DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

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DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

samedi 23 mars 2013

6130. NOS AMIS LES PARASITES SOCIAUX



METTRE FIN À L’AIDE SOCIALE

Normand Baillargeon

7 mars 2013

http://voir.ca/chroniques/prise-de-tete/2013/03/06/mettre-fin-a-laide-sociale/

Il faut en convenir:

TROP DE GENS SONT SUR L’AIDE SOCIALE ET EXPLOITENT LA SOCIÉTÉ,

abusent de ce qu’elle leur apporte

et ne lui rendent pas ce qu’ils en obtiennent.

IL FAUT DONC EN FINIR AVEC L’AIDE SOCIALE.

Cette solution est radicale, je sais.

Mais considérez tous les déplorables effets pervers que cette situation produit.

Pour commencer, LES ASSISTÉS SOCIAUX ENTRENT DANS UN INFERNAL CERCLE DE DÉPENDANCE QU’ILS NE PEUVENT BRISER

et qui se perpétue de génération en génération.

Ils finissent par ne plus pouvoir concevoir de vivre sans cet apport de la société,

qui est même en certains cas une sorte de vol dont est victime la collectivité

– ces mots sont durs, je sais, mais ils sont justes, le plus souvent.

Ensuite, les assistés sociaux perdent peu à peu, et parfois irrémédiablement, leur dignité, cela parce qu’ils ne peuvent avoir la satisfaction d’avoir accompli quelque chose par eux-mêmes et qui leur appartienne vraiment.

Par ailleurs, tirant ce bénéfice indu, certains assistés sociaux tendent à s’isoler entre eux du reste de la société,

société à laquelle ils ne participent plus en y apportant leur juste part et avec laquelle ils n’ont plus guère d’intérêts communs.

Ils perdent ainsi tout sentiment d’appartenance à la collectivité à laquelle ils doivent pourtant tellement.

Enfin, plusieurs d’entre eux, trop nombreux hélas, TENDENT À ADOPTER DES COMPORTEMENTS RÉPRÉHENSIBLES, VOIRE EN CERTAINS CAS CRIMINELS, en s’associant pour cela à leurs semblables:

est-il nécessaire de préciser qu’ils le font, trop souvent, en toute impunité?

Ces raisons prises toutes ensemble me semblent décisives et la conclusion s’impose:

*

IL FAUT METTRE UN TERME À L’AIDE SOCIALE AUX ENTREPRISES,

à leur financement public

débouchant sur la PRIVATISATION DES PROFITS

qu’on leur permet, ainsi qu’aux privilèges accordés aux banques et institutions financières.

Il faut METTRE FIN À LA CRIMINALITÉ EN COL BLANC de ces assistés sociaux,

faire payer leur juste part d’impôts aux entreprises

et aux personnes très riches qui n’en paient guère,

voire pas du tout,

sans oublier dans la foulée d’augmenter le taux d’imposition du gain en capital (qui n’est pas imposable à 100% comme un revenu salarial, mais seulement à 50%)

et d’abolir les abris fiscaux.

Cela ne se fera pas.

DEPUIS DES DÉCENNIES, NOS VÉRITABLES ASSISTÉS SOCIAUX ONT MIS EN PLACE UN SYSTÈME REDOUTABLEMENT EFFICACE DANS LEQUEL ON TROUVE NOTAMMENT DES PARTIS POLITIQUES, DES MÉDIAS, des firmes de relations publiques

QUI S’ASSURENT tous ensemble QUE PERSONNE NE LES RECONNAÎT pour ce qu’ils sont.

[Ce sont nos maîtres – mais s’il faut maîtriser et commander, il ne faut pas que ce soit trop évident. Il suffit qu’on obéisse sans comprendre nos actions. Être aussi direct que dans certaines époques passées ou certains régimes politiques et sociaux actuels qui exigent la soumission publique ainsi que la peur mêlée à l’admiration de leur force, est considéré de mauvais goûts dans nos contrées progressistes et modernes. Pourtant le monde se dirige ainsi depuis qu’il y a des sociétés. Une minorité vit aux dépends de la majorité par la terreur ou l’habitude. Mais de nos jours, on est moderne. Si, il y a quelques décennies, la bourgeoisie avait peur de la démocratie, du vote accordée à la majorité (donc les pauvres, les employés et – horreur- aux femmes), elle s’y est très bien habituée depuis qu’elle la commande et en contrôle les résultats.

