MONSIEUR CARLOS LEITÃO EN PRISON DÉVELOPPE UNE PASSION POUR LA LECTURE. S'CUSEZ ! C'EST UN FANTASME. |
ESPÉRONS QU'IL PUISSE LA GARDER JUSQU'À SA VIE D'ADULTE ET PAR APRÈS |
CARLOS LEITÃO GOT HIS FEELINGS HURT
MERCI. ALORS, BONJOUR, MESSIEURS, BONJOUR, MESDAMES. ALORS, ÉVIDEMMENT, VOUS COMPRENEZ QU'ON SOUHAITE RÉAGIR AUX ARRESTATIONS DE CE MATIN. J'AIMERAIS COMMENCER EN REVENANT SUR LE CAS. RAPPELONS LES FAITS. AU COURS DE L'ÉTÉ DERNIER, DES ARRESTATIONS ONT ÉTÉ FAITES EN LIEN AVEC CETTE FIRME. CELA DIT, ÉVIDEMMENT, À LA LUMIÈRE DES ARRESTATIONS DE CE MATIN, AFIN DE SOULIGNER JUSTEMENT QU'À LA LUMIÈRE DES NOUVELLES ARRESTATIONS EFFECTUÉES PAR L'UPAC, JE M'ATTENDAIS, TOUJOURS EN VERTU DE LA LOI SUR LES CONTRATS DES ORGANISMES PUBLICS, À CE QUE L'AMF PROCÈDE À UNE RÉÉVALUATION DE CES DOSSIERS DANS LE BUT DE S'ASSURER QUE LES ENTREPRISES RESPECTENT TOUJOURS LES EXIGENCES ÉLEVÉES D'INTÉGRITÉ ATTENDUES D'UN CONTRACTANT DE L'ÉTAT. ET D'AILLEURS, PLUS TARD AUJOURD'HUI, L'AMF A RÉPONDU POSITIVEMENT À CET EFFET. EN CE QUI CONCERNE LES CONTRATS EN COURS ET, DANS LES FAITS, IL Y EN A, IL Y A DES CONTRATS EN COURS. ON EST EN TRAIN DE FAIRE LA RECENSION COMPLÈTE, MAIS, DU CÔTÉ DE NOTRE DONNEUR D'OUVRAGE INFORMATIQUE LE PLUS IMPORTANT, LE CENTRE DE SERVICES PARTAGÉS DU QUÉBEC. ALORS, CE QUE J'AI FAIT CE MATIN, C'EST QUE J'AI DEMANDÉ AU SOUS-SECRÉTARIAT AUX MARCHÉS PUBLICS DE DEMANDER À L'ENSEMBLE DES MINISTÈRES ET DES ORGANISMES DE VÉRIFIER SI LES PERSONNES QUI SONT IMPLIQUÉES DANS LES ARRESTATIONS CE MATIN ONT ÉTÉ IMPLIQUÉES, D'UNE MANIÈRE OU D'UNE AUTRE, DANS CES CONTRATS ET, LE CAS ÉCHÉANT, D'EN RAPPORTER L'INFORMATION IMMÉDIATEMENT À L'UPAC. J'AIMERAIS SOULIGNER, JUSTEMENT, QUE LES ARRESTATIONS D'AUJOURD'HUI CONFIRMENT QUE CE SYSTÈME-LÀ, JUSTEMENT, FONCTIONNE, QUE LES MÉCANISMES ET LES PROCESSUS QUE NOUS AVONS MIS EN PLACE SONT EFFICACES. LA PREUVE EN EST JUSTEMENT CES ARRESTATIONS FAITES PAR L'UPAC CE MATIN. J'AIMERAIS RAPPELER AUSSI QUE, DÈS QUE L'UPAC POSE DES QUESTIONS, INTERPELLE LES MINISTÈRES ET LES ORGANISMES DU GOUVERNEMENT, QU'IL Y A UNE COLLABORATION TOTALE AUX ENQUÊTES ET QUE TOUT EST FAIT POUR FACILITER LE TRAVAIL DES ENQUÊTEURS. MAINTENANT, J'AIMERAIS RAPPELER AUSSI QU'IL FAUT FAIRE TRÈS ATTENTION DE NE PAS, ÉVIDEMMENT, JETER LE BÉBÉ AVEC L'EAU DU BAIN. IL NE FAUT PAS GÉNÉRALISER SUR LA BASE DE CAS SPÉCIFIQUES COMME CEUX DE CE MATIN, MAIS IL NE FAUT PAS NON PLUS LES BANALISER. ALORS, IL FAUT EN TENIR COMPTE TRÈS SÉRIEUSEMENT. ET, À CET EFFET, JE RAPPELLE DES RÈGLES D'ÉTHIQUE TRÈS IMPORTANTES, NOS FAÇONS DE PROCÉDER. ÇA, C'EST UNE QUESTION QUI EST EXTRÊMEMENT DÉLICATE. L'AMF AVAIT ACCÈS À L'INFORMATION QU'ELLE AVAIT ACCÈS ET C'EST TOUT CE QU'ELLE POUVAIT