vendredi 28 juin 2013
6182. NOS AMIS LES RICHES ET CE QU'IS ONT FAIT, FONT ET FERONT DE NOTRE $ QUI LES A RENDU RICHES. CAR ÊTRE RICHE NE SUFFIT PAS.
L’Europe a refinancé ses banques lors du Krash de 2008. La Banque Centrale Européenne a prêté aux banques 1 130 milliards d’euros. À un taux de 0.75%. (1)
Ici, au Canada, on continue à le faire. 1 % d’intérêt. Aux USA, c’est zéro.
Et, le plus beau, c’est que les banques (on dit alors le Marché), reprêtent ensuite le même $ imaginaire aux gouvernements. Plus cher. D’où des profits pharaoniques.
Et, elles se lamentent ensuite au sujet du «déficit» des États. De la «dette», qui vient majoritairement de l’$ utilisé pour les sauver.
Et elles se mettent à donner des conseils. Elles qui ont presque falli faire crever le monde.
Il faut faire des compression. Couper des postes. Privatiser. Augmenter les tarifs des citoyens qui utilisent les services publics. Avant qu’on les privatise et les destinent uniquement à ceux qui peuvent se les payer.
Pourquoi pas l’eau ? L’air? Les rues ? L’électricité ? Les hôpitaux ?
Ce que les États émerveillés de tant de sagesse font. Ici. Ailleurs. Partout. La même recette. La même supplication.
Et le même problème causé par les mêmes coupables. Mais on n'en parle plus. C'est du passé. Et si on n'a pas déjà oublié, c'est qu'on a mauvais esprit.
Les mêmes solutions par les mêmes crapules.
La même pièce de théâtre. Des banques insolvables. Avec le chœur des vierges des associations patronales. Puis des banques qui débordent de pognon.
Et des banquiers payés des dizaines de millions. Parce qu'ils le valent bien.
Et la comédie continue.
Puis des États, penaud, de se voir réprimandés. Qui ne demandent qu’à mieux faire. Et répètent le même refrain, cette fois, en direction du peuple – cette fois, avec les larmes et les invocations au Veau d’Or, puis des menaces – car le bon peuple devra payer les dettes de tous les autres. Une livre de chair à la fois. Et être content.
Conclusion.
Nous somms dirigés par des bandits. Privés. Et publics. Complices. Racket. Extorsion. Chantage. Corruption. Vol. Mystification. Association de malfaiteurs. Trahison.
Et ça dérange quelqu’un ?
Personne.
Le niveau de conscience du public ?
Zéro.
Solution ?
Aucune.
Les pédophiles dirigent l'orphelinat et les maternelles.
Vous aimez une image moins triviale. Plus dramaturgique.
Comme le python, le Marché se nourrit de proie vivante. Consentante. Et les idiots vont revoter pour leurs voleurs. Parce qu’ils ont l’air si sincère.
Démocratie?
Bouffon. Va !
1.
Nici Cué, secrétaire général de la fédération Métallurgie Wallonie-Bruxelle MWB. Membre de la Fédération générale des travailleurs de Belgique FGTB.
http://www.lautjournal.info/ http://lautjournal.info/default.aspx?page=73
Ici, au Canada, on continue à le faire. 1 % d’intérêt. Aux USA, c’est zéro.
Et, le plus beau, c’est que les banques (on dit alors le Marché), reprêtent ensuite le même $ imaginaire aux gouvernements. Plus cher. D’où des profits pharaoniques.
Et, elles se lamentent ensuite au sujet du «déficit» des États. De la «dette», qui vient majoritairement de l’$ utilisé pour les sauver.
Et elles se mettent à donner des conseils. Elles qui ont presque falli faire crever le monde.
Il faut faire des compression. Couper des postes. Privatiser. Augmenter les tarifs des citoyens qui utilisent les services publics. Avant qu’on les privatise et les destinent uniquement à ceux qui peuvent se les payer.
Pourquoi pas l’eau ? L’air? Les rues ? L’électricité ? Les hôpitaux ?
Ce que les États émerveillés de tant de sagesse font. Ici. Ailleurs. Partout. La même recette. La même supplication.
Et le même problème causé par les mêmes coupables. Mais on n'en parle plus. C'est du passé. Et si on n'a pas déjà oublié, c'est qu'on a mauvais esprit.
Les mêmes solutions par les mêmes crapules.
La même pièce de théâtre. Des banques insolvables. Avec le chœur des vierges des associations patronales. Puis des banques qui débordent de pognon.
Et des banquiers payés des dizaines de millions. Parce qu'ils le valent bien.
Et la comédie continue.
Puis des États, penaud, de se voir réprimandés. Qui ne demandent qu’à mieux faire. Et répètent le même refrain, cette fois, en direction du peuple – cette fois, avec les larmes et les invocations au Veau d’Or, puis des menaces – car le bon peuple devra payer les dettes de tous les autres. Une livre de chair à la fois. Et être content.
Conclusion.
Nous somms dirigés par des bandits. Privés. Et publics. Complices. Racket. Extorsion. Chantage. Corruption. Vol. Mystification. Association de malfaiteurs. Trahison.
Et ça dérange quelqu’un ?
Personne.
Le niveau de conscience du public ?
Zéro.
Solution ?
Aucune.
Les pédophiles dirigent l'orphelinat et les maternelles.
Vous aimez une image moins triviale. Plus dramaturgique.
Comme le python, le Marché se nourrit de proie vivante. Consentante. Et les idiots vont revoter pour leurs voleurs. Parce qu’ils ont l’air si sincère.
Démocratie?
Bouffon. Va !
1.
Nici Cué, secrétaire général de la fédération Métallurgie Wallonie-Bruxelle MWB. Membre de la Fédération générale des travailleurs de Belgique FGTB.
http://www.lautjournal.info/ http://lautjournal.info/default.aspx?page=73