mercredi 9 novembre 2011
5794. LES JOIES DE LA CIVILISATION. ON NOUS DIT QUE LE PEUPLE LYBIEN S'EST LIBÉRÉ LUI MÊME DE LA TYRANNIE. INTÉRESSANT. VOYONS VOIR!
Résumé de la nouvelle.
Retour des troupes canadiennes au Canada. Mission accomplie. Les 7 avions canadiens ont lâché 700 bombes sur la tête des Libyens. L'animtrice est bien contente.
[Question 1: Combien de bombes tous les avions ont-ils fait tomber en Libye? ]
[Question 2: Combien de morts «accidentelles» sous les bombes?]
Téléjournal de Radio-Canada de 22 h.
5 nov. 2011
[On nous dit que le peuple llybien s'est libéré lui même de la tyrannie. Intéressant. C'est ce que la «presse libre» et les «journalistes neutres et indépandants» n'ont cessé de répéter. D'une voix unanime. Sans opposition ou contradiction aucune. Comme du bon temps de monsieur Goebbles. Qu'en est-il de la réalité? Ou est-ce une minorité de mécontents incapable de se frayer un chemin seul, a pris le pouvoir grâce à un mot très fréquent à une certaine époque et que l'on entend moins de nos jours: coup d'État. On a détruit l'armée Lybienne et ses installations sous des milliers de bombes ce qui a permis aux quelques mécontents maladroits de prendre le pouvoir. Comme preuve d'une quelconque volonté populaire légétimant le résultat de l'opération, on nous a présenté des scènes de joie dans les rues. Sans préciser que ce qu'on appelle Lybie n'est pas vraiment un pays mais plutôt un territoire où vivent quelques tribus. Que seule une main forte pouvait réunir ou calmer. Des scènes de joies indentiques se seraient passés ici chez les Hurons si les explorateurs français avaient définitivement vaincus les Iroquois. C'est le contraire qui s'est passé. On peut donc s'attendre à ce que la tribu de monsieur Kadhafi ait des aigreurs. Étant donné le traitement réservé à leur chefs. Le nouveau pouvoir n'ayant obtenu sa position élevée, comme celui de monsieur Karzaï en Afghanistan que grâce aux envahisseurs étrangers, devra être féroce pour le conserver. D'autant plus qu'il ne dispose pas des occupants occidentaux sur place pour le protéger. Puisque, pour le moment, on ne prévoit pas envahir le pays. On se contentera de le piller à distance. Le nouveau pouvoir annullera les contrats pétroliers pour les redonner à d'autres comme on a vu en Irak. Et les groupes armés victorieux voudront bénéficier des privilèges des vainqueurs. $, places, postes, femmes. Il est douteux qu'ils remettent leurs armes pour redevenir de simples citoyens voteurs. On aura donc droit à une série de mots anciens appelés «guerre civile». Jusqu'à ce quel plus fort gagne. Les Occidentaux, pour piller le pays, on joué aux apprentis soriciers. Les plus pessimistes parlent d'un jeu à somme nulle, chaque tribus et partis se massacrant sans fin et le résultat serait du genre Somalien. On verra. ]
Retour des troupes canadiennes au Canada. Mission accomplie. Les 7 avions canadiens ont lâché 700 bombes sur la tête des Libyens. L'animtrice est bien contente.
[Question 1: Combien de bombes tous les avions ont-ils fait tomber en Libye? ]
[Question 2: Combien de morts «accidentelles» sous les bombes?]
Téléjournal de Radio-Canada de 22 h.
5 nov. 2011
[On nous dit que le peuple llybien s'est libéré lui même de la tyrannie. Intéressant. C'est ce que la «presse libre» et les «journalistes neutres et indépandants» n'ont cessé de répéter. D'une voix unanime. Sans opposition ou contradiction aucune. Comme du bon temps de monsieur Goebbles. Qu'en est-il de la réalité? Ou est-ce une minorité de mécontents incapable de se frayer un chemin seul, a pris le pouvoir grâce à un mot très fréquent à une certaine époque et que l'on entend moins de nos jours: coup d'État. On a détruit l'armée Lybienne et ses installations sous des milliers de bombes ce qui a permis aux quelques mécontents maladroits de prendre le pouvoir. Comme preuve d'une quelconque volonté populaire légétimant le résultat de l'opération, on nous a présenté des scènes de joie dans les rues. Sans préciser que ce qu'on appelle Lybie n'est pas vraiment un pays mais plutôt un territoire où vivent quelques tribus. Que seule une main forte pouvait réunir ou calmer. Des scènes de joies indentiques se seraient passés ici chez les Hurons si les explorateurs français avaient définitivement vaincus les Iroquois. C'est le contraire qui s'est passé. On peut donc s'attendre à ce que la tribu de monsieur Kadhafi ait des aigreurs. Étant donné le traitement réservé à leur chefs. Le nouveau pouvoir n'ayant obtenu sa position élevée, comme celui de monsieur Karzaï en Afghanistan que grâce aux envahisseurs étrangers, devra être féroce pour le conserver. D'autant plus qu'il ne dispose pas des occupants occidentaux sur place pour le protéger. Puisque, pour le moment, on ne prévoit pas envahir le pays. On se contentera de le piller à distance. Le nouveau pouvoir annullera les contrats pétroliers pour les redonner à d'autres comme on a vu en Irak. Et les groupes armés victorieux voudront bénéficier des privilèges des vainqueurs. $, places, postes, femmes. Il est douteux qu'ils remettent leurs armes pour redevenir de simples citoyens voteurs. On aura donc droit à une série de mots anciens appelés «guerre civile». Jusqu'à ce quel plus fort gagne. Les Occidentaux, pour piller le pays, on joué aux apprentis soriciers. Les plus pessimistes parlent d'un jeu à somme nulle, chaque tribus et partis se massacrant sans fin et le résultat serait du genre Somalien. On verra. ]