mercredi 14 septembre 2011
5713. DES COMDAMNÉS CRÈVENT DE FAIM PENDANT QU'ON LEUR FAIT SENTIR DU JAMBON. CE QUI EST BON POUR LE MORAL.
http://marinni.livejournal.com/tag/%D0%9A%D0%90%D0%97%D0%9D%D0%98%20%D0%98%20%D0%9F%D0%AB%D0%A2%D0%9A%D0%98
BLOG. Marinni
Martyrdom-Мученичества святых
[La jolie russe collectionne des peintures de martyres ou d'autres massacrés (politique ou sociaux) particulièrement parlantes. On entend presque les cris, les supplications et les hurlements. On apprend, si on ne le savait déjà, que massacrer son prochain a été depuis toujours une occupation enthousiasmante des autorités qui nous dirigent. Religieuses, politiques, judiciaires, militaires, économiques. Et qu'ils mettent dans la sophistication de la douleur et de la souffrance une imagination qui ne peut que vous couper le souffle d'admiration. Et les artistes ont su représenter la chose d'une façon élégante. Ce que la photo (pas encore inventée - il aura fallu attendre 100,000 ans) n'auraient pas su faire aussi bien. Le cinéma ne viendrait que plus tard. De même que l'enregistrement sonore. Que ne donnerait-on pas pour entendre la voix d'un homme scier en deux (vivant) ou écartelé par 4 chevaux (vivants) (les chevaux ou lui). Ou étripé (vivant). Les anglais aimaient beaucoup ce genre de procédés. Eux pourtant si férus de morale si tant qu'ils en donnent et en distribuent. Sans oublier et de leçon de savoir vivre. Quoi de mieux lorsqu'on vous sort les tripes du ventre et qu'on les enroule sur un treuil. Une quinzaine de pieds de longs. Pendant que le condamné (vivant) regarde ce qu'on lui fait après qu'on lui ait ouvert le vendre. Aujourd'hui, on se contente de griller (vivant) les gens du haut des airs en leur jetant des bombes intelligentes. C'est étrange que l'on s'acharne tant à parler de bombes intelligentes mais si rarement de politiciens intelligents. De militaires intelligents. On parle même de bombardement «scientifique». Ce qui est tout à leur honneur.]
BLOG. Marinni
Martyrdom-Мученичества святых
[La jolie russe collectionne des peintures de martyres ou d'autres massacrés (politique ou sociaux) particulièrement parlantes. On entend presque les cris, les supplications et les hurlements. On apprend, si on ne le savait déjà, que massacrer son prochain a été depuis toujours une occupation enthousiasmante des autorités qui nous dirigent. Religieuses, politiques, judiciaires, militaires, économiques. Et qu'ils mettent dans la sophistication de la douleur et de la souffrance une imagination qui ne peut que vous couper le souffle d'admiration. Et les artistes ont su représenter la chose d'une façon élégante. Ce que la photo (pas encore inventée - il aura fallu attendre 100,000 ans) n'auraient pas su faire aussi bien. Le cinéma ne viendrait que plus tard. De même que l'enregistrement sonore. Que ne donnerait-on pas pour entendre la voix d'un homme scier en deux (vivant) ou écartelé par 4 chevaux (vivants) (les chevaux ou lui). Ou étripé (vivant). Les anglais aimaient beaucoup ce genre de procédés. Eux pourtant si férus de morale si tant qu'ils en donnent et en distribuent. Sans oublier et de leçon de savoir vivre. Quoi de mieux lorsqu'on vous sort les tripes du ventre et qu'on les enroule sur un treuil. Une quinzaine de pieds de longs. Pendant que le condamné (vivant) regarde ce qu'on lui fait après qu'on lui ait ouvert le vendre. Aujourd'hui, on se contente de griller (vivant) les gens du haut des airs en leur jetant des bombes intelligentes. C'est étrange que l'on s'acharne tant à parler de bombes intelligentes mais si rarement de politiciens intelligents. De militaires intelligents. On parle même de bombardement «scientifique». Ce qui est tout à leur honneur.]