jeudi 24 décembre 2009
1851. COMMENTAIRE DU PROFESSEUR BULLE
Fascinant!
Sujet délicat.
Comme disait un commentateur: ce n'est pas la «bonne» victime ni le «bon» criminel. Alors le bienpensants modernes a ses fusibles qui sautent. Le bienpensant moderne a les fusibles fragiles.
Le sujet semble si délicat que les gens en perdent non leur latin (que la plupart n'ont jamais eu) mais leur français. Si le pluriel des mots est déjà égaré, on en est rendu à la syntaxe. On radote.
Et ce sont des lettres des lecteurs adressées à Radio-Can. On peut considérer qu'il s'agit d'une sorte d'élite ?
Il faudrait faire un tour parmi les anciens profs de français et en pendre quelques-uns pour l'exemple.
Quant au prof de philo, la cause est perdue depuis longtemps.
Mais on pourrait en pendre aussi quelques autres juste pour le plaisir.
Une connaissance si primaires des humains est tellement pathétique, qu'on leur donnerait un nounours (une peluche comme disent les français de France - les seuls vrais!) pour les consoler des drames inévitables que leur réserve la vie.
Puisqu'ils sont ici (sur Terre) uniquement pour mourir.
Et pour être exploité par tous les exploiteurs d'humains disponibles - ici la devise nazie serait de mise- jusqu'à leur retraite.
Où on les exploitera encore pour leur soutirer leur dernier $ dans des placements judicieux.
Ensuite, ils iront dans une maison de retraite au nom évocateur «À la croisée du bonheur» et autres gentillesses. Qui sont un peu les banlieues de la vie où votre rue s'appelle «rue des peupliers» signe qu'il y en a peut-être eu avant et qu'il n'y en a certainement plus. Et en ce qui concerne les «bonheur» avec une couche, oubliez-ça.
Bon à savoir.
Mais ce n'est pas le sujet du jour qui est :
Les bourreaux et les victimes sont interchangeables.
Je n'ai pas encore numérotée cette lois mais elle devrait figurer dans les petites chiffres.
Ce n'est que la malchance, un malentendu, un hasard historique qui fait que certains ont le pouvoir d'abuser de leur pouvoir et l'envie de le faire. Et d'autres n'ont rien pour se défendre. On peut les plaindre. Mais on peut être sûr que leurs descendants les vengeront au centuple. Non sur les bourreaux qui seront morts - la vie, même celle des puissants, est limitée- mais sur d'autres victimes innocentes.
Si vous faites des enfants sachez qu'ils souffriront comme des chiens - ils sont là pour ça (remplacer les chiens finis) ou ils feront parti de ceux qui tiennent le manche.
Et ce n'est pas près de changer puisque c'est comme ça depuis 10,000 ans.
Ollé!
Sujet délicat.
Comme disait un commentateur: ce n'est pas la «bonne» victime ni le «bon» criminel. Alors le bienpensants modernes a ses fusibles qui sautent. Le bienpensant moderne a les fusibles fragiles.
Le sujet semble si délicat que les gens en perdent non leur latin (que la plupart n'ont jamais eu) mais leur français. Si le pluriel des mots est déjà égaré, on en est rendu à la syntaxe. On radote.
Et ce sont des lettres des lecteurs adressées à Radio-Can. On peut considérer qu'il s'agit d'une sorte d'élite ?
Il faudrait faire un tour parmi les anciens profs de français et en pendre quelques-uns pour l'exemple.
Quant au prof de philo, la cause est perdue depuis longtemps.
Mais on pourrait en pendre aussi quelques autres juste pour le plaisir.
Une connaissance si primaires des humains est tellement pathétique, qu'on leur donnerait un nounours (une peluche comme disent les français de France - les seuls vrais!) pour les consoler des drames inévitables que leur réserve la vie.
Puisqu'ils sont ici (sur Terre) uniquement pour mourir.
Et pour être exploité par tous les exploiteurs d'humains disponibles - ici la devise nazie serait de mise- jusqu'à leur retraite.
Où on les exploitera encore pour leur soutirer leur dernier $ dans des placements judicieux.
Ensuite, ils iront dans une maison de retraite au nom évocateur «À la croisée du bonheur» et autres gentillesses. Qui sont un peu les banlieues de la vie où votre rue s'appelle «rue des peupliers» signe qu'il y en a peut-être eu avant et qu'il n'y en a certainement plus. Et en ce qui concerne les «bonheur» avec une couche, oubliez-ça.
Bon à savoir.
Mais ce n'est pas le sujet du jour qui est :
Les bourreaux et les victimes sont interchangeables.
Je n'ai pas encore numérotée cette lois mais elle devrait figurer dans les petites chiffres.
Ce n'est que la malchance, un malentendu, un hasard historique qui fait que certains ont le pouvoir d'abuser de leur pouvoir et l'envie de le faire. Et d'autres n'ont rien pour se défendre. On peut les plaindre. Mais on peut être sûr que leurs descendants les vengeront au centuple. Non sur les bourreaux qui seront morts - la vie, même celle des puissants, est limitée- mais sur d'autres victimes innocentes.
Si vous faites des enfants sachez qu'ils souffriront comme des chiens - ils sont là pour ça (remplacer les chiens finis) ou ils feront parti de ceux qui tiennent le manche.
Et ce n'est pas près de changer puisque c'est comme ça depuis 10,000 ans.
Ollé!