dimanche 24 janvier 2010
2007
Image. Andrea Del Sarto
http://www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Abraham/103827
http://imagesbible.com/FICHES/F_A_sacrifice.htm#autresImages
Interdiction du sacrifice humain
Cette scène est l’une des plus célèbres de la Bible car elle est à l’origine d’un des interdits les plus importants de notre civilisation, celui des sacrifices humains.
Dans certaines civilisations antiques, et notamment dans la région du Proche orient où vivait Abraham, il était de tradition d’offrir le premier né en sacrifice aux dieux. C'est-à-dire de l’égorger sur un autel, puis de brûler son corps, comme on le faisait avec les autres animaux.
Ainsi on comprend mieux qu’Abraham puisse accepter de sacrifier Isaac, sans manifester sa surprise. Mais le Dieu d’Abraham n’est pas comme ceux de ses voisins, il arrête son bras et lui demande d’offrir un mouton.
Le récit, appuyé par l’image, est le fondement de l’interdiction de tout sacrifice humain pour « les enfants d’Abraham » c'est-à-dire les trois religions : juive, chrétienne et musulmane. Cette interdiction n’a pas toujours été respectée mais elle a permis de dénoncer ceux qui passaient outre.
Le sacrifice d'Abraham est aussi reconnu par les Musulmans qui fêtent toujours cet évènement en sacrifiant un mouton, c’est l’Aïd-el-kébir ou Grande Fête des sacrifices.
Mais pour de nombreux Musulmans, Abraham ne sacrifie pas Isaac mais Ismaël, le fils qu'il avait eu, avant Isaac, de la servante Agar, car sa femme Sara était stérile. Selon la tradition Ismaël est l'ancêtre des Arabes.
Si pour les Juifs le sacrifice d’Abraham représente la soumission absolue à la volonté de Dieu, les Chrétiens y ont vu l’annonce ou la préfiguration du sacrifice de Jésus-Christ,la victime innocente, l’Agneau de Dieu qui accepte la mort dans la soumission et la confiance envers Dieu.
http://www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Abraham/103827
http://imagesbible.com/FICHES/F_A_sacrifice.htm#autresImages
Interdiction du sacrifice humain
Cette scène est l’une des plus célèbres de la Bible car elle est à l’origine d’un des interdits les plus importants de notre civilisation, celui des sacrifices humains.
Dans certaines civilisations antiques, et notamment dans la région du Proche orient où vivait Abraham, il était de tradition d’offrir le premier né en sacrifice aux dieux. C'est-à-dire de l’égorger sur un autel, puis de brûler son corps, comme on le faisait avec les autres animaux.
Ainsi on comprend mieux qu’Abraham puisse accepter de sacrifier Isaac, sans manifester sa surprise. Mais le Dieu d’Abraham n’est pas comme ceux de ses voisins, il arrête son bras et lui demande d’offrir un mouton.
Le récit, appuyé par l’image, est le fondement de l’interdiction de tout sacrifice humain pour « les enfants d’Abraham » c'est-à-dire les trois religions : juive, chrétienne et musulmane. Cette interdiction n’a pas toujours été respectée mais elle a permis de dénoncer ceux qui passaient outre.
Le sacrifice d'Abraham est aussi reconnu par les Musulmans qui fêtent toujours cet évènement en sacrifiant un mouton, c’est l’Aïd-el-kébir ou Grande Fête des sacrifices.
Mais pour de nombreux Musulmans, Abraham ne sacrifie pas Isaac mais Ismaël, le fils qu'il avait eu, avant Isaac, de la servante Agar, car sa femme Sara était stérile. Selon la tradition Ismaël est l'ancêtre des Arabes.
Si pour les Juifs le sacrifice d’Abraham représente la soumission absolue à la volonté de Dieu, les Chrétiens y ont vu l’annonce ou la préfiguration du sacrifice de Jésus-Christ,la victime innocente, l’Agneau de Dieu qui accepte la mort dans la soumission et la confiance envers Dieu.