DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR
DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

mercredi 24 juin 2009

600. 2007. CONRAD BLACK

Le fondateur de Hollinger, âgé de 64 ans, a été reconnu coupable, en 2007, de trois accusations de fraude et d'une autre pour entrave à la justice. Il a détourné, avec trois de ses associés, des millions de dollars lors de la vente d'actifs, en 2000, de Hollinger au groupe de presse canadien Canwest. Il a également fait disparaître des documents.

Il a été condamné à six ans et demi de prison. Une cour d'appel de Chicago a par la suite maintenu le verdict de culpabilité. Il purge sa peine depuis mars 2008 dans une prison de Floride.

Et il écrit son journal de prison que l’on peut suivre sur internet si on aime se cultiver.

Bien sûr, comme tous les criminels, il proclame son innocence. Il est vrai que ses magouilles acrobatiques auraient pu se poursuivre indéfiniment si des gens de son monde n’avait été froissés.

Par contre, le fonctionnement «normal» de son système financier personnel qui est tout aussi pitoyable et sans pitié que celui de ses semblables n’a jamais été remis en question. Même par ses victimes consentantes. Dans le monde des prédateurs, les herbivores, les proies, le gibier et les femmes ont leur rôle dans la vie : servir de nourriture ou d’amusement aux carnivores.

Il est bon de se rappeler comment le monsieur fonctionnait puisqu’il a aussi fonctionné au Québec ayant été le propriétaire de journal le Soleil de la ville de Québec qu’i l a siphonné comme une sangsue pour nourrir ses autres entreprises. Une de ses méthodes qui n’a rien de nouveau non plus.

Le monsieur qui se spécialisait dans les journaux régionaux. Peu coûteux. Appartenant généralement à une famille locale depuis quelques générations. Les derniers héritiers voulaient s’en débarrasser pour vivre eux-aussi comme «des hommes d’affaires qui ont réussi dans la vie.»

Le monsieur achète le journal. Avec 10% du prix de vente. Le reste emprunté à une banque. Aussitôt arrivé sur place, il vide le compte en banque du journal, vend immeuble et tout ce qu’il peut piller. Met à la rue 50% du personnel. Le journal qui était rentable – sinon, il ne l’aurait pas touché- devient très rentable.

Le journal rejoint ses autres propriétés. La valeur totale augmente. Il peut donc emprunter encore plus pour acheter un plus grand journal.

Ce qu’il y a de particulier dans ce monsieur qui est un chantre doué de la liberté. Ce que les gens innocents et les enfants confondent avec la «liberté» tout court. Les mêmes mots n’ont pas le même sens. Le monsieur parle de la liberté d’entreprendre (ce qu’il veut) et de faire ce qu’il veut avec ce qu’il possède. Ses employés faisant parti de ses possessions.

Et ce qu’il y a de ravissant, c’est le mépris total qu’il porte à ses employés. Il est vrai que pour accepter de travailler pour un tel homme, il ne faut avoir aucune fierté. Et cela se sait vite en haut lieu. Si vous accepter sans cesse de vous faire humilier, il ne faut pas compter qu’un jour vous serez humilié suffisamment ou que celui qui profite de vous décidera que ça a peut être assez duré. Juste au cas où le bouchon du réservoir d’antigel vous saute à la figure.

Et le mépris encore plus saisissant qu’il porte aux journalistes qui pourtant on fait sa fortune. Il les voit comme des ratés gauchistes.

Et la beauté de la chose, c’est toute la délicatesse que les journalistes –même ceux qui ne travaillent pas pour lui-lui portent.

On ne peut que conclure qu’il y a des hommes et des femmes nés esclaves. Et que dans ce cas, o ne doit attendre aucune pitié.