DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

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DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

jeudi 21 octobre 2010

4773. OÙ ON EXPLIQUE DE CHARMANTES COUTUMES DU PASSÉ AVEC QUELQUES DÉTAILS ÉLOQUENTS

Bulletin de la Société Anthropologique de Paris.

Année 1893.

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bmsap_0301-8644_1893_num_4_1_6189

(…) nous avons dans l’histoire de David un exemple de phallotomie. Ce sont probablement les phallus que David doit rapporter à Saül et non seulement les prépuces.

Le texte dit des prépuces, parce que ce sont des phallus incirconcis, des phallus de la race ennemie, et les distingue ainsi des phallus juifs.

Quant à ceux qui pissent contre le mur, on a déjà reconnu qu’il s’agit encore de distinguer une différence de race. Il y a les races qui pissent debout, comme les aryens, et les races qui pissent accroupis, comme les arabes, c’est encore un signe qui fait reconnaître l’ennemi.

578e séance.

6 avril 1893

(…)

À propos du Procès verbal

ABLATION DU PRÉPUCE ET PHALLOTOMIE

(…)

Monsieur Letourneau signalait un texte de la Bible où il est dit que Saül, avant de donner sa fille à David, lui demande de lui apporter les prépuces de cent Philistins. Il voyait dans cette ablation du prépuce une réduction de la phallotomie pratiquée par les Égyptiens sur l’ennemi tué. Des objections furent faites à cette idée. Certains voyaient dans la parole de Saül une métaphore : ce que Saül aurait demandé à David, ce serait la conversion de cent Philistins. D’autres remarquaient que, en demandant des prépuces, Saül voulait s’assurer que les victimes de David seraient des Philistins et non des Hébreux ; d’où l’on peut inférer que cette demande s’expliquait simplement par l’usage de la circoncision hébraïque. Nous croyons au contraire que l’hypothèse de monsieur Letourneau est la vraie, et que l’ablation du prépuce faite par les Juifs sur l’ennemi vaincu dérive de la phallotomie Égyptienne. En effet, on retrouve cette pratique chez une population qui a dû la tirer elle-même de l’Égypte, la population Abyssinienne. Herbert Spencer Principe de Sociologie 1. 1V, Institution Cérémonielle p. 353) (…) «À la fin d’un jour de bataille, (…) chaque chef s’assied à la porte de sa tente, et chaque homme de sa suite qui a tué un ennemi se présente à son tour devant lui, tenant le prépuce sanglant de l’homme qu’il a tué. Autant il a tué d’hommes, autant de fois il se présente. La cérémonie finie, chaque guerrier prend son sanglant trophée, rentre chez lui, et le prépare de la façon que les Indiens emploient pour leurs chevelures. L’armée entière, à un certain jour de revue, les jette devant le roi et les laisse à la porte du palais. (…) Le trophée, qui sert d’abord à prouver la victoire remportée par un guerrier, devient ensuite une offrande au chef et un moyen de dénombrer les morts (…)»

Signalons enfin l’hypothèse par laquelle Herbert Spencer rattache à cette pratique l’origine même de la circoncision chez les Hébreux. (…) L’ablation du prépuce du vaincu est un hommage au chef (…) « on se mettra à offrir cette espèce de trophée à l’esprit du chef mort.» Or, pour Spencer, le Dieu des peuples primitifs, c’est l’esprit du chef mort. On considèrera donc comme agréable à Dieu l’hommage d’un prépuce. Et à défaut du prépuce d’un ennemi tué, on offrira le sien propre. Telle serait pour Spencer, l’origine de la circoncision Hébraïque. C’est là une hypothèse aventureuse. Mais qui mérite d’être signalée, comme venant d’un grand esprit.

DISCUSSION

(…) bien que le mot prépuce ait été employé dans la Bible, il était encore possible que le phallus fut coupé entier et qu’il fallait probablement entendre par là des phallus entier garnis de leurs prépuces, appartenant par conséquent à la race ennemie.

(…) La circoncision, répandue dans toute l’Afrique est une coutume presque universelle, tandis que l’usage d’offrir les prépuces au chef, au roi, au Dieu est très limitée. La circoncision entre sans doute dans le cadre de ces mutilations que les hommes varient à l’infini, comme la tatouages, généralement sans motif autre que le désir de se distinguer, de se grouper à l’aide de signes extérieurs. (…)

Mais elle est d’habitude et elle fut en Égypte même (…) une épreuve d’initiation imposée d’abord à l’époque de la puberté, comme elle l’est encore chez les Arabes. (…)

L’usage d’offrir des parties du corps au Dieu a été et est encore (…) très répandue. C’est un symbole d’un sacrifice total, devenu partiel par l’adoucissement des mœurs. On offre du sang, des doigts. Les Chrétiens offrent encore les chevelures. Les Juifs offraient de même les prépuces de leurs enfants. Quant à l’usage de dénombrer les morts après un combat à l’aide de leurs prépuces coupés, il me paraît bien distinct.

(…) On infligeait aux vaincus des mutilations très variées et souvent atroces et l’habitude de leur couper le nez ou les oreilles subsistent encore en Asie, comme subsiste en Amérique celle de scalper. Les parties habituellement coupées servaient au dénombrement des morts; et, en Égypte même, c’étaient les mains que l’on coupait le plus souvent. (comme on peut le voir dans) le bas-relief du temple (…) représentant Ramsès III assistant au travail de scribes, devant un monceau de mains qu’ils comptent à mesure qu’on les apporte.