vendredi 11 décembre 2009
1716
D'abord, ses mains furent coupées. Ensuite son corps fut percé, à de multiples endroits, avec des tisons. Des tomahawks, rougies au feu, furent accrochés autour de son cou, de sorte que chaque mouvement de la tête soit un supplice.
Une ceinture d'écorce, enduite de résine fut attachée autour de son corps et allumée. Le missionnaire supporta la torture avec bravoure. Pendant la torture, il prêcha à ses ravisseurs. Fâchés, ils prirent des braises brûlantes dans le feu pour les introduire dans sa bouche.
Même ceci n'arrêta pas sa prédication, et par la suite les Iroquois coupèrent ses lèvres. Mais Jean de Brébeuf demeurait en vie. Ses ravisseurs lui jetèrent de l'eau bouillante à plusieurs reprises, puis ils coupèrent alors des morceaux de chair de son tronc et de ses membres, rôtirent la chair pour la manger devant lui.
Jean de Brébeuf souffre «comme un rocher» et son silence étonne ses bourreaux eux-mêmes. Et, avant qu'il expire enfin, ils lui arrachent le coeur tout vivant pour se nourrir à la source même de ce courage inouï.
http://www.saint-jovite.org/hist-brebeuf.html
Une ceinture d'écorce, enduite de résine fut attachée autour de son corps et allumée. Le missionnaire supporta la torture avec bravoure. Pendant la torture, il prêcha à ses ravisseurs. Fâchés, ils prirent des braises brûlantes dans le feu pour les introduire dans sa bouche.
Même ceci n'arrêta pas sa prédication, et par la suite les Iroquois coupèrent ses lèvres. Mais Jean de Brébeuf demeurait en vie. Ses ravisseurs lui jetèrent de l'eau bouillante à plusieurs reprises, puis ils coupèrent alors des morceaux de chair de son tronc et de ses membres, rôtirent la chair pour la manger devant lui.
Jean de Brébeuf souffre «comme un rocher» et son silence étonne ses bourreaux eux-mêmes. Et, avant qu'il expire enfin, ils lui arrachent le coeur tout vivant pour se nourrir à la source même de ce courage inouï.
http://www.saint-jovite.org/hist-brebeuf.html