DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR
DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

mercredi 28 juillet 2010

4239. ANIMATEURS DES JOURNAUX, RADIOS, TV. COMMENT LES CHOISIR?

IL Y EN A QUI PRÉFÈRENT LES ROUGES. OU LES BLEUS. OU LA JOLIE PETITE JAUNE.




Vous lisez et vous vous demandez comme ce type arrive à faire un tel raisonnement! Vous écoutez et vous demandez si vous ne rêvez pas.

Et ils sont nombreux. Et ils se reproduisent. Quand c'étaient les curés d'antan on savait d'où ils venaient. Ils avaient même un uniforme. Simple.

Quand un journal (ou n'importe quel média) recrute. Qu'est-ce qu'il fait? Le préposé au personnel regarde les CV des jeunes débutants. Comme n'importe quelle entreprise. Puis il lit les dossiers (ou écoute ou regarde les enregistrements) que lui a apporté naïvement l'ex-étudiant. Qui est maintenant sur le «Marché du Travail». Comme une pute à la recherche de son premier client ou de son mac.

Il y a ses articles critiques dans le journal de son cégep ou de son université. Ou les articles élogieux sur la culture des roses. L'un pose des question, est curieux, attend des réponses, ne respecte rien est presque impoli. On voit qu'il n'aime pas vraiment l'autorité. Tandis que l'autre ne demande qu'à être aimé. Il fera tout ce qu'on lui demande. Des soucis avec l'un. Un repos constant avec l'autre. On peut s'y fier. Il durera bien quelques décennies.

C'est comme les M & M ou les Smarties. Les petits bonbons de chocolat recouvert de sucre coloré. Généralement, on les sort de leur boite en les vidant dans sa main et on commence par croquer sa couleur préférée.

Et on finit la boite avec la couleur que l'on aime moins.

Sauf que dans un journal, on n'engagera pas le Smarties irritant.

Et c'est comme ça que le même type de bonbon puisque c'est un «humain» on dira un animateur culturel ou social, un fournisseur de contenu se retrouve partout. Et que les journaux (et autres machins) se ressemblent tous.

Le personnel ne demande rien d'autre que de résumer les nouvelles de Reuters. Ou de commenter dans le sens du poil qui plaira à la direction. En échange de leur bon service, on les aime et les paye. Ils veulent être de bons employés. Ils sont même très bien payés pour ce qu'ils font et dans le fond d'eux-même le savent et la dernière chose qu'ils veulent est de mécontenter le boss.

Mais un jour, ceux qui dirigent, toujours à la recherche de profits nouveaux (ou faute de mieux, d'économie pas encore testée) se demandent si on ne pourrait pas faire aussi bien que tous ces gratte-papiers. Puisqu'ils sont interchangeables. Ils sont bien gentils, ne demandent rien mais pourrait-on s'en passer? C'est qu'à la fin, ils coûtent cher.

Et si facilement remplaçable puisque dès que l'un d'eux part en retraite ou meurt, 100 veulent prendre sa place. Comme si la source était intarissable. Les embouteilleurs ne paient pas l'eau de source qu'ils embouteillent.

Dommage qu'il n'y a pas encore de machines qui peuvent remplacer. Pour le moment. Mais, il y a des tas d'apprentis journalistes qui n'ont pas encore trouvé de job à plein temps et qui ont un loyer à payer et qui feront bien les lignes qu'il faut au plus bas coût possible. Il n'y a qu'à se pencher pour les ramasser. Et même pas besoin puisqu'ils viennent à vous comme attirés par un aimant l'air suppliant et mal nourri.

Et ils savent leur situation si précaire qu'ils ne tiennent même pas à signer ou à demander un contrat.

Et ils seront si peu exigeant qu'ils n'auront pas de nom si besoin. Comme si les textes se faisaient d'eux-mêmes. On avait déjà cette impression avant mais elles sera confirmée.

Ce serait encore mieux si on pouvait tous les jours reproduire le même journal - on a déjà cette impression- mais si les lecteurs sont stupides, il y en a bien un qui finirait par s'en apercevoir et ils avertiraient les autres.

On nommera le tout «agence». On dira que ce sont les cadres qui pensent. Phénomène rare et inattendu qui mérite d'être signalé.

Généralement les cadres encadrent ceux qui font. Ils ne font pas eux-mêmes et perdent vite l'habitude de faire quoi que ce soit.

Et on foutra tous les «journalistes» à la porte. On le fera dans les normes. Ou on leur demandera des coupures jusqu'à ce qu'ils ne puissent plus le supporter malgré qu'ils peuvent supporter beaucoup. Et on dira que les négociations sont rompues.

Et ceux qui font supposément profession d'informer et d'être informés seront les premiers surpris de leur situation. Ils étaient tellement habituer à lécher des bottes puis à les cirer qu'ils ne se sont pas aperçus que d'autres pouvait faire autant pour presque rien.

Pendant ce temps, les lecteurs lisent leur pitance du jour ne voyant aucune différence.

D'autres avaient compris depuis longtemps et cesser d'encourager ce commerce avec leur $.

Et quelques grands esprits des serres à géranium universitaires se demanderont comment il se fait que les journaux soient de moins en moins lus - non ce n'est pas l'important- mais achetés?

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Photo. Site de M & M. http://www.mymms.com/customprint_faces/

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