AVOIR ACCÈS. POUR ALLER PLUS LOIN QUE ÇA, ÇA DEVIENT UNE QUESTION JURIDIQUE, UNE QUESTION DE DIVISION TRÈS CLAIRE ENTRE UNE ENQUÊTE CRIMINELLE ET L'INFORMATION QUI PEUT ÊTRE DONNÉE SUR CETTE ENQUÊTE À DES TIERCES PARTIES. DONC, C'EST EXTRÊMEMENT DÉLICAT. À L'UPAC, IL Y A 2 UNITÉS : UPAC ENQUÊTE, UPAC VÉRIFICATION. L'AMF A UN LIEN DIRECT AVEC L'UPAC VÉRIFICATION. DONC, À L'INTÉRIEUR DE L'UPAC ELLE-MÊME, UPAC VÉRIFICATION N'ÉTAIT PAS AU COURANT DES DÉTAILS DE L'ENQUÊTE D'UPAC ENQUÊTE, ET ÇA, C'EST COMME ÇA QUE ÇA SE FAIT. CE QU'ON NOUS RÉPOND, ET JE PENSE QUE ÇA A QUAND MÊME BEAUCOUP DE SENS, LÀ : ON NE PEUT PAS PRENDRE DE DÉCISION SUR LA BASE D'INFORMATION QU'ON NE CONNAÎT PAS, ON NE PEUT PAS FAIRE ÇA. DES ENQUÊTES, PAR DÉFINITION, LÀ, C'EST ULTRACONFIDENTIEL ET C'EST TRÈS DÉLICAT. ALORS, CETTE INFORMATION-LÀ, ELLE N'ÉTAIT PAS CONNUE DE L'AMF. MAINTENANT, CETTE INFORMATION-LÀ SURGIT AUJOURD'HUI, ON DEMANDE DE RÉÉVALUER TOUTE LA SITUATION, D'UNE PART, ET, D'AUTRE PART, ON EST EN TRAIN DE FAIRE LA VÉRIFICATION DE TOUS LES CONTRATS EXISTANTS POUR S'ASSURER QUE LES PERSONNES EN QUESTION NE SONT PAS EN CAUSE. IL Y A EU UNE ÉNORME, ENTIÈRE COLLABORATION ENTRE L'AGENCE DU REVENU ET L'UPAC. MAINTENANT, ÉCOUTEZ, LES EMPLOYÉS DU GOUVERNEMENT DU QUÉBEC… ÇA FAIT QUAND MÊME QUELQUES ANNÉES QUE NOUS EMPLOYONS DES PERSONNES, JE NE SUIS PAS PRÊT, COMME MON COLLÈGUE A DIT, À JETER LE BÉBÉ AVEC L'EAU DU BAIN ET PRÉSUMER QUE TOUS NOS EMPLOYÉS SONT DES FRAUDEURS. ÉCOUTEZ, CE N'EST CERTAINEMENT PAS… JE NE VAIS CERTAINEMENT PAS Y ALLER, AU CONTRAIRE. ON NE VA PAS SPÉCULER SUR LA SUITE DES CHOSES, SINON QU'IL Y A DE SÉRIEUSES NOUVELLES, IL Y A DE SÉRIEUSES NOUVELLES INFORMATIONS CE MATIN, QUI N'ÉTAIENT PAS LÀ AVANT. ELLES SONT SÉRIEUSES, CES NOUVELLES INFORMATIONS, ET IL EST DONC NÉCESSAIRE, ET C'EST POUR ÇA QUE J'AI ÉCRIT À L'AMF, MAIS L'AMF EN CONVIENT TOTALEMENT PUISQUE C'EST LA LOI AUSSI. ELLE VA REVOIR CE DOSSIER DANS LE CAS DES 2 ENTREPRISES. REGARDEZ, LES ÉVÉNEMENTS D'AUJOURD'HUI, PUIS JE LE RAPPELLE, JE LE RÉPÈTE, LÀ, LES ÉVÉNEMENTS D'AUJOURD'HUI, ILS DEVRAIENT RASSURER TOUT LE MONDE ICI, EN CE SENS QUE LE SYSTÈME QUE NOUS AVONS MIS EN PLACE PORTE SES FRUITS. IL FONCTIONNE. IL Y A UNE COLLABORATION ENTRE LES ORGANISMES ET L'UPAC POUR S'ASSURER QU'ON PUISSE TROUVER LES FAUTIFS, IL Y A UNE ACTION QUI EST POSÉE, ET L'AMF VA RÉÉVALUER LE DOSSIER À LA LUEUR DE CE TRAVAIL-LÀ. LES EMPLOYÉS COLLABORENT PLEINEMENT, LES ORGANISMES COLLABORENT PLEINEMENT. L'UPAC FAIT SON TRAVAIL, L'AMF FAIT SON TRAVAIL. LE SYSTÈME FONCTIONNE. VOUS SAVEZ, SI ON AVAIT DES GRANDS COUSSINS, VOUS TROUVERIEZ QUE L'OEUVRE EST FACILE. OR, L'OEUVRE EST DIFFICILE, DONC IL NE DOIT PAS Y AVOIR TANT DE COUSSIN QUE ÇA. |