DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR
DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

samedi 20 juin 2009

589.NOS AMIS LES BANQUIERS, FINANCIERS ET PHILANTROPES

1920. CHARLES PONZI.

Inventeur de la technique de la pyramide qui le rendit millionnaire en 6 mois.

Charles Ponzi (March 3, 1882 – January 18, 1949) was one of the greatest swindlers in American history. His aliases include Charles Ponei, Charles P. Bianchi, Carl and Carlo. The term "Ponzi scheme" is a widely known description of any scam that pays early investors returns from the investments of later investors. He promised clients a 50% profit within 45 days, or 100% profit within 90 days, by buying discounted postal reply coupons in other countries. (...) and exchanged for U.S. stamps Wikipedia. http://en.wikipedia.org/wiki/Ponzi

Il faut préciser et c’est le rôle du docteur Bulle de préciser. Ce système fonctionne admirablement bien et, à cause de ça, est constamment réétulisé. Et sous d’autres formes, celles-ci légales, fonctionnant tout aussi bien. Ce qui fait qu’on le voit partout.

Mais malgré un fonctionnement simplet, personne n’est jamais capable de savoir de quoi il s’agit avant qu’il ne soit trop tard. Et on est toujours surpris. Oh! Mon Dieu! Ce qui donne une idée du «fonctionnement intellectuel» de nos contemporains.

Le but des formes légales (et illégales) étant toujours le même: enrichir quelques-uns aux dépens de tous les autres. Et précisons encore : Le rôle des «autres» qui sont très utiles (plus ils sont nombreux) étant d’enrichir ces quelques-uns.

Nommons les formes légales : la Bourse, la loterie, le Casino où 90% (99%?) des «participants» perdent. (Le mot «perdre» et un concept flou en finance.) Cet $ étant aussitôt transféré vers les gagnants méritants. C’est pour ça que l’on parler de concept «flou». Le Capitalisme fonctionne globalement ainsi. Ce qui est bien. Et, jour après jour, la majorité travaille au plus bas prix possible pour enrichir la minorité appelée «employeur» ou «monsieur le directeur» ou «actionnaires(s)».

Et ceci est bien.

Mais parlons de la forme dites vilaine de Ponzi appelée «vente pyramidale» par la police qui aime les termes simples. Chez les pauvres où on l’utilise régulièrement dans le noble but décrit plus haut. Il s’agit de les convaincre de vendre un produit : «cendrier» ou «aliments naturels» ou «régime amaigrissant» ou «savon» ou «eau oxygéné revitalisante» ou «bracelet ou semelle aimantée pour combattre le rhumatisme.»

Parfois, les produits existent réellement et c’est une façon de motiver , d’illustrer le propos pour les gens qui ont de la difficulté à conceptualiser. Et ces gens sont indispensables au bon fonctionnement du système de Ponzi.

Parfois le produit est symbolique car les organisateurs sont de plus en plus habiles et savent que vendre une idée ou un espoir ou une illusion ne suffit pas. Mais, parfois, c’est tout à fait suffisant.

Et c’est le domaine de la religion. Ou de ses différentes variantes sociales, psychologiques, scientifique ou politiques.

Il faut donc vendre quelque chose. S’il y a une descente de la police lors d’une réunion, on pourra dire qu’il s’agit d’une assemblée de motivation de vendeurs de «cendriers». On peut même montrer les caisses. En temps ordinaire, un suffira par client.

Si on dit que les organisateurs deviennent de plus en plus subtils, c’est comparé à leurs clients pas à Einstein.

Qu’est-ce que c’est? Vous avez une idée. On dit qu’une bonne idée a toujours été le début d’une grande fortune. Ou de la prison. Vous recrutez des parents ou des amis (des gens que vous n’aimez pas vraiment car ils vont vous détester bientôt.) Vous leur dites qu’en vendant votre produit miracle (une action, un cendrier, un régime), ici, c’est un cendrier. Encore au cas où il y ait une descente de la police comme la dernière fois. Et c’est là que ça devient beau.

