DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

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DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

vendredi 9 octobre 2015

6729. ART. ART MODERNE. ART CONTEMPORAIN. ART CONCEPTUEL. GÉOPOLITIQUE. LE CONCEPT. LE GRAND JEU. LE CONCEPT. MENSONGESSS ET MEURTRESSS CHEZ LE COLONEL MOUTARDE. C'EST INSPIRANT QUAND MÊME. LE CONGRÈS DES ÉMOTIFS ANONYMES AURA LIEU EN NOVEMBRE. PARTAGEONS LE TRÉSOR DE NOS ÉMOTIONS. OU PAS. OU PATAUGEONS DANS NOS ÉMOTIONS. FESTIVAL DE POÉSIE À WASHINGTON. MONSIEUR OBAMA LANCE UN DRONE QUI LANCE UN MISSILE SUR UN MARIAGE EN AFGHANISTAN ET UN HÔPITAL AU PAKISTAN. BEAUCOUP D'ÉMOTIONS. ET DE BELLES ÉMOTIONS.

IL FALLAIT QUE CE SOIT DIT. MOTS DU JOUR:
RAT
CHAUVE-SOURIS VAMPIRE
PROPATAGIUM. DACTYLOPATAGIUM. PLAGIOPATAGIUM. UROPATAGIUM.
LE PATAGIUM DES PTÉROSAURES EST TRÈS PROCHE DE CELUI DES CHAUVES-SOURIS, À LA DIFFÉRENCE PRÈS QUE, LES PTÉROSAURES NE POSSÉDANT QU'UN SEUL DOIGT SOUTENANT CHAQUE AILE,
LE DACTYLOPATAGIUM ET LE PLAGIOPATAGIUM SONT REMPLACÉS PAR LE BRACHIOPATAGIUM, QUI LIE DIRECTEMENT LE DOIGT PORTEUR AUX MEMBRES POSTÉRIEURS
MAINTENANT
QU'ON S'EST EXPRIMÉ
ON SE SENT
SEREIN ET SOULAGÉ

LA PROCHAINE FOIS,
NOUS VOUS PARLERONS DE LA NÉCESSITÉ DE DIMINUER
LE FARDEAU FISCAL DES RICHES 
™©❻❻❻⓭
DANS L'ENFER FISCAL QUÉBÉCOIS ™©❻❻❻⓭
Les journalistes qui pratiquent la propagande de guerre
[POUR EFFRAYER LES LECTEURS ET PROVOQUER, JUSTIFIER, INCITER 
UNE GUERRE FUTURE]
CNN, France24, BBC, Al-Jazeera, Radio-Canada, le Devoir

de Thierry Meyssan





RUSSIA DOUBLES NUMBER OF DAILY AIRSTRIKES IN SYRIA
AND 
REBELS INTENSIFY THEIR ATTACKS

By Anne Barnardoct
OCT 12, 2015
New York Times


BEIRUT, Lebanon —

Russian warplanes are carrying out more airstrikes in support of Syrian government ground troops

as rebels are firing more American antitank weapons

deepening the impression

that a proxy war between the United States and Russia 

is joining the list of interlocking conflicts in Syria.

Russia doubled the number of its airstrikes over the weekend to more than 60 a day

Russian state news media said, helping government troops take two villages on Monday.

Videos posted online by pro-Russian outlets
from an area above the village of Tal Skayk, in Hama Province
showed Syrian troops and allied militias watching 
as heavy barrages sent smoke towering from clusters of houses

while a narrator enthusiastically described progress in fighting “terrorists.”

At the same time

the handful of insurgent groups 
that received covert assistance 
from the United States

have intensified their use of 
TOW antitank guided missiles

[LES USA REFONT LE COUP DES MOUDJAHIDINES AFGHANS - LA RÉSISTANCE AFGHANE - SOUTENUS ET FINANCÉS PAR LA CIA DANS LE BUT D'ENTRAÎNER LES RUSSES DANS UN PUITS SANS FOND - ET ÇA A MARCHÉ - DANS LEQUEL EST TOMBÉ L'URSS. ET MONSIEUR REAGAN S'EN EST VANTÉ. LES MOUDJAHIDINES AFGHANS SONT ENSUITE DEVENUS LES TALIBANS QUI ONT ENSUITE PRIS LE POUVOIR UNE FOIS PRIVÉS DES SUBVENTIONS US. ET LES USA ET LEUR COALITION ONT DÛ RETOURNER LES COMBATTRE APRÈS 2001. CETTE FOIS, SOUS LA FORME DE LEUR ARMÉE. ET NON PLUS, DISCRÈTEMENT, AU MOYEN DE LA CIA. AINSI, ON FOURNIT AUX «MODÉRÉS» SYRIENS - AUTRE NOM DES TERRORISTES - DES ARMES ANTI-CHARS. ET ANTI-HÉLICOPTÈRES ET ANTI-AVIONS. AFIN D'EMPÊCHER L'AVIATION RUSSE DE LES BOMBARDER. LE TEXTE ATTIRE L'ATTENTION SUR UN DÉTAIL. EN ÉVITANT LES AUTRES. MAIS CETTE FOIS, LES RUSSES - NOUVEAU NOM DE L'URSS - CONNAISSENT TRÈS BIEN LE PETIT JEU DES USA. ILS ONT PAYÉS ASSEZ CHER. LEUR DEMANDERONT DE CESSER D'ARMER LES  TERRORISTES. LES USA AURONT ALORS LE CHOIX D'OBÉIR. OU DE DÉSOBÉIR. CE QUI AMÈNERA LES RUSSES À POUSSER LEURS PIONS. ET ÇA RISQUE DE SE TERMINER EN CONFLIT NUCLÉAIRE. CE QUI VA ÊTRE PASSIONNANT. ]

posting more than two dozen videos in the past few days of the missiles weaving over open fields before hitting their targets.

Russia and the United States 
have both said 
that they are fighting militants of the Islamic State

also known as ISIS or ISIL

but 

the two countries support opposite sides

in the battle between President Bashar al-Assad 

and 

Syrians who are rebelling against his government.

[ON A VU CECI AVEC LES CONTRAS ANTI-SANDINISTES AU NICARAGUA]

The dynamic has ratcheted up the dangers of the conflict, while also bolstering morale for combatants on both sides, because the higher stakes have led some fighters to expect stronger commitments from their backers.

With air support from Russia

Mr. Assad’s government 
is trying to retake territory 
seized this year by insurgent groups 

that include 

the Nusra Front, the Syrian affiliate of Al Qaeda
and 
American-backed units calling themselves the Free Syrian Army.

But the insurgents in that area do not include the Islamic State

which declared the formation of a caliphate
or religious state
in June 2014 

that stretches from northern and eastern Syria into Iraq.

Russian and U.S. Airstrikes Show Differing Goals

Both countries have said they want to defeat terrorist groups like the Islamic State

but in Syria

Russia’s definition of terrorist encompasses some groups that are allies of the United States.

[TRADUCTION: GROUPES DE MERCENAIRES PAYÉS PAR LA CIA]

The advances that have posed the most serious threat to Mr. Assad 

have come from a 

coalition of Islamist insurgents 

called the  Army of Conquest

[ENCORE UNE NOUVEAU NOM. L'AGENCE DE PUBLICITÉ DE LA CIA GRILLE SES NEURONES]

 that includes the Nusra Front but not the Islamic State.

Advancing alongside the Islamist groups
and sometimes aiding them
are several relatively secular groups led by army defectors
known as the Free Syrian Army.

The Free Syrian Army
despite fluctuating levels of assistance from the United States and its allies

has long been seen as a marginal player. 

[RÉVISIONNISME HISTORIQUE. SI ON RAPPELLE LES FAIT. QUE L'ON A REVUS DANS UNE DE LEURS PHASES EN UKRAINE. UN GROUPE DE PROTESTATAIRES PROTESTENT CONTRE LE GOUVERNEMENT. LA POLICE TIRE DESSUS. CE QU'ON A AFFIRMÉ EN SYRIE ET EN UKRAINE. ALORS LES MILITANTS PACIFISTES SCANDALISÉS, VOULANT DÉFENDRE LEURS DROITS, SE TRANSFORMENT EN COMBATTANTS. EN UKRAINE, ÇA S'EST ARRÊTÉ LÀ - CAR PROFITANT DE L'EXPÉRIENCE (RATÉE) SYRIENNE, ON A ENVAHI L'ÉDIFICE DU GOUVERNEMENT ET FORCÉ LE PRÉSIDENT À FUIR. EN SYRIE, LES PROTESTATAIRES PACIFISTES ET LES PROTESTATAIRES ARMÉS ÉTAIENT TROP PEU NOMBREUX. ON EST PASSÉ À UNE AUTRE PHASE: LES DÉSERTEURS DE L'ARMÉE - DEVENUS ARMÉE SYRIENNE LIBRE. MAIS ÇA N'A PAS MARCHÉ. IL Y EUT ENSUITE LA PHASE DES MERCENAIRES OÙ DES DEMANDES D'EMPLOIS ONT ÉTÉ ENVOYÉS CHEZ DES RECRUTEURS DE PARTOUT. Y COMPRIS CHEZ LES ANCIENS COMBATTANTS LIBYENS (OU NON) ANTI KADHAFI. ET LES EX-SOLDATS IRAKIENS DÉMOBILISÉS DE FORCE PAR LES USA. LES DÉSESPÉRÉS NE MANQUANT PAS. COMME ON A PU LE VOIR AVEC LES RÉFUGIÉS ET MIGRANTS ENVAHISSANT L'EUROPE. D'AUTRES, ON TROUVÉS COMME LES ANCIENS SUISSES, UNE GUERRE QUI LES ATTENDAIENT. AVEC VIOLS ET PILLAGES. TOUT CE QU'IL Y A DE PLUS AMUSANTS. MAINTENANT, LES USA LES ARMENT. CECI RESSEMBLE À L'AFFAIRE LYBIENNE. SAUF QU'IL N'Y A PAS DE ZONE DÉMILITARISÉE OÙ LES TERRORISTES PEUVENT SE RÉFUGIER - MAIS ILS ONT LES PAYS VOISINS - ET OÙ LES USA DESCENDENT LES SOLDATS LIBYENS QUI Y PÉNÈTRENT. AVANT DE DÉTRUIRE TOUT L'ÉQUIPEMENT MILITAIRE. CHARS. ET AVIONS. ENSUITE, ON PASSE AUX ANCIENS COMBATS AU SOL. UNE ARMÉE DE MERCENAIRE INFINIE ATTAQUANT CE QUI RESTAIT DE L'ARMÉE LIBYENNE. JUSQU'À CE QUE MONSIEUR KADHAFI SOIT TUÉ. ET C'EST À CETTE TRAHISON QU'À PARTICIPÉ LE GOUVERNEMENT CANADIEN AVEC LA COMPLICITÉ DE TOUS LES POLITICIENS DE TOUS LES PARTIS. ET LA CURÉE PAR LES QUELQUES AVIONS DU CANADA. SE JOIGNANT À TOUS LES AUTRES TUEURS. SITUATION SIMILAIRE EN SYRIE MAIS EXPLICATION DIFFÉRENTE. OFFICIELLEMENT, ON N'ATTAQUE PAS LE CHEF D'ÉTAT NI SON ARMÉE. COMME EN LIBYE. ON EST LÀ POUR DÉFENDRE LE PEUPLE SYRIEN CONTRE LES TERRORISTES MYSTÉRIEUX VENUS DONT NE SAIT OÙ. MAIS LA TENTATION EST FORTE DU POINT DE VUE DE NOTRE PSYCHOPATHE EN CHEF - MONSIEUR HARPER - D'ATTAQUER LE PRÉSIDENT SYRIEN. ET IL NE SEMBLE PAS AVOIR AUCUN COMPLEXE D'ATTAQUER LE PRÉSIDENT RUSSE. CE QUI EN DIT LONG SUR SON ÉTAT MENTAL]

The influence of Islamist groups has risen alongside better organization and financing. 

[«BETTER ORGANIZATION» - DE QUI? - «BETTER FINANCING» - DE QUI? ]

But new developments have given the Free Syrian Army a more prominent role, even while putting the group in new danger.

Several American-aided units 

have come under direct fire by the Russians

but they claim to have held their territory

with the help of TOW missiles

better than their Islamist counterparts.

“Rebels on these front lines are the Free Syrians who come from these villages and have no other place to go to,” 

said one fighter who asked that his name not be used, for safety reasons.

