lundi 26 juillet 2010
4227. LES CASTORS NOUS MENAÇENT !
ABITIBI-TÉMISCAMINGUE
INFRASTRUCTURES ROUTIÈRES
LES CASTORS COÛTENT CHER
6 juillet 2010
http://www.radio-canada.ca/regions/abitibi/2010/07/06/001-castors_Transports_Quebec.shtml
Les castors se multiplient de façon exponentielle depuis quelques années au Québec. Ce phénomène inquiète Transports Québec qui investit des millions de dollars chaque année pour réparer les dommages que ces rongeurs font subir aux infrastructures routières.
Le président de l'Association des trappeurs de Rouyn-Noranda, Roger Dedenus, soutient que les trappeurs québécois piègent de moins en moins les castors parce que le prix des peaux ne cesse de baisser. Une peau de castor, qui se vendait près de 40 $ en 2005, se vend environ 15 $ en 2010.
« Présentement, on capture à peu près 50 % de ce qu'on devrait capturer, donc le surplus se multiplie d'année en année et s'additionne au surplus de l'année d'avant. C'est exponentiel », explique-t-il.
L'Association des trappeurs de Rouyn-Noranda a piégé 8000 castors au cours de la dernière année, soit moins de la moitié de la récolte habituelle.
Selon la coordonnatrice territoriale de l'exploitation chez Transports Québec en Abitibi-Témiscamingue, Claudine Desjardins, les rongeurs érigent des barrages un peu partout, de sorte que des embâcles peuvent céder et causer d'importants dégâts aux infrastructures routières.
En Abitibi-Témiscamingue seulement, les castors ont causé des dommages évalués à 200 000 $.
Ainsi, contrôler la population de castors est un travail de longue haleine qui ne doit surtout pas être négligé, estime Mme Desjardins.
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INFRASTRUCTURES ROUTIÈRES
LES CASTORS COÛTENT CHER
6 juillet 2010
http://www.radio-canada.ca/regions/abitibi/2010/07/06/001-castors_Transports_Quebec.shtml
Les castors se multiplient de façon exponentielle depuis quelques années au Québec. Ce phénomène inquiète Transports Québec qui investit des millions de dollars chaque année pour réparer les dommages que ces rongeurs font subir aux infrastructures routières.
Le président de l'Association des trappeurs de Rouyn-Noranda, Roger Dedenus, soutient que les trappeurs québécois piègent de moins en moins les castors parce que le prix des peaux ne cesse de baisser. Une peau de castor, qui se vendait près de 40 $ en 2005, se vend environ 15 $ en 2010.
« Présentement, on capture à peu près 50 % de ce qu'on devrait capturer, donc le surplus se multiplie d'année en année et s'additionne au surplus de l'année d'avant. C'est exponentiel », explique-t-il.
L'Association des trappeurs de Rouyn-Noranda a piégé 8000 castors au cours de la dernière année, soit moins de la moitié de la récolte habituelle.
Selon la coordonnatrice territoriale de l'exploitation chez Transports Québec en Abitibi-Témiscamingue, Claudine Desjardins, les rongeurs érigent des barrages un peu partout, de sorte que des embâcles peuvent céder et causer d'importants dégâts aux infrastructures routières.
En Abitibi-Témiscamingue seulement, les castors ont causé des dommages évalués à 200 000 $.
Ainsi, contrôler la population de castors est un travail de longue haleine qui ne doit surtout pas être négligé, estime Mme Desjardins.
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