vendredi 4 décembre 2009
1660. COMMENTAIRE DU PROFESSEUR BULLE AU SUJET DES GENS RICHES ET CÉLÈBRES QU'IL ADMIRE PARCE QU'ILS SONT RICHES ET CÉLÈBRES
Connaissant la passion pour le golf du professeur Bulle qui n'est rien comparée à celle du curling ou du ping pong ou des quilles et, bien sûr, la nage synchronisée et que dire du Taïkwando olympique, il allait de soi que le professeur Bulle s'intéresse à un des grands sportifs de notre temps. Qui est aussi un homme célèbre. Et assez connu. Et riche. Que ce grand homme soit touché par le destin ne peut que nous émouvoir. Mêmes les grands aigles tombent parfois de leur perchoir.
Que cet homme qui est l'une des vedettes les plus enviées par les lecteurs de journaux à potins n'aient pas pensé un moment que sa «vie privée» qui, est pour lui, différente de sa vie familiale, puisse intéresser une ou deux personnes ou 100 millions dans le monde entier est tout à fait intéressant. Et touchant de naïveté. D'autres synonymes nous viendront à l'esprit dans les jours suivants.
Que son épouse, mère de ses enfants, ait eu un léger moment d'humeur et le poursuive avec son baton de golf allant jusqu'à fracasser les vitres arrière de son auto peut être compréhensible. Les femmes ont ce genre de susceptibilité qu'il faut leur pardonner.
Comment faire comprendre à ces êtres - qu'une répartition bienheureuse de graisse et d'eau rend mystérieusement si intéressante (qui est le fruit du hasard et de l'évolution à partir d'une éponge) - que la vie privée de leur époux ne les concerne pas. Ou que leur mari puisse avoir une autre vie privée que celle qu'elles connaissent tout en gardant leur sérénité. Ou qu'un homme a de petits secrets, un jardin intime.
Les femmes sont des êtres terre à terre et matérialiste qui n'apprécient pas la philosophie hédoniste pourtant si bien expliquée par les grecs anciens. Et même si on leur montre les textes des plus grands auteurs, elles resteront dubitatives. Même la traduction juxtalinéaire du texte grec avec sa traduction en français moderne. Ce qui est un comble. Car les femmes sont méfiantes.
Pour faire bonne mesure, dans les jours suivants, le professeur Bulle s'intéressera aux enfants qui meurent de faim dans le Monde.
Que cet homme qui est l'une des vedettes les plus enviées par les lecteurs de journaux à potins n'aient pas pensé un moment que sa «vie privée» qui, est pour lui, différente de sa vie familiale, puisse intéresser une ou deux personnes ou 100 millions dans le monde entier est tout à fait intéressant. Et touchant de naïveté. D'autres synonymes nous viendront à l'esprit dans les jours suivants.
Que son épouse, mère de ses enfants, ait eu un léger moment d'humeur et le poursuive avec son baton de golf allant jusqu'à fracasser les vitres arrière de son auto peut être compréhensible. Les femmes ont ce genre de susceptibilité qu'il faut leur pardonner.
Comment faire comprendre à ces êtres - qu'une répartition bienheureuse de graisse et d'eau rend mystérieusement si intéressante (qui est le fruit du hasard et de l'évolution à partir d'une éponge) - que la vie privée de leur époux ne les concerne pas. Ou que leur mari puisse avoir une autre vie privée que celle qu'elles connaissent tout en gardant leur sérénité. Ou qu'un homme a de petits secrets, un jardin intime.
Les femmes sont des êtres terre à terre et matérialiste qui n'apprécient pas la philosophie hédoniste pourtant si bien expliquée par les grecs anciens. Et même si on leur montre les textes des plus grands auteurs, elles resteront dubitatives. Même la traduction juxtalinéaire du texte grec avec sa traduction en français moderne. Ce qui est un comble. Car les femmes sont méfiantes.
Pour faire bonne mesure, dans les jours suivants, le professeur Bulle s'intéressera aux enfants qui meurent de faim dans le Monde.