samedi 27 juin 2009
610
LA LIBERTÉ
2006/12/12
Lors de la réunion à l'université "Amir Kabir", quand un petit groupe, au milieu d'une grande majorité et en présence du Président de la République, ont insulté librement le président, élu par le peuple, sans ressentir aucune crainte, j'ai ressenti moi, un grand sentiment de joie. Je me suis souvenu, tout à coup, de mes propres années universitaires et des 16 Azar, d'avant la révolution. Je me suis souvenu des années noires de 1975 à 1977, des années d'étouffement politique où il était impossible de critiquer le gouvernement laïque de l'époque, soutenu par l'occident. La moindre insulte aux dirigeants gouvernementaux, était passible de la peine de mort, de la prison et de la torture, alors qu'aujourd'hui, une petite minorité se permettait de semer le désordre et de mettre le feu à la réunion, et que la majorité des étudiants en faveur la révolution, supportait cela avec bonne humeur et avec la plus grande patience, sans riposter.
En tant qu'étudiant des années 75, qui a connu des heurts répétés avec la police brutale du Shah, je me rappelle la lourdeur des peines, à la moindre critique du régime. Hier, quand j'ai vu une telle liberté, non seulement je n'ai ressenti personnellement, moi, Ahmadi Nejad, aucune rancune ni aucune rancœur envers personne, mais en tant que serviteur du peuple, Président de la République et responsable de la direction politique de ce pays, j'ai ressenti une immense fierté pour cette révolution grandiose et libératrice.
Je remercie Dieu, du fond du cœur. Cela nous suffit quand tous les gouvernements ont une attitude dictatoriale envers leurs opposants, de voir que dans notre pays, une poignée se soulève tranquillement contre le gouvernement élu à la majorité du peuple, se comporte en dictateur, et au lieu de chercher le dialogue dans une attitude calme et raisonnée, qui doit être celle des étudiants et de l'université, sème le désordre dans la réunion, sans s'inquiéter le moins du monde.
Cette liberté est le fruit des sacrifices des frères et des sœurs, tombés en martyrs.
Que tout, notre honneur et tout ce que nous avons de plus cher, soit sacrifié à cette liberté !
écrivain, Mahmoud Ahmadinejad , 06:38
http://www.ahmadinejad.ir/fr/
Mahmoud Ahmadinejad Personnal Mémos
Blog du president Mahmoud Ahmadinejad
2006/12/12
Lors de la réunion à l'université "Amir Kabir", quand un petit groupe, au milieu d'une grande majorité et en présence du Président de la République, ont insulté librement le président, élu par le peuple, sans ressentir aucune crainte, j'ai ressenti moi, un grand sentiment de joie. Je me suis souvenu, tout à coup, de mes propres années universitaires et des 16 Azar, d'avant la révolution. Je me suis souvenu des années noires de 1975 à 1977, des années d'étouffement politique où il était impossible de critiquer le gouvernement laïque de l'époque, soutenu par l'occident. La moindre insulte aux dirigeants gouvernementaux, était passible de la peine de mort, de la prison et de la torture, alors qu'aujourd'hui, une petite minorité se permettait de semer le désordre et de mettre le feu à la réunion, et que la majorité des étudiants en faveur la révolution, supportait cela avec bonne humeur et avec la plus grande patience, sans riposter.
En tant qu'étudiant des années 75, qui a connu des heurts répétés avec la police brutale du Shah, je me rappelle la lourdeur des peines, à la moindre critique du régime. Hier, quand j'ai vu une telle liberté, non seulement je n'ai ressenti personnellement, moi, Ahmadi Nejad, aucune rancune ni aucune rancœur envers personne, mais en tant que serviteur du peuple, Président de la République et responsable de la direction politique de ce pays, j'ai ressenti une immense fierté pour cette révolution grandiose et libératrice.
Je remercie Dieu, du fond du cœur. Cela nous suffit quand tous les gouvernements ont une attitude dictatoriale envers leurs opposants, de voir que dans notre pays, une poignée se soulève tranquillement contre le gouvernement élu à la majorité du peuple, se comporte en dictateur, et au lieu de chercher le dialogue dans une attitude calme et raisonnée, qui doit être celle des étudiants et de l'université, sème le désordre dans la réunion, sans s'inquiéter le moins du monde.
Cette liberté est le fruit des sacrifices des frères et des sœurs, tombés en martyrs.
Que tout, notre honneur et tout ce que nous avons de plus cher, soit sacrifié à cette liberté !
écrivain, Mahmoud Ahmadinejad , 06:38
http://www.ahmadinejad.ir/fr/
Mahmoud Ahmadinejad Personnal Mémos
Blog du president Mahmoud Ahmadinejad