Vous dites à vos 4 «amis» - si vous êtes habiles et sociable, vous pouvez en avoir 100- qu’il ne tient qu’à eux de devenir riches. Ils seront émerveillés de l’apprendre. Ils n’y ont jamais pensé avant. Et ils ne l’auraient certainement pas fait sans vous. Car tout est une question de volonté. Encore une fois, ceci il n’y aurait jamais pensé.

Grâce à ce cendrier miracle (ou cette action – ici, c’est plus risqué, la Bourse aime escroquer elle-même et l’Autorité des Marchés Financiers veille mais pas trop.) votre avenir vous appartient.

Tous ont des amis ou des collègues de travail tout comme vous. Peut-être même plus que vous. Il suffira d’aller vers eux et de répéter le message qu’ils viennent d’entendre pour les convaincre d’acheter ce cendrier. Et le professeur Bulle est tout à coup pris d’émotions. Il frétille. Le cendrier vaut 1000$. Le novice sera surpris, incrédule. Mais si vous êtes un bon vendeur, vous reconnaîtrez tout de suite le client crédule qui cherche un sens à sa vie. (Vous pouvez aussi lui vendre un sens à sa vie mais, ici, il s’agit d’un cendrier.)

Si vous avez 4 amis à 1000$ chacun, ça fait déjà 4000$. De cet $, vous gardez la moitié et vous donnez le reste à celui qui vous a introduit dans l’organisation. Il vous restera donc 2000$. Vous n’aviez jamais pensé que ce serait aussi facile. Et entre 2000$ et 1 million, il n’y a qu’un peu plus de volonté. À peine.

Vos amis, devenus vos «associés», vont vendre des cendriers et «offrir l’occasion» d’acheter à 4 autres «amis», ce qui fera 16,000$. De cet $, ils garderont le 1/3, vous recevez le 1/3 en tant que «grand frère» et celui qui vous a «initié» recevra le 1/3. Que du bonheur.

Les «amis» du niveau 3 vont vendre à leur tour.

Puis un jour, le fondateur de la pyramide prendra sa retraite – une fois qu’un certain montant sera réuni , dépendant de son ambition : 1 million, 100,000. Et vous prendrez sa suite.

Comme il n’y a pas que l’$ dans la vie, il y a aussi des récompenses symboliques. Si vous recrutez tant d’«associés» par mois ou recevez tant d’$, vous aurez le titre de «vendeur azur», «vendeur saphir» ou «vendeur ivoire». Il y a aussi le vendeur, or, argent, platine. Tout ceci est très beau.

Malheureusement, les belles histoires si elles existent ne durent pas toujours longtemps. Il arrivera un moment où les nouvelles recrues du niveau 10 ou 100, ne pourront trouver d’«associés». Déçus, amers, ils ne voudront pas toujours comprendre que c’est de leur faute et qu’ils ont manqué de motivation, de détermination. Ils n’ont pas cru suffisamment.

Ils pourront même réclamer leur $. Il se peut même qu’ils appellent la police ignorant que selon la loi, le participant à une chaîne pyramidale est aussi coupable que son organisateur. Comme la plupart des gens, ils ne savent pas vraiment ce qu’ils font.

Celui-ci à ce moment est déjà bien loin. Il se peut qu’il ne revienne jamais s’il est économe ou s’il n’a pas fait autant d’$ que prévu, il reparaîtra dans 5 ou 10 ans avec une autre «idée» merveilleuse.

On a déjà vu des organisateur remplir une salle avec des milliers d’«associés». On vous a dit que ceci était beau!

Si cette méthode s’adresse plutôt aux gens simples. Si vous ne vous reconnaissez pas comme une «personne simple». Vous aurez sans doute ricané devant une telle naïveté. C’est alors qu’entre en jeux messieurs Lacroix ou Madoff. Qui se ressemblent sauf qu’encore une fois, chacun s’adresse à une clientèle différente. Vincent Lacroix vise une clientèle de retraités qui lui «donneront» (il faut se souvenir du mot) leurs économie dans le but d’avoir un taux d’intérêt plus haut que ce qu’offre la Banque , la Bourse ou le «Marché».

