vendredi 18 février 2011
5061. LU
« Ce n'est pas le niveau des taux d'intérêt qui fait qu'une banque fait plus de profit mais plutot l'écart entre le taux qu'elle paie pour les dépôts et le taux auquel elle prête. »
En fait, le gros des profits des banques n'ont rien à voir avec les prêts et les épargnes (à part que ce sont deux sources de capitaux à utiliser par elles).
Le gros des profits provient des produits financiers sur le marché spéculatif.
C'est la spéculation qui "brasse" le plus d'argent.
[Ou des «chiffres» puisque l’$ est devenue virtuel. Une onde, un signal électrique, un + ou un - . Invisible. Sauf pour ceux tout en haut qui s’enrichissent et ceux tout en bas qui regarde leur poignée de riz de plus en plus chère. C0mme cet $ virtuel ne peut acheter quoique ce soit - car il y en a trop- sans déclencher une inflation mortelle, il doit disparaître régulièrement. Comme on a vu en 2008. Encore une fois, ceux d'en haut en profitent, en spéculant sur la baisse de valeur. Et ceux d'en bas regardent leur poignée de riz. Et ils décident de sauter son repas du jour. Et un jour, ils sont des millions et commencent à regarder ceux d'en haut. Comme on a vu récemment en Tunisie, en Égypte. Quand tu n'as plus peur de mourir, tout est possible.]
En 2006, le PIB mondial ne représentait que 8% de "l'argent" transigé.
Le 92% restant est pur spéculation: bourse, spéculation sur les monnaies, etc.
Je n'ai pas les données plus récentes, mais je doute que la tendance se soit inversée.
*
ÉCONOMIE INTERNATIONALE
LE G20 S'ATTAQUE AUX DÉSÉQUILIBRES MONDIAUX
18 février 2011
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2011/02/18/009-g20-banques-centrales.shtml#commentaires
En fait, le gros des profits des banques n'ont rien à voir avec les prêts et les épargnes (à part que ce sont deux sources de capitaux à utiliser par elles).
Le gros des profits provient des produits financiers sur le marché spéculatif.
C'est la spéculation qui "brasse" le plus d'argent.
[Ou des «chiffres» puisque l’$ est devenue virtuel. Une onde, un signal électrique, un + ou un - . Invisible. Sauf pour ceux tout en haut qui s’enrichissent et ceux tout en bas qui regarde leur poignée de riz de plus en plus chère. C0mme cet $ virtuel ne peut acheter quoique ce soit - car il y en a trop- sans déclencher une inflation mortelle, il doit disparaître régulièrement. Comme on a vu en 2008. Encore une fois, ceux d'en haut en profitent, en spéculant sur la baisse de valeur. Et ceux d'en bas regardent leur poignée de riz. Et ils décident de sauter son repas du jour. Et un jour, ils sont des millions et commencent à regarder ceux d'en haut. Comme on a vu récemment en Tunisie, en Égypte. Quand tu n'as plus peur de mourir, tout est possible.]
En 2006, le PIB mondial ne représentait que 8% de "l'argent" transigé.
Le 92% restant est pur spéculation: bourse, spéculation sur les monnaies, etc.
Je n'ai pas les données plus récentes, mais je doute que la tendance se soit inversée.
*
ÉCONOMIE INTERNATIONALE
LE G20 S'ATTAQUE AUX DÉSÉQUILIBRES MONDIAUX
18 février 2011
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2011/02/18/009-g20-banques-centrales.shtml#commentaires