vendredi 23 juillet 2010
4191. LE PROFESSEUR BULLE COMMENTE. MONSIEUR VINCENT ET LES CHIFFRES ET LE VIEUX MONSIEUR
Monsieur Vincent dit son indifférence aux chiffres (il devient alors poète ce qui n'a pas empêché son succès en affaire). Il dit aussi tout le bien qu'il pense des états financiers. Il en avait tellement et si variés, il est normal qu'il les confonde et en prenne un au hasard. On peut entendre sa voix dans les extraits image-son dans l'article de Radio-Canada no. 4190.
Une question me vient à l'esprit, comme ça: tout le monde parle d'une fraude de 125 millions! Même monsieur Lacroix n'est pas d'accord, ailleurs, il parlera de 80 millions. Avec la même hauteur de vue indifférente aux basses considérations matérielles.
Mais les gens sérieux parlent de 125 millions.
Ce qui est déjà pas mal quoique avec la Caisse de Dépôt (on utilisera d'autre mort que «fraude» pour ne pas heurter les oreilles sensibles: bref, 50 milliards ont disparu mais puisque l'$ ne disparaît pas - comme tout objet matériel, nous savons qu'une lois de la physique l'interdit: rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. Cet $ s'est donc transformé mais en quoi?
Les mauvaise langues - que le professeur Bulle méprise- chuchotent qu'il est dans la poche de quelqu'un!
Et tout le monde s'en fout!
Et on a même réélu le gouvernement qui est la cause de cette «transformation». Ce qui prouve... prouve quoi au juste?
Enfant, on nous disait: que bien mal acquis ne profite jamais. Vieux, nous savons très bien que c'est faux! Et que nous somme dirigés par des gens qui ne se contentent pas de savoir.
Pour en revenir à l'affaire de la Caisse, la faculté d'attention de la plupart des gens étant très limitée, il ne faut pas trop en demander.
Et leur faiblesse mentale sera punie puisque cet $ sera repris dans leur poche par le même gouvernement qui l'a... hum!... égaré.
Avec l'affaire Norbourg, on est dans les ligues mineures comparé à l'affaire de la Caisse mais un tel idéal est sans doute inatteignable, sauf pour des âmes d'élite, une fois dans leur vie. De telles âmes seront bien sûr récompensée. Et l'ont été. Ce qui élève l'âme.
La même question me revient à l'esprit (après qu'elle se soit égarée un peu): Tout le monde parle de 125 millions! Et le monsieur avance tout d'un coup plus de 300 millions.
Il est normal que le journaliste tout heureux de rencontrer le vieux retraité s'amuse à noter ses souvenirs dont on n'a qu'un extrait. Il raconte qu'il a connu la Crise (la vraie) dans son centre lorsqu'il travaillait aux USA, on n'en saura pas davantage. On aurait savoir plus.
Le monsieur a près de 100 ans, il en a des choses à raconter. Il semble avoir bonne mémoire. Mais il n'est pas tout neuf.
Les chiffres étaient sa vie. Il se peut qu'il se trompe dans les chiffres?
Ou que les journaliste ait eu le crayon faible?
S'il a raison, pourquoi ça n'intéresse personne?
Une question me vient à l'esprit, comme ça: tout le monde parle d'une fraude de 125 millions! Même monsieur Lacroix n'est pas d'accord, ailleurs, il parlera de 80 millions. Avec la même hauteur de vue indifférente aux basses considérations matérielles.
Mais les gens sérieux parlent de 125 millions.
Ce qui est déjà pas mal quoique avec la Caisse de Dépôt (on utilisera d'autre mort que «fraude» pour ne pas heurter les oreilles sensibles: bref, 50 milliards ont disparu mais puisque l'$ ne disparaît pas - comme tout objet matériel, nous savons qu'une lois de la physique l'interdit: rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. Cet $ s'est donc transformé mais en quoi?
Les mauvaise langues - que le professeur Bulle méprise- chuchotent qu'il est dans la poche de quelqu'un!
Et tout le monde s'en fout!
Et on a même réélu le gouvernement qui est la cause de cette «transformation». Ce qui prouve... prouve quoi au juste?
Enfant, on nous disait: que bien mal acquis ne profite jamais. Vieux, nous savons très bien que c'est faux! Et que nous somme dirigés par des gens qui ne se contentent pas de savoir.
Pour en revenir à l'affaire de la Caisse, la faculté d'attention de la plupart des gens étant très limitée, il ne faut pas trop en demander.
Et leur faiblesse mentale sera punie puisque cet $ sera repris dans leur poche par le même gouvernement qui l'a... hum!... égaré.
Avec l'affaire Norbourg, on est dans les ligues mineures comparé à l'affaire de la Caisse mais un tel idéal est sans doute inatteignable, sauf pour des âmes d'élite, une fois dans leur vie. De telles âmes seront bien sûr récompensée. Et l'ont été. Ce qui élève l'âme.
La même question me revient à l'esprit (après qu'elle se soit égarée un peu): Tout le monde parle de 125 millions! Et le monsieur avance tout d'un coup plus de 300 millions.
Il est normal que le journaliste tout heureux de rencontrer le vieux retraité s'amuse à noter ses souvenirs dont on n'a qu'un extrait. Il raconte qu'il a connu la Crise (la vraie) dans son centre lorsqu'il travaillait aux USA, on n'en saura pas davantage. On aurait savoir plus.
Le monsieur a près de 100 ans, il en a des choses à raconter. Il semble avoir bonne mémoire. Mais il n'est pas tout neuf.
Les chiffres étaient sa vie. Il se peut qu'il se trompe dans les chiffres?
Ou que les journaliste ait eu le crayon faible?
S'il a raison, pourquoi ça n'intéresse personne?