Encore une fois, il s’agit de percevoir l’$ des nouveaux déposants pour le redonner aux premiers. Nous parlerons ici d’intérêt Car les gens, s’ils sont aussi naïfs que les acheteurs de cendriers, on plus de vocabulaire. Ils connaissent quelques termes du droit et de la finance mais leur amour du dictionnaire ne les sauvera pas.

Leur investissement de base est déjà disparu depuis un moment. Et ils peuvent après avoir déposé 100,000$ (nous parlons ici de gens de la classe moyenne pas des pauvres qui achètent des cendriers. ) (Mais au fond , c’est la même chose.) se contenter d’un taux d’intérêt intéressant de 10% par an. Pendant des années. Ce qui fait 10,000$ par an.

On pourrait aussi prendre leur $ et le leur redonner par tranche de 10,000$ par an pendant 10 ans et ils seraient encore contents.

Le système peut donc fonctionner en vase clos pendant 10 ans. Si on se contente de 10%. À 15%, ce sera plus vite. Encore plus à 20%.

Mais il faut compter sur l’initiateur du projet qui ne l’a pas fait pour faire plaisir aux «associés» ou «actionnaires». Vous voyez ici, on utilise de nouveaux mots. Ils sont beaux.

L’organisateur voudra vivre en homme d’affaires qui a réussi. Financiers, spéculateurs, tous ces gens dont personne n’aura l’impolitesse de s’informer sur l’origine de la fortune. Et vivre en homme qui a «réussi dans la vie» coûte très cher. Il y a une flopée de produits et de services destinés aux gens qui ont «réussis dans la vie» et ça vous coûte la peau des fesses. La beauté de la chose, c’est que ce sera la peau des fesses de vos «actionnaires».

Il y a aussi tous les «vendeurs» et «courtiers» qui collaborent à l’effort commun. Car il faut recruter sans cesse de nouveaux «actionnaires». Et il faut bien les payer pour les motiver et qu’ils ne posent pas trop de question. En plus des primes et «incitatifs». Comme une tournée dans les bars de danseuses nues, des tours de manèges de putes. (Une professionnelle coûte $1000 de l’heure.) Vous ne le regretterez pas, vous aurez un staff de vendeur ultra- inspirés mais ce genre de bonus coûte encore une fois la peau des fesses. Et l’expression n’aurait pu être mieux choisie.

Le système peut fonctionner indéfiniment tant qu’il y a de nouveaux clients et il y en a toujours contrairement aux «associées» des vendeurs de cendrier qui, immondes personnages, trouveront un jour scandaleux d’acheter un cendrier à 1000$. Personne n’a envie de rencontrer ces gens-là.

Les personnes des classes moyennes et de la petite bourgeoisie qui faisaient affaire avec monsieur Vincent, étaient prêt à «investir» pour le moins 100,000$, même 1 million. Et ils étaient récompensés. Jamais ils n’ont reçu un tel rendement sur leur «investissement» tant que ça a duré.

Et puis un jour…

Le seul défaut du si beau système s’est produit. Il arrive un moment où on a des ennuis dans la vie –votre femme divorce ou vous perdez votre emploi- et vous voulez récupérer votre «investissement». Vous êtes prêts à vous passer des intérêts. On peut le faire si vous êtes le seul malchanceux dans le lot. Encore une fois en se servant de l’$ du nouveau «déposant».Mais si l’économie se met à aller mal et que de plus en plus de gens ont soudainement besoin de leur $ pour faire face à des dépenses imprévues, l’organisateur ne peut plus rien rembourser car il n’y a plus d’$. Et sentant venir le vent, tous ceux qui n’auraient pas demandé mieux il y a un moment à participer au Capitalisme en action reculent d’effroi. Il n’y a plus d’huile pour faire marcher la machine. Paf!

Nous avons parlé des pauvres et des cols bleus soudain pris dans les affres de la cupidité. Ils veulent devenir riches eux-aussi sans réaliser que ce n’est pas pour eux. Ensuite, c’était les bourgeois. Et tout le monde a des raisons de les détester.