“We are not foreigners who can easily leave,” 

he added

contrasting his unit to the Nusra Front and the Islamic State

which have attracted foreign fighters. 

“We belong here, and our families and land are here.”

Syrian government troops advanced on Monday toward a crucial highway held by insurgents, taking several villages in Hama Province with the help of Russian airstrikes, according to Syrian and Russian state news media, antigovernment activists and fighters.

A senior commander of Hezbollah, the Lebanese Shiite militia group that has been battling alongside Mr. Assad’s forces, was killed on Sunday in the fighting. 

He was identified as Hassan Mohammad Hussein al-Hajj by Hezbollah news outlets, which provided live coverage of his funeral on Monday.

Videos from the battlefield in recent days showed Russian attack helicopters swooping low over fields, seemingly close enough to touch, then veering upward to fire barrages of rockets, flares and heavy machine-gun fire.

Warplanes dropped leaflets over Idlib and Latakia, farther north

trying to persuade insurgents to surrender.

“40 types of ammunition … are waiting for you,” 

one read. 

“Able to destroy targets (ground-underground-shelters and fortified areas).”

Another read: 

“O Gunman: It is time for the truth. The world is changing rapidly. The army is coming. Think of yourself.” 

It added, 

“Drop your weapon to keep your life and future.”

Insurgents and antigovernment activists conducted their own information campaign, circulating videos showing how to disarm what they said were Russian cluster bombs and listing helpful Russian military terms that might be overheard on radio transmissions.



WORLD  MIDDLE EAST

U.S. TO DEFEND NEW SYRIA FORCE FROM ASSAD REGIME

MILITARY OFFICIALS PLAY DOWN CHANCES OF DIRECT CONFRONTATION WITH THE ASSAD REGIME

Adam Entous

Aug. 2, 2015

Wall Streeet Journal

President Barack Obama 

has authorized using air power to defend a new U.S.-backed fighting force in Syria

if it is attacked by Syrian government forces

or other groups

raising the risk of the American military coming into direct conflict with the regime of President Bashar al-Assad.

U.S. officials said 

the decision ended a monthslong debate
over the role the American military should play
in supporting 
its few allies on the battlefield in Syria.

Administration officials had been deeply concerned
that defending the Pentagon-backed force
could inadvertently open the first open conflict
with the Assad government
which has denounced the U.S. program.

Though the new rules 

allow Pentagon strikes 
to defend 
the U.S.-allied force
against any regime attacks

U.S. military officials 
played down the chances of a direct confrontation
at least in the near term.

The newly trained force has committed to fighting Islamic State
not the regime

and won’t be fielded in areas the regime controls.

U.S. officials say 

they believe the regime won’t challenge the new force.

Alistair Baskey, a White House National Security Council spokesman,
declined to comment on
the specifics of the new rules of engagement.

But he said 

the administration has made clear it will

“take the steps necessary to ensure that these forces could successfully carry out their mission.”

U.S. support to the Pentagon-trained force

he added

would include

defensive fires support to protect them.”

The decision comes as 
the U.S. and Turkey
discussed
joint operations to clear a zone along
the Turkish-Syrian border of Islamic State militants.

Turkish officials
urged the U.S. to be more serious about
defending allied ground forces there.

The U.S. and Turkey plan
to send rebels
they are training

into the zone as well as into other areas in northern Syria where Islamic State holds territory.

Officials said 

another impetus for the decision
was the recent insertion 

of the first group of Pentagon-trained fighters 

into northern Syria
where last week they were ambushed by
al Qaeda-linked fighters.

The Pentagon

has struggled
to recruit and vet rebels for the new train-and-equip program

which it launched last year

in part because
the U.S. is asking them to fight Islamic State
instead of the Assad regime.

Most rebels see the government as their main enemy.

U.S. military officials say

fewer than 60 rebels
have completed
the Pentagon training program 

and
re-entered the fight so far
casting doubt on the effort.

Defense Secretary Ash Carter
has acknowledged

the recruitment problems
but 

he has said

the effort is essential to the administration’s strategy
to turn the tide against Islamic State.

Mr. Carter says

U.S. air power alone
won’t be sufficient
and
that local Syrian forces
are needed to take and hold territory
as Islamic State is pushed back.

Mr. Obama 

has ruled out committing
U.S. ground forces to the fight.

A promise of defensive air support
U.S. officials said

could help persuade
prospective recruits
the Pentagon is serious about protecting them

including against the regime.
But it also underlined the many challenges the new force will face

entering a crowded battlefield

where competing rebel groups

are vying for dominance

and where aligning oneself with the U.S.

has been more of a liability than an advantage.

Some U.S. lawmakers including Sen. John McCain, an Arizona Republican
have sharply criticized the White House’s commitment

to the train-and-equip program

saying 

more needs to be done to support rebels
both in the fight against Islamic State
and
to isolate the Assad regime.

The Pentagon 
would only be 

authorized
to conduct so-called offensive air operations in Syria

in support of the newly trained force
when it fights Islamic State
which is sometimes referred to as ISIS.

The Pentagon-backed force

has been explicitly directed not to conduct offensive operations
against the Assad regime

the officials said.

The Pentagon
however
would have more leeway to use air power

in so-called defensive operations

should the new force come under attack
while operating in northern Syria.

While the new rules
don’t explicitly name the Assad regime

officials said 

the guidelines
will allow the Pentagon
to defend 
the new force 
against
any attackers

including the regime and the Nusra Front, Syria’s al Qaeda affiliate.

“For offensive operations, it’s ISIS only.
But if attacked
we’ll defend them against anyone who’s attacking them,”
said a senior military official.
“We’re not looking to engage the regime
 but we’ve made a commitment to help defend these people.”
The Pentagon used air power for the first time on Friday
to help defend its new force
when the compound it was using in northern Syria
came under attack from the Nusra Front.
The new rules
which the Pentagon recommended
and
which Mr. Obama approved
will apply only to forces trained and equipped by the Pentagon.

Those forces are currently only in northern Syria

and 

officials made clear the new rules
won’t apply to forces backed by the U.S. in southern Syria.

The new rules of engagement 

have been in the works for months
and the delay in reaching a decision
reflected 
the Obama administration’s reluctance
to spell out 

the conditions under which

the U.S. might find itself in a fight with the Assad regime.

The U.S. hasn’t yet used air power to help defend the new force against the regime

and military officials 
made clear they hoped that day would never come

because of the risk it could lead to a direct conflict

between the U.S. and the Assad government

which is backed by Russia and Iran.

U.S. officials said 
they had no information to suggest that the Assad regime 
had any plans to attack 

the Pentagon-trained force

though U.S. intelligence 
in Syria 
is spotty 
and 
the Pentagon 
was caught off guard last week 
by Nusra’s assault on the force. 

Pentagon officials 
on Sunday 
declined to comment on
where the force was currently located
citing concerns about their security.

Last year

the Nusra Front 
attacked 
rebel groups 
linked to 
a separate train-and-equip program 
run by 
the Central Intelligence Agency. 

The assault pushed the CIA-backed rebels out of northern Syria.

In response
the spy agency 
has shifted its support 
to rebel units in the south.

In contrast to the Pentagon program

the CIA program 

has been focused on fighting the Assad regime.

Mr. Assad 
has been struggling to fend off advances 
by Islamic State and the Nusra Front
and can ill afford 
to open a new front with the Americans

officials said.

The Pentagon’s confidence 
in being able to avoid a standoff 
with 
the Assad regime 
over the new force 
stems in part from past experience. 

Officials said 

the regime, for example, hasn’t challenge U.S. air operations in Syria
over the last year in support 
of Kurdish and other Arab forces battling Islamic State.

In the past
the U.S. 
has passed messages
to the Assad regime
warning its forces 

against 
interfering in the U.S.-led anti-Islamic State campaign. 

U.S. officials say those warnings have been heeded thus far. It is unclear if a message has been passed to the regime regarding U.S. air support to the Pentagon-trained force.

The Pentagon had hoped to train 3,000 fighters by year’s end

but 
the process of finding and vetting applicants 
who are committed to fighting Islamic State

and 
who don’t have ties to other hard-line groups 
has been slow

officials say.

*

Islamic State Recruiting Kurds in Turkey
U.S. Bolsters Syrian Rebels With Airstrikes (July 31)
Syrian Rebels Make Fresh Gains (July 28)

U.S.-Turkey Deal Paves Way to Set Up Buffer Zone in Northern Syria (July 26)

Marquis de Sade
(1740 - 1814)

Justine
Les infortunes de la vertu

http://www.sade-ecrivain.com/vertu.htmT
CET HOMME A ENVIE DE DONNER SES ORGANES
OH!
UNE SALOPE EN MINI-JUPE !
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MILITANT DES DROITS DE LA FEMME ISLAMANINIANIQUE. UN
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DERRIÈRE TOUT ÉLECTROMÉNAGER
IL Y A UNE HISTOIRE
À DROITE ET À GAUCHE
MILITANTS DES DROITS DE L'HOMME
TRAVAILLANT POUR LA CIA
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ON APPRÉCIERA DAVANTAGE
L'ENTHOUSIASME COMMUNICATIF
DES
FUTURS IMMIGRANTS CANADIENS
À GAUCHE

LORSQU'UNE FOIS
ICI
ET
DEVENUS CITOYENS
ILS DEMANDERONT
LEURS PERMIS D'ACHAT ET DE PORT D'ARMES
NOUS COMPTONS NOUS PORTER GARANT
COMME
TÉMOIN DE MORALITÉ
PARCE QUE
CE SONT DES CROYANTS RELIGIEUX TRÈS CROYANTS


SOURCES D'INSPIRATION QUI ILLUMINENT NOTRE QUOTIDIEN

SOUDAIN
JE RESSENS UNE PULSION IRRÉSISTIBLE
D'ALLER ME FAIRE SAUTER AU PARLEMENT CANADIEN
OU 
DANS UN BAR SI JE SUIS UNE FILLE

UNE LEÇON DE VIE
UN SEUL REGRET
NOUS NE POUVONS
MALHEUREUSEMENT
 QUE
REMARQUER
QUE
PARFOIS
L'ÉGORGEMENT
LA DÉCAPITATION
ET LE VIOL
(A VANT OU APRÈS L'ÉGORGEMENT ET LA DÉCAPITATION)
FRANCHIT
LA LIMITE DU BON GOÛT

CATCALLING
SIFFLEMENTS
RAPPORT COMPLEXE DE SÉDUCTION ENTRE LES HOMMES ET LES FEMMES

COMMENT C'EST EXTRAORDINAIRE UN VAGIN
UNE LEÇON DE VIE
JUSTINE
LES INFORTUNES DE LA VERTU
Marquis de Sade
(1740 - 1814)


WASHINGTON 

VEUT REVOIR 
SON 
PROGRAMME D'AIDE 
AUX 
REBELLES



U.S. SAYS PROGRESS MADE WITH RUSSIA DURING LATEST SYRIA AIRSPACE SAFETY TALKS

TALKS COULD BE HELD AS EARLY AS THIS WEEKEND

CBC. Thomson Reuters
Oct 10, 2015


Defence officials from the United States and Russia held a 90-minute video conference call on Saturday to discuss safe flight operations over Syria, according to the Pentagon.

"The discussions were professional and focused narrowly on the implementation of specific safety procedures,"

the U.S. Department of Defence said in a statement released on Saturday.

"Progress was made during the talks, and the U.S. agreed to another discussion with Russia in the near future."

The former Cold War enemies have sought to avoid an accidental clash as they carry out rival bombing campaigns.

Russia's entry into Syria's civil war last week 

has complicated America's more than year-old campaign of airstrikes against the Islamic State of Iraq and Syria (ISIS)

leading to at least one U.S. jet to take evasive action to avoid an incident.

The United States, which opposes Moscow's support for Bashar al-Assad, president of Syria

has ruled out cooperation with Russia but has agreed to work on air safety procedures.

U.S. proposals were outlined during a secure video conference between the U.S. and Russian militaries on Oct. 1 and they included 

maintaining a safe distance between American and Russian aircraft 

and 

using common radio frequencies for distress calls.

The U.S. military warned it would not accept a Russian offer to hold more talks until it first received a formal response to those proposals

something the Pentagon said has now arrived.

