mercredi 24 juin 2009
606. 2009 CRISE ÉCONOMIQUE
4,000,000,000,0000 (4 mille milliards). C'est ce que pourrait coûter la crise financière qui secoue les marchés boursiers, selon les estimations du Fonds monétaire international. (en avril 2009).
Suites aux innovations technologique et philosophique de la finance, des néo-libéraux de l’École de Chicago. (Ceux qui ont ruiné l’Argentine.)
Il va de soi que selon le vieux proverbe, toute crise peut être vu comme une opportunité favorable à saisir. Et bien des gens ont fait beaucoup d’$.
Le plus amusant, c’est que les gouvernements (us, canadien, européens) ont choisir de sauver le système financier avant tout le reste. Ceux-là même qui ont fait sauter le fusible. Ceci avec l’$ des citoyens ordinaires qui ont perdu ou vont perdre leur emplois.
Rien ne se perd, rien ne se crée.
Cette bonne action effectuée, les banques ont tout de suite admonesté le gouvernement au sujet de son déficit incontrôlable (l’$ donné-prêté-investi par le gouvernement dans ces mêmes banques faisant désormais parti du déficit du pays et l’augmentait dangereusement) et il fallait que le gouvernement reste ferme et ne se laisse pas attendrir par les cris de détresses des autres entreprises (comme il est arrivé pour GM) et surtout pas des individus devenus chômeurs qui n’avaient qu’à s’en prendre à eux de leur malheur.
Le gouvernement restera ferme.
Suites aux innovations technologique et philosophique de la finance, des néo-libéraux de l’École de Chicago. (Ceux qui ont ruiné l’Argentine.)
Il va de soi que selon le vieux proverbe, toute crise peut être vu comme une opportunité favorable à saisir. Et bien des gens ont fait beaucoup d’$.
Le plus amusant, c’est que les gouvernements (us, canadien, européens) ont choisir de sauver le système financier avant tout le reste. Ceux-là même qui ont fait sauter le fusible. Ceci avec l’$ des citoyens ordinaires qui ont perdu ou vont perdre leur emplois.
Rien ne se perd, rien ne se crée.
Cette bonne action effectuée, les banques ont tout de suite admonesté le gouvernement au sujet de son déficit incontrôlable (l’$ donné-prêté-investi par le gouvernement dans ces mêmes banques faisant désormais parti du déficit du pays et l’augmentait dangereusement) et il fallait que le gouvernement reste ferme et ne se laisse pas attendrir par les cris de détresses des autres entreprises (comme il est arrivé pour GM) et surtout pas des individus devenus chômeurs qui n’avaient qu’à s’en prendre à eux de leur malheur.
Le gouvernement restera ferme.