DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR
DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

dimanche 13 décembre 2009

1721. LE PROFESSEUR BULLE RENIFLE UNE MAUVAISE ODEUR VENANT DU CANADA

AFGHANISTAN

TORTURE EN AFGHANISTAN

LE GOUVERNEMENT HARPER SAVAIT

25 avril 2007
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2007/04/25/002-torture_afghan.shtml

Un rapport préparé par des diplomates canadiens en mission à Kaboul informait de façon non équivoque le gouvernement que des prisonniers afghans étaient torturés et même exécutés par les forces de sécurité afghanes, révèle le Globe and Mail.

Le document, qui a été remis au ministère des Affaires étrangères, contredit clairement la version du premier ministre Stephen Harper et de son ministre de la Défense, Gordon O'Connor, qui disaient encore mardi n'avoir reçu aucune information à ce sujet.

Le quotidien torontois publie mercredi deux versions de ce document, intitulé Afghanistan 2006 - Bonne gouvernance, développement de la démocratie et droits humains, et dont le gouvernement niait originalement l'existence. La première, censurée, obtenue après que le journal se soit plaint auprès du Commissaire à l'information, et une seconde, non censurée, sur laquelle le quotidien a mis la main.

La troisième phrase du rapport conclut notamment que « des exécutions extrajudiciaires, des disparitions, de la torture et des détentions sans procès ne sont que trop fréquentes ». Elle a été censurée, au même titre que d'autres phrases à connotation négative, dont la toute première, qui stipule: « Malgré quelques progrès développements positifs, la situation globale des droits humains en Afghanistan s'est détériorée en 2006. »

Le quotidien indique ne pas avoir obtenu d'explications claires quant à la censure exercée sur les documents obtenus. Aucune question de sécurité nationale ou de protection de renseignements personnels ne semble être en cause. Plusieurs passages sur les méthodes employées par les forces afghanes, dont le service de renseignement afghan, ont également été censurés.

Le quotidien dit s'être renseigné une première fois de l'existence d'un tel rapport sur les droits de l'homme au début du mois de mars. Le ministère des Affaires étrangères a alors répondu qu'il n'en existait pas. Deux semaines plus tard, la Direction de l'accès à l'information revenait à la charge en spécifiant que le Canada n'écrivait pas de rapport à ce sujet, comme le font les États-Unis et le Royaume-Uni.

LE GOUVERNEMENT NIE

Les allégations concernant la police afghane, réputée pour sa brutalité, sont au coeur des débats à la Chambre des communes depuis que le Globe and Mail a publié un reportage détaillant des traitements dégradants et cruels auxquels ont été soumis des prisonniers afghans remis entre les mains du service de renseignement afghan.

Une trentaine d'Afghans rencontrés en personne par un journaliste du quotidien affirment avoir été battus, fouettés, étouffés, soumis à des températures extrêmes, privés de nourriture et soumis à des décharges électriques par les policiers afghans.

Le gouvernement Harper considère ces révélations comme des rumeurs, et continue de se fier à la Commission indépendante des droits de la personne d'Afghanistan pour lui rapporter tout cas d'exaction. L'agence dit pourtant ne pas avoir accès à de nombreux prisonniers et se dit incapable de faire son travail.

À la Chambre des communes, mardi, le premier ministre Harper a affirmé: « Je suis informé qu'il y a des contacts réguliers entre les Forces canadiennes, le gouvernement du Canada, le gouvernement de l'Afghanistan et la commission indépendante. Jusqu'à maintenant, nous n'avons pas de preuve des allégations faites. Cependant, j'ai demandé aux officiers de continuer leurs consultations et de déterminer s'il y a un problème. »

La torture des prisonniers de guerre est interdite en vertu de la Convention de Genève. Ces détenus, précise l'article 12, ne peuvent être transférés « qu'à une Puissance partie à la Convention et lorsque la Puissance détentrice s'est assurée que la Puissance en question est désireuse et à même d'appliquer la Convention ».