RUSSIA SIGNALS SUPPORT FOR U.S. PLAN

Russia's deputy defence minister, Anatoly Antonov, was quoted by the Tass news agency on Tuesday as saying 

the Russian military agreed in principle with the proposals made by the United States.

Since Russia began airstrikes last week it has described all its targets as belonging to ISIS

although most have been in areas controlled by other rebel movements where ISIS has little or no presence.

Efforts to ensure pilot safety have gained urgency after the United States and NATO denounced Russia for violating Turkish airspace.

Ash Carter, U.S. Defence Secretary, has said

Russian aircraft came within kilometres of an American drone

and 

criticized Russia for launching cruise missile strikes without warning.

(…)

That offensive marked the first major air-and-ground assault since Moscow began its military campaign in Syria on Sept. 30.

Russian officials say the airstrikes are targeting mainly ISIS militants

but 

most strikes are hitting areas where the extremist group is not present.

The fighting is concentrated in Hama and the northern Idlib provinces

where a consortium of mainstream rebels as well as al-Qaida's branch in Syria, the Nusra Front, are operating.

The Syrian Observatory for Human Rights

which relies on a network of activists across Syria

said government troops seized control of Atshan on Friday

amid intense Russian airstrikes in the region.

It said troops also seized the nearby Um Hartein village.

Syrian troops have faced stiff resistance from 

the rebels who have used 
advanced U.S.-made TOW missiles 
to attack Syrian tanks and armoured vehicles.

The Russian defence ministry said in a statement

that Russian planes flew 64 sorties and targeted 54 sites in the past 24 hours, 

without elaborating.

Among the sites attacked, it said, were command outposts in Aleppo and Idlib provinces.

Russia, a key ally of Assad, has insisted its airstrikes are targeting ISIS and other terrorists.

But U.S. officials said this week

that 

Russia has directed parts of its air campaign against U.S.-funded groups 

and other moderate opposition groups in a concerted effort to weaken them.

Heavy fighting was also taking place in the al-Ghab plain in Hama province 

— a natural barrier between areas controlled by Sunni Muslims and the Alawite sect to which Assad and many of his loyalists belong.

Syria's civil war

which has killed more than 250,000 people 

in the past four years

has displaced half the country's pre-war population of 23 million people.

A U.S.-led coalition has been striking ISIS targets in Syria for over a year

[AVEC LES 6 AVIONS DU CANADA OU DU PREMIER MINISTRE HARPER]

COMMENTAIRE DU PEUPLE

1


Since Russia has apparently been more effective in a week then the US coalition has been it over a year, perhaps the US should come home and let the Russian get the jobs done.


*

ÉTAT ISLAMIQUE, LE RÈGNE DE LA TERREUR

L'EI GAGNE DU TERRAIN EN SYRIE


WASHINGTON VEUT REVOIR SON PROGRAMME D'AIDE AUX REBELLES

vendredi 9 octobre 2015

*


OBAMA CHANGE DE STRATÉGIE EN SYRIE

[MODIFICATION DU TEXTE. SAMEDI]


9 octobre 2015 

Radio-Canada avec Agence France-Presse et Reuters

L'administration Obama 
a décidé de mettre un terme à la formation de rebelles en Syrie 

après avoir constaté l'échec de ce programme.

Washington en a fait l'annonce vendredi en précisant

qu'il se concentrerait désormais sur la fourniture d'armes à des groupes ciblés.

« Est-il préférable de placer ces gars dans des programmes de formation pendant des semaines ou de les laisser combattre sur le terrain en leur offrant plus de soutien? 

Je pense que la bonne réponse est la deuxième et c'est ce que nous allons faire»

a résumé Brett McGurk, conseiller de M. Obama chargé de la lutte contre l'EI.

La nouvelle a fait pavoiser les républicains. La sénatrice Deb Fischer s'est félicitée que Washington admette

« ce que nous savions depuis quelque temps: l'entraînement des rebelles syriens est un échec ».

L'administration américaine a reconnu avoir rencontré des difficultés à trouver des recrues parce que le programme ne prévoyait qu'un engagement contre le groupe armé État islamique et non contre les forces en faveur du président syrien Bachar Al-Assad.

L'entrée récente de la Russie dans le conflit a accentué les doutes sur la stratégie de l'administration américaine en Syrie 

et 

remis en cause l'influence de Washington dans la région.

[LE MOT «INFLUENCE» EST BO. PUISQU'ILS ONT TUÉ TOUS CEUX QUI LEUR RÉSISTAIT OU NE LÉCHAIT PAS AVEC ASSEZ DE FERVEUR. ET QU'ILS ÉTAIENT EN TRAIN DE TUER ASSAD LORSQU'UN MYSTÉRIEUX SAUVEUR EST ARRIVÉ.]

*

US TO ABANDON TRAINING NEW SYRIA REBEL GROUPS

SYRIA CRISIS: US-TRAINED REBELS GIVE EQUIPMENT TO AL-QAEDA AFFILIATE

SYRIA CRISIS: AL-NUSRA FRONT 'SEIZES US-BACKED REBELS'

SYRIA CONFLICT: US FIGHTER PLAN CRITICISED BY KEY REBEL

OBAMA ADMINISTRATION ENDS PENTAGON PROGRAM TO TRAIN SYRIAN REBELS. NEW YORK TIMES

SYRIAN REBEL GIVES U.S. TRUCKS, AMMO TO AL-QAEDA AFFILIATE
MATERIEL APPARENTLY TURNED OVER EARLIER THIS WEEK IN EXCHANGE FOR SAFE PASSAGE WITHIN THE REGION

The U.S. is abandoning its goal of training a new force of moderate Syrian rebels

and will focus on equipping and supporting established rebels groups already fighting against the Islamic State group inside Syria

officials said Friday.

The change, which has not yet been officially announced

reflects the failure of the current approach, which has produced

only a handful of combat-ready moderate rebels

and drawn widespread criticism in Congress.

Officials briefed on the new approach said it would focus heavily on equipping and enabling established Kurdish and Arab rebel groups

[LES TURCS QUI N'AIMENT PAS LES KURDES (NI LES ARMÉNIENS) - TIRENT DESSUS CE QUI COMPLIQUE LEUR USAGE.]

rather than recruiting and vetting a new cadre of moderate rebels, training them

at camps in Turkey and Jordan 

and 

re-inserting them into Syria.

The $500 million US Congress provided last year for the program will be used more for equipping select rebel groups inside Syria, with limited training activity.

The officials spoke on condition of anonymity because they weren't authorized to discuss the change publicly.

Under the new approach, the U.S. would provide communications gear, for example, to enable established rebel groups to co-ordinate U.S. airstrikes in support of their ground operation

the officials said.

The officials spoke on condition of anonymity because details of the shift in approach had not yet been announced.

EMBARRASSING SETBACKS

The original program was beset with a series of embarrassing setbacks.

The first group of trainees largely disbanded soon after they were sent into combat; some were captured or killed, while others fled.

A second class yielded only a small number of new fighters

drawing criticism from U.S. lawmakers who condemned the program as a joke and a failure.

A Syrian rebel commander leading the trainees last week handed over a half-dozen vehicles to extremist militants.

U.S. officials have said the new effort would focus more on embedding recruits with established Kurdish and Arab units, rather than sending them directly into front-line combat.

"The work we've done with the Kurds in northern Syria is an example of an effective approach,"


[LES TURCS N'AIMENT PAS QU'ON ARME LES SÉPARATISTES KURDES/TURCS]

U.S. Defence Secretary Ash Carter told a news conference in London

without providing any details of the new program.

"That's exactly the kind of example that we would like to pursue with other groups in other parts of Syria going forward."

He called it a

"more strategic approach"

than what the U.S. has been doing from the beginning.

"We have been looking for now several weeks at ways to improve that program,"

Carter said.

"I wasn't satisfied with the early efforts in that regard."

Instead of fighting Islamice State in small units

the U.S.-trained rebels

would be attached to larger existing Kurdish and Arab forces.

They would be equipped with U.S. communications gear and trained to provide intelligence and to designate Islamic State targets for airstrikes in co-ordination with U.S. troops outside of Syria,

the officials said.

The top U.S. commander in the Middle East, Gen. Lloyd Austin, acknowledged

that the program got off "to a slow start"

and he told Congress that he looking at options that would best employ the moderate forces.

Officials have also said

the new plan also scales back the number of rebels the U.S. expects to train from the initial 5,400 per year to a much smaller total.

It also would streamline the vetting process designed to weed out terrorist infiltrators.

*

The US is to end its efforts to train new Syrian rebel forces
and

says it will shift to providing equipment and weapons to existing forces.

Its $500m (£326m) programme

was heavily criticised

after it emerged that US-trained rebels had handed vehicles and ammunition over to extremists.

It emerged last month that only four or five of the fighters were in Syria.

The programme had aimed to train and equip 5,400 fighters this year

and a further 15,000 in 2016.

The Pentagon says help will now be provided to

"a select group of vetted leaders and their units".

Of the initial two groups sent into the country
the first was rounded up by Jabhat al-Nusra, an offshoot of al-Qaeda, in July.

The second handed much of its equipment over 
to the same group in September
reportedly in exchange for safe passage.

Quoting an anonymous US Department of Defense source

the New York Times reported that

the US would no longer 
recruit Syrian rebels 
to go through its training programmes 

in 

Jordan, Qatar, Saudi Arabia 
the United Arab Emirates.

Instead

it would establish a smaller training centre in Turkey

where "enablers" - mostly leaders of opposition groups –

would be taught operational manoeuvres like how to call in airstrikes

the newspaper said.

The failure of the programme underscores the wider problem of the inability to create large and effective moderate forces on the ground.

It will also have wider repercussions since the programme helped to coordinate support activities between the Americans, the Gulf states, Turkey, and Jordan.

The risk now is that those countries may push on with more separate initiatives backing individual client groups.

Washington was already limited in its ability to influence events on the ground. 

The failure of this initiative will reduce it even further.

Syrian rebel commanders demand US support

Rebels 'let down' by US

Speaking in a joint news conference with UK Defence Secretary Michael Fallon, Mr Carter admitted that he "wasn't satisfied with the early efforts" of the training.

The US was now looking at "different" ways to "enable capable, motivated forces 

on the ground to retake territory from ISIL and reclaim Syrian territory from extremism"

he added, using another acronym for IS.

Russian missile 'malfunction'

Mr Carter also said 

there were indications that four Russian cruise missiles that crashed in Iran before reaching their targets in Syria had malfunctioned.

*

A group of US-trained Syrian rebels
has handed over their vehicles and ammunition
to fighters linked to al-Qaeda
the US military has admitted.

It said one rebel unit had surrendered six pick-up trucks and ammunition
to the al-Nusra Front this week

apparently to gain safe passage.

Congress has approved 
$500m (£323m) 

to train and equip about 5,000 rebels to fight against Islamic State militants.

But the first 54 graduates were routed by al-Nusra Front

the military said.

Gen Lloyd Austin told US lawmakers last week that only

"four or five" US-trained rebels were still fighting.

'PROGRAMME VIOLATION'

"Unfortunately, we learned late today that the NSF (New Syrian Forces) unit

now says it did in fact provide six pick-up trucks and a portion of their ammunition

to a suspected al-Nusra Front (group),"

Pentagon spokesman Cpt Jeff Davis said on Friday.

Meanwhile

Col Patrick Ryder, a spokesman for US Central Command (Centcom), said this happened on 21-22 September.

He added that the surrendered vehicles and ammunition amounted to roughly 25% of the equipment issued to the unit.

"If accurate, the report of NSF members providing equipment to al-Nusra Front is very concerning and a violation of Syria train-and-equip programme guidelines,"

Col Ryder said.

The unit was part of some 70 rebel fighters who participated in the second US training course.

The train-and-equip programme is at an early stage, but this is just the latest in a series of setbacks

the BBC's Laura Bicker in Washington says.

*

Syria's al-Qaeda affiliate
al-Nusra Front
has claimed to have captured 
a number of rebel fighters 
who were 
trained by the US.

A statement from the militant group warned others against taking part in "the American project".

Earlier reports said the leader of the 

so-called Division 30 

and other members had been taken but this has been denied by the Pentagon.

On Friday, al-Nusra Front attacked Division 30's base in northern Syria.

Five of the group's fighters were killed and several more wounded in the clashes,

Division 30 said in a statement.

Al-Nusra said some of its fighters were killed in US airstrikes against their positions near the city of Aleppo.