Chez les primitifs, on contrôle les boites à bulletins de votes (déjà pleines). Chez les civilisés, on contrôle les esprits. Ce qui est plus efficace. Les primitifs peuvent arriver à comprendre que quelque chose ne va pas. Les éduqués n’ont rien à comprendre puisqu’ils vivent dans un monde idéal. Ils ont même le droit – qu’on leur envie- de choisir leur gouvernement. Malheureusement, ce gouvernement fait rarement ce qu’on attend de lui. Mais il y a une explication toute prête : la majorité a voté pour lui. Dommage que vous n’en faisiez pas partie. Vous êtes un marginal. Dommage pour vous. La démocratie est donc devenue un produit manufacturé. Comme l’opinion. Ou la société. Comment ça c’est passé? Vous n’êtes pas chez les barons ni un serf. Ce qui serait injuste. Vous vous insérez – plus ou moins difficilement- comme les tampons ou les suppositoires- dans le Marché du Travail. Et, miracle, quelqu’un se trouve là et vous donne du travail. Et même un peu d’$. Et, en contrepartie, vous lui vendez votre temps, votre cerveau et votre vie. Il est donc tout à fait normal que vous lui obéissiez. Mais vous n’êtes pas un serf chez un baron, ceci est fait librement. Vous pouvez même partir à tout moment. Vous êtes libre. Vous pouvez passer ainsi toute votre vie. Vous serez si occupé à la gagner que vous cesserez de vous poser des questions – il se peut que vous vous posiez ce genre de chose lorsque vous étiez étudiant alors que tout vous paraissait étrange dans cette société nouvelle pour vous (vous quittez plus ou moins durement celle de l’enfance et n’êtes pas encore inséré – encore les tampons et les suppositoires- dans la société adulte. Une question de ce genre : est-ce que tous les autres font ainsi ? Si oui – vous ne le savez pas encore- comment obéissent-ils aussi facilement? Et autre question : obéir à qui? Se soumettre à qui? Vous n’oubliez pas, les cours d’Histoire et de socio sont encore frais parce que récent – que vous vivez dans un monde libre. On vous a répété que des tas de gens sont morts pour vous offrir cette liberté dont ils n’ont pas pu profiter – parce qu’ils vivaient, eux, dans une monde de serfs et de barons. De riches et de pauvres. De pillards et des pillés. Ce qui n’est pas le cas de votre monde. Vous vous posez d’autres questions : si vous obéissez, ce qui est évidamment le cas, c’est à qui ? Et la question est aussi simple que la réponse : aux riches. En regardant mieux, vous vous rendez compte qu’il y a quelques riches (tout en haut) (des vrais riches) et, en descendant, des riches, de moins en moins riches – mais qui, comme pour faire exprès, comme les fourmis sucent les pucerons pour les traire de leur miel sucré- qui font obéir tout le monde. 90 % des gens obéissent à 10 %. Vous pourriez vous poser d’autres questions : est-ce naturel? Est-ce bon pour la santé? Est-ce que j’en tire un profit raisonnable? Après tout, même une prostituée à des pratiques tarifées. Et si vous regardez plus intensément, vous vous apercevez alors qu’il n’y a pas seulement les riches et les obéisseurs (donc pauvres) (plus ou moins) (s’il ne l’était pas, ils n’obéirait pas, sauf perversion masochiste ou religieuse); il y a aussi des employés, très nombreux, dont le but est de vous tromper sur la qualité de la marchandise – qui font du marketing social ou politique. Qui remplaceront l’idée désagréable qui peut surgir dans votre cerveau : j’obéis à des gens que je méprise et ces gens me forcent à me prostituer – ou si on n’aime pas le mot : à faire des actes contre nature ou pervers ou malsains ou dommageable pour mon moral ou mon esprit ou ma santé ou, pour employer des termes d’une autre époque – pour mon âme. En fait, la plupart des gens obéit à quelques-uns. En politique, ce sera pour éviter une punition. Dans les affaires et le commerce, ce sera en échange de 10% de ce qu’ils produiront. Le reste enrichira le riche – il l’est s’il a les moyens d’exploiter quelques autres et de profiter de vos revenus. Devenus profits. Encore là, de nombreux spécialistes de la communication sociale et politique seront là pour vous éviter de percevoir ce qui est pourtant si évident. C’est la nature. Le Marché. La Loi de Marché. (Vous le voyez, le Marché à ses lois – lois inflexibles – naturelles (il y a le mot Nature dans une des phrases précédentes). C’est la Liberté. Encore plus libre avec un L majuscule. C’est presque Dieu. Ou, disons, Darwin. Mais pas le Veau d’Or, ce qui est trop Biblique. C’est le sens de l’Histoire. Car l’Homme a été créé pour commercer. Ce n’est pas ce que disait l’ouvrage célèbre dont on a tiré le mot Biblique mais c’est presque ça. Et l’expression le sens de l’Histoire est peu utilisée sauf par les communistes. Mais aller à contre sens, c’est être dans le mauvais sens. Et le bons sens est à Droite. Toute. Tant que vous ne remettrez pas en question chacun de ces mots et toutes ces idées, vous êtes condamné à être un serf moderne soumis à un baron tout aussi moderne. Est-ce injuste ? Mais ce mot n’est aujourd’hui utilisé qu’en ce qui concerne la Justice qui est le domaine de la loi et des tribunaux. Question pour finir : Est-ce que ce système durera encore longtemps? Réponse cynique. Ça dépend! Puisque les obéisseurs et les tondus, les traits et les plumés sont la majorité, dès qu’ils décideront de ne plus obéir, la machine à plumer se brisera et le système s’effondrera. Corollaire : Tant qu’ils obéiront, elle continuera à. Et vous ferez des enfants pour obéir lorsque vous ne pourrez plus. Le monde est bien fait! Disons. Malheureusement, il n’est pas pour vous. Vous avez tendance à l’oublier : vous êtes là pour être tondu. Donc bêlez !]

