100 MILLIARDS PAR MOIS À ZÉRO %.
QUE LES BANQUES REPRÊTENT… ETC.
SI L’ÉTAT NE FAISAIT PAS CECI, LE MARCHÉ S’EFFONDRERAIT.
PARCE QUE L’ÉCONOMIE NORMALE : UNE USINE FABRIQUE ET VEND ET ON ACHÈTE LE TRUC NE DONNE QUE DU 2 % DE PROFIT. TANDIS QUE LES PROFITS SUR LES SPÉCULATIONS FINANCIÈRES DONNENT DU 10/20%.
UNE GRANDE PARTIE DE CET $ VIENT DE L’ÉTAT.
ET CE SYSTÈME DE SPÉCULATION FONCTIONNE TANT QUE QUELQU’UN SERA LÀ POUR ACHETER PLUS CHER CE QUE VOUS VENDEZ : DU PAPIER.
ET L’ÉTAT EST TOUJOURS LÀ POUR RACHETER SOUS TOUTES SORTE DE NOMS MYSTÉRIEUX ET THÉOLOGIQUES CE PAPIER.
SI VOUS VOUS RENDEZ COMPTE QUE VOUS N’AVEZ PLUS DE CRÉTINS – ON EST CHEZ PONZI – VOUS VENDEZ. LE PAPIER QUE VOUS AVEZ PERD DE SA VALEUR. LES AUTRES L’APPRENNENT ET VENDENT. LE PAPIER NE VAUT PLUS RIEN. ZÉRO.
CE QUI EST ARRIVÉ EN 2008.
ET SI L’ÉTAT N’ACHÈTE PAS : VOUS ÊTES FOUTU.
EN 2008, LES ÉTATS ONT ENGLOUTI DES MONTAGNES DE MILLIARDS POUR SAUVER LES BANQUES/BOURSES/MILLIARDAIRES > MARCHÉ.
AU LIEU DE TOUS LES PENDRE COMME DES TERRORISTES ET DES TRAÎTRES. OU PAR HUMANITÉ LES METTRE DANS UN CAMPS DE CONCENTRATION
CE SERA POUR LA PROCHAINE FOIS.
EN ATTENDANT, LES BANQUES JOUANT AVEC LES POIGNÉES DE LEURS CERCUEILS ONT POUSSÉS LES ÉTATS - QUI LES ONT SAUVÉES - À PRENDRE DES MESURES D'AUSTÉRITÉ - QUI NE NUISENT QU'AUX PLUS PAUVRES - ET À PRIVATISER À LEUR PROFIT.
ON VOIT DONC QUE LE VOL CONTINUE SANS CESSE SOUS UNE FORME OU UNE AUTRE.
SONT COMPLICES NOS DIRIGEANTS.