Its statement did not say how many Division 30 fighters had been captured, or when they were taken.

Division 30 were trained under a US-led programme to build a moderate force to fight the Islamic State group.

The Syrian conflict began with an uprising against the government

but that has since splintered

pitting rebel groups fighting President Assad's forces against one another.

*

A US plan to build a fighting force to take on the Islamic State (IS) group in Syria has been criticised by a senior rebel commander.

Capt Ammar al Wawi, a former Syrian army officer

whose men were the first to be trained in the programme

also said the US failed to protect them when they came under attack last week.

The group lost five fighters in clashes with al-Qaeda-affiliate al-Nusra Front.

Only 54 fighters had been trained so far under the US programme.

US President Barack Obama announced the plan last summer

to train up to 5,000 fighters a year

to form a moderate Sunni opposition 

to help take on IS militants.

But Pentagon officials say they have struggled to find trainees who meet the vetting criteria.

"The project is very slow," 

Capt Wawi told the BBC's Ian Pannell. 


"They are ready to train and 


form a national army of 15,000 fighters 

and we hear they are ready to back it with money, weapons and provide air cover."


But, he said, 

if it takes six months to train only around 60 fighters 

"it will take decades to get everyone ready".

Division 30 and members of the Free Syrian Army came under attack from al-Nusra in northern Syria last Friday.

Al-Nusra, which is not affiliated to IS but has itself come under attack from the US in the past, said in a statement

that it had captured some fighters and warned others against taking part in what it called "the American project".

The US said it provided "defensive support fire"

at the time of Friday's attack, although Capt Wawi said

it came after the fighting had finished.

"In reality, we have got no international guarantees to protect our fighters or to protect the 30th Division,"

Capt Wawi said.

The Syrian conflict 
began 
with an uprising against the government in Damascus
but 
that has since splintered
pitting rebel groups 
fighting 
President Bashar al-Assad's forces 
against one another.

Correction: An earlier version of the story said Capt Ammar al Wawi had been trained in the programme. This was modified on 6 August to correctly state that he was an officer in the unit.

*

LONDON — The Obama administration 

has ended the Pentagon’s 

$500 million program

to train and equip Syrian rebels

administration officials said on Friday

in an acknowledgment that the beleaguered effort had failed to produce any kind of ground combat forces capable of taking on the Islamic State in Syria.

Pentagon officials announced

the end of the program on Friday

as Defense Secretary Ashton B. Carter left London after meetings with his British counterpart, Michael Fallon

about the continuing wars in Syria and Iraq.

The closing of the program comes as 

the administration’s attention is shifting to northeastern Syria

where it hopes to assemble a group of Sunni tribes

in a “Syrian Arab Coalition”

to fight alongside Syrian Kurdish forces

against the 

Islamic State, also known as ISIS or ISIL.

“Secretary of Defense Ash Carter is now directing the Department of Defense to provide equipment packages and weapons to a select group of vetted leaders and their units so that over time they can make a concerted push into territory still controlled by ISIL,”

a Pentagon statement said of the new effort.

The statement said the Pentagon would monitor the progress of these groups

“and provide them with air support as they take the fight to ISIL.”

A senior defense official said that the remaining training 

“will be much more minimal” 

than the previous program. 

*

CIA
The Central Intelligence Agency 
runs a separate program 
to train and arm 
selected groups

many of which are now battling Syrian army units backed by Russian air power.

The new program, the official said, will begin in the next few days.

Officials said the equipment, which will be supplied to leaders of Syrian opposition groups, would include weapons, ammunition and communication equipment.

“I wasn’t happy with the early efforts” of the program

Mr. Carter said during a news conference with Mr. Fallon.

“So we have devised a number of different approaches.”

Mr. Carter added,

“I think you’ll be hearing from President Obama very shortly” on the program.

But after the news conference, a senior defense official said that Mr. Carter had misspoken and that Mr. Obama would not be speaking. The White House is expected to make a statement.

The shift in strategy comes amid a huge deployment of force by Russia in support of Syria’s president, Bashar al-Assad, who has clung to power since the civil war began in 2011.

Russian warplanes have conducted scores of airstrikes, and Moscow has fired a barrage of cruise missiles at targets in Syria.

Mr. Assad and his allies, Russia and Iran, say he is a bulwark against the Islamic State.


*

The United States insists that Mr. Assad must go

though possibly as part of a negotiated transition.

For years, the Americans have found it difficult to identify groups in Syria that they can confidently support.

A senior Defense Department official, who was not authorized to speak publicly and who spoke on the condition of anonymity, said

that there would no longer be any more 
recruiting of so-called moderate Syrian rebels 
to go through training programs 
in Jordan, Qatar, Saudi Arabia or the United Arab Emirates.

Instead, a much smaller training center would be set up in Turkey

where a small group of “enablers” — mostly leaders of opposition groups — would be taught operational maneuvers like how to call in airstrikes.

While many details of the new approach still need to be worked out

President Obama endorsed the shift in strategy at two high-level meetings with his national security and foreign policy advisers last week

several American officials said.

The change makes official what those in the Pentagon and elsewhere in the administration have been saying for several weeks would most likely happen

particularly in the wake of revelations that the program at one point last month had only

“four or five” trainees in the fight in Syria

a far cry from the plan formally started in December to prepare as many as
5,400 fighters this year,

and 15,000 over the next three years.

Already, the Pentagon has announced it was “pausing” the transfer of trainee candidates in Syria to training sites in Jordan and Turkey.

Several dozen opposition fighters already at the training sites are likely to complete their instruction — learning to help call in allied airstrikes

and 

operating 122-millimeter mortars 

and they will be placed in opposition groups in Syria to enhance their combat effectiveness, officials said.

“Training thousands of infantry was not the right model, I think that’s become pretty clear,”

said another senior administration official

who spoke on condition of anonymity to discuss internal planning.

The official said the training was

“to be suspended, with the option to restart if conditions dictate, opportunities arise.”

The official also said that

support to Sunni Arab fighters in eastern Syria was an example of focusing on groups already fighting the Islamic State, also known as ISIS or ISIL,

“rather than using training to try to manufacture new brigades.”

The shift in strategy comes as critics in Congress have increasingly demanded that the administration make changes or face the elimination of the program.

In a letter to the State Department

the Pentagon and the C.I.A. last week

four senators — three Democrats and a Republican — criticized the program.

“The Syria Train and Equip Program goes beyond simply being an inefficient use of taxpayer dollars,”

the senators wrote.

“As many of us initially warned, it is now aiding the very forces we aim to defeat.”

The senators — Christopher S. Murphy, Democrat of Connecticut; Joe Manchin III, Democrat of West Virginia; Tom Udall, Democrat of New Mexico; and Mike Lee, Republican of Utah —

were referring to the latest debacle of the program.

Some of the American-trained Syrian fighters gave at least a quarter of their United States-provided equipment to the Qaeda affiliate in Syria, the Nusra Front

the United States Central Command acknowledged in late September.

In a statement correcting earlier assertions that reports of the turnover were a “lie” and a militant propaganda ploy

the Central Command said it had subsequently been notified that

the Syrian rebels had “surrendered” some of its equipment

including six pickup trucks and a portion of their its ammunition — to the Nusra Front.

More broadly, the program has suffered from a shortage of recruits willing

to fight the Islamic State instead of the army of Mr. Assad

a problem Mr. Obama mentioned at a news conference last Friday.

The administration was expected to provide classified briefings to lawmakers and their senior aides on Capitol Hill on Friday to explain the impending changes to the train and equip program.

“The opposition and their regional backers wanted the program

they just couldn’t accept ISIS as the priority 

and 

U.S. ambiguity on taking out Assad,”

said Andrew J. Tabler, an expert on Syria at the Washington Institute for Near East Policy.

“Like in the Iraq war, you can’t expect people to fight on your behalf unless you give them what they want. We got the politics wrong yet again.”

The shift in strategy comes as Mr. Obama has approved two important steps to set in motion an offensive against the Islamic State in northeastern Syria in the coming weeks.

Mr. Obama ordered the Pentagon, for the first time,

to directly provide ammunition and perhaps some weapons to Syrian opposition forces on the ground.

He also endorsed an idea for an

increased air campaign from an air base in Turkey

although important details of that plan still need to be worked out.

Together, these measures are intended to empower 3,000 to 5,000 Arab fighters,

a conglomeration of 10 to 15 groups

who would join more than 20,000 Kurdish combatants in an offensive

backed by dozens of coalition warplanes

to pressure the Islamic State in Raqqa, the militant group’s main stronghold in Syria.

American military officials have screened 
the leaders of the Arab groups 
to ensure that they meet standards set by Congress

when it approved $500 million last year for the Defense Department to train and equip moderate Syrian rebels.

Under the shift in strategy that emerged on Friday

the administration would now focus more of its efforts on equipping these Arab fighters and inserting some of the trained Syrian rebels within their ranks.

Correction: October 9, 2015

Because of an editing error, an earlier version of this story misstated the region of Syria to which the Obama administration is shifting its attention. It is northeastern Syria, not northwestern.

COMMENTAIRE DU PEUPLE

1

"The program cost us about $100K per a fighter."

Actually, it was about $100M each 

-- but what are a few zeroes, after all, when you're talking about such vast sums?

2

Let me see if I have this right. For weeks now, 

we have been receiving scattered reports of the failure of the US to vet a significant number of "moderate rebels" in Syria

culminating with today's announcement that the program is cancelled. 

Mean time, we are criticizing the Russians 
for attacking the "moderate rebels" 
instead of ISIL

Does this seem inconsistent to anybody else?


The US has once again demonstrated its total incompetence in the Middle East. 

This can be expected to continue as long as we play power politics, and follow the failed pattern of alliances that was born of the Sykes-Picot agreement.



*
A Syrian rebel commander

who recently completed a U.S. training program has told the U.S. military

that he surrendered six coalition-provided trucks and ammunition to an intermediary linked to the al-Qaeda affiliate in Syria, known as the Nusra Front.

U.S. Central Command said late Friday

that roughly 25 per cent of the equipment assigned to that unit was apparently turned over earlier this week in exchange for safe passage within the region.

U.S. officials said the Syrians continue to insist that they have not relinquished any actual weapons to the Nusra Front and that all of their personnel are still accounted for.

Col. Pat Ryder, a U.S. Central Command spokesman, said

the command is looking into the incident.

But the report contradicts information the Defence Department provided earlier in the day, which said reports

of U.S.-trained Syrian rebels defecting and missing equipment going to the Nusra Front were incorrect.

The report underscores persistent problems with the U.S.-led coalition's effort to train and equip Syrian rebels to fight the Islamic State.

Ryder said

the Syrians had told the U.S. earlier Friday

that no equipment or people were missing

but the U.S. found out later on that some of those assertions were wrong.

He said providing equipment to the Nusra Front

is a violation of the training and equipping program.

"In light of this new information, we wanted to ensure the public was informed as quickly as possible about the facts as we know them at this time,"

Ryder said.

"We are using all means at our disposal to look into what exactly happened and determine the appropriate response."

PROGRAM CRITICIZED

The commander who turned the equipment over to the Nusra Front 

was 

one of about 70 rebel fighters who were in the second U.S. training course.

He had only recently returned to Syria to fight the Islamic State militants.

The training program has been criticized as offering too little too late and failing to provide enough protection for those trained rebels once back inside Syria.

The selected rebels are said to undergo a thorough vetting process to ensure they focus on the fight against the IS.

U.S. officials have begun an overhaul of the effort, including suggesting that the newly trained fighters operate as the New Syrian Forces, or NSF, alongside Syrian Kurds, Sunni Arabs and other anti-Islamic State forces.

The first batch of about 54 trainees 

has largely disbanded.

Only 11 remain available to fight


but are not in Syria.

*

UDALL, MANCHIN, MURPHY, LEE CALL FOR AN END TO THE FAILED SYRIA TRAIN AND EQUIP PROGRAM

In a letter to Secretary Carter, Secretary Kerry and CIA Director Brennan, the bipartisan group of Senators urge U.S. officials to cease unsuccessful program and seek alternative ways forward

October 2, 2015

Tom Udall. Senator for New Mexico


WASHINGTON - U.S. Senators Tom Udall (D-NM), Joe Manchin (D-WV), Chris Murphy (D-CT) and Mike Lee (R-UT) 

sent a letter to 

U.S. Department of Defense Secretary Ash Carter, U.S. Department of State Secretary John Kerry and Central Intelligence Agency Director John Brennan 

urging them to end the Syria Train and Equip Program 

- an unsuccessful effort to train and equip Syrian opposition fighters

which has endangered Americans and further escalated conflict in the region.