Ils se comportent en cela exactement comme ceux que le fondateur du libéralisme économique, Adam Smith, appelait les Maîtres.

Dans des pages qu’on oublie typiquement de citer de son chef-d’œuvre La richesse des nations, il nous met sérieusement en garde contre ceux dont la «vile maxime» est:

«TOUT POUR NOUS, RIEN POUR LES AUTRES»,

des gens, dit-il, qui forment une «ligue tacite, mais constante et uniforme» et ne peuvent se rencontrer sans «comploter contre le reste de la société».

Considérez de ce point de vue les modestes propositions avancées par le gouvernement péquiste à l’automne:

hausser à 75% le pourcentage imposable du gain en capital

et hausser modestement l’impôt pour les plus fortunés.

Ce fut, souvenez-vous, le tollé.

Menaces de quitter le Québec, hauts cris, chantage: rien ne nous aura été épargné.

Entre médias aux ordres, politiciens acquis à leur cause, campagnes de désinformation et propagande, les Maîtres ont déployé leur arsenal pour maintenir la conformité de nos politiques avec leur vile maxime.

C’EST QUE, DANS NOS SOCIÉTÉS, LE 1% OBTIENT À PEU DE CHOSES PRÈS TOUT CE QU’IL SOUHAITE, et cela s’est vérifié cette fois encore.

Mais c’est une tout autre histoire quand ce n’est plus des Maîtres qu’il s’agit, et plus encore s’il est question des plus faibles des autres.

Ils le savent, ces travailleurs et travailleuses dont l’âge de la retraite a été porté à 67 ans; ces chômeurs et chômeuses qu’on attaque brutalement en Gaspésie, au Nouveau-Brunswick et ailleurs; et, pour faire bonne mesure, ces personnes parmi les plus vulnérables de celles qui vivent de l’aide sociale sur lesquelles le Parti québécois frappe en ce moment: des personnes de 55 à 57 ans, ou qui ont la garde de jeunes enfants, ou encore des toxicomanes.

Ce serait, sans rire, eux et elles, dont le nombre diminue d’ailleurs de manière radicale depuis 20 ans, les vrais, les importants, les coûteux assistés sociaux.

Et sur eux et elles, qui n’ont ni journaux ni intellectuels à gages ni politiciens aux ordres, on peut taper. E

t on peut même cogner très fort sur les plus faibles et les plus démunis d’entre eux.

Pour leur bien, bien entendu.

Tough love, comme ils disent.

Et on ne se gêne pas pour taper.

Je suis outré. Je suis sans voix. Et d’une infinie tristesse qui n’a d’égale que la colère qui m’habite.

Il faudra pourtant bien, un jour, qu’on mette fin à l’aide sociale, à la vraie.

Les Maîtres ne le voudront pas.

Il faudra le leur imposer.

[Les États – si méprisés par eux et leurs familiers et suppôts- les ont pourtant sauvé en 2008. Sitôt, sorti de l’eau ou de la marde, ils ont recommencé à commander pour faire oublier leurs ennuis récents et qui les avait sauvé. Les États avec l’$ des citoyens/contribuables/taxé – leurs employés. États qui n’ont pas cessé (avant 2008, pendant, après) de tout faire pour leur faire risette. États et politiques qui ont oublié leur puissance et l’étendue de leur pouvoir, pour devenir ce qu’est devenu l’Église : le gardien des riches contre les pauvres. ]

Cela s’appelle, du moins à en croire le milliardaire américain Warren Buffett qui le disait il y a quelques années, la lutte des classes:

«IL Y A BIEN UNE LUTTE DES CLASSES, AFFIRMAIT CE DERNIER. MAIS C’EST MA CLASSE, CELLE DES RICHES, QUI LA MÈNE. ET ELLE LA GAGNE.»

C’est exact. Pour le moment. En attendant, le PQ doit reculer sur cette ignominie