Maintenant arrive monsieur Madoff qui s’adresse aux grands bourgeois. Lui, il ne se contente pas de cendrier à 1000$, il rirait. Ou de rendement de 10% sur 100,000$. Quelle pitié! Son système est un secret. Comme pour le cendrier. Curieux! Il est miraculeux! Aussi. On n’y entre que si on est référé par des gens qui en font déjà parti. Comme pour le cendrier. Curieux! Après qu’on ait fait une enquête sur vous. Ce que les gens des cendriers ne faisaient pas. Il suffisait que vous déposiez une enveloppe avec 1000$ en cash.

Une fois qu’on vous a «accepté». Ce ne sera pas facile. Car il faudra que vous vous montriez sincèrement intéressé. Il faudra déposer 1 million. Sorte de «frais modérateur» qui différencie l’homme de l’enfant.

Bien vite, on vous demandera plus mais vous-mêmes ne demanderez rien de plus que de contribuer davantage. 10 millions. Vous êtes riche. Mais 20 millions qui dorment à la banque avec les minables intérêts de pauvres. On vous promettra 15%. Et vous les aurez pendant des années. Vous ne poserez aucune question car vous serez fier de faire parti de ceux qui «savent», d’avoir été «reconnu » par eux comme un de leurs semblables. Car on vous le dit sans cesse, ce n’est pas tout le monde qui «mérite» de faire parti du système.

Le système de Madoff a duré 30 ans. Mais le système se termine de la même façon que celui de monsieur Vincent quand il n’y a plus de nouveaux «investisseurs» qui entre.

On est passé d’esprits inventifs dont l’objectif était 100,000$ ou 1 million. À 100 millions. (montant «disparu» dans l’affaire Norbourg, bébé de monsieur Vincent. Et the sky is the limit! 50 milliards pour monsieur Madoff.

Des gens se diront: comment peut-on être aussi naïf?

On oublie les «produits dérivés», les PCAA – Papiers commerciaux adossés à des actifs. La Bourse.

Certaines banques en ont vendus pour 20 millions à des «investisseurs». Les économies du propriétaires de PME et l’héritage de ses enfants. Le prix est actuellement celui d’une feuille de photocopieuse (qui était le matériel de base).

Tous ces gens étaient «honnêtes», «animés des meilleures intentions». Que leur reprocher?

Parce que la CDP- Caisse de Dépôt et Placement du Québec a «investi» 13 milliards de $ dans le même produit. Et pourtant les «spécialistes» et intellectuels de la finance ne manquaient pas. À commencer par le grand patron.

C’est tellement émouvant que le nez du professeur Bulle coule.

Mais vous n’êtes pas comme eux. Vous ne voulez prendre aucun risque. On a pensé à vous. Et des gens prudents qui n’auraient jamais pris de risques et se contentaient de déposer leur $ à la Caisse Populaire pour en retirer 2% par an. Avec, parfois, 5% se sont fait dire que s’ils l’investissait dans un «fond». Parce, vous comprenez l’inflation grignote à chaque année votre bas de laine.

Le mot «fond» est important.

Vous vous êtes toujours demandé ce que faisaient les banques de votre $. Ils en prêtent une partie. Elles «investissent» le reste dans des produits de technologies financières conçus par des professionnels qui ont un doctorat en finance. Comme Paul-Henri Rousseau. Tous ces beaux mots vous font palpiter.

Par exemple des PCAA.

Et les banques peuvent avoir des distractions ou des malchances et perdre votre $. Le courtier qui vous a tellement encouragé à «investir» dans un «fond» vous dit d’un air désolé que votre «fond» est si creux qu’on n’a pu récupérer que 50%. Vous aviez 100,000$ et il vous en reste 50,000$. Car sans le savoir vous avez participé aux activités spéculative de la banque. Le capitalisme en action.

Et le courtier qui a encore un job et doit le faire, vous demande si vous n’avez pas encore un peu d’$ de côté que vous voudriez «sécuriser». Par exemple, dans une autre banque. Il ne peut pas tout savoir. Il a d’autres «fonds» à vous conseiller.

Car les banques qui ont maintenant des maisons de courtage –ce qui était illégal avant- vendent aussi. Et vous «conseillent» aussi. Le capitalisme en action devient frénétique.