The Senators wrote in part: 

"The Syria Train and Equip Program goes beyond simply being an inefficient use of taxpayer dollars. 

As many of us initially warned, it is now aiding the very forces we aim to defeat. 

On Friday, USCENTCOM confirmed 

that some of the fighters that we trained and equipped had turned over ammunition and trucks to al-Qaeda's affiliate in Syria, Al Nusra Front. 

In exchange for safe passage, 

the fighters

trained by the U.S.

gave up approximately 25% of their U.S.-issued equipment."

*

TEXT OF THE SENATORS' LETTER

Dear Secretary Carter, Secretary Kerry, and Director Brennan:

We write to express our deep concern about the Syria Train and Equip Program and to call for an end to this failed initiative. 

When Congress was considering the program last year, many of us expressed concerns about 

this program endangering Americans and further escalating the conflict. 

The evidence further supports our belief. 

It is time for the Department to find a new path forward.

Authorized at $500 million for Fiscal Year 2015

the program has struggled to graduate "vetted" opposition fighters

When General Lloyd Austin III, the commander of United States Central Command (USCENTCOM) 

recently testified before the Senate Armed Services Committee, he said 

that 

only

"four or five" U.S.-trained 

opposition fighters 

were on the ground fighting in Syria. 

It has since been reported that another

75 United States-trained rebels have entered the fight

but this is still a far cry from the 5,000 fighters the program aimed to train each year.

The Syria Train and Equip Program goes beyond simply being an inefficient use of taxpayer dollars. 

As many of us initially warned, it is now aiding the very forces we aim to defeat. 

On Friday, USCENTCOM confirmed that some of the fighters that we trained and equipped had turned over ammunition and trucks to al-Qaeda's affiliate in Syria, Al Nusra Front. 

In exchange for safe passage, the fighters, trained by the U.S., gave up approximately 25% of their U.S.-issued equipment.


With over 200,000 persons killed, 4 million refugees, and 7.6 million internally displaced people

the situation in Syria is absolutely tragic, and we must ensure that any U.S. efforts do not cause additional harm. 

We ask that you cease the Syria Train and Equip Program and look for alternative ways forward.

*

CONFLIT SYRIEN : ONDE DE CHOC AU MOYEN-ORIENT

ÉTAT ISLAMIQUE, LE RÈGNE DE LA TERREUR

POUTINE ET ASSAD VEULENT MONTRER QU'ILS SONT DES JOUEURS INDISPENSABLES

CINQ QUESTIONS SUR L'INTERVENTION RUSSE EN SYRIE
EST-CE QUE L'ENTRÉE EN JEU DE LA RUSSIE POURRAIT CHANGER LES CHOSES?

Ximena Sampson

1 octobre 2015


Les forces armées russes ont commencé à bombarder des positions détenues par les rebelles syriens après que le président Vladimir Poutine eut obtenu le feu vert de son Sénat pour soutenir l'armée de Bachar Al-Assad. 

La donne risque-t-elle de changer en Syrie? 

Décryptage de la situation en quatre questions.

1. EST-CE QUE L'ENTRÉE EN JEU DE LA RUSSIE POURRAIT CHANGER LES CHOSES?

Pas vraiment, selon Thomas Juneau, professeur à l'Université d'Ottawa. 

La Russie venait déjà en aide au régime du président Bachar Al-Assad depuis le début de la guerre civile.

Elle a fourni de l'équipement et envoyé des formateurs, des techniciens et des spécialistes en maintenance en Syrie, en plus de partager des renseignements.

« La présence russe en Syrie était déjà très importante. L'accroissement de l'activité militaire russe qu'on voit depuis un mois, c'est une augmentation de ce qui se faisait déjà. »

— Thomas Juneau, professeur à l'Université d'Ottawa

Par ailleurs, les frappes russes ne permettront pas au régime Al-Assad de reconquérir le pays
croit M. Juneau.

« On est encore dans un contexte de guerre civile. 
L'équilibre des forces sur le terrain n'a pas fondamentalement changé à cause de l'intervention russe. »

Fabrice Balanche, spécialiste de la Syrie et chercheur invité au Washington Institute for Near East Policy 

(The Washington Institute. Improving the quality of U.S. Middle-East Policy))
(American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) cutout. )

croit cependant que cette implication accrue donnera un nouveau souffle aux forces gouvernementales.

« L'arrivée des Russes change la donne, soutient-il.

Depuis six mois, l'armée syrienne recule. 
Elle a perdu plusieurs grandes villes dans le nord-ouest et beaucoup de jeunes recrues ne voulaient plus aller se battre. 
L'arrivée des troupes russes leur remonte le moral. »

Écoutez l'analyse de François Brousseau sur l'intervention russe à l'émission Gravel le matin

[QUE L’ON RÉSUMERA AFIN D’ÉVITER DE PERDRE SON TEMPS : ASSAD EST MÉSAN. ASSAD TUE SON PEUPLE. ASSAD TUE SES ENFANTS. ASSAD A TUÉ PLUS DE GENS QUE TOUS LES TERRORISTES RÉUNIS. ET LES TERRORISTES SONT UNE CRÉATION D'ASSAD POUR TUER SON PEUPLE ET L'ATTAQUER LUI-MÊME. PARCE QUE. PARCE QUE. ASSADYÉMÉSAN. LES HÉLICOPTÈRES D’ASSAD LANCENT DES POUBELLES DE DYNAMITES SUR LES MARCHÉS PUBLICS AFIN DE TUER LES MÉNAGÈRES DE 50 ANS]

2. QUE CHERCHENT À OBTENIR LES RUSSES?

Officiellement, il s'agit de lutter contre le groupe armé État islamique (EI).

Les djihadistes représentent une menace pour la Russie et il faut donc les détruire avant « qu'ils arrivent chez nous »

a déclaré le président Vladimir Poutine.

Mais en sous-main, les Russes cherchent surtout à se positionner en vue de l'après-guerre, croit le chercheur Thomas Juneau.

« Quand on en arrivera aux négociations, et ce n'est vraiment pas tout de suite, de par sa présence militaire accrue sur le terrain en Syrie, la Russie aura plus d'influence, elle sera un joueur incontournable. »

D'une part, elle cherche à retrouver le statut de grande puissance qu'elle a perdu depuis la fin de la guerre froide et, d'autre part, elle veut soutenir un allié vital.

« La Syrie est le seul allié russe dans le monde arabe
souligne Thomas Juneau. 

La chute du régime Assad, pour la Russie, ce serait une perte géopolitique énorme. »

3. QUEL EST LE BILAN DES FRAPPES OCCIDENTALES JUSQU'À MAINTENANT?

Les chercheurs s'entendent pour dire que les frappes occidentales ont réussi à contenir l'avancée du groupe armé État islamique
qui détient actuellement 45 % de la superficie de la Syrie.

Par contre, la grande majorité des zones qu'il contrôle sont semi-désertiques et peu peuplées. 

Elles abritent environ 2 millions de personnes, soit 15 % de la population qui reste en Syrie.

« Ça aurait pu être pire s'il n'y avait pas eu les frappes de la coalition internationale »

remarque Fabrice Balanche.

« L'État islamique n'a pas été endommagé dans son cœur. 
Il a perdu quelques territoires, mais il a réussi quand même à mieux s'implanter dans la population locale et à construire une organisation. »

— Fabrice Balanche, spécialiste de la Syrie et chercheur invité au Washington Institute for Near East Policy

C'est ce que croit également Thomas Juneau, qui souligne que l'EI est un adversaire très expérimenté.

« Ils ont beaucoup d'expertise militaire et réussissent à recruter de manière très efficace, localement et internationalement. 

Ils ont aussi toute une machine pour former les nouvelles recrues et les rendre opérationnelles rapidement. »

[COMPRÉHENSIBLE PUISQUE ENTRAÎNÉ PAR L’ARMÉE US ET LA CIA ET LE MI6.]

Les frappes militaires affaiblissent l'EI, mais elles ne seront pas suffisantes pour l'éliminer.

Pour le défaire, ça prendra plus, croit le chercheur : la formation de troupes locales et un processus politique.

« À la base, l'État islamique, ce n'est pas un problème militaire, c'est un problème politique, dit M. Juneau.

Ce sont des sunnites, en Irak et en Syrie, qui sont furieux pour toutes sortes de raisons et c'est pour ça que, dans certains cas, ils se joignent à l'EI. Aucun instrument militaire ne peut régler ça.»

Les frappes contre les positions de l'État islamique en Irak ont commencé en août 2014

celles en Syrie en septembre 2014.

SELON LA COALITION, 15 000 COMBATTANTS AURAIENT ÉTÉ TUÉS.

[COMMENT ON FAIT POUR LES COMPTER ? À MOINS QUE, COMME DANS UN JEU VIDÉO, IL Y AIT UN COMPTEUR DE MORTS. OU DE VIES. CHAQUE JOUEUR A PLUSIEURS VIES ET S'IL EN PERD TROP - S'IL MEURT TROP SOUVENT - IL PERD DES POINTS. NE POURRA SE RENDRE AU NIVEAU SUIVANT. ET OU MOURRA. ET PERDRA LA PARTIE.]

4. À QUOI S'ATTENDRE POUR LA SUITE?

Une conférence réunissant les principaux acteurs du conflit syrien est prévue pour le mois d'octobre.

Les États-Unis, la Russie, l'Arabie saoudite, l'Iran, la Turquie et l'Égypte y seront.

Il s'agira avant tout de mieux se coordonner dans les frappes contre l'EI.

Et il va falloir accepter que Bachar Al-Assad fasse partie de la solution, croient les analystes.

« C'est un calcul compliqué pour la coalition
qui moralement soulève des questions très désagréables
mais en fin de compte, même si Assad est un tyran et un despote 

et qu'il est responsable de beaucoup plus de victimes que l'EI

si la coalition se met à bombarder les infrastructures et les forces d'Assad et que ça précipite son effondrement, la situation pourrait empirer »

avance Thomas Juneau.

« On a tendance à dire que ça ne pourrait pas être pire, mais oui, ça pourrait être pire. »

— Thomas Juneau, professeur à l'Université d'Ottawa

Un éventuel gouvernement de transition devra nécessairement inclure des éléments du régime

croit Thomas Juneau.

Les Américains l'ont bien compris après leur expérience en Irak en 2003, lorsque les institutions se sont effondrées après que tout l'entourage de Saddam Hussein eut été écarté.

[RÉSUMONS : LES USA ONT ATTAQUÉ UN PAYS SANS DÉFENSE – DU MOINS POUR EUX – PAYS QUI NE LEUR AVAIT RIEN FAIT. DONC CAS DE NUREMBERG. PENDAISON. COUIC! LES USA ONT DÉTRUIT ET PILLÉ (VOLÉ) CE PAYS. EXTERMINÉ UNE PARTIE DE SA POPULATION. RUINÉ CE QUI RESTAIT DE SA POPULATION. D’OÙ CERTAINES CONSÉQUENCES.]

« Assad, c'est la clé du système

dit Fabrice Balanche. 

Il n'y a pas de remplaçant possible.

Assad règne sur la communauté alaouite, sur l'armée et les services de renseignement.

Les alaouites sont loyaux à Assad et pas à un autre.

On ne peut pas le remplacer, tout le système se casserait la figure. »

« Il faudra négocier avec le régime et accepter qu'Assad reste au pouvoir. »

— Fabrice Balanche, spécialiste de la Syrie et chercheur invité au Washington Institute for Near East Policy

Écoutez l'analyse de Julien Toureille, directeur adjoint de l'Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand à l'émission Le 15-18.

5. L'ATTITUDE DES OCCIDENTAUX ENVERS ASSAD A-T-ELLE CHANGÉ?

Quoiqu'en pensent les experts, les États-Unis et leurs alliés ne semblent pas prêts à vouloir dialoguer avec le président syrien.

Réhabiliter Assad

« serait déjà une faute morale »

[ET DÉTRUIRE ET RUINER L’IRAK, LA LIBYE, LA SYRIE. CE N’EST PAS UNE FAUTE MORALE. CECI EST BO EST EGZELLENT!]

a notamment déclaré mercredi le premier ministre français, Manuel Valls.

Pour lui, il est absolument hors de question de faire quoi que ce soit qui puisse consolider le régime.

« Mais qui peut penser un seul instant que celui qui est responsable de tant de désastres puisse incarner l'avenir de son pays?

Qui peut penser que le principal responsable du problème puisse faire partie de la solution? »

— Manuel Valls, premier ministre français

[UN PSYCHOPATHE NOUS PARLE]

Lundi, à l'ONU, le président français François Hollande avait soutenu qu'une transition politique en Syrie passait par le départ du président syrien.

[UN AUTRE PSYCHOPATHE NOUS PARLE]

Devant le même forum, le président américain Barack Obama

[UN AUTRE PSYCHOPATHE NOUS PARLE]

a lui aussi exclu toute collaboration avec le président syrien

qu'il a qualifié de « tyran » qui «massacre des enfants innocents ».

[COMBIEN D’ENFANTS INNOCENTS MORTS LORS DES BOMBARDEMENTS EN YOUGOSLAVIE, AFGHANISTAN, IRAK, LIBYE, SYRIE ? ET BOUM! ON VIENT DE TIRER UN MISSILE SUR UN MARIAGE ET UN HÔPITAL. ]

En référence à la position russe, qui consiste à s'appuyer sur Al-Assad pour sortir de la guerre civile

M. Obama a dénoncé la logique consistant à soutenir « des tyrans comme Bachar Al-Assad » sous prétexte que l'alternative « serait pire ».

[LES USA ONT SOUTENU TOUS LES TYRANS D’AMÉRIQUE DU SUD. LA PLUPART CRÉÉS PAR EUX. DES MILLIERS ET DES MILLIERS DE MORTS. ET DE TORTURÉS.]

« Nous devons reconnaître qu'après tant de sang versé et de carnages, il ne peut y avoir un retour au statu quo d'avant la guerre. »

— Barack Obama, président des États-Unis

Seule note discordante, la chancelière allemande, Angela Merkel, a pour sa part soutenu

que le président Assad devait jouer un rôle dans les négociations devant mener à la fin de la guerre civile.

« Il faut parler avec de nombreux acteurs, et cela implique Assad, mais il y en a d'autres »


a déclaré Mme Merkel.

*





LE MINISTRE RUSSE DES AFFAIRES ETRANGÈRES, SERGUEÏ LAVROV : LES ETATS-UNIS SONT DEVENUS PLUS PERSPICACES DE LA POSITION RUSSE À L’ÉGARD DE LA CRISE EN SYRIE

23/09/2015

L’Agence Arabe Syrienne d’informations


Moscou / Le ministre russe des Affaires Etrangères, Sergueï Lavrov, a assuré que les Etats-Unis sont devenus plus perspicaces de la position russe à l’égard de la crise en Syrie.

Selon l’agence de presse russe “Tass”
Lavrov a fait allusion aux déclarations de son homologue américain, John Kerry, sur la disposition de Washington à coopérer avec la Russie pour parvenir à un règlement de la crise en Syrie.

La Russie a souligné la nécessité de créer un vaste front anti-Daech sur une base juridique internationale.

Dans un communiqué publié aujourd’hui, le ministère russe des Affaires Étrangères a indiqué 

que les nouvelles véhiculées sur l’envoi d’un certain nombre d’hommes armés de la soi-disant 

« Opposition modérée » en Syrie 

s’inscrivent dans le cadre des critiques accrues au sein des États-Unis du programme américain consacré à faire adhérer des hommes armés à «l’opposition syrienne ».

Zakharova : Washington ne doit pas proposer le changement du régime en Syrie s’il s’attache vraiment à la déclaration de Genève

La porte-parole du ministère russe des Affaires Étrangères, Maria Zakharova, a critiqué les États-Unis qui avaient proposé de changer le régime en Syrie.

«Comment Les États-Unis avaient évoqué, lors des réunions de l’Assemblée Générale de l’Onu, des scénarios sur le changement du régime en Syrie s’ils s’attachent vraiment à la Déclaration de Genève, appuyée par la Communauté internationale?»

s’est interrogée Zakharova dans une déclaration faite aujourd’hui.

Elle a assuré que ce sont les Syriens qui décideront de l’avenir de leur pays.

Une source du ministère russe des AE a indiqué aujourd’hui que les Etats-Unis obtiendraient toutes les informations dont ils ont besoin sur la coopération entre Damas et Moscou (entre la Syrie et la Russie)

par le biais des canaux de contact entre les deux ministères de la défense, russe et américain.

Dans un entretien avec l’agence russe “Novosti”

Peskov : Seul le peuple syrien décide du sort de la Syrie

Le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov

a démenti catégoriquement les rapports médiatiques, selon lesquels la Russie mène des pourparlers avec les États-Unis pour «changer le régime en Syrie».

Piskov a affirmé aujourd’hui devant les journalistes 

que la Russie n’avait examiné le sort ou l’avenir de la Syrie avec quiconque

ajoutant que seul le peuple syrien décide de ces questions.

*

CHAABANE ABORDE AVEC LE CHEF DE LA DIPLOMATIE CHINOISE LES DERNIERS DÉVELOPPEMENTS POLITIQUES ET MILITAIRES EN SYRIE

LA CONSEILLÈRE POLITIQUE ET MÉDIATIQUE À LA PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE, MME BOUTHAYNA CHAABANE, S’EST ENTRETENUE AUJOURD’HUI AVEC LE MINISTRE CHINOIS DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES, WANG YI, DE LA CRISE EN SYRIE ET DES DERNIERS DÉVELOPPEMENTS POLITIQUES ET MILITAIRES SUR LA SCÈNE SYRIENNE.

12/10/2015

L’Agence Arabe Syrienne d’informations


Pékin/ La conseillère politique et médiatique à la Présidence de la République, Mme Bouthayna Chaabane, s’est entretenue aujourd’hui avec le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, de la crise en Syrie et des derniers développements politiques et militaires sur la scène syrienne.

En visite en Chine à l’invitation du ministère chinois des Affaires étrangères, Mme Chaabane a également abordé 

la coopération avec la Russie dans la lutte antiterroriste 

et les positions de principe de la Chine à l’égard de la crise en Syrie.

Mme Chaabane a mis l’accent sur les positions des autres pays amis, tels que la Russie et l’Iran, et leur rôle dans cette guerre.

Pour sa part, le ministre chinois des Affaires étrangères a souligné 

la nécessité de conjuguer les efforts internationaux pour la lutte contre le terrorisme

avec la coopération des pays concernés

sans violer leur souveraineté.

[CE QUE FONT COURAMMENT LES USA]

Le chef de la diplomatie chinoise a insisté sur les orientations de la politique extérieure chinoise basées sur le respect des lois et de la légitimité internationale

et l’opposition à l’ingérence dans les affaires intérieures des autres pays.

[CE QUE FONT COURAMMENT LES USA]

Il a réitéré l’appui de son pays à la souveraineté, à l’indépendance et à la souveraineté territoriale de la Syrie

affirmant que c’est le peuple syrien qui décide de son avenir loin de toute forme d’intervention. 

Il a enfin ajouté que la Chine fera de son mieux pour aider à atteindre cet objectif.

*

COMMANDEMENT DE L’ARMÉE : L’ARMÉE ARABE SYRIENNE S’EMPARE DES LOCALITÉS ET VILLAGES DANS LES BANLIEUES DE HAMA ET DE LATTAQUIÉ

12/10/2015

L’Agence Arabe Syrienne d’informations


Damas/Le Commandement général de l’Armée et des Forces armées a annoncé aujourd’hui que l’armée arabe syrienne avait pris le contrôle de la zone franche tout entière à Alep et de 13 villages et localités dans les banlieues de Hama et Lattaquié, dans une opération militaire terrestre avec une couverture aérienne.

Dans un communiqué, dont une copie est parvenue à l’Agence Sana, le commandement a précisé que les forces armées ont réalisé des succès importants contre les réseaux terroristes dans la banlieue-nord de Hama.

« Des unités de l’armée arabe syrienne ont pris le contrôle des localités et villages de Kafr Nabouda, Qbeibiat, Maarbakeh, Om Haratein et Tal Sakhr dans la banlieue de Hama »

a précisé le communiqué.

Le communiqué a ajouté que d’autres unités de l’armée s’étaient emparées des localités de Jeb Ahmar, Kafr Delbeh, des vallées de Ketf Jouret al-Battikh, Rweisset Khandak Jamo et des périphéries sud-est de la localité de Salma dans la banlieue de Lattaquié.

A Alep, l’armée arabe syrienne a pris le contrôle de toute la zone franche dans la ville après avoir infligé de lourdes pertes aux terroristes.

Le communiqué a précisé que la localité d’Armanaz et plusieurs autres localités dans la banlieue d’Idleb avaient assisté à des manifestations imposante réclamant la sortie des terroristes.

« Les succès réalisés par l’armée arabe syrienne dès le début de l’opération et les frappes portées par l’armée de l’air et les artilleries ont causé des grandes pertes dans les rangs des réseaux terroristes »

a précisé le communiqué qui a ajouté que le moral des terroristes est en berne 

et que la plupart parmi eux avaient pris la fuite en direction des frontière turques.

Le communiqué a enfin conclu en affirmant que les forces armées sont déterminées à accomplir leurs missions suivant le plan élaboré.


O
D
AVEZ-VOUS PENSÉ AU DON D'ORGANES
VOUS AVEZ PLUSIEURS ORGANES
OUI. OUI. VOUS AVEZ BEAUCOUP D'ORGANES
ET
PLUSIEURS GENS AIMERAIENT BIEN AVOIR VOS ORGANES
RÉFLÉCHISSIEZ-VOUS-Y!


CES JOYEUX MILITANTS
DES DROITS DE L'HOMME
DU FUTUR GOUVERNEMENT DÉMOCRATIQUE SYRIEN
SUBVENTIONNÉS PAR LA CIA
VONT BIENTÔT DONNER LEURS ORGANES
DEVINEZ
LEQUEL AURA BIENTÔT MOINS D'ORGANE






ÉDUCATION PERMANENTE:

TOUT LE MONDE A ENTENDU PARLER 
DES BARILS OU DES POUBELLES DE CHLORE OU DE DYNAMITES 
QUE LANCENT LES AVIATEURS DE L'ARMÉE SYRIENNE 
À PARTIR DE LEURS HÉLICOPTÈRES 
- SUR LE PUBLIC - DES CIVILS SANS DÉFENSE - EN BAS. 


VOTRE PREMIÈRE RÉACTION: VOUS VOUS DITES ALORS: 
MAIS JE VEUX FAIRE PAREIL. POURQUOI PAS MOI ? 
EN EFFET. 
POURQUOI PAS VOUS!



PROBLÈME: VOUS N'AVEZ PAS D'HÉLICOPTÈRES. 
MAIS VOUS AVEZ DES POUBELLES. 
VOUS ÊTES SAUVÉS!



TOYOTA PRÉOCCUPÉ PAR SA POPULARITÉ AUPRÈS DE L'ÉTAT ISLAMIQUE

8 octobre 2015

Radio-Canada avec Agence France-Presse


Des combattants de l'EI paradent dans des camionnettes Toyota.

Les camionnettes de Toyota sont particulièrement populaires auprès des combattants du groupe armé État islamique, au grand dam du constructeur automobile japonais, qui se retrouve au coeur d'une enquête menée par les autorités américaines à ce sujet.

Sur les vidéos de propagande de l'EI, des militants lourdement armés paradent régulièrement dans des véhicules du groupe japonais.

La chaîne de télévision américaine ABC a rapporté mercredi que le département du Trésor américain est entré en contact avec le fabricant automobile à ce sujet.

« Nous soutenons l'enquête du département du Trésor américain, qui se penche plus largement sur les chaînes d'approvisionnement internationales et les flux de capitaux et marchandises au Moyen-Orient »

a réagi Toyota, jeudi, dans une déclaration transmise à l'AFP.

« Toyota a une politique stricte qui consiste à ne pas vendre de véhicules à des acheteurs qui pourraient les utiliser ou les modifier à des fins d'activités paramilitaires ou terroristes. »

— Extrait d'une déclaration transmise à l'AFP

« Nous avons établi des procédures [...] dans le but d'empêcher nos produits d'être détournés en vue d'une utilisation militaire non autorisée »

mais

« il est impossible pour un constructeur de contrôler les filières indirectes ou illégales via lesquelles nos véhicules » peuvent tomber entre de mauvaises mains.

Toyota a vendu plus de 820 000 véhicules au Moyen-Orient l'an dernier.

*

LE MYSTÈRE DES MILLIERS DE CAMIONNETTES TOYOTA DE L’EI

Par Valentin Vasilescu

Mondialisation.ca
10 octobre 2015




Les groupes de combattants de l’EI sont difficiles à toucher en raison de leur mobilité assurée par les milliers de camionnettes Toyota, sur les plateformes desquelles sont montées des mitrailleuses.

Entre le moment du décollage des bombardiers russes de la base à Lattaquié et celui où ils arrivent à la verticale des cibles dans le centre et l’Est de la Syrie, il se passe 10 à 15 minutes.

Pendant ce laps de temps, les combattants de l’EI, avec leurs camionnettes Toyota peuvent s’être déplacés de 3-5 km par rapport aux coordonnées GPS qui ont été communiquées aux pilotes russes et aux mécanismes de guidage des bombes embarquées.

C’est la raison pour laquelle la plupart des frappes aériennes de l’aviation russe portaient sur des cibles fixes telles que les dépôts de carburant et de munitions, les centres de commandement et de communication, les centres de fabrication des explosifs.

[ANALYSE DE TEXTE. ON NE SAIT PAS SI ICI C'EST UNE AUTRE TENTATIVE DE BROUILLAGE OU DE DÉSINFORMATION. OU UN IGNORANT BIEN INTENTIONNÉ QUI PARLE. LES SATELLITES RUSSES ET LEURS AVIONS D'OBSERVATION - COMME CEUX DES USA - UNE GUERRE MODERNE NE PEUT SE FAIRE SANS EUX - VOIENT EN TEMPS RÉEL TOUT CE QUI SE PASSE AU SOL. JOUR ET NUIT. DU CIEL. OU DE L'ESPACE. ET DÈS QU'UNE CIBLE - MÊME MOBILE - A ÉTÉ ACCROCHÉ PAR UN SIGNAL DE L'AVION, UN MISSILE LANCÉ D'UN AUTRE AVION, D'UN BATEAU, D'UN CHAR LANCE-MISSILE OU D'UN DRONE SE DIRIGERA VERS ELLE. ET IL EST INVISIBLE JUSQU'À CE QU'IL ARRIVE. ON NE SE VOIT MÊME PAS MOURIR. C'EST COMME UN ACCIDENT DE VÉLO AVEC COMMOTION CÉRÉBRALE. ON VOIT ICI QUE L'INFORMATION EST FAUSSE ET BIAISÉE - SE BASANT SUR DES VIEILLES TECHNOLOGIE. CRÉDIBLE. MAIS CE TEXTE - PROBABLEMENT CONÇU EN CE SENS - DONNE UN PRÉTEXTE À LA LENTEUR RELATIVE DES ATTAQUES. OU LEUR MANQUE DE RÉSULTAT. OU LEUR RÉSULTAT INSUFFISANT. QU'ON DIT. CE QUI JUSTIFIERA LA PRÉSENCE PLUS LONGUE SUR LE TERRAIN DE L'ARMÉE RUSSE - CE NEST PAS MAUVAISE VOLONTÉ MAIS C'EST SI DUR D'ATTEINDRE UNE CAMIONNETTE EN MOUVEMENT. FAUT COMPRENDRE. FAUT SE REPRENDRE À PLUSIEURS FOIS. PI LORSQU'ON ARRIVE, LE MÉCHANT EST DÉJÀ SORTI PAR UNE FENÊTRE. ON PEUT DEVINER QUE LES CAMIONNETTES REMPLIS DE CHÔMEURS - TERRORISTES/GUÉRILLÉROS/MERCENAIRES - NE SONT PAS LA PRIORITÉ. LE BOMBES, OBUS, MISSILES SONT COÛTEUX. ON LES DESTINE À CES CIBLES ET PROIES DE CHOIX. PRIORITAIRES. IL S'AGIT AU PLUS TÔT DE DÉTRUIRE LES CENTRES DE COMMANDEMENT, DE COMMUNICATION (RADIO- ORDINATEURS, RADARS SI ÇA EXISTE), DE RAVITAILLEMENT, LES HANGARS DE MATÉRIELS - RANGEMENT/PIÈCES DE RECHANGE/MUNITIONS/RÉPARATION D'ARMES ET DE VÉHICULES, DÉPÔT D'HILES ET D'ESSENCE - BASES D'OÙ ILS VIENNENT ET LES BASES OÙ ILS VONT. QUI ELLES SONT TOUTES IMMOBILES. ET LEUR CONTENU EST IMPOSSIBLE À REMPLACER. LES HOMMES SONT SANS INTÉRÊT À CE MOMENT DE L'OFFENSIVE. ET ENSUITE, ON NE LES POURSUIVRA PAS AVEC DES VOITURES DE POLICE COMME ON FAIT ICI POUR LES IVROGNES AU VOLANT. OU DANS MAD MAX. MAIS DES HÉLICOPTÈRE GENRE APACHE - MITRAILLEUSES LOURDES ANTI-TANK - LES ABATTRONT COMME DES PIGEONS OU DES MULOTS SUR UNE ALLÉE DE QUILLES CIRÉE LORSQUE LE TEMPS SERA  VENU. ET, ON PEUT PRÉSUMER, QUE LORSQUE LES CONDUCTEURS ET PASSAGERS SURVIVANTS CHANCEUX D'ÊTRE ENCORE EN VIE - FERONT FACE À LEUR DESTIN OU LEUR FUTUR QUI NE SERA PLUS DE DEVENIR RICHE EN PILLANT UN PAYS OU D'AVOIR UN JOB DANS LA NOUVELLE ADMINISTRATION OU LA POLICE OU DE VIOLER DES FEMMES - MAIS UN ENTERREMENT INSTANTANÉ DANS LE SABLE - ILS FERONT COMME BIEN D'AUTRES COMBATTANTS DE CAUSES PERDUES DANS LE PASSÉ. ILS SE DILUERONT DANS LA FOULE ET REDEVIENDRONT DÉMOCRATES. ET OU HOMMES D'AFFAIRES. COMME LES  KHMERS ROUGES DE POL POT AU CAMBODGE. UN EX-TORTIONNAIRE RÉHABILITÉ POURRA MÊME DEVENIR GUIDE TOURISTIQUE DANS UN CAMP DE CONCENTRATION. OU ILS REJOINDRONT LEURS FRÈRES, COUSINS, NEVEUX EN FRANCE. MONSIEUR HOLLANDE EST UN AMI.  ET MONSIEUR BHL AUSSI.  ]

Sur la base des informations recueillies grâce à ses drones d’observation
la Russie a estimé que l’EI possèderait un parc de près de dix mille Toyota Hilux et Toyota Tacoma.

[SOUS-TEXTE. ENCORE UNE FOIS, ON VEUT SOULIGNER FORTEMENT À GROS TRAITS DE SURLIGNEUR FLUORESCENT LA DIFFICULTÉ DE LA TÂCHE - TOUTES CES COQUERELLES, ON N'EN VIENDRA JAMAIS À BOUT -SE DIT LA MÉNAGÈRE DE 50 ANS. ON ATTIRAIT TANTÔT L'ATTENTION SUR LA DIFFICULTÉ QU'ON LES INDIENS À ATTEINDRE LES DILIGENCES QUI VONT SI VITE ET ON N'A QUE DES FLÈCHES. MAINTENANT, C'EST LE NOMBRE. VOUS VOYEZ: ILS SONT SI PUISSANTS ET SI NOMBREUX: IL FAUDRA DES ANNÉES POUR EN VENIR À BOUT. EN ATTENDANT, ON VA RESTER SUR PLACE ET BIVOUAQUER ET PRENDRE DES PHOTOS DE LA LUNE POUR FAIRE UN ALBUM DE PHOTOS APPLE. MAIS SI ON PENSE: CES CAMIONNETTES NE FONT PAS QUE ROULER. ON LES RÉPARE. CHANGE LES PNEUS. AJOUTE DE L'ESSENCE. DANS DES HANGARS. ON LES RANGE DANS DES PARCS. SUPPOSONS DES PARKINGS DE CONCESSIONNAIRES AUTOMOBILES OU DE CENTRES COMMERCIAUX. VISIBLE DE L'ESPACE COMME LA LUNE L'EST DE LA TERRE UNE NUIT DE PLEINE LUNE. MÊME PAS BESOIN DE MISSILES. UN BOMBARDIER AVEC DE GROSSES BOMBES BIEN LOURDES D'ANCIENNE GÉNÉRATION FERA LE TRAVAIL.]

Cependant, les japonais de Toyota ont très clairement la preuve des ventes de première main, avec l’interdiction de livrer les camionnettes fabriquées au Japon et en Corée du Sud, à des groupes terroristes.

Toyota a fait savoir que dans sa base de données, il y a plusieurs centaines de Toyota Hilux vendues en Irak et qui pourraient avoir été capturées par l’EI.

43 autres Pick-up Toyota Tacoma neufs de 2014, ont été livrés aux rebelles « modérés » de la Syrie par le ministère des affaires étrangères des Etats-Unis.

Toyota a des soupçons concernant un lot de 800 Toyota livrés en Australie en 2014 et 2015, qui ont été redirigés vers le Moyen-Orient.

Toutefois, l’Australie participe, dans le cadre de la coalition dirigée par les Etats-Unis, au bombardement de l’EI en Irak et en Syrie avec ses avions F-18.

Le plus grand parc de camionnettes Toyota Hilux et Toyota Tacoma (environ 20 000 ) est détenu par l’armée des États-Unis.

Les camionnettes Toyota ont été modifiées selon les normes de l’U.S. Army, pour être utilisées dans des missions de patrouille.

Les éléments les plus importants qui ont été mis en place sont un cadre métallique soudé sur la plateforme et un autre sur la porte de droite, créés spécialement pour monter des mitrailleuses.

[LES MÊMES MODÈLES QU'ON A PU VOIR SUR LES PHOTOS]

Pendant l’occupation américaine de l’Irak, des milliers de Toyota Tacoma, ont été livrés à l’occupant américain.

Ils ont reçu de tels véhicules pour les groupes paramilitaires chiites créés par les États-Unis en Irak pour maintenir l’ordre.

Par la suite les forces des opérations spéciales en Afghanistan ont été équipées de ce type de camionnettes qui étaient plus silencieux et plus rapide que le Humvee.

Grâce à une collaboration entre General Motors et Toyota, presque 1 million de véhicules Toyota Hilux, Toyota Tacoma et Toyota tout terrain Land Cruiser ont été construits dans les usines des états du Mississippi et du Texas.




LA VIE DE NOS VEDETTES.

LUNDI 6 AOÛT 1945. 8h15.

COLONEL PAUL TIBBETS. PILOTE DE ENOLA GAY. 







POUR 
CONTRER LA GRISAILLE DE L’AUTOMNE
UNE BOMBE ATOMIQUE
OU
DEUX

ENOLA GAY. 
NOM DE L'AVION BOEING B-29 SUPERFORTRESS 
QUI LARGUA UNE NOUVELLE INVENTION. LA PREMIÈRE BOMBE ATOMIQUE DE L’HISTOIRE. LA PREMIÈRE FOIS QU’ON UTILISAIT LES RÉACTIONS ATOMIQUES SOUS FORME DE BOMBE ET D’ARMES DE GUERRE. 
UNE PROUESSE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE.

LE PILOTE DE L'AVION, L'AVAIT BAPTISÉ AINSI EN HOMMAGE À SA MÈRE, ENOLA GAY HAZARD TIBBETS, POUR QUE L'AVION SOIT 
« SOUS UNE BONNE ÉTOILE ».




LITTLE BOY. PETIT GARÇON. EN FRANÇAIS. 

MISSION DIMPLES 82

LES NOMS DES BOMBES ONT ÉTÉ TROUVÉES PAR MONSIEUR ROBERT SERBER, UN ÉTUDIANT DE MONSIEUR ROBERT OPPENHEIMER, DIRECTEUR DU LABORATOIRE DE LOS ALAMOS ET QUI TRAVAILLA AVEC LUI AU PROJET MANHATTAN. 

LITTLE BOY FUT BASÉ SUR UN PERSONNAGE D’UN FILM QUI ÉTAIT L’ENNEMI DE MONSIEUR HUMPHREY BOGART ET QUI LE RIDICULISA AINSI.

LA BOMBE FUT LARGUÉE SUR LA VILLE D'HIROSHIMA. 

POÉSIE. IL FAIT BEAU SUR HIROSHIMA, LE TEMPS EST CLAIR, L'ATMOSPHÈRE VIVIFIANTE ET TONIQUE ET POUR UN PEU ON POURRAIT SE CROIRE DANS UNE VILLE TRANQUILLE ET ACTIVE DU JAPON TRADITIONNEL D'AVANT-GUERRE.

LA BOMBE QUI DÉTRUISIT HIROSHIMA CONTENAIT UNE PUISSANCE DE 15 KILOTONNES DE TNT. CE QUI EST FAIBLE EN COMPARAISON AUX CHARGES NUCLÉAIRES MODERNES QUI DÉGAGENT UNE ÉNERGIE EXPRIMÉE EN MÉGATONNES DE TNT

LA PREMIÈRE BOMBE A DE L’HISTOIRE FUT JETÉE À 9 600 MÈTRES. 

LA DÉTONATION EUT LIEU À 580 MÈTRES D'ALTITUDE, À LA VERTICALE DE L'HÔPITAL SHIMA. 

LA BOMBE TUA 100 000 CIVILS – FEMME, HOMMES (VIEUX), ENFANTS ET BÉBÉS - UNE PARTIE FUT DÉSINTÉGRÉE, PULVÉRISÉE, ON LES RETROUVA SOUS FORME D'OMBRES IMPRIMÉE SUR UN MUR OU LA RUE. 

LA BOMBE PROVOQUA DES FORMES INÉDITES DE SOUFFRANCE HUMAINE. 

ON DIT ALORS QUE C'ÉTAIT LE DÉBUT DE LA FIN DE LA DEUXIÈME GUERRE MONDIALE. 

ENVIRON 80 % DES PERSONNES VIVANT DANS UN RAYON DE 1 KILOMÈTRE AUTOUR DU POINT D'EXPLOSION MEURENT INSTANTANÉMENT. 

70 000 PERSONNES. 

MAIS LE BILAN ATTEINT 150 000 VICTIMES DANS LES MOIS SUIVANTS CAR D'AUTRES PERSONNES SONT «EMPORTÉES» À LA SUITE DE L'EXPOSITION AUX RADIATIONS. LA LÈPRE RADIOACTIVE.

LA DEUXIÈME BOMBE, FAT MAN (GROS MEC) DONT LE NOM AVAIT ÉTÉ AUSSI TROUVÉ PAR MONSIEUR ROBERT SERBER D’APRÈS UN PERSONNAGE DU FILM LE FAUCON MALTAIS - ÉTAIT ÉGALEMENT UNE BOMBE A MAIS AU PLUTONIUM ET D'UNE PUISSANCE ÉQUIVALENTE À 22 KILOTONNES DE TNT. CE QUI EST 7 DE PLUS QUE L'AUTRE. ON VOIT UNE AMÉLIORATION CONSTANTE ET UN PROGRÈS CONTINU.

NOTE : UNE BOMBE A À URANIUM ENRICHI. FONCTIONNE GRÂCE À DES PRINCIPES DE LA FISSION MAIS LES BOMBES H OU BOMBES THERMONUCLÉAIRES OU BOMBES À HYDROGÈNE FONCTIONNE GRÂCE AUX PRINCIPES DE FUSION NUCLÉAIRE. QU'ON APPELA L'ÉNERGIE DU SOLEIL. CE QUI EST L'AVENIR.

LES 2 BOMBES EXPLOSÈRENT À PLUSIEURS CENTAINES DE MÈTRES DANS LES AIRS. 

LES STRATÈGES AMÉRICAINS VOULANT ÊTRE SÛRS QUE L'EXPLOSION DÉLIVRERA AINSI SA PUISSANCE MAXIMALE. ET FASSE LE MAXIMUM DE VICTIMES DANS LE CERCLE LE PLUS LARGE.

3 JOURS APRÈS LE SUCCÈS D'HIROSHIMA, LE PRÉSIDENT TRUMAN DONNE L'ORDRE DE LARGUER UNE SECONDE BOMBE ATOMIQUE SUR LE JAPON. 

LA CIBLE VISÉE EST LA VILLE DE KOKURA AUJOURD'HUI KITAKYUSHU SUR L'ÎLE DE KYUSHU À L'EXTRÊME SUD-OUEST DU JAPON.

MAIS CETTE SECONDE MISSION N'A PLUS LE PANACHE, NI L'ÉTOFFE DE PIONNIER DE L'ENOLA GAY ET LES ÉQUIPAGES SONT UN PEU DÉÇUS. MÊME AMER. MAIS ILS ONT LA CONSOLATION DE PARTICIPER À UNE GRANDE OEUVRE: LA LIBÉRATION DE LEUR PAYS. ET LA PAIX DANS LE MONDE.

COMME SI LA BAISSE DE MORAL DE L'ÉQUIPAGE N'ÉTAIT PAS ASSEZ, LA NATURE DEVIENT CAPRICIEUSE ET BOUDEUSE. CAR LA NATURE, L'ATMOSPHÈRE, L'AIR, LES NUAGES ET LA MÉTÉOROLOGIE SONT FEMMES. QUI PEUT S'Y FIER !

ET LE B-29 QUI VA PARTICIPER À  CETTE SECONDE MISSION HISTORIQUE – QUOIQUE MOINS GLORIEUSE QUE LA PREMIÈRE - VA «ESSUYER» - TERME LITTÉRAIRE DÉMODÉ - UNE SÉRIE DE DÉBOIRES. CAR LA MALCHANCE ET LA MÉTÉO S’ACHARNE SUR EUX. ILS SE PERDENT. IL FAIT MAUVAIS. IL Y A DU BROUILLARD. ILS N VOIENT PLUS RIEN. ILS NE TROUVENT PLUS LEUR CIBLE. IL VONT MANQUER DE CARBURANT. ILS NE PEUVENT REVENIR À LA BASE AVEC LA BOMBE AMORCÉE. ILS DOIVENT SE RÉSOUDRE LA MORT DANS L’ÂME ET CE N’EST PAS DE GAIETÉ DE CŒUR À LARGUER COÛTE QUE COÛTE FAT MAN POUR ALLÉGER L'APPAREIL AVANT QUE LE B-29 LUI-MÊME NE S'ÉCRASE EN MER. FAUTE DE MIEUX, ON LA JETTERA À L’EAU. TANT PIS POUR LES POISSONS.

HEUREUSEMENT, LA CHANCE EST AVEC EUX. ALORS QUE LA SITUATION ÉTAIT PRESQUE DÉSESPÉRÉE, BRUSQUEMENT, SUR LE CHEMIN DU RETOUR, UN TROU DANS LES NUAGES, UNE ÉCLAIRCIE PROVIDENTIELLE, LAISSE APPARAÎTRE DES ROUTES, LES PREMIERS BÂTIMENTS, BIENTÔT UNE CITÉ TOUTE ENTIÈRE. 

IL Y A DE LA JOIE DANS L'ÉQUIPAGE. DURANT QUELQUES INSTANTS, ON SE CONCERTE ET ARRÊTE UNE DÉCISION UNANIME. TANT PIS, CE SERA NAGASAKI. 

MAIS LA MALCHANCE S’ACHARNANT ENCORE SUR NOS HÉROS DE L’ATOME, FAT MAN VA TUER SEULEMENT 40 000 PERSONNES. UNE DÉCEPTION POUR L'ÉQUIPAGE DU BOMBARDIER. CAR ILS NE POURRONT PAS REVENDIQUER UN RECORD AUSSI ÉLOQUENT QUE CELUI DU PREMIER ÉQUIPAGE.

MAIS LES PLUS DÉÇUS SONT LES AVIONS DE RECHANGE. QUI AVAIENT LES MÊMES CIBLES ET D'AUTRES SUR LEURS CARTES AU CAS OÙ IL ARRIVERAIT QUELQUE CHOSE AUX PREMIERS BOMBARDIERS. CE QUI FAILLIT ARRIVER AU SECOND. AVANT DE REVENIR À LA BASE, ILS LARGUÈRENT EN MER LEURS BOMBES ATOMIQUES.

QUELQUES JOURS PLUS TARD, ALORS QUE LE JAPON S'ÉTAIT DÉJÀ RENDU, UNE ARMADA DE BOMBARDIERS JETA TOUTES LES BOMBES CLASSIQUES QUI ENCOMBRAIENT LES ENTREPÔTS SUR DIFFÉRENTES VILLES DU JAPON. CE QU'ON AVAIT DÉJÀ FAIT EN ALLEMAGNE. IL FALLAIT EN PROFITER AVANT QUE LES PAPIERS OFFICIELS SOIENT SIGNÉS. 

PARCE QUE C'ÉTAIENT DES BOMBES DÉMODÉES MAIS EFFICACES. CE QUI PERMETTRA DE CONCEVOIR ET FAIRE FABRIQUER DE NOUVELLES BOMBES. ET DE DONNER DE NOUVEAUX CONTRATS AUX INDUSTRIES MILITAIRES QUI SE RETROUVERAIENT AUTREMENT EN CHÔMAGE ET RUINÉES POUR CAUSE DE PAIX CALAMITEUSE. 

COMME LE BONHEUR DES UNS FAIT LE MALHEUR DES AUTRES. 


ART ET CULTURE
ÉMOTIONS
PHOTO PANORAMIQUE

ON VOIT ICI UNE MISE EN SCÈNE PROFESSIONNELLE

CECIL B. DEMILLE

L'ANONYMAT

DES COMÉDIENS «TERRORISTES»
DES ACTEURS DE SOUTIEN «PRISONNIERS»
ET UNE ÉQUIPE DE TOURNAGE DE HOLLYWOOD
DEVANT LES RUINES D'UN VIEUX TEMPLE ROMAIN
AVEC UN GRAND DRAPEAU OU TAPIS
ON NE CRÉDITE PAS LES COUTURIERS QUI ONT FAIT LES COSTUMES
ET LE DRAPEAU
ET LE DRESSEUR DE CANICHE
CE JOLI PETIT CHIEN OBÉISSANT À DROITE
AVEC
MERCI AU PHOTOGRAPHE DE LA CIA

PALMYRE

OÙ SE TROUVE LE SITE ARCHÉOLOGIQUE LE PLUS CÉLÈBRE DE SYRIE
 EST DÉSORMAIS AUX MAINS DES DJIHADISTES 
DU GROUPE ARMÉ ÉTAT ISLAMIQUE (EI)
 SELON LA TÉLÉVISION NATIONALE SYRIENNE

Le 20 mai de cette année
le groupe terroriste de l’EI 
a pris le contrôle total de la ville millénaire de Palmyre

Le groupe terroriste a détruit plusieurs tombeaux et temples islamiques

L’EI
a également entrepris
des exécutions publiques de soldats gouvernementaux
et
des personnes accusées de travailler pour le gouvernement

LES AVIONS DE GUERRE SYRIENS 
LANCENT 25 FRAPPES AÉRIENNES 
SUR LA VILLE DE PALMYRA 
CONTRÔLÉE 
PAR 
L’EI

19 Sept. 2015

CONCOURS
LE NOM DE VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE 
BUREAU ANONYME

D'UN ÉDIFICE À BUREAUX
DE NEW-YORK
OU
DE SAN-FRANCISCO
OÙ SONT FAIT LES BRAINSTORMING

ET 
IMAGINÉS LES SCÉNARIOS
ET 

LE PLAN COM
COMMUNICATION ET MARKETING
DE L'ISIS


TOUT SERAIT PARFAIT
MAIS
LES SCÉNARISTES CHANGEANT SOUVENT
LE RÉSULTAT
LE SAUT DU REQUIN
ET DES FILMS D' 
ALAN SMITHEE
COMME
LES PERSONNAGES ET LES GROUPES CHANGENT SANS CESSE DE NOMS POUR CAUSE DE CHANGEMENT DE SCÉNARISTES

ON NE SAIT PLUS QUI EST QUI ?
+ LES IMPROVISATIONS DISCUTABLES DES FIGURANTS LOCAUX
IL EST DIFFICILE POUR LE SPECTATEUR DE S'Y ATTACHER


LA VIE CONTINUE












CONSEIL DE SÉCURITÉ



Résolution 2199 (2015)
Adoptée par le Conseil de sécurité à sa 7379e séance, le 12 février 2015